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Château Ragia Chapitre 01

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Asian

Château Ragia

Par koik

Chapitre 1

Rose ouvrit difficilement les yeux, elle se sentait encore fatiguée, comme si elle avait été levée trop tôt après une nuit de fête. Son corps était chaud et elle sentait un doux oreiller sous sa tête, des draps délicats couvrait son corps nu, lui offrant une douce sensation de confort. Seul son cou lui envoyait une étrange sensation.

Ses souvenirs lui revinrent petit à petit alors qu’elle savourait la douceur qui parcourait son corps. Elle se souvenait qu’elle était venue dans ce pays pour les vacances. Elle avait enfin pus partir de l’horrible foyer où l’état l’avait collée à la mort de ses parents, son héritage en poche elle voulait se prendre une année tranquille loin de ce lieu habité par tant de mauvais souvenirs. Elle avait largement de quoi se payer une place dans une bonne fac, après ça elle pourrait vivre la vie qu’elle voudrait.

Elle avait fait presque toute l’Europe, contrairement au jeune de son âge elle profitait d’être si loin de chez elle pour réellement visiter le pays qui l’accueillait. Elle avait découvert ainsi les grandes randonnées en Irlande, savourant le vent dans ses cheveux noirs et l’ambiance unique des pubs du pays. En Italie elle avait fait tant de musées qu’elle en avait perdu le compte. Elle avait même découvert la Croatie et la Grèce, visitant les ruines antiques comme les forteresses médiévales.

Actuellement elle était en France, elle avait entendu parler des châteaux qui parsemaient le pays et elle voulait absolument les visiter. Louant une petite voiture les édifices avaient défilé devant ses yeux, tous plus beau et plus somptueux les uns que les autres. Durant ses visites elle s’était souvent demandé ce que cela faisait de vivre dans l’un d’eux.

Soudain le souvenir la frappa avec violence. Elle avait eu un accident! C’était la nuit, au milieu de la forêt entre deux villages, un cerf a surgi de nulle part, était-ce un cerf d’ailleurs? C’était encore flou dans sa tête, elle se souvint avoir été aveuglée en tentant de l’éviter, puis un grand choc et les ténèbres.

La panique et l’adrénaline suffirent à chasser complètement la fatigue qui ankylosait son corps et elle ouvrit les yeux d’un coup sec, ce faisant aveuglée par la chaude lumière du jour.

Étrangement ce ne fut pas le mur blanc d’un hôpital qui se présentât à ses yeux, mais un véritable mur de vitrail. Une immense baie vitrée aux moulures en bois délicat laissait entrer le soleil dans la grande chambre qui l’accueillait, dehors un grand parc parfaitement entretenu accueillait un grand jardin à la française, parsemé de banc de pierre et de petites fontaines. La chambre en elle-même ressemblait aux grandes chambres des palais qu’elle avait visité ses dernières semaines, la seule chose plus richement décorée que le mobilier était le grand lit à baldaquin dans lequel elle reposait.

Ce décor enchanteur aurait pus lui faire croire à un rêve s’il n’était pas gâché par un petit détail d’importance : elle était totalement attachée! Des sortes de menottes rembourrées reliées a d’épaisses cordes entravaient ses bras, les maintenant écartée dans une position christique, tout comme ses jambes totalement écartées également, son intimité uniquement cachée par le drap de soie blanc qui recouvrait sa peau matte.

Qu’est-ce que c’était que cet endroit! La peur monta encore plus vite que la surprise et elle mit toute la force contenue dans ses bras pour tenter de se libérer. C’est ainsi qu’elle remarqua la petite cloche reliée au bout de liens, celle-ci se mit à sonner dès l’instant ou elle tenta de se libérer. Rapidement suivi par des bruits de pas qui se rapprochèrent de plus en plus.

Elle devait vite se sortir de là! quel que soit la personne qui venait elle ne pouvait lui faire confiance! Pas après s’être réveillée en une telle position! La cloche sonnait de plus en plus fort à mesure qu’elle se débattait. Une voix féminine finit par percer au travers des cloisons de bois gravé.

-J’arrive! J’arrive!

Rose exploitait tout ce que la vie au foyer lui avait donné comme force. Des années dans un environnement difficile lui avaient appris que de bons muscles peuvent souvent sortir de bien des situations. Elle n’était pas une de ses filles qui se laissait faire, elle avait déjà cogné sur des garçons bien plus imposants qu’elle. Mais malgré tous les liens ne bougèrent pas d’un poil.

La porte blanche s’ouvrit finalement alors qu’elle tirait sur son bras droit au point de manquer de se déboîter l’épaule.

-Voilà, désolé pour le retard je réglais une affaire.

Rose se pétrifia, comme si on venait de la surprendre dans son intimité ou pendant qu’elle commettait un larcin. Devant elle une jeune femme d’une trentaine d’années se rapprochait du lit. Elle était grande, une peau aussi blanche que le marbre et de longs cheveux noirs qui glissait sur de fines épaules. De petits yeux verts brillaient sur son visage délicat, tout son corps dégageait une noblesse naturelle. Elle était habillée d’une simple escort reklamları robe noire moulante qui épousait parfaitement un corps parfaitement taillé.

D’un geste délicat, elle retira la cloche qui avait cessé de sonner.

-Voilà, on s’entendra mieux.

Reprenant ses esprits Rose ouvrit enfin la bouche.

-Qui êtes-vous?! Et pour quoi je suis attachée! Laissez-moi partir!

Elle eut un sourire et s’assit sur le coté du lit, obligeant rose a torde son cou pour la garder en visuel, accentuant la sensation désagréable qui ne l’avait pas quitté depuis son réveil.

-Partir? Mais c’est chez toi ici.

-Quoi?! mais qu’est-ce que vous racontez! laisser moi partir espèce de tarée!

La femme prit une moue faussement outragée.

-Oh! Est une façon de parler à celle qui t’a sauvé de la mort? Regarde c’est marqué ici.

Elle se pencha et sortit un journal local. Une image de voiture carbonisée contre un arbre occupait un coin de page, le titre disait « Encore un accident sur la route communale, une jeune touriste victime du mauvais entretien des voiries?» La page suivante était ornée en bas à droite également d’une photo de la jeune fille. Elle était matte de peau, sa mère était inuit, elle et son père un Anglais travaillant comme chercheur, ils c’étaient rencontré lors d’une expédition. Elle tirait d’eux un teint matte et des traits légèrement asiatiques associés a une carrure occidentale.

La réalité vint frapper Rose comme un coup de poing au visage. La femme devant elle avait maquillé sa mort et probablement provoqué son accident. Elle était totalement à sa merci.

-Qu’est-ce que vous me voulez, s’il vous plaît laisser moi partir.

Sa voix ne parvenait pas à cacher sa peur.

-Vous allez me tuer?! Pitié!

Elle de débâtit de nouveau avec hardeur, mais en vain. Soudain une sensation de picotement se répandit depuis son aisselle, la sensation devenant de plus en plus présente dans son esprit, sa peau sensible lui envoyant des messages contradictoires.

-Hey!

Dit-elle en tentant de soustraire sa peau au contact du doigt de la femme.

-T-t-t-t-t

Dis celle-ci en la chatouillant de plus belle.

Finalement un gloussement finit par sortir des lèvres de Rose ce qui semblât ravir sa tortionnaire.

-Qu-q-qu’est ce que vous faite? Stop! ça chatouille! pfhfhfhf!

Le drap avait glissé à côté d’elle exposant complètement son corps tordu par la gêne des chatouilles. La femme baladait tranquillement le bout de son doigt sur sa peau exposé, s’amusant de chaque frémissement et gloussement de la jeune fille.

-Arrêter! Ahahah! S’il vous plaît!

-Une vilaine fille doit apprendre ce qu’elle risque à dire de vilains mots.

Elle n’utilisait qu’un seul doigt, mais Rose se tordait comme si elle était attaquée par des milliers de plumes caressant ses zones les plus sensibles. Depuis quand était-elle aussi chatouilleuse?!

Continuant de tracer des petites formes du bout de son ongle sur la peau de la malheureuse. La femme observait avec grand intérêt le corps tanné de la jeune fille se tordre sans tous les sens . Ses seins parfaitement formés gigotait alors qu’elle se tortillait sous ses caresses, les petits tétons roses dressés et durs comme la pierre trahissaient l’effet que les chatouilles avaient sur le corps de la captive.

Bientôt elle en saisit un de sa main libre.

-Excitée?

Dit-elle en sentant les petits cailloux entre ses doigts.

-Ahahha! Non! A-a-arrêter, s’il vous plaît!

-Seulement quand tu auras compris ta leçon.

-J-J-je suis désolée! S’il vous plaît!

Un gloussement l’empêcha de continuer sa phrase.

Finalement les chatouilles cessèrent et elle retomba dans les draps désormais humides en soufflant.

Sa kidnappeuse attrapa une corde hors de la vue de Rose et tira un coup sec dessus. Rose fut projetée en avant sans qu’elle puisse résister. Les cordes qui attachaient ses bras étaient reliées à un système de poulie qui l’avait mise à genoux sur le lit. Elle tenta de se débattre, mais la machinerie la maintenait fermement, elle pouvait à peine bouger les bras et sa poitrine complètement exposée pointait droit vers la grande baie vitrée.

Elle entendit un petit bruit d’interrupteur et les vitres changèrent devant elle, se transformant en miroir, comme les vitres sans teint qu’elle avait vu dans les films.

Rose ne pouvait détourner les yeux du spectacle que lui renvoyait le miroir. Ses deux bras attachés au pilier du lit laissaient totalement voir sa poitrine généreuse alors que son vagin avait été complètement rasé. Elle était tellement absorbée par la situation, son cerveau étant trop occupé a tenté de trouver une explication logique pour ce qu’elle vivait qu’elle ne remarqua pas que la femme c’était déplacé derrière elle, elle finit par voir avec horreur les deux mains dans le miroir se rapprocher doucement de ses aisselles.

-Non! Non! Non! Non! S’il vous plaît!

Le escort resimleri simple déplacement de l’air commençait déjà à agresser son épiderme.

-Tu vas être bien sage maintenant, n’est-ce pas?

Elle n’avait été chatouillée que par un doigt, elle n’imaginait même pas ce que cela ne serait pas les deux mains de cette femme. Elle supplia immédiatement

-Oui! Oui! Oui! Désolé! Je , ahahahahahah!

Les doigts venait de rapidement se poser sur sa peau, lui arrachant un rire puis disparurent tout aussi rapidement.

-Bien.

La femme se releva et vint se poser devant elle.

-Pourquoi vous me faites ça? S’il vous plaît, laissez-moi partir ; ahahahahahahah!

De nouveau elle la chatouilla, plongeant ses doigts sur la peau tendre de ses aisselles pendant de longues secondes, alors que Rose tentait vainement de s’y soustraire. La sensation était horrible, elle se sentait complètement sans défense alors que la femme profitait de ses gloussements et de son corps tendu.

Elle s’arrêta au bout d’une trentaine de secondes qui parurent des années à la jeune fille. La laissant essoufflé et le corps luisant de sueur.

-À partir de maintenant tu ne parleras que quand je t’en donnerai l’autorisation. Compris?

Rose acquiesça immédiatement.

-Très bien.

Dit-elle en pinceau un de ses tétons, lui tirant un petit grognement de plaisir que Rose ne parvint pas à cacher.

-Maintenant je vais t’expliquer ce qui va se passer.

Elle sortit une cravache d’un porte-parapluie que Rose n’avait pas remarquée. La longue tige de cuir venant se balader sur le corps de la jeune fille.

-Tu m’appartiens, personne ne sait que tu es ici et avec ton récent décès je suis au regret de te dire que la famille que tu n’as pas ne va pas venir te chercher.

Rose garda le silence, mais ses yeux ne mentaient pas. Comment cette femme pouvait connaître sa situation familiale?!

Remarquant son air la femme lui répondit tout en donnant de petits coups à ses tétons.

– Tu crois que je t’ai pris au hasard? Personne ne s’inquiétera pour toi et de toute façon j’ai fait vider tes comptes, Tu as fait une grosse donation quelques jours avant de mourir. C’est beau une jeune fille si généreuse.

-Quoi!?

Rose cria sous la surprise et la colère. Immédiatement la cravache vint frapper son sein pour la faire taire.

-Tu n’en avais pas besoin de toute façon, maintenant que je suis là pour m’occuper de toi.

La cravache se fraya doucement un chemin vers son entrejambe, le contact froid du cuir faisait trembler sa peau.

-Je vais faire en sorte que tu ne manques plus jamais de rien, tu vivras avec moi et je prendrais bien soin de toi. Tu vas voir tu seras très bien içi.

Quelques coups vinrent frapper son clitoris. Rose sentit le sang lui monter et ses lèvres s’humidifier.

Elle devait absolument le cacher à cette perverse.

-Vous ne pourrez pas me garder ici. Je finirais par partir et je dirais à tout le monde ce que vous m’avez fait.

La cravache revint vers son visage, lui relevant la tête et a forçant a regarder directement dans les yeux verts de la femme.

-Qu’est ce que j’ai dit sur le fait de parler sans autorisation? Est-ce que je dois te bâillonner pour te faire taire?

Rose ne pouvait pas soutenir le regard de la femme est baissa les yeux en silence de peur que les chatouilles ne reprennent.

-Et il serait dommage de perdre la tête en s’enfuyant.

Rose ne comprenait pas.

-Regarde.

Elle ne l’avait remarqué, mais un petit collier de cuir ornait son cou, il était tant proche de sa peau qu’elle avait l’impression qu’il avait fusionnée avec elle, un petit anneau laissait présager l’apparition prochaine d’une laisse.

La femme glissa son doigt sur la surface noir de l’objet.

-C’est beau hein, je trouve que ça rend ton visage tellement mignon. Et le mieux c’est que si je veux je peux le faire détonner quand je veux.

« Mon Dieu! » se dit Rose en commençant à paniquer. Elle avait une bombe autour du cou! cette cinglée lui avait collé une bombe!

-Enlever moi ça! Enlever moi ça! Pitié!

Elle secouait la tête de toutes ses forces dans l’espoir que le collier tomberait comme par magie, mais comme ses liens l’objet ne bougea pas.

-Espèce de tarée! Laisser moi partir! Retirer moi ce truc! vous n’avez pas le droit! cinglée de perverse!

La jeune fille hurlait de toute la force de ses poumons.

-Au secours! A l’aide! Quelqu’un! Aidez ghhhhh!

Alors qu’elle hurlait un bâillon apparu et s’enfonça dans sa bouche sans qu’elle puisse y résister. La boulle de caoutchouc avait un goût sucré et maintenait sa bouche ouverte, provoquant une accumulation de salive.

-Mhh!!!!!!!!

Elle hurlait au travers de son bâillon alors que la cravache s’écrasait sur ses fesses. Sur le miroir en face d’elle elle pouvait voir son corps réagir à chaque coup de que la femme lui donnait.

-Phtop!

Tenta-t-elle gaziantep escort sitesi de supplier alors que le dernier des vingt coups s’écrasât sur ses fesses désormais rouges.

-Je crois que tu as besoin d’une explication plus concrète.

Rose fit non de la tête alors que la femme se replaçait devant elle.

La salive commençait à déborder de la bouche de Rose et coulait entre ses seins, se frayant doucement un chemin vers son entrejambe.

-Tu ne risques rien tant que tu restes une bonne fille obéissante. Si tu fais tout ce que je te demande, tu pourrais même apprécier ta vie ici. Compris?

Rose fit un oui de la tête.

-Je vais t’expliquer tes tâches et les règles que tu devra suivre. Mais avant ça tu as besoin de comprendre ce que tu encoures à parler ainsi à ta maîtresse.

Avant que Rose ait eu le temps de paniquer les doigts commencèrent leur travail, grattant et effleurant chaque centimètre sensible de sa peau, la faisant rentrer dans un enfer de sensations. Tout son corps la chatouillait alors que la femme attaquait sans relâche le moindre de ses points faibles.

-Phtop!!!!! Phitier!!!

Tentait-elle de hurler dans son bâillon, provoquant l’hilarité de sa tortionnaire.

-Non, non , non ma petite. Tu été très vilaine de parler comme ça à ta gentille maîtresse.

Le corps de Rose tentait par tous les moyens d’échapper à la torture, mais aucune de ses contorsions ne parvenait a lui faire éviter la moindre chatouille. Le bâillon la faisait baver de de plus en plus et à force de secouer la tête frénétiquement sous la torture elle était maintenant couverte de salive et de sueur.

Ses gloussements remplirent la pièce pendant dix minutes qui manquèrent de la rendre folle. Quand finalement elle la femme cessa son œuvre elle était vidée de toute force et chacun de ses nerfs semblait en feu.

-Voilà qui t’apprendra à rester silencieuse. Maintenant.

Elle se dirigea vers un paravent qui cachait un coin de la pièce. Rose ne l’avait même pas remarqué. Elle en ressortit en poussant chariot de bois qui semblait assez lourd.

-II est temps de t’apprendre la politesse. Mais avant je veux voir s’il te va.

Rose ne tenta même pas de répondre tant son corps récupérait à peine des chatouilles.

-Regarde comme c’est beau, ça t’ira parfaitement!

Rose vit de quoi elle parlait. Elle avait dans les mains un costume qu’elle ne pensait que voir dans les magazines que les garçons du foyer tentaient de cacher sous leur matelas.

Un corset noir complété d’une jupe blanche trop courte pour cacher son intimité, un tissu blanc pour cacher ses seins, mais qui avait l’air de pouvoir se détacher, une paire de bas résille aux extrémités décorés de frou-frou blanc et un serre-tête orné d’une collerette blanche qui ressortait fortement sur ses cheveux noirs.

La femme l’habilla en quelques minutes, elle tenta de se débattre, mais quelques fessée et coups de cravache sur son clitoris recouvert de salive la firent renoncer.

La tortionnaire admira son œuvre une fois finie

-Magnifique. Ça te va très bien.

Rose bouillait de honte, elle se trouvait ridicule dans cet accoutrement. Elle bavait abondamment sur le tissu alors que la femme prenait des photos d’elle à l’aide d’un gros appareil.

-Pour les copines. Elles vont adorer.

Rose tentait d’éviter l’appareil comme si détourner le regard cacherait son accoutrement.

-Regarde par ici petite soubrette, fais-moi un beau sourire sinon…

Elle agita les doigts.

-guili-guili.

Rose obtempéra à contrecœur ne voulant pas retourner en enfer. Sourire avec le bâillon lui donnait un air encore plus ridicule.

L’appareil claqua une paire de fois, capturant sa gêne dans toute sa splendeur.

Finalement la femme se rapprocha et glissa sa main sous la jupe blanche de la jeune fille. Caressant doucement son clitoris.

-Ta maîtresse va t’apprendre les bonnes manières, une bonne servante se doit d’être irréprochable.

Un doigt rentra, arrachant un souffle de plaisir à Rose. Toutes ces tortures l’avaient excitée au-delà du raisonnable et son entrejambe était tout aussi sensible que le reste de son corps. Mais elle devait résister, ne pas offrir le ce plaisir a cette femme.

Elle sentit la langue de la femme frotter son vagin, goûter chaque atome de son liquide. Le plaisir irradiait à chaque coup de langue, les grognements de gênes se transformèrent en râle de plaisir derrière le bâillon de Rose. La tension s’accumulait à mesure que la femme enfonçait sa langue dans son intimité.

Dans un long gémissement étouffé par la boule dans sa bouche Rose s’apprêta à jouir.

La langue se retira à cet instant précis, ne laissant que l’air au contact des muqueuses excité de la jeune servante.

Avant même qu’elle puisse se demander pourquoi le plaisir lui était refusé, l’enfer recommença et les doigts de la femme se mirent de nouveau à chatouiller côtes, pieds et aisselles.

-Phnnnnnnnoooooooo!

Hurlât elle en gloussant, tortillant de nouveau son corps, mais elle manquait d’énergie et ne pouvait que subir la torture.

-Phitiééééé!

-Pas d’orgasme pour toi ma petite.

-Phahahahahaha! Phtoooop!

-Encore un petit peu, après tout je suis une « cinglée de perverse »

-Phe phui depholééé! Phihihihi!

-Tu est désolée?

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Dominatrices Inattendues Ch. 42

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Big Dick

Chapitre 42 Emmanuelle

Extraits : » … Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer… Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. .. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie…. »

Noémie a retrouvé la liberté mais n’est pas sortie de la galère pour autant.

Elle n’a plus de taf et les impayés de loyer de son appartement l’ont forcée à résilier le bail.

Les rares meublés de Nevers disponibles sont assez chers et elle n’a pas un dossier suffisamment solide pour postuler.

Elle est à la rue et en parle à sa meilleure amie Sidonie.

Celle-ci lui dit qu’elle ne peut pas la loger car son appartement est trop exigu mais elle lui explique qu’elle a une tante dans la ville qui a un grand appartement et qui parfois loue une chambre à une étudiante.

Noémie se raccroche à cette bouée et Sidonie promet d’intervenir auprès de sa tante pour qu’elle accepte de loger Noémie en lui laissant le temps de se refaire une santé financière.

Emmanuelle, la tante de Sidonie est touchée et accepte de recevoir Noémie pour que cette dernière plaide sa cause.

Noémie est reçue par Emmanuelle.

Tout de suite Noémie est conquise.

Emmanuelle est une femme mure mais belle comme un cœur. Grande, fine et élégante elle a un charme fou et doit certainement se faire draguer comme une ado.

Noémie hésite entre milf et couguar.

Emmanuelle trouve mignonne cette fille qui semble avoir du caractère.

Elle lui fait visiter l’appartement et montre une chambre munie d’une petite salle de bains à Noémie.

Celle-ci est enthousiaste et embrasse Emmanuelle lorsque celle-ci lui annonce qu’elle lui loue la chambre en acceptant d’être payée quand Noémie se sera refaite.

Noémie exulte et la visite se poursuit. Emmanuelle lui dit qu’elle peut aller dans tout l’appartement sauf dans sa propre chambre qui possède aussi une salle de bains ce qui fait qu’elles pourront vivre chacune leur vie.

Le soir même Noémie emménage.

Emmanuelle a préparé un repas pour deux et elles passent une excellente soirée.

Noémie se sent revivre et Emmanuelle est conquise par cette fille qui semble faire preuve d’une autorité naturelle.

Quelques jours plus tard dans la nuit Noémie se réveille avec une soif pas possible.

Elle décide de se rendre dans la cuisine pour y trouver de quoi se boire.

Lorsqu’elle retourne vers sa chambre, en passant devant la porte de la chambre d’Emmanuelle, il lui semble entendre un petit gémissement provenant de cette chambre.

Elle s’arrête et colle son oreille à la porte.

Effectivement elle n’a pas rêvé et entend bien des gémissements.

Elle s’affole et espère qu’Emmanuelle n’est pas malade ou à l’agonie.

Doucement elle ouvre la porte de la chambre.

Les gémissements sont nettement audibles.

Elle s’approche du lit d’Emmanuelle en utilisant son portable pour s’éclairer chichement.

Arrivée auprès du lit elle comprend l’origine des gémissements.

Emmanuelle est ligotée nue sur le lit.

Ses bras sont attachés ensemble à la tête du lit.

Ses jambes sont attachées écartées à chaque coin du lit et un magic wand bien attaché entre ses jambes ronronne doucement la tête collée au clitoris d’Emmanuelle.

Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter.

Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer.

Elle prend délicatement la lampe de chevet et la pose par terre avant de l’allumer.

La clarté diffuse ne semble pas avoir été remarquée par Emmanuelle qui continue à prendre son pied.

Noémie voit les clés des menottes posées sur le lit à quelques centimètres des mains d’Emmanuelle.

Elle est fortement tentée escort numaraları de les chaparder.

Au dernier moment elle se ravise.

Détournant à regret son regard du lit elle jette un œil au reste de la chambre.

Sur les murs il y a quelques tableaux.

Noémie s’en approche et voit qu’il s’agit de dessins magnifiques représentant Emmanuelle dans des positions de soumissions diverses.

Là elle est à genou et tend vers le l’observateur la poignée d’une laisse qui est accrochée à un collie autour de son cou, là elle est la princesse Leila esclave de horrible Jabba et d’autres dessins tous plus suggestifs les uns que les autres.

Rassurée sur la santé d’Emmanuelle Noémie quitte à regret la chambre et referme délicatement la porte. Elle mettra longtemps avant de se rendormir excitée comme une folle par ce qu’elle a pu voir.

Emmanuelle est persuadée qu’elle n’a pas rêvé et que quelqu’un pénétré dans sa chambre pendant qu’elle était bondée.

Elle sait que ça ne peut être que Noémie et est extrêmement troublée. Elle regrette presque que Noémie e n’ai pas profité de la situation.

Elle se libère et veut allumer sa lampe de chevet. Celle-ci a été légèrement déplacée et elle comprend que Noémie est bien venue dans la chambre.

Elle ne pourra plus dormir de la nuit s’imaginant esclave d’une reine sévère ayant les traits d Noémie.

Le lendemain les femmes se croisent dans la cuisine et font comme si de rien n’était. Cependant elles se jettent des regards entendus.

Noémie sort et passe sa journée à des entretiens d’embauche et la recherche de jobs.

Le soir en rentrant elle est un peu désespérée car pour l’instant rien ne se profile à l’horizon.

Emmanuelle l’attend et prépare un repas amélioré. Une bouteille de champagne trône sur la table du salon, et une bouteille de vin sur la table de la salle à manger.

Devant le regard étonné de Noémie Emmanuelle explique que ça fait une semaine qu’elles partagent la maison et qu’elles s’entendent à merveille ce qui mérite une petite soirée spéciale.

Les deux femmes font honneur au champagne et à la bouteille de vin en mangeant.

Après le repas Noémie s’excuse pour aller passer dans la salle de bains et revenir au salon pour le reste de la soirée dans une tenue plus légère.

Emmanuelle l’attend tranquillement. Noémie se douche et va pour mettre sa robe de chambre quand elle a une inspiration certainement aidée par l’absorption de champagne et de vin.

Finalement elle ne met qu’une nuisette arachnéenne sans aucun sous-vêtement laissant par transparence voir tout son corps. Elle se dit qu’elle doit bien ça à Emmanuelle qu’elle a vu nue.

Lorsqu’elle entre dans le salon elle voit du coin de l’œil une nouvelle bouteille de champagne posée sur la table basse. Mais elle voit surtout le regard ébahit d’Emmanuelle qui la fixe avec attention.

Je suis plus à l’aise comme ça dit Noémie. Tu devrais aussi te mettre plus à l’aise.

Emmanuelle ne sait pas quoi faire elle est troublée par ce tutoiement et la vue de la belle Noémie.

Noémie se rapproche d’elle et lui susurre : Je suis sure que tu serais beaucoup plus à l’aise si tu te mettais nue.

Emmanuelle est affolée et ne bouge pas comme une souris hypnotisée par un serpent.

Mets-toi nue je te l’ordonne dit Noémie en souriant.

Emmanuelle reprend ses esprits et dit : je vais me mettre à l’aise je reviens.

Et elle part d’un pas hésitant vers sa chambre.

Noémie ouvre la bouteille de champagne et sert deux coupes.

Elle s’installe dans le canapé et attend le retour d’Emmanuelle.

Celle-ci revient avec une nuisette charmante transparente qui laisse voir qu’elle ne porte pas de sous-vêtements mais un magnifique harnais en cuir noir qui épouse les contours de ses formes voluptueuses.

Ce coup-là c’est Noémie qui a un regard hébété.

Emmanuelle s’assoit aux cotés de Noémie.

Et tend sa main vers une coupe. Noémie lui bloque la main et dit tu serais mieux à genou à mes pieds.

Emmanuelle la regarde interdite.

Oui je veux te voir à mes genoux. Je suis sùre que c’est ta place.

Emmanuelle est affolée. Cette Noémie la met dans tous ses états et elle souhaite que ça continue.

Elle se met à genou face à Noémie.

Celle-ci lui caresse la tête et la fait boire directement dans sa coupe.

Puis Noémie ajoute tu devrais aller chercher des menottes, un collier et une laisse. Emmanuelle se lève et part vers sa chambre.

En passant tu enlèveras ta nuisette rajoute Noémie.

Emmanuelle revient avec escort pornoları les accessoires demandés.

Noémie lui menotte le bras dans le dos et lui met le collier et la laisse.

Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta langue.

Emmanuelle la regarde interdite. Noémie tire sur la laisse et approche la tête d’Emmanuelle de son sexe.

Emmanuelle plonge bouche en avant pour sucer l’abricot qui lui tend les lèvres.

Emmanuelle et Noémie apprennent à connaitre le corps de l’autre. Tour à tour elles embrassent lèchent sucent.

Noémie a aussi la possibilité de malaxer les seins et les fesses d’Emmanuelle qui ne peut rendre la pareille.

Enfin sans s’en rendre compte elles se retrouvent dans le lit d’Emmanuelle ou elles s’endrameront tête bèche dans un bonheur partagé

Tard dans la nuit Noémie se réveille avec un peu mal au crane.

Elle se remémore soudain la soirée et voir Emmanuelle toujours menottée pelotonnée contre elle. Délicatement elle détache les menottes et recouvre Emmanuelle d’un drap.

Elle lui pose un dernier baisé sur la bouche et retourne dans sa propre chambre.

Une fois qu’elle a tourné le dos, Emmanuelle ouvre l’œil et lui envoie un baiser sans que Noémie ne le voie. Emmanuelle s’endort comblée.

Le lendemain matin les deux femmes ont un peu la tête de bois.

Elles se retrouvent dans la cuisine et ne parlent pas de la soirée précédente.

Néanmoins au moment où Noémie va quitter la maison pour une nouvelle journée à trouver du taf Emmanuelle lui souffle : Reviens-moi vite.

La journée de Noémie s’annonce radieuse.

Le soie lorsqu’elle rentre Emmanuelle est à la porte et l’accueille avec un grand sourire.

Les femmes vont dans le salon et confortablement installées sur le canapé elles se racontent leur journée.

Le repas du soir a été préparé par Emmanuelle qui a mis un petit tablier sexy pour servir.

Noémie apprécie et dit tu devrais me servir avec juste ce tablier sur toi ce serait vraiment cool.

Puis elles mangent ensembles et passent une soirée amicale devant la télévision.

Le lendemain matin lorsque Noémie se lève elle sent une bonne odeur de pain grillé et s’approche de la cuisine de bonne humeur.

Emmanuelle l’attend pour la servir.

Elle ne porte que le petit tablier.

Noémie est radieuse et dit : ça te va super bien vraiment tu es faites pour me servir comme ça. Il ne te manque que le collier de cuir.

Emmanuelle ne déjeune pas et sert Noémie qui est aux anges.

En quittant la maison au lieu d’embrasser Emmanuelle elle passe derrière elle et lui saisit les seins à pleine main. Au revoir ma belle soubrette à ce soir.

Le soir lorsqu’elle rentre Emmanuelle l’accueille elle est dans la même tenue que le matin et porte un large collier de cuir.

Noémie l’embrasse et lui dit ce soir je dine dans la salle à manger.

Emmanuelle la sert dans la salle à manger.

Noémie lui dit entre deux plats. Puisque tu ne manges pas avec moi tu devrais passer sous la table et t’occuper de moi.

Emmanuelle passe sous la table et commence goulument à prodiguer des caresses buccales à Noémie. Celle-ci ronronne de plaisir.

Elles se retrouvent dans le canapé. Noémie s’est mis nue pour être à l’aise et se faire caresser par Emmanuelle.

Noémie continue ses exigences.

Le matin quand je me lève et le soir quand je rentre j’aimerai te voir nue à genou avec juste le collier et une laisse que tu me tendras.

Ensuite je déciderais de ce qu’on fera.

D’ailleurs ce soir je crois que je vais t’attacher pour la nuit dans ton lit.

Emmanuelle est émoustillée. Elle se demande si Noémie raconte des bobards ou pas.

En fin de soirée Noémie saisit la laisse et emmène Emmanuelle dans sa chambre.

Là elle l’attache en croix sur le lit.

En fouillant dans la table de chevet d’Emmanuelle elle découvre un plug annal et un gode vibrant.

Elle bâillonne Emmanuelle et entreprend de visiter ses orifices restants. Elle constate qu’Emmanuelle mouille à l’extrême et lui insère les deux engins.

Elle met en route le gode vibrant et rapidement Emmanuelle se laisse aller à des orgasmes puissants.

Noémie tient le gode mais le laisse en place.

Elle met une sangle bien serrée qui pousse les deux engins dans le fondement d’Emmanuelle et après l’avoir bâillonnée lui souhaite une bonne nuit.

Dans la nuit elle va détacher Emmanuelle en lui précisant qu’elle ne voudrait pas se lever sans sentir la bonne odeur de café.

Les jours se suivent et petit escort portalı à petit les deux femmes trouvent leurs marques.

Emmanuelle porte maintenant un harnais en cuir rouge qui lui fait un magnifique shibari bien serré sur tout le corps.

Elle passe les soirées devant la télé à genou aux pieds de sa maitresse qui l’utilise comme esclave sexuelle.

Emmanuelle kiffe cette vie. Elle a l’impression de revivre et d’avoir un but dans la vie. Plaire à Noémie et lui appartenir totalement.

Noémie est aux anges.

Elle a une bonne esclave, douée pour le sexe et qui ne lui refuse rien.

Elle pense qu’il faudrait qu’elle fasse partager sa réussite avec quelqu’un.

Pourquoi pas Sidonie sa meilleure amie qui doit toujours avoir son soumis à la maison.

C’est décidé. Elle prévient Emmanuelle qu’elle a l’intention d’inviter Sidonie et son mari à la maison.

Emmanuelle est effarée.

Elle craint de se montrer en esclave à sa nièce Sidonie.

Noémie la punit plusieurs fois et désormais Emmanuelle dort attachée au pied du lit de Noémie.

De plus Noémie l’attache à un radiateur lorsqu’elle part le matin et ne la détache qu’à son retour.

Au bout de quelques jours Emmanuelle est à bout et accepte l’idée de Noémie.

Sidonie est enchantée de venir rendre visite à sa tante.

Son compagnon n’a pas pu venir mais elle sera heureuse de voir Noémie et sa tante qui visiblement s’entendent à merveille.

Elle sonne et la porte s’ouvre sur une Noémie enchantée.

Celle-ci embrasse Sidonie et la remercie de lui avoir fait connaitre Emmanuelle.

Sidonie la remercie mais demande ou se trouve Emmanuelle.

Elle est dans le salon elle ne peut pas bouger.

Sidonie s’inquiète aussitôt.

Noémie rit : Non ne t’en fais pas elle va bien très bien même mais tu vas être étonnée en la voyant.

Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même.

Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon.

Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé.

Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant.

Tu vois dit Noémie ce qui fait tressauter Emmanuelle.

Elle ne voulait pas que tu la vois à mes pieds mais elle est trop belle pour ne pas être exposée comme ça.

Sidonie reprend son souffle et répond : Effectivement je n’imaginais pas qu’elle puisse être aussi belle nue.

Et tu vas voir c’est une soubrette parfaite.

Et Noémie enlève le masque d’Emmanuelle et lui dit : Ma chérie va nous chercher l’apéritif et vite. Et elle lui met une claque sur les fesses alors qu’Emmanuelle se dépêche de se rendre vers la cuisine.

Noémie s’assoit dans le canapé et invite Sidonie à la rejoindre.

Sidonie la regarde éberluée et lui demanda comment elle a fait.

Noémie raconte comment elle a surpris Emmanuelle en plein self bondage et dit que tout test venu naturellement.

Sur ses mots Emmanuelle qui a récupéré un peu de couleurs apporte un plateau avec des verres et des amuses gueules et le présente aux filles qui se servent

. Une fois les filles servies Emmanuelle se repositionne à genou en face de Noémie qui lui caresse la tête.

Noémie trinque avec Sidonie et fait boire Emmanuelle dan sa coupe. Elle ajoute à Sidonie en plus c’est une experte pour ce qui est du sexe. Tu pourras vérifier toi-même. Après ton verre.

Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée.

Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie.

Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents.

Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie.

Emmanuelle sert le repas et reste derrière la chaise de Noémie pendant que les filles mangent.

L’après-midi, Sidonie au moment du départ, embrasse sa tante qui lui souffle : je n’ai jamais été aussi heureuse.

Sidonie les quitte le cœur joyeux.

Ce soir-là Emmanuelle est déchainée et titille Noémie pour que celle-ci la punisse de toutes les façons possibles.

Elle est heureuse d’avoir pu se montrer sans pudeur à sa nièce qui ne l’a pas blâmée bien au contraire.

Elle finira la soirée avec quelques marques de martinet et empreintes de cordes sur tout le corps, particulièrement les seins qui ont été la cible de bondage de Noémie ce soir-là.

Elle n’ose pas demander à Noémie de l’attacher pour la nuit mais celle-ci voyant son état d’excitation ne manque pas de l’immobiliser entièrement aux pieds du lit.

Emmanuelle a du mal à trouver le sommeil à cause de l’inconfort de sa position mais aussi et surtout à cause de la journée mouvementée et kiffante qu’elle a vécue.

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18 Maîtres Ch. 08

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Celebrity

Traduction d’un récit écrit par Penitr8me.

Avertissement : Ce récit n’est qu’une FICTION sortie de l’imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation

Si vous n’aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

**************

Ma première semaine en tant qu’esclave à temps complet, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, fut plus dure que je ne l’avais pensé : plus de travail, plus de sexe, plus intense, plus épuisant.

Ils m’avaient vraiment bien baisée durement auparavant mais maintenant ils me possèdent totalement, chaque minute de chaque journée. Ils ont fait en sorte de pouvoir profiter de moi complètement.

Ils n’aimaient pas mon minable petit appartement d’avant, donc ils venaient quand ils avaient besoin d’assouvir leurs pulsions, mais ils ne restaient pas longtemps. Dans ma nouvelle prison, il y a un grand espace avec une grande télé à écran plat et un frigo plein de nourriture réapprovisionné tous les jours. Il y a aussi un bar avec tous les alcools voulus et même une tireuse à bière. Ce nouvel appartement possède trois chambres dont deux avec salle de bain privée. L’une est pour moi et l’autre est pour mon geôlier. La troisième chambre fait office de dortoir avec des lits superposés, au cas où plusieurs de mes Maîtres veulent rester

Il y a aussi deux beaux canapé-lit dans le salon et trois fauteuils à dossiers inclinables qui permettent de dormir. Peut-être est-ce la nouveauté de pouvoir m’avoir enchainé et nu tout le temps, ou alors c’est plus confortable, mais mes Maîtres sont beaucoup venus cette semaine. Et ils sont restés alors qu’avant ils me baisaient juste et rentraient chez eux. Maintenant ils restent, rechargent leur batterie et me baisent encore et encore avant de partir. Ou alors ils ne partent pas et me baisent toute la nuit.

Mon geôlier a toujours le choix entre dormir dans mon lit ou dans sa chambre. Quelques hommes aimaient bien me câliner alors ils commençaient la nuit dans mon lit. Le problème était que si quelqu’un d’autre voulait me baiser en pleine nuit, il le pouvait. Alors mon geôlier devait le supporter ou partir dans escort haberleri sa chambre. Maître Donald était un obstétricien-gynécologue, donc il travaillait jusqu’à pas d’heures. La première semaine, il est venu me baiser deux fois après des accouchements. Mais je ne sais même pas quelle heure il était. J’étais fatiguée et endormie. Je crois qu’il préférait ça.

Le matin, la plupart d’entre eux se réveille avec une érection, donc la première chose qu’ils font c’est de me baiser. Je me suis habituée à me faire peloter et baiser pendant que je prends mon petit-déjeuner, ma douche, que je me brosse les dents, me coiffe ou me maquille.

Toutefois, mon Maître qui était le geôlier du jour devait s’assurer que je sois au bureau, prête à travailler à 8 heures du matin. S’il je ne l’étais pas c’était de leur faute pas de la mienne. Cela s’est mis en place assez rapidement la première semaine. Maître Pete était mon geôlier mercredi matin. Il m’a baisé avant que je ne sorte du lit. Et il était de nouveau prêt à le faire avant que nous partions. Il a eu l’idée que ce serait assez marrant de jouir sur mon visage et mon chemisier. Maître Terry et Maître Hugh étaient là et lui ont fait comprendre qu’il faut que je me nettoie avant de partir au bureau. Ils lui ont dit qu’il faut qu’il explique à Maître Michael pourquoi je serais en retard. Maître Pete n’a jamais recommencé et personne d’autre non plus.

Maître Michael veut que j’arrive à 8 heures, une heure avant les autres. Comme ça il peut profiter de moi. Je passe cette première heure complétement nue et enchainée à son bureau. Il me caresse pendant qu’il travaille ou alors il m’utilise comme repose-pieds. Et bien sûr il se soulage avant de me laisser repartir à mon bureau. Sa position préférée est de me courber sur son plan de travail et de me sodomiser la jupe relevée. Il ne se fatigue jamais de cette position.

La première semaine, la plupart de mes autres Maîtres ont réussi à venir au bureau pour me baiser. Ils ont tous apprécié de pouvoir m’entrainer dans la pièce du fond. Comme ce n’est pas grand, ils doivent se relayer plutôt qu’y entrer tous en même temps. Je suis persuadée que escort hikayeleri mes collègues ont dû se demander si je vendais de la drogue ou autre chose.

Les vendredis, mes collègues sont encouragés à travailler chez eux et ils en profitent. Comme ce jour-là il n’y a donc personne au bureau, je dois travailler nue toute la journée. Lorsque nous quittons l’appartement je porte juste mes talons et un manteau que je dois enlever dès que j’arrive.

Au lieu d’une chaise, j’ai, ce jour-là, un tabouret avec un gode fixé sur le siège. Je dois m’empaler dessus pour travailler sur mon ordinateur. Mes Maîtres aiment ajouter d’autres sévices pendant que je travaille le vendredi : des pinces sur mon clitoris ou mes tétons, des pinces à linge sur ma peau.

Un vendredi, Maître Franck n’avait rien à faire alors il est venu au bureau et s’est amusé à me ligoter de toutes sortes de façons. Un autre vendredi, alors que c’était Maître Barry mon geôlier, il m’a fourré un gros morceau de gingembre dans ma chatte avant que je ne quitte l’appartement. Il m’a rejoint à l’heure du déjeuner et a changé la racine de gingembre par de la fraîche.

Heureusement Maître Michael ne s’attend pas à ce que j’accomplisse beaucoup de travail quand mes autres Maîtres sont là. Comme ils paient une partie de mon salaire, il ne peut pas se plaindre.

A la fin de la journée, il y a toujours un Maître qui me raccompagne à l’appartement. Je n’ai pas le droit d’aller n’importe où toute seule. Dans l’ascenseur, s’il n’y a personne d’autre, je dois toujours m’exposer pour que mon Maître puisse me tripoter. Souvent, quand nous rentrons dans l’appartement, je suis poussé contre le mur et immédiatement baisée. Heureusement que je ne paie plus mes vêtements parce qu’ils m’arrachent souvent des boutons. Je ne manque pas de tenue, quelqu’un s’occupe de ça.

Il y a aussi dans l’appartement beaucoup de matériels de salle de sport. Certains peuvent servir pour m’asservir. Mes Maîtres me font travailler mon physique tous les jours quand je reviens du travail. Les premiers jours, je devais m’entraîner nue. Mais nous avons rencontré deux problèmes : Ils ne pouvaient pas escort ilanları me tripoter ou mettre leur bite en moi pendant que je m’entrainais et, comme je suis une femme plantureuse, c’est assez pénible pour moi de m’entrainer sans rien. Alors ils ont acheté tout un tas de soutien-gorge de sport ainsi que des shorts moulants. Et ils ont édicté une nouvelle règle : je devais obligatoirement faire tous mes exercices avant qu’ils ne puissent de nouveau jouer avec moi.

Le soir, si j’avais été obéissante et que je n’avais pas de punition, je pouvais regarder la télé pendant que je dinais. Toutefois, comme dans la matinée, j’étais toujours tripotée. Alors j’ai pris l’habitude de manger vite tant que je le pouvais, tout en étant pénétrée dans tous les sens. Je passe beaucoup de soirées couchée sur la canapé. Ils font une file pour me baiser jusqu’au moment où il est temps de m’emmener dans ma chambre et de m’enchaîner à mon lit.

Quelques soirées, ils ont invité quelqu’un pour leur donner des cours de BDSM. Ils ont abordé beaucoup de sujet : cire brulante, jeu de corde, collier électrique. Comme j’étais une sorte de mannequin de démonstration, ces soirées pouvaient être assez douloureuses. Mes maîtres ont toujours proposé à l’instructeur de jouer avec moi après les cours. J’étais vraiment excitée de savoir que mon corps était utilisé pour récompenser une personne qui enseignait à mes Maîtres comment mieux me torturer.

Parfois mes Maîtres me faisait sortir. Je les accompagnais pour un concert, un cocktail ou une réunion de charité. Ils s’attendaient à ce que je rende service et souvent, je me retrouvais dans une arrière-salle à faire des fellations aux amis de mon Maître.

Je suis vraiment une pute. Et j’aime ça. Je ne sais pas quel genre de maladie je peux avoir à apprécier d’être utilisée, exposée et abusée toute la journée, tous les jours.

Mais des fois, je trouve cela ennuyeux. Cependant je dois faire attention. S’ils pensent que je ne suis pas attentive, ils me punissent. Le fouet ou le martinet ne sont pas vraiment des punitions car je les supporte. Mais je redoute la canne. Plusieurs coups sur mes fesses, mes seins ou mes cuisses me réveillaient rapidement. D’autres étaient plus imaginatifs et plus sadiques, si bien qu’ils devaient utiliser de la glace ou du baume du tigre ensuite. Sinon, ils savaient tous que je détestais les douches de pisse, ce qui était une autre punition fréquente.

Finalement, je me suis installée dans une routine domestique merveilleuse et excitante.

A suivre…

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Prise Dans Un Cercle Viceux 17

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Brunette

– Répond? Tu n’es plus qu’une petite salope que je baise!

– Oui, je vous appartiens à tous les deux!

Les coups de butoirs s’accélèrent dans le cul de Jacques pendant que Nicole s’acharne sur sa bite et ses couilles. Elle sait que cela le fait jouir et il comprend rapidement qu’elle veut le faire juter, d’autant plus que dans son cul, la queue de Karim le laboure, entraînant une jouissance encore jamais perçue.

Jacques comprend que c’est à la fois l’idée d’être soumis et d’être sodomisé qui le fait jouir et quand il l’engrosse, Jacques ne peut retenir un hurlement de bonheur. Ses jets de Karim lui remplissent le boyau, mais il ne s’arrête pas et pendant un très long moment encore Karim le sodomise, jusqu’à ce que, pour la deuxième fois, il le féconde pour la deuxième fois. Quand il se retire, anéanti par la jouissance de cette puissante sodomie, Jacques s’écroule sur le lit.

Le répit est de courte durée, car Karim fait asseoir Jacques par terre, il lui attache les pieds et les mains. Jacques va rester comme cela pendant toute la soirée, assistant aux multiples copulations de sa femme. Déchaînée, elle réclame plusieurs fois à son Karim, qu’il la baise, qu’il la sodomise, en disant à chaque fois a son mari qu’il est plus puissant que lui, qu’il sait la faire jouir, que dorénavant, Jacques ne la touchera plus.

Jacques ne pourra qu’assister, impuissant à ses jouissances, entendant leurs mots d’amour, mais aussi leurs propos sur sa soumission, ce qui le fera jouir sans qu’il puisse se toucher

En une soirée, elle l’a offert à son amant, elle a fait de son mari leur soumis dépourvu désormais de relation sexuelle avec elle. Par contre, les joutes amoureuses avec son Karim sont devenues de plus en plus torrides et souvent, lors de leur étreinte, elle aime rappeler à Jacques sa soumission pour elle et son amant, ce qui lui déclenche de violentes jouissances, tant pour elle que pour Karim.

Depuis peu, Karim a offert un chien à Nicole.

C’est un berger des Pyrénées, c’est un chien énorme qui pèse 85 kg. Jacques joue régulièrement avec le chien. Elle aime bien les regarder gaziantep escort sitesi jouer tous les deux.

Ce jour-là, Karim sirote son café et Nicole fume sa clope en les regardant jouer. Jacques est à quatre pattes en caleçon et le chien lui grimpe dessus pour simuler l’acte sexuel. Évidemment, Jacques se dégage. Mais sa femme l’appelle. Il se présente devant elle, elle baisse son caleçon et voit qu’il a une grosse érection. Elle le masturbe et lui malaxe les fesses. Pendant qu’elle fait ça, elle lui dit qu’elle a compris son petit jeu avec le chien et qu’elle aimerait bien voir un accouplement.

Elle le prend dans sa bouche et commence à le sucer jusqu’à la garde. Elle adore faire des gorges profondes. Pendant qu’elle faisait ça, Karim lui met deux doigts dans le cul. Comme il voit que c’est bien ouvert, il ordonne à Nicole d’arrêté de le sucer. Elle retire le caleçon à Jacques, il est cul nu. Elle lui ordonne de retourner jouer avec le chien et de faire ce qu’il faut pour le satisfaire.

La queue en l’air et excité comme jamais, il retourne jouer avec le chien. L’inévitable ce produit, le chien lui lèche le cul. Sa grosse langue passe de ses couilles à son petit trou. On entend le chien gémir. D’un coup, il lui grimpe dessus et sans aucun ménagement il réussit à planté sa bite au début de son anus. Contrairement à un humain, un chien n’a pas d’états d’âme ni le concept de la douceur. Il pousse d’un coup et s’enfonce dans l’anus de Jacques.

Nicole et Karim encouragent le chien à le baiser. Il veut satisfaire sa maîtresse et remue de plus en plus. Il lui baise le cul pendant un moment jusqu’à ce qu’il s’arrête. Le soulagement est de courte durée. Il vient de se nouer dans le cul de Jacques . Sa femme a compris qu’ils ne peuvent plus se dégager l’un de l’autre. Elle vient se mettre face à Jacques pour lui donner sa chatte à lécher.

Jacques se fait défoncer le cul par un énorme chien pendant qu’elle colle sa vulve odorante sur son visage. Jacques ne sait pas comment elle fait, elle réussit à se faufiler sous lui pour gaziantep escort forum qu’ils soyons en position de 69. Jacques lui lèche la chatte pendant qu’elle lui sue la bite et que le clébard lui défonce le cul.

Le chien jouit le premier dans le ventre de Jacques. Son érection est de plus en plus forte surtout qu’elle est stimulée par la bouche experte de sa femme. Jacques lui aspire la moule pour étouffer ses cris de jouissance. Le chien se retire après que le nœud se soit dégonfler. Le sperme coule de son cul dans les cheveux de sa femme. Il l’a fait jouir, il jouit en même temps. Il décharge dans sa bouche elle avale tout.

Elle se relève, elle tamponne ses lèvres, elle rallume sa cigarette. Karim et Nicole lui disent qu’ils sont ravie, car ils viennent de trouver une nouvelle façon de le pervertir. Jacques est aussi content de ce qui vient de se passer. Ensuite son cœur s’est arrêté de battre lorsqu’ils lui ont dit qu’ils vont le présenter aux amies de Karim qui ont de gros chiens prêts à être satisfaits par son petit cul.

Le samedi, Karim est venu. Il n’est même pas entré. Il leur a demandé de s’habiller pour sortir avec lui.

Il nous a conduits hors de la ville, dans les baraques d’un chantier, inutilisées le dimanche sauf pour ce que nous allons y faire. Nicole se fait prendre à la chaîne et son mari, dans un local voisin, se fait enculer par tous ceux qui préfèrent payer un peu moins cher pour se soulager. Le tarif est modeste, ce qui fait qu’ils ont du succès bien qu’ils ne soient plus de la première jeunesse. Pour autant, Nicole ne le fait pas pour l’argent. Elle adore cette succession de sexes qui viennent la pénétrer. Elle aime se faire prendre par de trois grosses bites ensembles.

Les queues se sont succédé sans relâche pendant plus de deux heures. Ils ont vidé à eux deux une trentaine paire de couilles. Karim est très satisfait. A la fin de la séance, à sa grande surprise, il a remis à Nicole une centaine d’euros, a environ vingt euros par passe. Ils comprennent qu’ils sont devenus ses gagneuses.

Quant escort gaziantep à Jacques, il a l’air d’y trouver aussi son compte. Il avoue qu’il fait du zèle en nettoyant les bites avec sa bouche parce qu’il aime finalement sucer. Il raconte aussi qu’il s’ explique que l’orgasme est bien plus fort quand il se fait enculer que quand il éjaculait dans la moule de sa femme.

Karim a toujours un smartphone et il les filme pendant toute la séance.

Tout cela dure maintenant depuis trois ans. Tous les week-ends, il les prostitue. Durant la semaine, ils ont une vie normale, au bureau, avec les collègues. Cependant, ils attendent tous les deux le vendredi soir, la visite de Karim avec impatience.

Ils sont aussi devenus leurs meilleurs fans. En semaine, Jacques et Nicole regardent tous les films que Karim fait lors des séances et surtout le premier, qui marque leur entrée dans leur nouvelle vie. Certains passages les excitent beaucoup, ils se masturbent mutuellement. C’est aussi l’occasion pour l’un et l’autre de voir comment le conjoint se fait prendre quand ils sont séparés dans les cabanes sur les chantiers.

Car ils sont toujours filmés, avec plusieurs cadrages, Karim s’occupe du montage pour alterner les gros plans de leurs culs, de leurs visages et les plans larges. Ils ne ratent rien du plaisir réel qu’ils ont. Nicole peut vérifier que comme Jacques le lui a avoué, il suce bien toutes les bites qui lui passent par le cul et qu’il se masturbe pendant que son dernier client le sodomise. Lui aussi voit qu’elle gicle à chaque fois lors de ses premières passes, ce qui est le signe qu’elle jouit.

Maintenant, ils passent toutes leurs vacances dans un drôle de club dans le pays de Karim. Ils y sont baisés nuit et jour par que des hommes de couleurs et quelques fois aussi des femmes. Lors d’un soit disant safari, Karim les a livrés à l’un de ses oncles qui a une petite ménagerie privée.

Pendant cinq jours, ils ont servi de femelle à des singes, des chiens, des ânes, un bouc, un zèbre et d’autres animaux.

Comme Karim rappel un jour à Nicole : Elle qui souhaitait que son mari la regarde, pendant que des hommes abusaient d’elle, qu’elle désirait aussi qu’on le souille. Là Nicole est exaucée au-delà de tout ce qu’elle imaginait.

Cette expérience a beaucoup changé leur façon de vivre.

Nicole et Jacques sont vraiment devenu des accrocs aux grosses bites Noirs ou autres du moment quelles sont grosses.

FIN

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Lisa Sur Les Traces De Sa Fille

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Anal

2ie partie du plaisir vient dans l’acceptation.

Lisa : « Ohhhh … Non mon Dieu … ummmm … ohhhh, Madame …. ohhhh non pas ça, je ne veux pas …. nooonnnnnn uhhhh …outchhhh, ayyyyyyeee noooonnnn ohhhkeeeeyyyy maitresse c’est ohhhhhh ooooouuuuuiiiii huuuummmm … c’est bon. Oui … ohhh Dieu ooooouuuuiiiii je viiiieeeennnnnss……. Ooooouuuuiiiiii! »

Lisa prenant un café sur sa terrasse tentait de remettre ses esprits en ordre, cette nuit-là elle avait été victime de nouveau de cet affreux cauchemar. Il était temps qu’elle réagisse, depuis 1 semaine que ces délires nocturnes la tourmentaient ramenant à la vie ses incartades de couventine. Elle avait conservé dans son jardin secret ce désir charnel qu’elle avait eu pour cette nymphette noire qui contrôlait leur groupe de nubiles. Volonté et frustration l’avait accompagné tout le long de ce dénie corporel. Des années plus tard voilà que ce combat revenait à l’ordre du jour.

Décidée d’en finir au plus vite, elle réessaya pendant deux heures de rejoindre Mr. Brown l’employeur de son mari. Quand elle eut réussi à lui exposer ses plaintes, Mr. Brown joua l’outragé et lui suggéra de communiquer immédiatement avec Mr. Jimmy Brown directeur de la maison mère à Eatonville.

Lisa attendait depuis 15 minutes ayant été avisée que Mr. Jimmy Brown était déjà en ligne. Mr. J. Brown : « Oui bonjour. » Lisa : « Bonjour je suis Mme. Lisa Smith, je suis la femme de Peter Clarke. » Mr. J. Brown : « Que puis-je faire pour vous madame? » Lisa : « Je voudrais porter plainte contre le personnel de Mr. Dickson psychologue pour Private Massaï Training Institute. » Mr. J. Brown : « Je vous écoute. »

Lisa raconta le contrôle que subissait sa fille de la part de Mme. Rosy depuis qu’elle avait commencé ses rencontres thérapeutiques chez le psychologue. Pour la rassurer J. Brown l’avisa qu’il allait régler le problème et qu’elle aurait des nouvelles prochainement. Le reste de la journée se déroula gaiement pour Lisa maintenant qu’elle avait réglé le problème de sa fille.

Quoi de mieux que profiter de la piscine, Lisa enfila un bikini, se mixa une boisson rafraîchissante avant de plonger dans l’eau.

Toute bonne chose ayant une fin Lisa mit un terme à sa session de bronzage, l’heure du souper approchait. En entrant dans la maison elle remarqua les effets d’école de sa fille sur la table. Curieuse de savoir pourquoi elle était de retour de l’école de si bonne heure elle se dirigea vers l’escalier. À peine avait-elle posé le pied sur la première marche qu’elle sentit son cœur s’emballer au fur et à mesure qu’elle montait, les soupirs qu’elle entendait laissaient présager que sa fille avait eu une rechute et qu’elle s’adonnait de nouveau à la masturbation. Désapprouvant sa curiosité maternelle Lisa redescendit laissant sa fille à son assouvissement libertin.

Sa fille ne goûtait pas juste aux plaisirs de la chair. D’une main ferme Rosy la tenait pliée sur ses genoux. Élodie s’attendait à jouir d’une caresse anale quand Wackkkk la première claque s’abattit sur son cul. Élodie basculait entre la souffrance et le plaisir selon le bon vouloir de sa maîtresse. Privé de soulagement, l’excitation accumulée depuis quelques jours avait rendu ses besoins sexuels si exacerbés que la moindre câlinerie la faisait mouiller.

Wackk Wackk Wackk wackk Élodie : Oouuuuutchhhhhhh nnnnnnooooooounnnnn . Rosy : «Tu as quelques choses à dire salope? » Élodie sanglotait de douleur mais restait soumise. Wackk Wackk Wackk Wackk wackk Soudain Lisa arrêta sa descente, elle crut reconnaitre une voix autre que celle de sa fille.

Élodie : « S.V.P. maitresse je veux bien que Jamal prenne mes fesses. » Rosy : « Tu veux quoi? » Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk. Élodie en pleure: « Je veux bien prendre la queue de maître Jamal dans mon cul mais maîtresse s.v.p. arrêté de me fesser, j’ai trop mal. »

Rosy fit signe à Jamal de s’approcher, Élodie sentit le membre imposant sonder le sillon de ses fesses malmenés. Rosy dans un souci d’aider son partenaire à compléter l’éducation de sa chienne glissa son doigt garnit de gelée dans l’anus vierge. Élodie réagit négativement à la pénétration mais au bout de 5 minutes Rosy constata un relâchement de l’anneau plissée et ajouta un deuxième doigt. Ce n’est qu’à la troisième intrusion que Rosy constata le mouvement arrière provoqué par Élodie pour aller au-devant de la pénétration.

Discernant un doux ramage de sa petite chienne et voyant la virevolte fessière s’accentuer Rosy constata que le plaisir était au rendez-vous. Pour accélérer l’enseignement elle fit la transition entre ses doigts et le membre imposant de Jamal. Elle dû mettre une certaine pression afin de permettre à la tête du monstre de se glisser dans la cavité anal. Ce fut un cri d’agonie qui se propagea hors de la chambre et écorcha les oreilles maternelles.

Aussitôt Rosy glissa sa main sous la jeune chienne et lui caressa le clitoris. Excité sexuellement Élodie basculait les hanches pour frotter sa chatte et son clitoris sur les doigts bienfaiteurs. Habilement Rosy amenait escort Élodie à s’empaler de plus en plus sur le membre noir tout luisant de cyprine qui témoignait du plaisir que ressentait Élodie la salope. Elle en profita pour se glisser sous son élève excité. Voir le phallus noir profondément installer dans le conduit anal lui prodigua une montée de jouissance.

Inquiète, Lisa qui avait remonté quelques marches s’arrêta de nouveau devant le crescendo des litanies salaces de sa fille. Lisa une main entre ses cuisses tentait de deviner que faisait sa fille pour témoigner d’une telle fureur.

Rosy : « Ok tu vas être une bonne fille et faire comme moi. » Élodie affamée sexuellement s’empressa de retirer le tissus qui lui cachait la chatte de sa maitresse, une forte odeur d’urine lui monta au nez. Rosy : « Tu vois je vais te faciliter la tâche. » Rosy agrippa Élodie par les cheveux. Rosy : « Pour débuter, je vais t’expliquer le principe d’un bon 69, tu fais exactement la même chose que moi. » Élodie couché sur sa maitresse fut forcée de poser sa bouche sur la chatte noire. Elle déposa un baiser sur la vulve entre-ouverte comme venait de le faire sa maîtresse. Rosy : «Tu vois, tu as déjà compris. »

Quand Rosy enfonça son énorme langue pour cueillir la sève de sa chienne Élodie en fit autant. Rosy remonta embrasser Élodie pour lui faire goûter sa propre chatte. Néophyte, Élodie effectua le même geste, Rosy ressortit sa langue et bientôt tous deux furent prisent d’une passion l’une pour l’autre fusionnant leurs salives et leurs sèves intimes. Élodie était maintenant sous contrôle, sa maîtresse lui tordait les mamelons éveillant son corps aux caresses s/m, l’un après l’autre les tétons furent pincés et étirés.

Rosy doucement déplaça sa langue dans le cou de sa nouvelle adepte et avec des baisers et des petits coups de langue graduellement visita le vallon des seins exhibés. Élodie maintenant suivait la cadence exigée par Rosy, lécher cette peau noire provoquait sur elle un effet aphrodisiaque qui annihilait toute répulsion.

Après une quinzaine de minutes de suçage et de morsures sur ses tétons Rosy remarqua un bref mouvement d’Élodie vers le bas. Rosy savait que ce ne serait pas long, cette petite salope allait lui brouter la chatte à volonté. Élodie ne réalisait pas encore mais sa langue naturellement prospectait pour plus de sueur que sécrétait le derme noir.

Guidé par ses narines elle savait où elle trouverait la crème des secrétions et sa bouche salivait d’anticipation pendant que sa chatte jutait de désir. Rosy savait dans quel état Élodie se trouvait et poussait son envie à son paroxysme. Elle la voulait enchaînée par un appétit démesuré pour la chatte et amenait sa petite chienne à un point de non-retour. Jamal profitait du laissé aller d’Élodie et s’apprêtait à lui crémer les entrailles. Quand il lui barbouilla l’intérieur d’une série de décharge Élodie fut prise de spasmes jouissifs.

Lisa entendit sa fille marmonner : « Hoooooooooooooooouuuuuiiii hummmmmm. » Élodie était vaincu analement maintenant elle rapporterait des sous car Rosy pourrait la louer aux membres du club. Avec le petit cul qu’elle avait c’était sûr que les plus membrés du club paieraient un prix fou pour glisser leur langue dans ce petit anus et le lubrifier afin de l’ouvrir pour leur énorme gland. Emportée par la jouissance Élodie était à cent lieues des ouvertures qu’elle venait d’offrir à sa maîtresse.

Rosy : «Qu’est-ce que ma petite chienne désire maintenant? » Élodie : «Houuuuummmm. » Rosy : « Supplie moi sinon tu vas t’en passer. » Élodie : « Grrrrrrrrrr, je veux goûter votre chatte maîtresse. »

Lisa n’en croyait pas ses oreilles mais viscéralement elle se rapprocha de la porte de chambre de sa fille. À peine entre-ouverte, l’embrasure lui permettait de voir les deux femmes enlacées dans un sulfureux 69. Elle resta estoquée quand elle vit le noir qui était enfoncé dans les petites fesses de sa fille

Lisa fut chagrinée de voir sa fille dans une liaison lesbienne mais malgré elle son corps s’attisa et elle fut incapable de détourner son regard. Était-ce de voir la langue de sa fille léchant cette grosse chatte baveuse ou l’énorme pieu noir qui lui déformait l’anus. Elle avait déjà vu une telle scène dans des films pornos mais là cela se passait chez elle et l’actrice principale était rien de moins que sa fille. Une forte odeur de sexe caressait ses narines, un pas maladroit fit craquer le plancher, Lisa reteint son souffle espérant que le bruit soit passé inaperçu. C’était sous-estimer le sens auditif de Rosy.

Rosy : « Bonne fille dorénavant tu vas avoir le privilège de manger ma chatte. » Élodie : « Merci maîtresse je vais être une bonne fille, promit. » Rosy : « D’accord mais tu vas devoir m’aider à soumettre ta mère. » Élodie : « S.V.P. Maîtresse pas ma mère, elle n’est pas comme moi, elle aime mon père et elle n’a jamais laissé supposer qu’elle aurait un penchant pour les femmes. » Rosy : « Toi tu n’étais pas intéressée aux femmes avant, maintenant n’adores-tu pas manger escort bayan ma chatte? – Tu vas voir un jour ta mère va me supplier pour prendre ta place entre mes cuisses mais ce jour-là elle devra accepter de lécher la tienne aussi. »

Un frisson traversa le corps de Lisa, cette femme l’exaspérait avec ses affirmations scabreuses et son assurance troublante. Agitée de voir sa fille contrainte à s’adonner à des plaisirs lesbiens avec cette femme, Lisa redescendit à la cuisine préparer le souper croyant à tort pouvoir se changer les idées. Lisa feignit d’ignorer sa fille et sa maitresse qui descendaient les marches d’escalier. Elle vit sa fille avancer avec difficulté et comprit quand elle vit Jamal 6′ 4” 240lbs suivre derrière, l’énorme forme qui déformait son pantalon expliquait l’horrible cri de sa fille et sa difficulté à marcher.

Lisa entendit l’adonis dire à sa fille qu’il reviendrait vendredi prochain pour une autre activité.

Élodie : « Merci monsieur. » Jamal lui administra une claque sur le cul avant de tourner le dos à sa mère pétrifiée et partit. Lisa était abasourdie devant la docilité de sa fille, elle fut prise par la peur que Rosy vienne lui parler. Les avoir vue en pleine action l’avaient troublée et connaissant les intentions de cette lesbienne elle aurait préféré garder ses distances.

Lisa voulait des explications car elle n’arrivait pas à comprendre comment sa fille avait pu faire l’amour oral avec une femme et en plus une noire. Un haut le cœur la rassura sur sa propre orientation sexuelle. Lisa : « Que faisiez-vous la haut avec ma fille et pourquoi cet homme était-il là avec vous autre? Je vous avertis j’ai porté plainte sur vos procédés auprès de la compagnie qui vous engage. » Lisa regarda sa fille et vit qu’elle portait un collier qui ne laissait plus aucun doute sur le type de relation qu’il y avait entre les deux femmes.

Rosy : « Votre fille est instable et présente un grand besoin d’encadrement et je suis formé pour satisfaire de tels besoins et comme elle avait tout ce qu’il faut pour recevoir l’enseignement Massaï, j’ai demandé à Jamal mon assistant de venir m’aider aujourd’hui. Nous préconisant ce traitement venu d’Afrique pour ses vertus gratifiantes et Jamal possède définitivement les outils nécessaires pour combler notre clientèle aussi bien féminines que masculines.

Lisa : « Oui mais. » Rosy : « Ne m’interrompez pas comme ça, c’est impoli. On m’a informé de votre plainte et on m’a recommandé de vous accorder une attention particulière mais je suis un peu débordée présentement et en attendant que je puisse vous aider personnellement et vous faire connaitre les bienfaits de notre enseignement, je vous ai emporté un livre pour vous renseigner sur les procédés inculqués par les Massaï. C’est facile de saisir la fonction de chaque chapitre et il y a de nombreuses images pour en encourager la pratique. Je suggères fortement que tu prennes connaissances d’un chapitre par jour et que tu m’envoies un commentaire par email tous les soirs après avoir pratiqué l’enseignement »

Lisa eu un tressaillement intérieur, l’assurance de cette femme était troublante. Ses sous- entendus la gênaient et involontairement son corps commença à réagir. Rougissante sentant la croissance de ses tétons, Lisa se retourna pour se soustraire à la vue de sa fille et de sa maîtresse mais aussitôt fait elle sentit une présence dans son dos suivit d’une main empoignant son sein gauche et lui pinçant le mamelon érigé. Rosy : « Super, j’aime ce que je viens d’entrevoir. Je suis sûr que tu es mûre pour un bon enseignement africain, quand ta fille ira mieux je vais te former à être une bonne fille. » Lisa : « Tu peux toujours rêver espèce de dépravée. » Lisa eu à peine le temps de terminer sa phrase que Rosy lui administra une puissante claque. Rosy : « Tu oublies que je détiens des photos de tes prouesses sexuelles, ce qui prouve bien que tu es comme ta fille et que tu as besoin d’être encadrée. Je suis sûr que si je montre ces photos à Mr. Brown et à ton mari ils vont surement trouver que tu as des impulsions immorales et est un mauvais exemple pour ta fille. Si je suggère que tu as besoin d’un bon encadrement, ils vont inévitablement être d’accord avec moi. »

Lisa : « S.V.P. Ne faites pas ça, je vous demande pardon si j’ai été impolie ou maladroite à votre endroit. » Rosy : « Bien je vois que tu peux être raisonnable, je suis impatiente de t’enseigner les bonnes manières mais ta fille demande beaucoup d’attention et de toute façon tu n’es pas encore prêtes pour ce que j’envisage pour toi. En attendant tu mets en pratique les conseils du livre et tu me rédigeras un commentaire tous les soirs sur ce que tu viens de faire et donneras ton appréciation des images inclus dans chaque chapitres. Maintenant, va chercher ton cellulaire. »

Lisa : « Pourquoi? »

Le regard de Rosy lui fit comprendre que la question était superflue. Lisa avait hâte de la voir s’éclipser, s’obstiner avec elle n’aurait pas été sage alors bien qu’autoritaire, elle céda à la demande. escort bayan gaziantep Ce ne fut qu’une formalité pour Rosy, en quelques minutes elle s’était enregistrée en tant que Maîtresse Rosy avec mention entre parenthèse (éducatrice de c.lisa ) le tout en tête de listes des contacts de Lisa. Cette liste fut copiée sur le cellulaire de Rosy. En moins de dix minutes Rosy lui remit son cell, la destinée de Lisa était scellée sans qu’elle s’en doute.

Rosy : « Bon avant que je parte voyant voir si tout marche comme il faut. » Lisa impatiente de la voir déguerpir regarda Rosy utiliser son propre cellulaire quand le sien se fit entendre. Son cœur manqua un battement, la sonnerie de son cell était rien de moins que le son synthétisé de l’orgasme fulgurant qu’elle s’était donné sur le bras du divan. Elle répondit à l’appelle afin d’arrêter la sonnerie. La photo de Rosy apparut sur le cell avec la mention appel de ta maîtresse. Ébranlé par la tournure des évènements Lisa fondit en larmes.

Toute la semaine qui suivit Lisa vit Rosy et sa fille s’isoler dans la chambre, soir après soir les mêmes chuchotements se faisaient entendre. Seul dans son lit Lisa devenait de plus en plus excitée par les montés de jouissance de sa fille.

Élodie : «Hoooooooooooooooooooo je viiiiiieeeens encoooooooooooore Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ooooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Ohhhh … euhh mon Dieu …ohhhh, Maîtresse…. ohhhh …. ooouuuuhhhh c’est bon. Oui … ohhh Dieu oui … ça fait du bien! »

Lentement mais surement Lisa succombait sous les plans pervers de Rosy. Au bout de deux jours Lisa se laissa sombrer dans les abysses du plaisir. Lisa soulevait son bassin à la recherche de la pénétration. Dans son ivresse elle s’ouvrait pour Rosy qui la main formant un tout pointu forçait l’ouverture de sa chatte. Lisa : « Oooooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vas yyyyyyyyy au foooooonnnnnnnnnnd. » Sa chatte bavait d’une crème blanche de plus en plus visqueuse facilitant le travail de Rosy. Lisa : « Hoooooooooooooooooooo Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. » Rosy tout en profitant de la langue experte d’Élodie appréciait les sons qui provenaient de la chambre de Lisa.

Le lendemain matin, Rosy prit un malin plaisir à humilier Lisa. Rosy : « Tu deviens une vrai salope comme ta fille, je t’ai entendu t’amuser hier soir, bientôt tu supplieras pour m’appartenir. » Lisa : « Pourquoi tu me fais ça? » Rosy : « Le regard haineux et hautain que tu as eu envers moi la première fois que tu es venue à la clinique à tout déclenché. Toute ta famille va en payer le prix maintenant. Tu as besoin d’être éduquée et que tu le veuilles ou non tu vas l’être, ta fille fais des progrès bientôt elle n’aura plus qu’un but dans la vie, me servir et honorer les chattes noires.

Toi aussi tu en viendras là et après on va amener ton mari à préférer les queues noires à la chatte. Qui sait peut-être qu’un jour qu’il bavera sur ton anus et sur la bite de Jamal afin que tu puisses te faire enculer sans trop de problème. Il est possible que je m’arrête là si tu es une bonne fille.»

Lisa baissa la tête embarrassée par cette déclaration mais surtout voulait cacher les larmes qui se formaient sur ses joues. Avant de refermer la porte derrière elle, Rosy lui releva le menton et l’obligea à soutenir son regard d’un geste rapide elle lui pinça les deux tétons, elle relâcha ses prises quand elle vit la supplication dans les yeux de la mère de famille. Après son départ Lisa resta accotée sur le cadre de porte le temps de digérer les deniers évènements.

Le son d’une femme en plein orgasme la ramena à la réalité. Lisa ne répondit pas mais baissa la sonnerie. Lisa était radicalement homophobe, elle avait mise sur le compte d’un débalancement hormonale les quelques pensées grivoises qu’elle avait eu envers Marie-Claude une amie d’enfance. C’est coupable qu’elle vécue ses premières jouissances sexuelles. Le sacrement du mariage fut le remède à ses égarements et Lisa se déculpabilisa en étant une bonne épouse. Voilà que sa fille et Rosy faisaient renaître l’abjection de ses dégoûtants désirs juvéniles.

Cette nuit-là Lisa n’arriva pas à dormir, enfin libéré de son image de femme vertueuse et nouvellement sous l’envoûtement de ses premiers vrais orgasmes grâce à une sexualité permissive, Lisa chercha une solution pour éviter ce gouffre pervers qui se dressait devant elle. Cinq fois cette semaine-là Lisa ignora les appels de Rosy, la conséquence arriva le jeudi quand Lisa reçu une lettre incluant une photo montrant les souillures qu’elle faisait subir au pauvre appuie-bras du divan.

Élodie en rentrant le soir trouva sa mère recroquevillée par terre avec une photo dans les mains. L’occasion était belle pour suivre les consignes de Rosy qui consistaient à médicamenter sa mère graduellement. Élodie guida sa mère à se mettre au lit, Lisa ouvrit la bouche et accepta le calmant et l’eau que lui donnait sa fille. Lisa : « C’est quoi cette pilule? » Élodie : « C’est un cachet contre l’anxiété que m’avait donné Rosy » En effet, Rosy lui avait fournie la benzodiazépine, c’est un médicament pour t’aider à réduire ta peur et faciliter ton sommeil avait dit Rosy. Pour Élodie, c’était grâce aux médicaments que Rosy lui avait donné qu’elle s’en était sortie. Comme l’avait dit Rosy : « Si tu vois qu’elle angoisse tu lui en donnes un autre. »

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La Saga du Cocu Chapitre 04

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Chloé m’a finalement quitté. Elle m’a annoncé un jour qu’elle ne voulait plus me voir et que c’était fini entre nous. C’était devenu évident depuis longtemps maintenant. Ça a quand même été dur à avaler. Avec Chloé je pensais bien avoir trouvé la bonne. J’ai été de surcroit, plus que compréhensif avec elle. Elle m’a trompé et humilié et je lui ai pardonné pour pensais-je pouvoir la garder. Rien n’y a fait. Elle m’a dit sèchement que je ne représente plus rien pour elle. Pourtant je sais que son aventure avec Souleymane était finie depuis quelques semaines maintenant. Il l’avait jeté, de manière assez brutale d’ailleurs. Comme il me l’avait joliment dit la première nuit, il voulait juste “se la faire parce qu’elle est trop bonne”.

Aurélie quant à elle, avait avoué son escapade à sa sœur. Elle avait très peu apprécié de se faire sauter devant tous ces types sur le chantier. Ce n’était pas son truc. Elle aussi reconnaissait que Souleymane était un super amant mais ne souhaitait pas être le coup d’une fois. Toutes les deux étaient tombées amoureuses de ce puissant black et étaient d’accord sur un point : il avait fait d’elles de vraies femmes.

Souleymane lui, continuait à me relancer régulièrement pour que j’assiste à ses parties de jambes en l’air. Il avait gardé un souvenir ému de sa première nuit avec Chloé et de m’avoir donné la leçon. Il voulait que cela se reproduise. Il me téléphonait souvent avec insistance. Je l’envoyais sur les roses à chaque fois, lui raccrochais même au nez. Mais il revenait à la charge, limite harcèlement. Un jour il s’est même présenté chez moi accompagné de Marion, une jeune fille brune aux yeux noisette envoutants. Elle aussi, totalement éprise de lui, prête à tout accepter. Cet homme est décidemment un séducteur hors pair. Ce soir-là il s’est tout simplement installé chez moi et après m’avoir humilié une nouvelle fois, a insisté pour que je sois témoin de ses exploits. Je raconterai peut-être plus en détail cet épisode.

J’étais jaloux et envieux. Je repensais à Mickaël qui m’avait dès le premier soir dit ce qu’il en était. Mais là, il faut reconnaître que Souleymane dépassait mes appréhensions les plus défaitistes. Il s’est constitué un harem de femmes toutes soumises à lui et surtout toutes plus belles les unes que les autres. Son succès auprès des filles est vraiment insupportable.

J’aurais tellement aimé moi aussi pouvoir donner tant de plaisir aux femmes. Pour autant, aucune de mes conquêtes ne m’avais jusque-là mis semblée déçue. J’ai bien conscience de ne pas être un amant à la hauteur de Souleymane. J’en tiens pour preuve le peu d’enthousiasme qu’avait Chloé lors de nos derniers ébats. Après qu’elle ait connue Souleymane. Et puis surtout après qu’elle l’est retrouvé après les vacances. Mais j’ai toujours assuré et n’ai jamais manqué de respect à aucune fille en la jetant après l’amour ou en la cocufiant.

Un soir, alors que j’avais le moral en berne j’ai cédé. J’ai dit oui à Souleymane. Oui pour assister à ses orgies, oui pour reconnaître ses talents, oui pour assouvir sa revanche sociale. Il en était ravi. Conscient de son talent il avait fait le tour de la question et avait découvert à mon insu, de nouvelles sensations. Le fait d’être observé pendant ses ébats l’excitait. Mais plus encore, le fait de faire subir le supplice de Candaule à un blanc docile.

Alors il a monté un incroyable numéro : Un de ses amis tenait une boîte black. Un dénommé Mouhamadou dans laquelle il organisait des parties à plusieurs en dehors de son ouverture. Le plan était de faire venir des filles pendant que je resterais à mater le spectacle derrière une baie vitrée sans teint depuis le bureau. Les filles ne sauraient même pas que j’étais là.

Ainsi, Je me suis retrouvé dans cette boîte. C’est lui qui avait planifié le rendez-vous. Il m’avait ordonné de ne pas être en retard. Dès l’entrée Souleymane me présenta Ousmane et Abdou. Deux archétypes du mâle africain : grands, baraqués, jean baggy couvrant à peine leurs caleçons, t-shirts moulants pour bayan escort gaziantep bien mettre en valeur des pectoraux saillants et chaines autour du cou et aux poignets. La véritable panoplie du bad boy. Ils me regardèrent avec mépris. Puis quand Souleymane leur annonça ce que je faisais là ils rigolèrent. Nous montâmes dans le fameux bureau à l’étage pour rejoindre Mouhamadou, le patron.

Mouhamadou était la copie conforme de Souleymane en plus vieux. Pas loin de quarante ans, crâne rasé comme Souleymane mais habillé plus classe avec une chemise et un pantalon à pinces. Comme Souleymane, il affichait une grande confiance en lui et comme Souleymane, il avait énormément de succès auprès de filles.

— Salut babtou. Me dit-il pour toute salutation. Comme ça tu es venu voir comment nous on s’occupe de vos femmes. T’as amené de quoi noter? Ajouta-t-il déclenchant l’hilarité des autres.

A côté de lui, se tenait Aminata. Une grande black super bien foutue. Son regard de feu me transperça tout de suite. Tout en me fixant, elle se leva et quitta le bureau comme dégoutée. Vraiment une très belle femme : une échancrure de bassin parfaite, des mensurations de top model, pantalon blanc moulant, talons hauts et chemisier ouvert laissant deviner des merveilles cachées.

Et ses yeux! Mon Dieu …

Souleymane et ses copains se retirèrent à leur tour.

— Profite du siège, il est très confortable, sers toi un verre, le bar est bien pourvu et amuses toi bien. me dit alors Mouhamadou avant de fermer la porte.

— Il y a des serviettes dans le tiroir du bas. N’en mets pas partout ricana Souleymane avant de le suivre.

Me voilà donc seul. J’observe brièvement les lieux. Je me dirige d’abord vers la fenêtre extérieure derrière le bureau. Ça donne sur la rue. On y voit la terrasse du bistrot d’en face ou ils ont donné rendez-vous aux filles. De l’autre côté, coté salle, un petit espace détente avec deux fauteuils autour d’une table basse. Quelques verres trainent négligemment. Au fond de la pièce, la fameuse baie vitrée. Un mur de verre couvrant toute la hauteur qui donne sur la salle principale située en contrebas. D’ici, on a une vue plongeante sur toute la salle de danse avec son bar, la piste, et les fauteuils. Souleymane avait raison, d’ici on voit tout. Seul l’espace situé sous le bureau m’est invisible. Depuis la salle, personne ne peut voir le bureau : la planque parfaite.

Les filles sont arrivées dans le bar d’en face comme prévu. D’abord, une blonde aux yeux bleus prénommée Flavie. Une grande sauterelle dans les 25 ans cheveux maintenus par une barrette, petit top noir nu d’épaules, bretelles de soutien-gorge apparentes, jupette plissée très courte et chaussures à talons ouvertes. Un beau petit lot. Bien qu’elle s’asseye à la terrasse, je ne suis pas encore sur qu’elle soit une invitée.

Aurélie et Chloé arrivèrent ensuite. Superbes! Toutes deux en minijupes et décolleté plutôt provocateur. Avant qu’elle ne me quitte, Chloé ne s’habillait plus que comme cela. Elle avait compris que cela rendait fou Souleymane et que s’était plus pratique pour faire la chose rapidement. Leurs présence ici me surpris un peu. Les deux frangines ensemble à un rencart avec Souleymane, après ce qu’elles m’avaient dit sur lui. Je ne comprenais pas. J’avais lâchement dénoncé Aurélie à sa sœur pour me venger pensant semer la discorde. Non seulement elles s’étaient déjà tout dit mais cette expérience les avaient rapprochées encore plus. Il reste que Souleymane et Chloé c’était fini. J’en étais resté là.

Une autre fille arriva ensuite. Une bombasse brune dont je sus plus tard qu’elle s’appelait Julie. Elle aussi terriblement sexy. Tee-shirt moulant blanc, jupette très courte. Hormis Chloé et Aurélie, les filles ne se connaissaient visiblement pas. Pourtant c’est évident : même profil, même tenue aguichante, même physique de rêve elles étaient là pour eux…

Mais comment diable Souleymane avait-il pu se montrer si persuasif? cim cif gaziantep escort Je réalisai sur le coup qu’il n’y était peut-être pas si innocent. Sa liaison avec Chloé était réellement terminée. Mais après avoir gouté une vigoureuse queue black, les blancs devaient paraitre désormais bien fades et je pense que c’est la promesse de cette nouvelle expérience avec des blacks qui avaient attiré les filles.

A la terrasse, les demoiselles ne passaient pas inaperçues. Des types passaient puis repassaient devant le bistrot et ce n’était pas pour boire un verre. Un groupe de jeunes gars tenta même d’engager la conversation, sans succès. Puis Souleymane, Mouhamadou et Ousmane sont arrivés à leur tour avec deux autres types que ne n’avait pas vus dans le bureau tous noirs africains. Après quelques minutes de palabres, surement les politesses d’usage, les quatre demoiselles les ont suivis à l’entrée de la boîte. Il fallait voir les yeux éberlués des dragueurs éconduits et des autres. L’apparition des mâles alpha leur avait cloué le bec. D’un coup ils restaient à l’écart. J’avoue que cette scène m’a beaucoup amusé. J’attendais la suite avec impatience.

Arrivés dans la salle, tout est allé très vite. Souleymane a tout de suite peloté Chloé et Ousmane s’est approché de Julie dont je compris qu’eux aussi se connaissaient déjà très bien. Quant à Mouhamadou, il avait manifestement prévu de s’occuper personnellement de la jeune Aurélie. Il s’entraîna dans un coin sombre de la salle, à l’écart du groupe derrière les canapés. Je les ais perdus de vue mais j’imagine sans difficultés ce à quoi ils se sont occupés.

Le spectacle commença très rapidement. Les filles savaient visiblement très bien ce qu’elles étaient venues chercher et ne voulaient pas perdre de temps. Ça avait lieu partout et en même temps. Les partenaires permutaient puis revenaient. Ousmane embrasse Julie passionnément avant qu’il n’attrape Flavie par la taille et l’embrasse à son tour. Après quelques secondes, Ousmane s’assit sur un fauteuil ou il fut rejoint par Flavie qui elle, prit place sur ses genoux. Confortablement installés, ils reprirent leurs embrassades. Je vis des mains noires courir sur ses longues jambes blanches avant que leurs langues ne se mélangent encore et encore.

Occupé à mater les deux du fauteuil, je n’avais pas vu que Chloé s’était éloignée de Souleymane pour se rapprocher d’Abdou et d’un autre type. Elle caressait le torse d’Abdou gentiment, du bout des doigts. Elle passa ses douces mains sous son tee shirt alternant sourires et roulage de pelles. L’autre type était agenouillé derrière elle et lui agaçait les jambes. Une main sur l’extérieur remontant des mollets jusqu’aux fesses, une autre sur l’intérieur navigant lentement jusqu’en terre promise. J’étais mal à l’aise, je repensais à nos moments intimes. On était maintenant à des années lumières de ça. Elle m’avait complètement évacué de son esprit mais je reconnais que j’en pinçais encore pour elle. Bien sûr, elle ne sait pas que je suis là. Mais j’espérais secrètement qu’un moment de lucidité l’aurait fait quitter cet endroit. J’aurais couru vers elle pour la retrouver sans hésiter.

Julie en était déjà plus loin. Elle avait commencé à faire une petite gâterie à Souleymane. Il fixa la pièce où je me trouvais me sachant en train de mater. Me cherchant du regard, il prenait vraiment son pied. C’est bien pour ça que j’étais là.

Les autres mecs qui étaient maintenant quatre s’étaient déshabillés et attendaient sagement leur tour en s’astiquant le manche. Tout se passait en même temps, je ne savais plus où donner de la tête.

L’autre type qui après avoir fait glisser le string de Chloé sur ses pieds, lui léchait maintenant la chatte accroupi entre ses jambes tandis que qu’Abdou avait enfoui sa tête dans son soutien-gorge. Chloé encore debout chemisier déboutonné poussait de petits cris très explicites signifiant qu’elle prenait beaucoup de plaisir à ce traitement.

Flavie cinsel bilgiler et Ousmane eux, pris dans leur élan avaient finis sur le sol. Je ne les distinguais plus totalement mais je devinais Ousmane en position du missionnaire sur Flavie jambes écartées. Elle aussi s’exprimait par des petits bruits manifestes.

Julie était de loin la plus salope des trois. Il fallait voir ses yeux pétiller lorsqu’après avoir avalé la première décharge de Souleymane elle se retourna et vit les quatre énormes queues blacks au garde à vous devant elle. Elle s’essuya alors la bouche et enfourna tour à tour les quatre engins. Même les mecs n’en revenaient pas! Sa motivation fut récompensée par un torrent de sperme sur les cheveux, le visage et son petit top noir.

C’est une véritable partouze à laquelle j’assistais! Digne des meilleurs films pornos. Ce salaud de Souleymane ne m’avait pas menti sur la qualité du spectacle.

Encore vêtue de son soutien-gorge, qu’elle n’avait pas retiré tant il lui faisait une poitrine voluptueuse, Chloé se faisait maintenant prendre en levrette par Abdou. Pliée en deux et la bouche bien occupée à limer l’autre type. Ma petite chérie (enfin …ex) était aux anges. La performance des deux blacks n’avait rien à voir avec ce que je pouvais lui offrir. J’y étais maintenant définitivement résigné. Ce type aux épaules larges et aux bras démesurés et cet autre aux impressionnantes tablettes de chocolat qui la prennent comme des machines. Non décidemment, rien à voir.

J’avais découvert depuis que Chloé m’avais trompée avec Souleymane, la supériorité des hommes noirs, l’attirance et la convoitise qu’ils provoquent sur les femmes blanches.

Outre la taille phénoménale de leurs attributs, la rapidité de récupération de Souleymane et ses copains me sidérait. A peine laissèrent ils le temps à Julie de finir de se déshabiller qu’ils la prirent à cinq ensemble.

Je ne la distinguais quasiment plus. Un pieu dans la chatte, un autre dans l’anus un troisième dans la bouche et un dans chaque main.

Incroyable! Un pur gang bang! J’en avais entendu parler mais de le voir c’est encore autre chose.

Le contraste des femmes blanches, de leur blondeur, de leur peau si claire avec ces hommes noirs à la peau d’ébène rendait la scène absolument magnifique.

C’est le moment que choisit Aurélie pour se rappeler à mon souvenir. J’entendis son orgasme depuis le bureau. Bravo Mouhamadou! Lui aussi était en train d’honorer sa partenaire de manière plus que convenable. Cela eut pour effet de déclencher aussitôt ceux des autres filles. Les hurlements conjugués des quatre femmes achevaient de donner une ambiance surréaliste. Elles étaient toutes en état d’extase.

Tout cela commençait vraiment à faire beaucoup. J’étais moi aussi très excité, je me surpris la main à la braguette me frottant le zob. Mais je repris mes esprits et décida de partir. Voir ces filles de bonne famille magnifiques s’offrir à ces types des bas quartiers et surtout y prendre un réel plaisir me dégoutait finalement. J’ai bien compris le message maintenant et trop c’est trop. Je décidai de partir.

Au moment où je me dirigeais vers la porte, Aminata entra. Nous tombâmes nez à nez.

— Où vas-tu comme ça chéri? me dit-elle en me regardant doit dans les yeux.

Je restai sans voix. Je ne m’attendais pas à tomber sur elle. Il me fallut plusieurs secondes pour réagir fusillé par son regard. Je réalisai que bizarrement il ne manquait plus qu’elle dans la salle.

Elle me repoussa dans la pièce puis ferma la porte derrière elle. Me contourna, jeta un œil sur ce qui se passait dans la salle. Elle hocha la tête en signe de négation et j’entendis un soupir.

— Tu es là pour mater le gang bang me dit-elle avec son accent africain. Ça te fait bander ce genre de truc?

Je lui répondis que je n’étais pas vraiment à l’aise et que j’étais sur le point de partir. Elle s’approcha alors de moi jusqu’à me coller.

— Je vois ça me dit-elle alors en posant sa main directement sur ma braguette.

J’étais vraiment scotché par son regard. Son visage si proche et son odeur si envoutante finissaient de me conquérir.

— Moi ça m’excite terriblement me dit-elle maintenant collée à moi.

Je sentais ses seins s’aplatir contre mon torse et ses mains se balader dans mon dos. Elle m’attrapa les cheveux derrière la tête et m’embrassa fougueusement.

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Histoire Africaine 07

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Anal

Paul vous raconte la détérioration de leur vie dans ce coin d’Afrique.

Les troubles ont éclaté quelques jours auparavant, ils se propagent beaucoup plus vite que prévu, si bien qu’ils se retrouvent piégés à la villa, ayant appris que la route de la capitale est coupée. Tous les serviteurs ont disparu, sauf le fidèle Diouf. Anne est en transes, et moi-même, j’avoue que je ne sais que faire. La radio ne répond plus.

Vers le milieu de l’après-midi, nous entendons des bruits de véhicules. Diouf va au-devant des émeutiers pour tenter de les amadouer, mais nous entendons une rafale, ainsi que des cris et des rires.

Nous nous précipitons à l’arrière du bâtiment, nous tentons de prendre la fuite à travers la forêt, c’est évidemment ridicule, car nous sommes rejoints très rapidement par un groupe de jeunes hommes excités et ivres et ramenés de force dans la villa.

Très rapidement, il est clair qu’Anne va y passer.

Ces hommes l’ont attrapée, ils se la poussent de l’un à l’autre en la pelotant copieusement, en la dépouillant de ses vêtements, à grand renfort de cris et de rires. J’essaie bien un geste pour la défendre, cependant un coup violent m’est asséné, je perds connaissance.

J’ignore combien de temps après, que je reviens à moi, la nuit est déjà tombée, je m’aperçois que le salon a été dévasté. J’entends des cris? Je comprends avec horreur que ce sont ceux d’Anne, qui proviennent de l’étage.

Mes mains sont liées derrière mon dos, quand ils se rendent compte que je suis réveillé, deux gamins, très jeunes, portant chacun une Kalachnikov, appellent quelqu’un à l’étage. Les cris d’Anne cessent, alors j’entends une cavalcade dans l’escalier.

Celui qui semble être le chef apparaît, je me dis que ma dernière heure à sonner. Les gamins sont excités comme des bêtes et on voit qu’ils n’ont qu’une envie, me descendre, voire me torturer.

Le chef dit quelque chose, tous se mettent à rire.

Les deux gamins sortent leur sexe de leur pantalon et urinent sur moi, ce qui provoque de nouveaux éclats de rire. J’essaie de parlementer avec eux, leur promet de l’argent, s’ils nous laissent partir, cependant le chef me réplique dans un très mauvais français qu’ils ont déjà trouvé mon argent, nos bijoux, tout ce qu’ils veulent, même ma femme. Tout leur appartient déjà.

Il donne à nouveau des ordres, ses sbires font descendre Anne de l’étage. Elle est maintenant nue, je vois qu’elle porte des traces de griffures sur le dos et les fesses, que ces cheveux semblent coller sur son visage. Son rimmel a coulé, emporté par les larmes, mais je comprends surtout que ses cheveux collent à cause du sperme qu’elle a sur le visage.

Je proteste faiblement, cela me vaut un coup de pied dans le bas-ventre qui me plie en deux. Je reste par terre, face à eux, je peux voir ce qui se passe. En me fixant avec un air de triomphe et de défi, le chef donne un ordre, Anne est poussée sur le dossier d’un fauteuil bas, elle est maintenue courbée, la croupe offerte. Le chef baisse son pantalon, son sexe est au-delà de tout ce que j’ai pu imaginer.

Il attrape mon épouse par les hanches, la pénètre. Elle émet un cri rauque, suivi de gémissements à mesure qu’il va et vient entre elle. Les hommes battent des mains pour marquer la cadence. Je me retrouve dans une autre dimension, en plein enfer. Anne gémit, pleure tour à tour. Le rythme des coups de reins s’accélère et c’est dans un tonnerre d’applaudissements que le chef éjacule dans le vagin de mon épouse.

Il se retire en me jetant un regard triomphant, je ne peux m’empêcher de constater que son sexe reste érigé. Pour fêter cela et contribuer à la liesse générale, un autre insurgé me pisse dessus, je me reprends un ou deux coups de pieds qui me font saigner la lèvre inférieure. Les joyeux drilles se mettent à la recherche de nourriture et de boisson. Mon Anne n’ose pas me regarder. Elle est de toute évidence épuisée.

Je suis emmené une grange, elle a été vidée de ses occupants pendant que j’étais inconscient. Je suis jeté dans une cage qui a servi à véhiculer des chiens. On m’attache à un anneau et on me laisse là le reste de la nuit. Je ne peux dormir, car les mutins font un vacarme épouvantable. De temps à autre, il me semble entendre Anne crier ou supplier. Je me demande si nous verrons le bout de la nuit.

Le jour naissant me trouve toujours en vie.

Attaché dans ma cage comme un animal. Je souffre de partout. Je ne peux me tenir debout, j’ai juste assez de place pour changer de côté ou me mettre à quatre pattes. Je pue, car les émeutiers m’ont pissé dessus, moi-même, j’ai dû uriner en dirigeant le jet vers l’extérieur, hors une partie est retombée dans la ateşli gaziantep escort cage.

Le calme règne? J’imagine que tout le monde cuve.

J’ai faim et soif. Inutile de songer à m’évader, la grille métallique de ma cage est solide. La vie revient peu à peu dans la villa, qui n’est pas loin de la grange. Des cris et des rires recommencent à fuser, cependant je n’entends plus mon épouse. Était-elle encore en vie?

Une journée et une nuit se passent sans qu’on vienne me chercher. Je me dis qu’ils vont me laisser crever de faim et de soif.

Le surlendemain du jour où tout a basculé dans l’horreur. Je vois apparaître les deux adolescents dans la grange. Je crois à nouveau à la fin. Ils me font signe de me déshabiller, en me menaçant de leurs armes.

Je m’exécute. Ils ont amené un tuyau d’arrosage, ils m’aspergent longuement en rigolant. Dans un sens, cela est bienvenu.

Comme je crève de soif, je recueille le peu d’eau que je peux pour la boire. Ils ouvrent la cage dans laquelle je croupis maintenant depuis deux jours.

Je suis amené dans le salon, je dois y entrer à quatre pattes, nu comme un ver, sous les quolibets des deux gamins ainsi qu’une demi-douzaine de soûlards en armes.

Le chef est assis dans le fauteuil que j’occupe habituellement. Ma femme est allongée à ses pieds. Elle porte une nuisette noire et des bas auto-fixant qu’ils ont dû trouver en fouillant sa garde-robe.

Elle me jette un regard plein d’embarras et de honte. Elle a les yeux cernés, elle est maquillée outrageusement, comme une fille de bar.

On me jette du pain par terre, malgré ma honte, je ne peux m’empêcher de me jeter dessus.

Puis le chef attire la tête de ma femme vers son entrejambe. Sans discuter, elle se met à genoux devant le fauteuil, ouvre le pantalon de son nouveau maître, elle entreprend de sucer son énorme sexe noir. Elle alterne les mouvements cours et rapides, avec des séquences plus longues et plus profondes. On entend alors les bruits de succion et les haut-le-cœur qu’elle a lorsque le gland de l’homme noir touche le fond de sa gorge.

Il était évident qu’elle le suce divinement, elle a été probablement entraînée à la dure. Elle a dû recevoir des coups lorsque sa fellation n’était pas parfaite. Les gamins font des commentaires et tout le monde, y compris le chef, se mettent à rire en me regardant.

Je comprends que ce qu’ils regardent en fait, c’est mon kiki. Bien que beaucoup plus petit que celui de leur chef, il est en érection. Je n’ai pas réalisé que la vue de mon épouse ne train de sucer un grand noir bien raide me fait bander. Mon épouse et moi nous sommes donc complètement à la merci de ces rebelles, je ne vois pas ce qui peut nous sauver.

Je suis reconduit dans ma cage, on m’y laisse croupir là-bas pendant un temps infini. Je n’ai aucune nouvelles de l’extérieur, de temps en temps, quelqu’un pense à moi. On vient m’arroser avec un tuyau d’arrosage, parfois, on me donne un peu de bouillie de manioc ou des os à ronger comme un chien.

Plusieurs fois, on m’emmène dans la salle à manger. Il est évident qu’on me garde en vie que pour m’humilier devant les soudards et devant ma femme.

La seconde fois qu’on me ramène en présence de ma femme, elle se trouve sur la table, le chef finit de la baiser. Il la tire en bas de la table, elle tombe à genoux, le chef fait un signe, alors deux soldats s’emparent d’elle. Ainsi, il l’offre également à ses hommes!

Elle se met à quatre pattes automatiquement, un d’entre eux la prend en levrette, tandis que l’autre lui fourre son sexe dans la bouche. Je me rends compte qu’elle semble droguée.

Elle ne pleure plus, ne se débat plus. Elle s’active docilement à sucer le sexe du soldat, tout en remuant les hanches pour aller au devant de celui qui la pilonne.

Le chef me crie :

– Elle est très bonne ta femme!

Un des soldats ajoute dans un éclat de rire en me montrant du doigt.

– Elle baise sûrement mieux que son chien de mari!

Tous rirent aux éclats. Il est vrai qu’à force de rester dans cette cage, je ne sais plus me mettre debout, que je bois et mange à quatre pattes dans une gamelle de chien. Ma petite queue est visible de tous, elle ne manque jamais de les amuser quand elle se redresse à la vue de ma femme se faisant baiser.

La troisième fois que je suis convié au spectacle, Anne est dans sa tenue la plus sexy, avec porte-jarretelles et hauts-talons, bas et gants noirs, maquillée comme une pute à marins. Elle a l’air complètement défoncée. Elle rit en me voyant arriver à quatre pattes.

Elle se dirige vers le chef et lui susurre d’un bakımlı gaziantep escort air langoureux. – Broko, saute-moi?

Il sourit d’un air mauvais, il lui fait un signe de la tête, elle se met à genoux, elle est plus sexy que jamais, alors lui fait une fellation de première.

– Vois ce que j’ai fait d’une blanche?

Me dit le chef dans un rictus.

Il se retourne ensuite, tend ses fesses à Anne. A ma plus grande stupeur, il écarte ses fesses, il se penche en avant. Ma femme se met à lécher son anus. Mon épouse, une des femmes les plus chics de la colonie européenne, est en train de lécher le trou du cul d’un nègre. Il la repousse et vient vers moi, se retourne, il me tend également son postérieur.

– A ton tour chien!

Je refuse bien sûr, il m’envoie une gifle du tonnerre. Je refuse malgré tout, je cherche à me relever, alors deux malabars me plaquent par terre. Ma femme est amenée au chef et courbée sur la table. Il la reprend par-derrière. Les deux sbires me traînent derrière lui, ils me brûlent avec leur cigarette. Je pousse un cri de douleur. Ma tête est poussée contre les fesses noires du chef.

Vaincu, je sors ma langue, je lui lèche les fesses, il grogne, mécontent. Cela ne lui suffit donc pas, je dois pointer le bout de ma langue jusque sur sa rondelle, je pousse encore afin de la faire entrer un peu dans son anus. L’odeur est âcre. J’étouffe à moitié, car il besogne ma femme et ses fesses bougent violemment, je tâche de me maintenir en équilibre, avec mes mains, je saisis les mollets de ma femme.

Je sens la douceur du nylon de ses bas, je perçois qu’elle est maintenant en train de jouir tandis que la grosse queue du chef la pistonne. Elle pousse à présent des cris comme elle ne l’a jamais fait avec moi.

Je ne peux que constater que je suis terriblement excité au toucher de ses jambes gainées de nylon, à la proximité du gros sexe du noir. J’en arrive à souhaiter qu’il la fasse exploser de jouissance, je me sens complètement soumis, c’est pourquoi je n’oppose aucune résistance lorsqu’il se retourne et qu’il m’enfourne son sexe dans la bouche.

Celui-ci dégouline de la cyprine de mon épouse. Il me pénètre la bouche jusqu’à la gorge, je n’essaie pas de résister comme un homme. Au contraire, le fait de penser que cette grosse queue vient de faire jouir ma femme me rend fou, c’est servilement que ma bouche et ma langue s’activent pour mener notre chef à la jouissance.

Celle-ci ne tarde point, je sens un jet chaud se répandre dans ma bouche. J’ai honte à l’avouer, car je garde son sperme en bouche, je le savoure de la langue avant de l’avaler par petites gorgées. Plus personne ne rit. Je crois que mes geôliers eux-mêmes sont consternés de voir avec quelle bassesse je me suis laissé dominer.

Ma femme, apparemment excitée par ce qu’elle vient de voir, se jette au cou de son amant. Elle l’embrasse goulûment tout en caressant son énorme bite, qui ne donne même pas des signes de faiblesse. Vaincu et humilié, je suis attaché avec la laisse et le collier du chien et traîné dans ma cage, toujours à quatre pattes.

Le manque de nourriture, d’eau, l’emprisonnement nu dans une cage, réduis à la condition animale et le traitement brutal que je subis, ça a cassé ma virilité de mâle.

L’anarchie semble s’être installée de façon permanente dans la région. Les secours n’arrivent pas. Quand j’entends le bruit d’un avion, je tends l’oreille, quand je le peux, je sors pour voir s’il ne lâche pas des parachutistes qui viendraient à notre secours, mais rien.

Notre villa est devenue le bordel des rebelles. Ma femme y est exhibée en permanence. Elle est constamment utilisée.

Le chef s’est rendu compte du profit qu’il peut en tirer, les chefs rebelles de passage, après avoir acquitté leur dû, peuvent monter à l’étage avec Anne. Parfois, ils ne se donnent pas cette peine, ils la prennent devant tout le monde, dans le vaste séjour qui est maintenant devenu un bar.

Ma femme, souvent en porte-jarretelles ou guêpière, est prise à même le sol, à quatre pattes, ou alors, poussée sur une table, retroussée, elle est possédée à grands coups de sexes noirs dans n’importe quel trou.

Quand elle n’a pas de clients, elle se tient fréquemment agenouillée entre les jambes du nouveau maître de ma maison, qui de temps en temps l’empoigne par sa chevelure et lui fourre la tête dans son entrejambe.

Elle ouvre alors docilement la braguette de son maître noir, elle en extrait le sexe énorme, même au repos, rendait jaloux n’importe quel européen.

Pour ma part, je suis toujours excité de la voir ainsi traitée, l’humiliation bayan escort d’être cocufié en public tous les jours me procure un plaisir de plus en plus grand.

Plaisir intellectuel, toutefois, car concrètement, je me rends compte que mes érections sont de moins en moins fortes, comme si les démonstrations de virilité africaine, les profanations à répétition de mon épouse par ces sexes noirs à la dureté de roc et à la taille démesurée, me font perdre peu à peu mon statut de mâle.

Je me rends compte que je ne parviendrai plus jamais à la faire chavirer de jouissance Anne comme ces noirs le font. Je l’entends proférer des obscénités qui l’auraient fait rougir avant la rébellion. Des : – Baise-moi, je suis ta salope? Ou des : – Mets-moi ta grosse queue bien dure? Qu’elle exprime d’une voix haletante, comme si son mari n’avait jamais existé.

Par ailleurs, elle est souvent débordée, car les clients se succèdent à un rythme effréné, ils s’impatientent dans la file. Une autre pauvre femme a été amenée aussi, mais elle a fini par rendre l’âme, épuisée par les mauvais traitements.

Une fois, l’attente se fait trop longue, deux clients s’énervent, ils me voient accroupi dans un coin, la laisse au cou, attaché à un meuble, ils se précipitèrent sur moi. Je m’attends à être lynché, hors leurs intentions sont toutes autres.

Tandis que l’un d’eux me maintient, à quatre pattes, la tête coincée entre ses cuisses. L’autre m’enduit l’anus d’un liquide poisseux? Je crois que c’est de l’huile de cuisine, puis, je sens une pression contre mon orifice. Avec effroi, je me dis que ce monstre va m’enculer. En effet, le passage de son gland me cause une telle douleur que je suis sur le point de m’évanouir.

Néanmoins, malgré mon cri de douleur, le colosse noir poursuit sa poussée. Alors, je sens mon sphincter s’écarter et la progression du bâton de chair se poursuit dans mon boyau. Quand il a atteint une pénétration maximale, tellement profonde que j’ai l’impression d’être constipé, il commence un va et vient qui me fait défaillir de douleur.

Insensible à mes cris, peut-être même excité par eux, il poursuit son investissement de mon rectum. C’est incroyablement douloureux, cette déchéance me cause un plaisir malsain qui me transforme à mon insu en une femelle en chaleur.

Je comprends la réaction de ma femme, et sa rapide transformation en une chienne lubrique. Je ressens le même processus se dérouler en moi.

Je suis épouvanté quand je sens son sperme se répandre dans mon ventre. Je pense bien sûr au risque, mais au point où j’en suis, je ne sais pas si je ne serais pas liquidé d’une rafale de mitraillette le lendemain.

Lorsque le deuxième noir prend la place du premier, il n’est plus nécessaire de me tenir.

Je me laisse faire, je tends même mon fessier au mâle puissant qui me pénètre. J’accompagne le mouvement, cambre les reins, je m’empale sur l’énorme sexe. Je me donne pour rester en vie, je veux vivre, je ferais n’importe quoi pour rester en vie.

Je suis honteux de moi, je ne résiste pas au plaisir que me procure ma posture dégradante.

Les nègres autour de moi semblent stupéfaits. On comprend qu’ils se demandent comment un homme peut se comporter aussi abjectement.

Quand tout cela est fini, je suis apostrophé par Anne, qui a été mise au courant de l’événement. Elle me traite de lopette, elle me dit qu’elle comprend maintenant pourquoi je ne lui avais jamais donné autant de plaisir que son nouveau maître.

Je baisse les yeux devant l’affront.

Elle poursuit, elle me dit que puisque je suis aussi doué pour faire la femelle, elle va m’y aider. Je la soulagerais ainsi d’une partie de sa charge qui, malgré sa lubricité, devient épuisante pour elle, face à tous ces hommes.

C’est ainsi qu’elle m’apprend à me maquiller, tandis que les rebelles trouvent dans d’autres maisons abandonnées des vêtements et sous-vêtements féminins à ma taille.

A partir de ce jour, je ne quitte plus mon aspect de femme. Je fais une certaine concurrence à Anne, car, si je suis évidemment infiniment moins féminine et moins belle qu’elle. Les noirs apprécient de pouvoir dominer un homme blanc féminisé.

De mon côté, mon anus totalement distendu me fait maintenant moins souffrir, je peux au contraire me concentrer sur le plaisir d’être sodomisé par ces énormes queues.

Je découvre aussi le plaisir de la séduction féminine.

De plus en plus à l’aise dans mes sous-vêtements, sur mes hauts-talons, je me prends à balancer ma démarche, à dandiner du cul pour plaire aux hommes. Je suis également apprécié pour mes fellations expertes, pour lesquelles mon expérience d’ex-homme m’est utile.

Parfois, je me fais prendre par deux hommes à la fois, j’apprécie ces grosses queues qui s’activent simultanément au fond de ma gorge et de mon cul. Enfin, mes propos sont devenus plus infâmes que ceux de ma putain d’épouse. Je supplie mes maîtres noirs de me défoncer, de me traiter comme une grosse cochonne blanche, de me faire connaître la loi de leurs sexes de maîtres.

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Amalia me Présente à son Frère

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Amateur

le retour vers la métropole fut tranquille.

Amalia m’avait autorisée à enlever mes percings au sexe et au nez pour ne pas avoir de problèmes au passage des portiques.

La tenue que je portais était également plus discrète que celles qu’elle m’imposait d’habitude.

Seule son attitude possessive envers moi attirait les regards..Un couple féminin interracial se tenant par la main…celà semblait choquer certains et en exciter d’autres.

Toutefois, pendant le voyage, Amalia m’avait longuement parlé du type de relation qu’elle envisageait avec moi,et qui se résumait rn deux mots…soumission totale.

Pour être honnète, elle me laissait le choix : « si à l’arrivée tu prends tes bagages et que tu pars de ton côté, je ne t’en voudrais pas…mais si tu restes, ça voudra dire que tu acceptes le style de vie que je te propose…étre une femelle soumise…tu as tout levoyage pour réfléchir »

Mes pensées pendant le long vol furent complexes…un mélange de honte, de peur, de désir d’experiences nouvelles que je devinais extrèmes…!

A l’arrivée, après avoir récupéré nos bagages, Amalia se tourna vers moi « alors? »

« je reste avec vous… » Ma voix tremblait antep escort un peu, mais je sentais au creux de mon estomac un frémissement d’excitation honteuse.

« Très bien…vient avec moi dans les toilettes…on commence immédiatement ta nouvelle vie »

Une fois entrées toutes les deux dans les toilettes, Amalia me fit mettre nue et reposa sur mes petites lèvres pendantes le cadenas à sa marque, puis l’anneau de mon nez.

« quand nous serons chez mon frère, je te poserais des anneaux aux seins aussi.. »

Je me retrouvais de nouveau « habillée » d’un boubou poncho qui vouvrait le devant et l’arrière de mon corps, mais laissait largemenr deviner par les cotés que j’étais nue dessous.

« voilà…là tu es prête a être présentée à mon frère…ne le faisons pas attendre »

En traversant le hall de l’aeroport, je sentais les regards sur moi, sur mes seins lourds qui se balançaient sous le fin tissu, sur l’anneau de mon nez. Je sentais le poids du cadenas qui tirait sur mes lèvres..

A la sortie, un black de grande taille nous fit de grands signes .

Le frère d’Amalia lui ressemblait énormement…même regard araban escort dur ..même charme auroritaire dans la voix.

Après avoir serrée sa soeur dans ses bras, il se tourna vers moi…

« voilà la fameuse Vulva la blanche dont tu m’as tant parlé dans tes messages…!elle me semble superbe…je vois que tu as commencé à l’anneler au nez..ça lui va très bien…tu lui a fais les sein aussi? »

« non pas encore, je pensais le faire chez toi..mais j’ai commencé à travailler sur sa chatte..tu verras c’est assez extraordinaire!

Amalia pris place devant à coté de son frére, moi sur la banquette arrière.

Ils parlaient de moi…en termes animaliers…j’entendais les mots de mamelles dressage…marquage…

En acceptant de rester avec Amalia, je pensais savoir ce qui m’attendait…mais l’arrivée à la propriété de son frère me fit découvrir un monde de doumission que je n’imaginais pas.

C’etait une grande maison isolée, cachée de la route par un grand mur doublé d’un haie impénétrable.

Je vis ce que je pensais étre une carrière pour l’équitation le long du chemin menant à la maison..

« vous avez arap escort des chevaux? »

A ma question ils se mirent à rire tous les deux..

« non ..pas vraiment…on verra ça dans les jours qui viennent »

Il m’avait pourtant semblé voir un petit sulki et une calèche taille poney le long de le cloture..

A peine entrés dans la maison, Amalia m’ordonna : « mets toi nue »…

J’hésitais un peu…

« il va faloir travailler l’obeissance avant fe commencer le dressage »

Je finis par obéir et me retrouvais nue en pleine lumière au milieu de l’entrée..

A la vision de mon sexe lisse aux lèvres étirées par le cadenas, au clitoris apparent, le frère d’Amalia émis un sifflement d’admiration…

« magnifique…ça va être un grand plaisir de dresser une femelle si superbe..fait la courir un peu dans le couloir que je vois comment elle bouge »

Amalia me claqua vigoureusement les fesses si bien que je me mis à courir en rond dans la vaste entrée…

Les mots du frère blessèrent mes oreilles…

« superbe balancement de mamelles et de croupe..et ça sera encore plus joli quand elle aura les pointes ornées et le cul garni…tu me donne combien de temps pour en faire une jument de concours? »

« je peux te la laisser 15 jours, le temps de me réinstaller dans ma maison…et j’éspère qu’on pourra organiser une belle fête de famille pour mon retour, avec Vulva en vedette..je peux rester deux jours pour la percer et la marquer »

A SUIVRE

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İlk deneyim…

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Ben lise 2 ye giden Mert adında bir gencim. Olay iki ay önce gerçekleşti. Sınıfımızda Çağnur adında çok güzel bir kız var. Neredeyse hergün eteğini biraz daha kısaltıp okula geliyor benimde gözüm her derste ona kayıyordu. Birgün 3. derste yani fizik dersindeydik arka çaprazımda oturuyordu ve resmen altını açmış bana bak diyordu. Benimde gözüm ona kaydı ve gülümsediğini gördüm bende ona gülümsedim. adıyaman escort Altını biraz daha açtı ve bende onun o güzel bacaklarını ve aradan donunu gördüm. Çok azmıştım şeyim pantalonumdan dışarı fırlayacak gibiydi. O dersin sonuna kadar kendimi zor tuttum. Teneffüs zili çaldı, bana doğru yürümeye başladı ve öğle tenefüsünde fastfood da ol dedi. Bende akkent escort büyük bir heyecanla öğle tenefüsünü bekledim.Hemen onu soymaya başladımNeyse öğle tenefüsü oldu fastfooda çıktım orada beni bekliyordu bana istiyormusun diye sordu bende evet dedim. Birlikte hemencecik fastfood daki erkekler tuvaletine girdik şanlıydık ki kimse yoktu. Hemen onu soymaya başladım, gaziantep anal yapan escort oda pantalonumu indirdi ve o sıcacık ağzına şeyimi aldı. Kendimi çok zor tutuyordum ve onu sikmek istediğimi söyledim bana bakireyim olmaz dedi bende birşey olmayacağını çok zevk alacağını söyledim ve sonunda kabul ettirdim. Şeyimi o daracık amına soktum ve zarını deldim.Ondan bir inleme yükseldi ve canının acıdığını söyledi bende çok zevklenmistim kendimi tutamadım daha da köklemeye başladım. Amından kanlar geliyordu sonunda o da zevk almaya başladı ve tenefüsün sonuna kadar seviştik. Hayatımdaki ilk deneyimimdi acaip zevk almıştım. Sonra Çağnur`la bizim evde tekrar seviştik ve hala da sevişiyoruz…Gönderen: CrAzY

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Quickie: Sleep with Me Tonight

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Fleshlight

All characters over the age of eighteen.

*****

The rain came down in a torrent, lightning filled the night sky and thunder rumbled the old house. Elizabeth Dearborn was in a tizzy and couldn’t sleep, her mind was racing in fear and her body was so tense, she couldn’t relax. It didn’t help that her husband was away on business for the week, four days since she’d had any release except for her toys, but they were not a real substitute for a man.

As thoughts of being fucked by her husband drifted through her mind his face morphed into a series of men she’d had idle fantasies about. Gasping, her eyes flew open when the last had been Eric. The delicious tingle between her legs and her suddenly taut nipples gave her an idea and she jumped out of bed before doubt could creep into her mind.

Letting the cotton pajama bottoms and top fall to the floor, she rummaged through her drawer completely naked. Lightning flashed again and she caught a glimpse of her sexy figure in the mirror: large, round breasts capped by puffy nipples that were stiff at the moment, her smooth, tight tummy and her cute ass her husband loved to grab. Her wavy, auburn hair cascaded around her smooth neck and pretty face. For a split second she wondered if she should bother putting anything on at all, but then she shook her head and continued her search.

A moment later she found what she was looking for and put it on: a cream colored short baby doll nighty that barely covered her neatly trimmed bush. The round cheeks of her ass were only half covered. Pirouetting in the mirror, she smiled devilishly and then left her bedroom and made her way down the hall.

There was light coming from under Eric’s door. Her eighteen year old son wasn’t asleep either it seemed. Without knocking, she opened his door and stepped inside. Eric jumped at the sudden appearance of his mother, tossing something over the far side of the bed. He yanked the sheets up quickly, but it didn’t hide the bulge that made an obvious tent between his legs.

Inwardly Beth smiled, catching him masturbating was a welcome surprise. The look of terror on his face would play into her plan nicely as well.

“Oh darling, is the storm scaring you too?” She said sweetly, her voice full of concern.

“Uh, yeah,” Eric answered with a stutter. “Yeah, the storm’s doing a real number, huh?”

“It sure is,” Beth agreed, using her voice to sound frail. “Why don’t you sleep with me tonight?”

“Okay,” Eric agreed and she beamed a smile at him. She stepped fully into his room so that he could see her in her lingerie. His eyes got big and he swallowed hard. Stealing a glance, she caught the tent in his sheet twitch.

“C’mon baby, hurry up! Come to bed with me.”

Elizabeth grabbed at the sheet and pulled it off of him. Eric lunged for his boxers at his ankles and yanked them up, trying not to flash his mother. She smiled at her handsome son, so toned and full of youthful strength. She pretended not to notice his raging erection, but it was at the center of her mind. The lump of flesh between his legs pressed outward against the boxers presenting such an enticing sight to her that her pussy began to flutter with desire.

“Hurry up!” she demanded, bouncing in impatience, causing her breasts to jiggle beneath the filmy top she wore. Eric swallowed hard again and when he was finally moving towards her she turned around and led the way to her bedroom. She hoped that her son was taking a good look at her ass on full display for his pleasure, so much so that she imagined it was glowing with heat.

As they entered the master suite another flash of lightning filled the sky and a deep crack of thunder startled Elizabeth. With a cry she jumped into her son’s arms, squishing her full breasts into his chest. His arms wrapped around her and he held her close. Beth felt his iron hard cock pressing into her tummy and she flung her arms around him to keep him from pulling away too quickly.

The lightning faded and they were plunged into near darkness, the only sound was of their breathing and the driving rain on the window. She enjoyed the feel of him so close to her, the smell of his skin. She knew that this was not what mothers were supposed to do, but she discarded that notion. Turning herself slowly, holding Eric’s hands about her body, she spun so that her ass was pressed against her son’s stiff cock, nestled between hack forum her cheeks.

“Here, let’s get in bed,” she said as she bent over at the waist. A part of her hoped that Eric would take the gift she was offering and slide his cock into her wet pussy from behind and give her the fucking they both needed. It was not to be though, Eric was too much of a gentleman, she thought, as he agreed and let her climb into the bed.

Once they were both in bed Elizabeth snuggled up close to her son, pressing her full bosom into his arm and draping one leg over his. Another peal of thunder and he wrapped an arm around her and held her close as her hand stroked his chest.

“Was the storm the only reason you couldn’t sleep?” Elizabeth asked, scissoring her legs slowly to tease her aching pussy.

“Well,” he said slowly, “that was only part of it.”

“Me too!” Beth giggled, pressing her naked mound against his hip. “Why couldn’t you sleep? Besides the storm, that is,” she asked.

“You first,” Eric said with a hard swallow.

“Okay,” she said slowly. Then, in a whisper, “I was horny.” Beth could feel his heart racing in his chest as the words escaped her lips. “Were you horny, Eric?”

Eric didn’t answer aloud, but she felt him nod. With a big grin and wide eyes her own heart fluttered at his admission. She kissed his chest lightly as her hand continued to slide across his smooth skin, down his chest and across his stomach.

“I like the way you smell. So manly.”

“I like the way you smell, mom,” Eric breathed.

“Yeah? You like my perfume?” She pushed herself up and looked at him, his handsome features coming into full view with a flash of lightning. “Here,” she said as she leaned closer, putting her neck next to his face, “smell it here.”

Eric took a deep breath and groaned in satisfaction.

“Want to know where else I spray it?” She giggled when he nodded vigorously. Shifting her body again, she lowered her cleavage to his face, nearly burying his face between her motherly boobs. “Take a whiff from between mommies titties.”

Once again Eric inhaled deeply and she loved the feel of her boy, now a man, with his face between her girls. Her body was aching with need, but she knew she couldn’t proceed too quickly.

“Eric, were you stroking your cock when I came into your room?” Of course she knew the answer, but the chance to torture her son a little was too much to pass up. His face was still between her tits and she felt him nod. “Ooh you naughty boy!”

Moving back, she stared down at him and then she reached over and turned on the lamp next to the bed. Bathed in the soft, warm light she could see him properly now, but more importantly, he could see her. His eyes were glazed over, like he was in a trance and afraid to wake up.

“What were you looking at when I came in?” Eric gulped, but didn’t respond. “Was it a girly magazine?” After a moment, she nudged him and he reluctantly nodded. “Filled with naked women?” Another nod. Smiling wickedly, she pushed her nighty down so that her breasts were out in the open for him to see.

“Nicer than mine?” she asked with a pouty expression.

“Oh fuck no,” Eric said without thinking. She playfully slapped at his chest for the foul language, but he didn’t react, he was too mesmerized by her full tits.

“Have you ever thought of these while you are stroking your hard cock?” She pressed her tits together and leaned forward once more, pushing them close to his face once more.

“Yes,” Eric winced quietly.

“Want to know something? I’ve thought of this,” Beth leaned back and slid her hand from his inner thigh upward until she stopped with her hand resting lightly on his throbbing cock. “I’ve thought of this,” she gave him a gentle squeeze, “while I’ve fingered myself.”

The feel of his hot, steely shaft in her hand, separated only by the thin cotton of his boxers caused Elizabeth to swoon. Taking his hand, she placed it on her left breast and molded her fingers over his and forced him to squeeze. Quickly Eric used both hands to squeeze and cup his mother’s fabulous tits.

She took a firm grip on his thick shaft and began to stroke him through his boxers, but that wasn’t enough for her and she slipped her hand under the waistband so that she could feel his velvety flesh with her own. After a minute of this she moved forward and kissed her son for the first time as his lover.

Her tongue invaded his mouth and she tasted every corner. Eric kissed her back and soon they were making out like horny teenagers. Eric seemed to be let loose and soon he was towering over her and his mouth covered her rose colored nipples and he was sucking on her tits like there was no tomorrow.

“Oh yes baby! Suck my titties!” she encouraged, running her fingers through his hair. She fed him her flesh and felt her pussy quake with each swipe of his tongue. Snaking her hand between their bodies, she pushed his boxers off his hips and then she groped for his cock. His shaft felt like heaven in her hand as she stroked him. Sliding her thumb over the head, she caught the sticky drops of precum as it leaked out the tip.

“Lay down,” she ordered him and he obeyed. Liz gazed down at her son’s cock, so strong and hard, standing up proudly. Her dainty hand looked so small wrapped around his veiny pole. Smearing more of his precum along his shaft, she watched in awe as she stroked him. “I want you to make you cum with my hand.”

Eric only nodded, need etched on his face as he stared up at her. Elizabeth loved the feel of her son’s hard cock in her hand, slipping through her fingers in an erotic ritual.

“Oh so big and thick!” she moaned, pinching a nipple with her free hand. “I can’t wait to see what a big load of cum you have for me! Here let me make this wetter for you.” She let go of his cock for a moment and stuffed her fingers into her overheated cunt and soaked them. When she grabbed his shaft again her fingers were even more slippery than before and now her hand glided over his skin smoothly.

A minute later his body stiffened and then jets of white, sticky semen shot out of his cock. It shot up in the air and some landed on his chest, some on the bed and the rest caught by Liz’s hand and she used that to lubricate her stroking even more.

“That’s it baby, cum for me! Cum for mommy!” she encouraged him as she milked the sweet load out of his cock.

“Oh fuck, mom!” Eric shouted as he came, filling her with a delicious thrill.

“Did you like that baby? Did that make you feel better?” She smothered his mouth with her own again, still holding onto his cock which was still unbelievably hard. Eric returned her kisses, his hands all over her body from her boobs to her ass.

Elizabeth loved the eager way her son devoured her body, reminding her of how sex used to be when she was much younger. She couldn’t wait for him to work up the courage to find her pussy on his own though and guided his hand to her pouting cunt. His groan of pleasure was music to her ears as he began to explore her pussy. His fingers slid over every electricity filled nerve ending, sending waves of pleasure to her brain.

“Oh yes, that’s it baby. Stroke mommy’s kitty, stroke it nice for me and make me purr!” Lifting her hips, she pushed his fingers inside her soaked channel and she moaned with animal desire as he began to finger her steadily. “Oh fuck baby, that’s it! Fuck me with your hand, just like mommy did for you!”

Eric sucked on her tits as he fingered her, her hips lifting to meet his thrusts and lowering as he pulled out. Elizabeth was on fire and it wasn’t long before she let out a scream of pleasure, her pussy clamping down on his fingers as she came. When he pulled his fingers out of her cunt she grabbed his hand and sucked them clean.

Catching her breath, Elizabeth felt a glow, but she knew she wasn’t done and she guessed neither was her son. Pushing him down on his back, she straddled his chest, facing his feet.

“Now that we’ve done it with our hands, next is our mouths!” she announced.

Immediately Eric’s hands grabbed her ass and pulled her back until her pussy was pressed up against his mouth. His tongue pressed against her wet lips and he was soon french kissing her cunt.

“Oh that’s good, baby. Kiss mommy’s pussy,” she sighed.

Leaning forward, Elizabeth found his rampant cock ready to go. Taking hold of it in her hand she rubbed the head of his cock against her pursed lips, like a lipstick. A large dollop of cum still clung to the tip and she slipped her tongue out to slurp it up. Oh he tasted so wonderful! She felt her pussy quiver at the taste of his seed. Eric was licking her from her clit to her little rosebud in a slow, steady fashion, building her desire moment by moment.

Stroking his cock, she rubbed it against her face, loving the smell and feel of him before she opened her mouth and let him enter. Eric groaned with pleasure as she engulfed his shaft in her hot, wet mouth. Her lips pressed against his stalk as she took him deeper and deeper. He stretched her mouth wide open he was so thick, and that made Elizabeth even wetter as she imagined it spreading her pussy.

The sounds of the mother and son 69’ing filled the room. Groans, moans and wet slurps filled the gaps between the rolling thunder. Elizabeth came first, her body quivering and shaking as Eric held her tightly in his grasp, his tongue flicking against her clit while she came. She guided his finger to her rosebud and moaned in a high pitch when he teased her tender anus. As he played with her more, she humped his face harder and harder until she came again.

Eric had not cum yet from her blowjob and she intended to see that he did. Climbing off his body, she spun around and her son lifted himself up on his elbows so that he could see her do her magic. Kneeling between his legs, she straightened up and pressed her full tits together, something she knew men liked to see.

“Mommy wants you to cum in her mouth,” she said in her slutty voice. “After you fuck my tits for a bit.” With that she leaned forward and captured his long, thick cock between her boobs and squished them together. Rocking back and forth, she stroked his cock between her breasts, sucking on the head of his cock as it appeared on the down stroke. She let the saliva in her mouth drip out onto his cock to make the tit fuck slippery.

“Oh god mom, I love fucking your tits!” Eric huffed, his eyes glazed over in lust.

“I love to have my tits fucked, baby. You can fuck my tits anytime you like!” she offered.

“Oh god mom, I’m going to cum soon!”

Elizabeth grabbed his cock and lowered her mouth onto his shaft, taking him deep into her mouth and into her throat. Bracing herself, she pushed forward slowly until she felt his pubic hairs pressed against her stretched lips. Deepthroating her son’s cock, her pussy spasmed as his orgasm burst forth and sent jets of hot semen down to her stomach.

When she felt he was done spurting cum into her mouth, Elizabeth let his cock slip from her lips and she licked and kissed it clean. Her tongue bathed his shaft and she savored the taste of his body. Afterwards she climbed up next to her son on the bed and revelled in the way he caressed her body, planting kisses on her tits and her face.

“You got one more in you?” Elizabeth asked with a wink. She took hold of his cock and stroked him slowly, working him back to hardness.

“Yeah, I think I can manage that,” Eric said with a devious smile.

“Good,” Elizabeth smiled.

With a delightful yelp, Elizabeth was flipped on her back and suddenly her son was between her legs, pushing her knees apart and back towards her chest. Reaching between them, she took hold of his hard, thick cock and aimed it at her gash. They groaned in unison as he slid into her slick cunt slowly. She savored the way he stretched her, splitting her so wickedly.

His broad chest and strong muscles looked so incredibly sexy to her. She cupped her breasts and played with her nipples as he towered over her and worked his cock in and out of her cunt. Eric found his rhythm and soon his pace quickened until he was pounding her pussy fiercely. She felt like a plaything to a giant as he fucked her deeply.

“Oh baby,” she huffed, “you fuck mommy so good! Fuck mommy! Fuck me!” She let go of her breasts and grabbed onto the sheets, trying to hold herself in place as her son fucked the hell out of her. Her tits bounced up and down on her chest in time to his thrusts into her welcoming pussy.

Eric moaned deeply, his cock grew even harder and then he was cumming inside his mother. The feel of his orgasm triggered her own and her pussy clamped down on his shaft, mixing her juices with his inside her well fucked cunt.

When he was done he slipped from her pussy and collapsed next to her on the bed. Elizabeth reached between her legs and felt their mixed fluids seep out of her and she scooped up as much as she could with her cupped hand. Eric snuggled up to her and held her close as he drifted off to sleep.

Elizabeth lay in the afterglow, wondering what new possibilities this had opened up until she drifted off to sleep, her muscles finally relaxed and the storm miles away.

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