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Une Maîtresse inattendue (09)

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Bdsm

– Tu deviens célèbre, vermicelle. Lise, une de mes amies m’invite ce soir chez elle à diner et elle m’a demandé de t’amener. Un de ses amis sera là aussi. Je l’ai déjà croisé et c’est un beau mec.

Dans la bouche de ma Maîtresse, il faut traduire par « un mec qui me plait et sur lequel je suis prête à sauter. » Ma Maîtresse continue,

– Je suis un peu surprise, car je ne la vois pas partager. Elle fait des ravages. Lise me fait penser à une panthère avec des cheveux courts et un regard perçant et pervers. Les mâles ne lui résistent pas. La 1ère fois que nous nous sommes croisées, j’ai cru qu’elle était lesbienne. Plusieurs fois, je l’ai vue me regarder avec intensité et se frotter à moi par inadvertance. Enfin, c’est ce qu’elle a voulu me faire croire. On verra bien.

Je ne sais pas pourquoi je te raconte ça, vermicelle.

Pourquoi, en effet. Cette façon de me raconter cette histoire ravive mes interrogations sur sa proximité avec ses amies dans les moments intimes. Lors de la soirée avec Sylviane et son amant black, je n’ai vu aucune attention de l’une envers l’autre et aucun geste intime, mais je n’ai aperçu que peu de choses, alors…

Je conduis la voiture pour allez chez Lise. Je trouve ma Maîtresse particulièrement en beauté. Une robe un peu moins courte que d’habitude mais dont le bas en porte feuille ne demande qu’à s’ouvrir et révéler si elle a mis une culotte et un haut assez sage mais par sa large ouverture on a aucun doute sur la totale liberté de sa poitrine. Avec ses hauts talons, c’est irrésistible.

– Maîtresse, je me permets de vous dire que je vous trouve particulièrement sexy ce soir.

Aucune réponse, et un léger sourire. Je me dis qu’elle a une idée derrière la tête.

Ma Maîtresse est chaudement accueillie par son amie et par un homme qui doit être son compagnon ou son amant.

Effectivement, Lise est très fine, cheveux auburn très courts et yeux perçants. De belles fesses cachées par une combinaison pantalon très moulante et haut largement ouvert. Sa gaziantep yabancı escort poitrine est totalement plate, à ce que je peux en juger. Un style ambigu d’une croupe féminine associée à un haut de corps et coiffure de garçon. Il m’a semblé que lors de leur embrassade à l’arrivée, Lise a embrassé ma Maîtresse sur le coin des lèvres.

Je suis désigné pour servir les apéritifs et le diner. Un serveur rien de plus, sauf que je suis nu en shorty dentelle, laissant visible la cage, et la laisse attachée au collier.

Au café, j’attends dans le couloir que l’on ait besoin de moi.

Lise m’appelle et me demande de venir m’agenouiller devant elle, assise sur le canapé, aux côtés de ma Maîtresse.

– Tu permets, demande t’elle à Ma Maîtresse. Sans attendre sa réponse, elle passe le bout de sa chaussure dans mon entrejambe pour me faire écarter les jambes.

– Descends ton shorty, que je voie ton vermicelle. Ah oui, en effet c’est minuscule. Presque une fille.

Elle ne se gène pas pour donner son avis.

– Tu devrais lui faire enlever ces boules si elles ne servent pas. Pourquoi tu ne le féminises pas? Tu devrais lui percer les tétons et lui faire porter de grands anneaux comme les femmes esclaves noires autrefois. Allez, sors je n’ai plus besoin de toi.

La soirée continue, l’ami de Lise nous quitte assez tôt.

Je m’attends à ce que ma Maîtresse rentre elle aussi, mais Lise intervient :

– Tu n’es pas pressée, reste encore un peu.

Je sers à nouveau à boire aux deux femmes, et Lise a la main sur les cuisses de ma Maîtresse qui se laisse caresser.

– Reste me dit Lise, si ta Maîtresse est d’accord. Va te mettre le nez contre le mur et ne te retourne pas. Tu le fesses de temps en temps?

Ma Maîtresse répond par l’affirmative et sans que je m’y attende lui propose d’essayer.

– Comment as tu deviné ma Chérie? J’ai toujours eu envie de fesser une lopette. Viens ici vermicelle.

En se levant gaziantep genç escort elle remercie ma Maîtresse en glissant sa main entre ses cuisses et l’embrassant à pleine bouche. Ma Maîtresse lui caresse la nuque et fait durer le baiser. Lise en profite pour prolonger sa caresse entre les jambes. Je suis certain qu’elle lui caresse le minou.

Ce n’est pas la 1ère fois qu’elle fesse un homme ou …une femme.

Une fessée bien appuyée qui me brûle et m’excite. Une fessée sans violence juste pour montrer qu’Elle est une femme supérieure.

– Retourne te mettre le nez contre le mur. Le reste ce n’est pas pour toi.

Bruits mouillés, gémissements, les deux femmes se donnent du plaisir mutuellement.

– Viens ici, me dit ma Maîtresse.

Je découvre qu’elle est assise sur la bouche de Lise et qu’elle se fait lécher.

– Viens lécher cette chienne en chaleur, et n’oublie pas sa rondelle. Interdiction de la toucher avec tes doigts.

La chatte de Lise est trempée. Aucun doute que ma Maîtresse l’a déjà léchée une 1ère fois. Je m’applique en laissant bien mes mains sur le sol.

Je n’ai aucun mal à faire jouir Lise tellement elle est excitée. Mon visage est trempé de ses sécrétions. Ma Maîtresse plonge les doigts dans sa fente pour la faire crier, alors que je lui lèche sa corolle et me sert de ma langue pour forcer ce petit trou qui s’ouvre sans difficulté. Lise lui rend la pareille.

Une fois les deux femmes calmées, j’attends à quatre pattes à côté de ma Maîtresse,

– Minuscule queue, mais je comprends pourquoi tu l’as choisi.

Ma Maîtresse n’en a pas fini.

– Dis moi, tu n’as pas hésité quand je t’ai demandé de lécher Lise. Lécher devant moi une autre femme, ça ne te dérange pas! Je vais te fesser et si tu avais hésité tu aurais été aussi puni, pour mon seul plaisir.

Elle me fesse devant son amie, s’appliquant à me rougir les fesses au maximum de la couleur. Puis ma Maîtresse va chercher dans son gaziantep gerçek resimli escort sac une cravache et passe à la vitesse supérieure. Je sens la morsure de la cravache qui me fait geindre et m’excite.

– Regarde Lise, c’est sur l’intérieur des cuisses que cela fait le plus mal.

Et ma Maîtresse me cingle l’intérieur des 2 cuisses. Je serre les dents pour ne pas crier et j’essaye de la provoquer en écartant encore plus les cuisses et en tendant mes fesses.

– Tu aimes vraiment ça, petit vicieux. Stop!

– Lise, j’aimerais bien te fesser aussi pour t’exciter si il y a une prochaine fois. Une chienne et mon soumis sous mon fouet.

Nous rentrons à l’appartement.

– Tu ne dis rien? me demande ma Maîtresse

– Maîtresse, j’attendais que Vous m’interrogiez.

– Je suis sûre de ce que tu vas me dire. Tu ne t’attendais pas à ce que nous nous caressions entre femmes. C’est ça? Tu ne connais pas encore tout de moi.

– Oui Maîtresse, un peu étonné. Mais je me suis posé déjà la question si vous aimiez aussi les femmes.

– Et que penses tu de Lise?

– Je trouve son look androgyne et son attitude ambigües. C’est cela qui m’excite en elle. Sans parler de son regard vicieux. Quand elle me regarde, je me dis qu’elle n’attend aussi que de me fouetter et de me faire crier.

Ma Maîtresse éclate de rire.

-J e préfère les hommes. Il faut qu’ils soient bien montés. Moi aussi son look androgyne m’excite aussi et comme elle m’a fait des avances dès notre arrivée, j’en ai profité.

Pas certaine que tu me revois une autre fois dans cette situation, dit elle en riant.

Mais j’ai vu que tu aimes lécher une autre chatte que la mienne. Tu auras peut être d’autres occasions quand je te l’ordonnerai mais tu devras le payer ensuite.

Puisque nous sommes dans les confidences, dans quelle tenue tu me préfères?

– Quand vous êtes coiffée avec une queue de cheval, sur les hauts talons et avec une minuscule robe. Votre queue de cheval accentue votre air supérieur.

– Et qu’as tu préféré dans ces premières semaines de dressage?

Je réponds sans hésitation. – Nettoyer le sperme de votre amant entre vos cuisses et le fouet reçu devant votre amie Sylviane (chapitre précédent).

– J’en étais sûre pour les 2. Avec le fouet tu as joui en plus! Tu auras d’autres occasions. Ce soir, tu m’as donné d’autres idées pour la suite de ton dressage.

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Un Amour Non Conventionnel 05

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Blonde

Après une courte nuit, perturbée par les halètements réguliers tout au long de la nuit de Beth et de son amant, je me réveillais au petit matin. Des bruits de la chambre à côté me convainquirent de sortir de mon lit et de préparer le petit déjeuner. Quand je passais à proximité de la chambre de Beth, la porte était ouverte et j’ai pu apercevoir Beth qui chevauchait Pascal. Le contraste de sa peau laiteuse et la peau d’ébène de son amant était incroyablement érotique. L’orgasme n’allait pas tarder à arriver. Les deux amants me rejoignirent une heure après dans la cuisine. Beth était avec sa petite nuisette hyper sexy que je lui avais offert à la dernière St Valentin. Pascal avait remis son boxer mais qui ne cachait en rien l’énorme engin qui avait fait hurler de plaisir mon épouse adorée. Beth vint m’embrasser, faisant passer la semence de Pascal dans ma bouche.

– Bonjour mon cocu. Alors tu as passé une bonne nuit?

– Pas autant que toi malheureusement.

– Oh on t’a empêché de dormir? me répondit-elle avec un petit sourire en coin.

– Humm.

– Pascal doit repartir un peu plus tôt que prévu. Quand il sera parti, tu viendras me rejoindre. Pascal a joui en moi un nombre de fois incalculable cette nuit. Tu vas avoir du travail à nettoyer tout ça.

Une heure plus tard, Pascal était habillé et s’apprêtait à partir. Beth le rejoignit à l’entrée de la maison.

– Je serai de retour sur la région dans 3 semaines, dit Pascal.

– J’ai hâte.

– Appelle-moi quand tu auras discuté avec Pierre de ce qu’on gaziantep rus escort a parlé cette nuit.

– Je n’y manquerai pas.

Beth et Pascal échangèrent encore un dernier baiser, puis il partit.

– Rejoins-moi dans la chambre. Tu as des devoirs à accomplir, et il faut qu’on parle.

Cela n’annonçait rien de bon.

Je rejoignis Beth dans la chambre. La chambre sentait le sexe. Elle était allongée sur le lit, les jambes écartées.

– Lèche-moi. Pascal s’est beaucoup vidé en moi.

– De quoi voulait parler Pascal?

– Fais ton devoir d’abord. Je t’en parlerai après.

Je m’exécutais. Je commençais à m’habituer au gout du sperme de Pascal. Mais là il y en avait vraiment beaucoup. J’espérais secrètement que Beth n’avait pas oublié de prendre sa pilule ces derniers jours. Je la lapais avec amour.

– Humm, j’adore quand tu me nettoie du sperme de mes amants. Ça m’excite au plus haut point. Tu es le mari parfait pour moi.

– C’est parce que tu comptes plus que tout pour moi.

– Je sais mon amour. Je t’aime très fort aussi.

– Qu’est-ce que Pascal voulait que tu me dises?

– Pascal revient sur notre région toutes les 3 ou 4 semaines. Il reste sur place alors une semaine. Pascal reviendra dans 3 semaines. Je lui ai demandé de séjourner pendant cette semaine avec nous.

– Quoi?

– Tu as bien entendu. Durant cette semaine, tu dormiras comme ce weekend dans la chambre d’ami. Et euh, encore autre chose… Ça ne dérange gaziantep swinger escort pas Pascal que tu assistes à nos ébats et je lui en suis énormément reconnaissant. Je ne veux plus t’écarter de ma vie sexuelle…mais cela le gêne que tu puisses avoir une érection en nous regardant ou bien en nous écoutant.

– Mais?

– Pascal m’a suggéré que tu portes la prochaine fois une cage de chasteté.

– Tu n’es pas sérieuse?

Beth me gifla immédiatement.

– Ne remet pas en cause mes paroles.

– Oui Madame.

– J’irai t’en acheter une, demain. Tu la porteras demain soir pour t’y habituer.

– Oui Madame.

– Quand Pascal sera présent avec nous la prochaine fois, je veux que tu la portes pendant tout son séjour. Je veux aussi que tu sois nu en notre présence afin que Pascal puisse s’assurer que tu as bien exécuté mes ordres.

– Comme tu voudras.

– Maintenant lèche moi le minou. Fais-moi jouir avec ta langue. Tout ça m’a excité.

Le lendemain soir, Beth rentra de son travail vers 20h. J’étais en train de regarder les informations.

– Rejoins-moi dans la chambre, me dit-elle. J’ai ton petit cadeau

J’étais loin d’être enchanté. J’avais espéré que Beth plaisantait et n’y penserait plus. Peine perdue.

– Déshabille-toi.

Je retirais un à un mes vêtements pour me retrouver nu devant Beth. Machinalement je commençais à bander.

– Humm. Je vois que ça t’excite aussi.

– Non pas vraiment. Mais être nu gaziantep travesti escort devant toi a toujours le même effet sur moi.

– Bon c’est embêtant. Si tu bandes trop dur, je ne pourrais pas fermer ta cage. Va me chercher des glaçons dans le réfrigérateur.

Lorsque je revins, Beth avait déballé la cage de chasteté sur notre lit.

– Va me chercher la bassine dans la salle de bain. Approche.

Je bandais dur. Beth me prit ma verge dans ses mains et la badigeonna avec les glaçons. Le froid me fit débander immédiatement. Puis elle essaya différents anneaux autour de mes bourses, avant de choisir celui de la bonne taille, puis enfila le tube plastique enfermant ma queue, clipsa le tout et ferma le cadenas. Beth m’avait mis en cage. Elle prit la clé et le cacha dans son soutien-gorge.

– Tu vas rester nu ce soir. Comme ça je verrais comment ça fait. Tu m’as préparé à diner?

– Je t’attendais pour diner.

– Oh merci mon cœur. Viens.

Après diner, nous regardâmes un film à la télévision, moi nu sur le canapé, encagé, tandis que Beth posait sa tête sur mes épaules, et jouait avec sa main libre avec ma cage. C’était un moment tendre, rempli d’amour, mais difficile pour moi, car cela me donnait envie de bander, et me causait de vives douleurs à cause de ma cage de chasteté.

– Alors? Comment tu vis cette 1ère soirée en cage?

– C’est douloureux et gênant, mais pour toi j’accepterai tout.

– Je n’en attendais pas moins de toi. Tu es un bon mari, Cocu. Allez viens me rejoindre dans la chambre. Tu me lécheras et me donneras plusieurs orgasmes pour que je m’endorme.

– Tu m’enlèveras la cage après?

– Non. Je veux faire un test en réel. Tu vas la porter pendant une semaine. Comme ça tu seras entrainé pour le retour de Pascal.

Ce soir-là, je compris que Beth venait de ma faire franchir une nouvelle étape dans mon asservissement envers elle.

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Rêverie Féminine

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Big Dick

J’étais là à me prélasser sur mon transat au doux rayon de soleil de printemps. Je n’étais troublée que par les bruits des assiettes entrechoquées par mon cochon de mari qui faisait la vaisselle. Je me laissais aller à de douces pensées très agréables et fini par m’endormir.

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Je me réveillais langoureusement dans mon grand lit.

Mon esclave Cochon venait m’ouvrir les volets et m’apporter mon déshabillé fuchsia satiné et mes mules à talons assorties.

Il était prêt, comme d’habitude, à partir au travail. Il avait revêtu le traditionnel et obligatoire legging blanc, moulant son gros cul et sa cage de chasteté de rigueur. Une cravate en cuir sur son collier d’acier et la chemise en satin blanc moulante, qu’il avait fraichement repassée hier soir. Je pouvais voir que chacun de mes levers avait la même réaction sur son pubis gonflé d’excitation. Je ne me lassais pas de ce moment matinal.

Hier soir, pour me souhaiter une bonne nuit, il m’avait bien sûr léché consciencieusement l’abricot et avait savouré mon nectar, sous mes draps, pendant que genoux repliés je lisais mon roman érotique. Il m’avait laissé sur un claquement de doigt, nue, humide, lascive et ensommeillée.

Il avait du nettoyer le reste de l’appartement et repasser mon linge en priorité avant de regagner son réduit de nuit entre les balais et mes chaussures à nettoyer.

Il me souhaita une bonne journée oisive en me léchant les orteils avant de me passer mes mules à talons, puis s’en alla prendre le bus pour aller travailler.

Comme la plupart des hommes désormais, il occupait un travail manuel et basique. Lui, était caissier dans un grand magasin de produits de luxe féminin. Il s’en tirait bien, il restait assis toute la journée à s’occuper des achats de toutes ces Femmes. Je lui disais qu’il était privilégié au milieu de toutes ces consommatrices.

Il se plaignait qu’il avait une directrice qui le frappait dès qu’il baissait la cadence ou regardait un peu trop ces Dames. . En effet ses yeux ne devaient pas quitter le tapis roulant. Je lui répondais qu’il avait la chance d’avoir ce travail et qu’il devait s’en acquitter avec le sourire.

Beaucoup de ses congénères n’avaient pas des activités si plaisantes et devaient travailler dur avant de pouvoir ramener leur salaire sur le compte de leur Propriétaire.

Sa directrice, une belle Femme décidée et autoritaire, que j’avais rencontré lors d’une soirée arrosée des samedis soirs, avait eu l’idée géniale d’équiper ses mâles caissiers de sondes avec poches directement implantées dans leur urètre pour leur éviter d’aller perdre du temps au toilettes.

Le valet de pieds de Madame venait remplacer régulièrement les poches pleines. Ainsi les caissiers ne quittaient pas leur siège de la journée et Mme la directrice améliorait nettement ses bénéfices. Quelle ingéniosité!

Ainsi donc, les tâches plus à responsabilité ou dites intellectuelles étaient allouées évidemment aux Femmes. Enfin, pour celles qui souhaitaient travailler. ..

J’avais quand à moi réussi à économiser sur la paie de Cochon et j’avais pu me dégoter un vide-couille à gaziantep jigolo escort prix réduit sur internet.

Il travaillait pour moi aussi désormais. Tous les papiers d’appartenance étaient en règle. Sa fonction comme la plupart des vides couilles consistait à sucer ses congénères quand leur heure de vidange de sperme, après les 28 jours rituels, avait sonné. C’était un emploi régulier rémunéré à la pipe évidemment. Le centre dans lequel il travaillait être propre et il ne se plaignait pas.

Évidemment comme tous ses collègues, il avait des problèmes de douleur d’estomac avec tout le sperme qu’il devait digérer, mais il tenait bon et savait qu’il devait tenir le rythme, s’il ne voulait pas que je le remplace.

Le centre me versait directement son salaire. Lui, était logé et nourrit (en dehors du sperme bien sur) au centre, je n’avais pas à le gérer et l’éduquer comme avec Cochon.

Un bon investissement.

En tout cas, ça me ramenait un bon complément de revenu. J’envisageais d’en acheter un deuxième.

En attendant, j’avais prévu une journée shopping avec mon amie Noémie.

Elle, avec ses deux maris, avait toujours des idées pour dépenser son argent.

Je me préparais en essayant plusieurs tenues pour sortir, indécise.

Noémie arriva avec sa nouvelle voiture. Elle avait laissé ses deux maris enchainés sur son balcon. Cela leur faisait du bien de prendre le grand air, m’expliquait elle.

Nous primes un café et nous partîmes au centre ville. Nous avons eu du mal à trouver une place, heureusement un agent de la circulation nous indiqua une place libre. Noémie lui offrit 1/10 pour le remercier. Il la remercia, les yeux brillants, en lui baisant l’escarpin droit. J’en profitais pour lui mettre une tape sur son beau cul moulé dans son legging blanc.

Je précise qu’un 1/10 représente un 1/10 de journée en moins sur son sevrage. S’il gagne les autres 9/10 avant la fin de la journée, il aura gagné un jour de moins de sevrage au fond de sa cage. L’homme, resté très primate, est prêt à tout pour se faire sucer le plus tôt possible, même par un homme pour dégorger son trop plein.

Évidemment s’il ne parvient par à gagner les 9/10, le lendemain il devra repartir à zéro. La méthode votée à l’unanimité par la Chambre des Sénatrices est une bonne loi qui incite ces hommes à se rendre utile en dehors de leur travail alloué.

Pour le plus grand plaisir des Femmes.

Beaucoup d’entre nous, avouons le, en profitons en ordonnant à celui-ci de porter nos emplettes, à celui là de nettoyer un pare brise… Cela dit, il n’est pas raisonnable d’exagérer la distribution de ces 1/10.

Leur sevrage a été fixé sur la durée de menstruation des Femmes, c’est pour leur bien. Ils doivent comprendre que leur petit plaisir de quelques minutes (secondes?) passe après l’organisation de notre belle Gynarchie.

Bref, nous avons acheté quantité de jupe virevoltante. Moi j’ai craqué pour une paire de botte rouge superbement sexy. J’adore leur effet sur les hommes. Il n’y avait qu’à voir l’effet sur le vendeur qui m’a aidé à les enfiler. Il était bien gaziantep lezbiyen escort sûr à genoux face à moi et je voyais bien sa cage ressortir de son legging blanc. Il ne pouvait pas rater la vue sous ma courte jupe de mes bas le sale vicelard.

Je me suis amusée à essayer trois paires différentes et marcher de long en large devant lui. Je lui ai demandé son avis, il n’a fait que bafouiller. Son legging tendu était plus explicite : toutes lui plaisaient!

J’ai choisi les rouges (qu’il a du m’aider à nouveau à enfiler) et les ai gardé aux pieds.

Noémie, elle, a craqué pour des dessous coquins. Elle avait même obligé le vendeur aux mains tremblantes à l’aider à agrafer son soutien gorge. Bien sûr il savait qu’il ne devait pas toucher la Divine peau avec ses pattes.

Eh oui, uniquement la langue d’un homme pouvait entrer en contact rapproché avec la Femme.

Nous avons bien ri. Le vendeur, angoissé, n’en pouvait plus, sa chemise satin était trempée de sueur.

Ensuite nous sommes allées manger au restaurant. J’ai une adresse que j’affectionne particulièrement. Le serveur, un bel italien musclé et divinement soumis, était agréable à regarder. D’ailleurs je n’étais pas la seule à lui pincer les fesses et à faire tomber mainte fois ma serviette à mes pieds. J’avais chaussé mes belles bottes malgré la chaleur et je voulais tester leur effet. Il n’en pouvait plus le pauvre, son front goutait de sueur et son regard lubrique passait de nos décolletés exagérés à nos cuisses écartées. Avec Noémie nous sommes très complices et nous nous régalons souvent à jouer avec ces maniaques dépravés. Apparemment, il devait approcher de ses 28 jours, il était excité comme un âne. Quelques gouttes s’étaient même échappées de son gland tuméfié et avaient fini par tâcher son joli legging moulant à souhait.

Le petit italien nous avait émoustillées et nous sommes repassées par le quartier des putes.

Beaucoup de noirs faisaient les cents pas et bandaient leurs muscles pour attirer quelques Femmes. Deux vieilles Femmes discutaient avec un homme qui ne portait qu’un short cuir sur sa cage. Sa musculature était impressionnante et les Femmes négociaient un bon prix. La tenancière finit par valider le marchandage et fournie aux deux vieilles Femmes la clé de la cage de la pute. Elles montèrent en mettant la main au panier du black chanceux.

Nous continuâmes notre visite en repérant les putes qui nous plaisaient. J’en réservais un pour deux heures ce weekend, indiquant le domicile à sa propriétaire. Les dimensions et tenue dans le temps garanties me paraissaient un bon rapport qualité prix.

Noémie, elle, avec ses deux maris s’était fait lécher toute la nuit. L’un d’eux, m’a-t-elle confié, avait même eu l’immense honneur de pouvoir la pénétrer avec sa cagoule équipée des derniers gods vibrants à la mode. Elle était épuisée.

Et puis, après ce restaurant, nous avions une envie pressante et nous quittâmes finalement le quartier des putes pour un bar à toilettes réputé.

Quand nous entrâmes, le portier nous indiqua tout de suite des places de premier choix gaziantep masaj salonları avec vue imprenable sur le spectacle. Je lui caressais son sexe de métal pour le remercier, mais il ne reçu pas de /10. Je l’autorisais à lécher mes superbes bottes rouges.

Nous nous accroupîmes donc côte à côte face à la scène, au fond des sièges cuir sans fond après avoir confié nos culottes au serveur, qui le récupéra sur un petit plateau ciselé. Je choisis un cunnilingus complet avec un modèle à langue double piercing. Noémie choisis un double, la coquine. Je la charriais qu’avec ses deux maris, elle prenait des habitudes de petite bourgeoise et avait besoin d’une langue spécialisée pour l’anus et une autre pour la chatte. Le spectacle était assez banal avec trois hommes nus, pendus par les pieds, tête en bas qui se faisaient fouetter par une Mama africaine. Le fouet laissait des traces très excitantes sur ces dos et ces gros culs écarlates.

Nos trois lécheurs commandés arrivèrent enfin, tirés leur collier par le petit serveur. Ils nous présentèrent leur langue nettoyées et frottées et après inspection, nous les autorisâmes à se placer sous nos sièges. Sitôt la langue du mien en contact avec mon sexe, je lui déversais ma Divine Liqueur qu’il eut du mal à avaler. Mais il se rattrapa par la suite en me nettoyant consciencieusement l’anus. Il me fit jouir ensuite tendrement et longuement en gâtant mon Clitoris et je lui offrais mon Divin Nectar avec quelques jets de divine Liqueur.

Noémie quand à elle, s’accrochait aux accoudoirs en criant de bonheur avec ses deux langues asservies qui la léchaient en rythme. Elle finit par arroser son lécheur brusquement, inondant son crâne rasé et ses yeux. Nous étions bien calées, repues de bonheur maintenant au fond de nos fauteuils en cuir. Les langues essuyaient maintenant consciencieusement nos divins Fessiers.

Le serveur nous ramena nos culottes lavées séchées et repassées. Nous lui laissâmes un pourboire pour la qualité de ses lécheurs. Lui et ses trois esclaves se mirent à léchouiller nos semelles pour nous remercier.

J’aperçus en sortant une voisine qui au fond de la salle, hurlait son bonheur pendant qu’un chien sous son siège se délectait de ses Nectars. C’était la nouvelle tendance à la mode avec des langues de chiots ou de chevreaux spécialisés. Je restais plutôt quand à moi classique dans mes choix traditionnels comme Noémie.

L’après midi était déjà bien entamé quand je rentrais fourbue chez moi. Je m’affalais dans mon fauteuil après m’être servi un grand Martini blanc. Cochon arriva, en début de soirée, pendant que j’étais en pleine conversation avec une amie. Je lui fis signe de s’occuper de mes pieds fatigués. Agenouillé, il entreprit de nettoyer mes semelles souillées. Il lécha consciencieusement mes orteils et massa mes jambes avec application. Je le repoussais doucement d’un pied pour lui signifier de me resservir un autre Martini. Et puis il devait me préparer à manger, nettoyer l’appartement, faire mon lit et d’autres petites choses futiles et routinières.

Je continuais ma discussion avec mon amie et lui proposait d’aller boire un verre.

Cochon me fatiguait à aller et venir pour ranger l’appartement.

Un bruit me fit sursauter et …………… ; je me réveillais dans mon transat. Un doux rêve encore en tête. Mon cochon de mari venait de laisser tomber un verre au sol. Le martinet allait chauffer ses fesses ce soir…

J’espère que ma douce rêverie toute féminine fantasmée vous aura plus, donnez moi votre avis!

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Maîtrise De Genre : Épisode 02

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Amateur

Quand Mélanie se réveilla le lendemain, samedi, vers 10 heures du matin, sa première sensation fut un apaisement total. Elle qui ne faisait que rarement une nuit complète, elle se sentait pour une fois parfaitement reposée, comme lorsque, jeune étudiante, elle s’éveillait après une longue nuit d’agitations haletantes suivie de sommeil réparateur.

Sa seconde réaction fut de se demander où elle se trouvait. Elle était seule dans une somptueuse chambre d’hôtel, dans un lit immense complètement défait. La lumière matinale inondait la pièce par la fenêtre, et la sensation des draps contre ses plus agréables reliefs lui firent rapidement comprendre qu’elle avait dû vraisemblablement dû oublier, la veille, de passer une nuisette.

En s’étirant, dans un petit gémissement, elle eut de plus la surprise de découvrir que de nombreuses courbatures parcouraient son corps, pourtant très habitué à la gymnastique entre autres efforts physiques. S’asseyant dans le lit, une brise fraiche caressa la pointe de ses seins, qui réagirent prestement de la meilleure des façons. Dans un frisson, elle sentit monter en elle une envie de profiter pleinement de la matinée, qui prit dans son esprit toute la place qu’occupaient jusque-là ses légitimes interrogations.

Elle se laissa donc retomber doucement en arrière, sentant ses mains plonger sous les draps pour pouvoir explorer ses moindres plissements, caressant de leurs doigts experts ses moiteurs le plus intimes. Une partie d’elle-même tenta un instant de s’accrocher à ses questions de localisations, mais la vague de plaisir qui inonda son cerveau chassa instantanément toute pensée construite pour laisser libre cours à une touffeur fantasmante incontrôlable.

Tandis que son corps se tordait lentement de volupté, comme une voile emportée par une tempête naissante, des images inhabituelles s’imposèrent à son esprit, peuplées de maîtres puissants et de maîtresses délicieuses, de soumissions dociles et de cuni langoureux, de fessées humiliantes et de caresses rassurantes. Si son pauvre cerveau en avait encore été capable à ce stade, elle se serait sans doute étonnée de ses rêveries d’une inhabituelle curiosité, mais l’afflux d’hormones qui la dominait ne lui laissa pas ce loisir. Après quelques minutes, alors qu’elle visualisait très nettement le plaisir d’un maître recouvrir son visage d’une mâle chaleur, elle explosa sans contrôle d’un cri presque surpris, tandis que son corps s’agitait par à-coup, avant de se calmer doucement sous la fraicheur des draps complices.

Alors que Mélanie recouvrait lentement ses esprits et son souffle, et que ses interrogations se ravivaient doucement, elle entendit la porte s’ouvrir, et de talons aiguilles claquer au sol en entrant dans la pièce. Levant les yeux vers l’intruse, elle découvrit une femme magnifique en tailleur rouge décolleté, avant de reconnaître incrédule le visage de Jeanne, qui la regardait avec un sourire gourmand.

À la vue de sa meilleure amie, le souvenir de la veille lui revint de plein fouet. Tous les évènements de la nuit lui apparurent dans un flashback intense, des premières paroles de on maître aux délicieux sévices de sa cruelle maîtresse. Alors qu’elle ouvrait la bouche pour interroger Jeanne sur le sujet, l’intéressée leva un doigt, et Mélanie sentit un silence docile s’imposer à elle instantanément tandis que ses lèvres se refermaient sagement.

Elle vit sa dominante s’assoir à ses côtés, et sentit sa main si directrice courir sous le drap pour venir lui caresser les tétons. Elle ne put retenir un gémissement de plaisir, et se mordit la lèvre sans pouvoir bouger, en jetant vers la jolie blonde un regard où se mêlaient la trahison et la peur… et où pointait déjà à nouveau la luxure. Jeanne lui lança un sourire mutin et, sans cesser de jouer avec le corps de la brune quadragénaire, prit la parole en la fixant droit dans les yeux.

_ Eh bien, Mèl, je vois que tu ne perds pas de temps! C’est normal, ne t’en fais pas. Il va te falloir un effort titanesque pour garder tes mains loin de ton corps, à partir de maintenant. C’est un des nombreux effets… disons… secondaires de notre Maître sur les femmes.

En parlant, elle envoya se seconde main serpenter sur le clitoris de sa soumise, qui enfonça ses dents dans ses lèvres de plus belle.

_ Mais alors, Mèl, quelque chose ne va pas? Tu m’as l’air toute chose… tu as perdu ta langue? demanda la blonde avec un éclat de rire cristallin.

Elle continua de jouer du corps de sa servante, en gardant fixé sur son visage un regard d’une perversité grandissante. Lorsque Mélanie fut au bord de l’explosion pour la seconde gaziantep escortları fois depuis son réveil, elle approcha son visage du sien, et lui murmura tout près de ses lèvres :

_ Pour la prochaine fois, je vais te donner une petite règle, histoire de pimenter la fadeur de ton couple… en mon absence, tu ne peux plus jouir sans sentir un petit plaisir honteux pénétrant ton anus… c’est bien clair?

Surprise par l’instruction, l’intéressée écarquilla les yeux, mais ne put s’empêcher d’acquiescer de la tête. Son amie savait parfaitement qu’elle avait ce type de pratiques en horreur, car elle s’était quelques fois plainte auprès d’elle des ardeurs de son mari sur le sujet. Voir Jeanne exploiter ces confidences contre elle la blessa quelque peu, et la troubla encore plus. Malgré la marée de plaisir qui l’accaparait, Mélanie trouva la force d’ouvrir la bouche pour murmurer une réponse entrecoupée de gémissements :

_ Jeanne, je n’aime pas ça, tu le sais bien. S’il te plaît, ne…

Alors qu’elle articulait cette phrase, elle vit le sourire de sa maîtresse s’élargir doucement, et sentit un doigt fin pénétrer fermement l’orifice interdit. Un orgasme la heurta alors de plein fouet sans prévenir, et elle s’agrippa à son bourreau en hurlant de toute ses forces jusqu’à ce que sa voix se casse de plaisir et de honte.

Jeanne l’accompagna jusqu’a ce que la tempête soit passée, en la s’errant dans ses bras avec une douceur surprenante, jusqu’à ce que ses spasmes se calment et que le silence ne revienne. Sans un mot, elle tendit alors son doigt devant le visage de la brune, qui le nettoya consciencieusement de sa jolie bouche. Satisfaite, la blonde reprit enfin la parole.

_ C’est bien Mèl, je suis fière de toi. Envoie-moi un message si ça ne va pas. Je te recontacterai de toute façon. À très bientôt!

Sur ce, Jeanne se leva et quitta tranquillement la pièce, non sans attraper au passage son sac à main. Mélanie se retrouva seule en silence, à essayer de trouver un sens à ces dernières heures de folie.

En fin de matinée, Mélanie gara sa voiture devant la maison qu’elle occupait avec Allan, son mari. Elle passa d’un pas chancelant la porte d’entrée. Elle avait bien vu la quinzaine d’appels en absence et les messages laissés sur son téléphone par son homme, mais avait remis à plus tard le moment ou elle devrait y faire face. Alors qu’elle retirait son manteau, elle vit son compagnon bondir dans le couloir, un air inquiète sur le visage. Elle ne pouvait le blâmer, après avoir découché sans prévenir. Priant pour qu’il ne sente pas l’odeur de la luxure sur son corps, elle composa un sourire et se tourna ver lui.

_ Ma chérie, tout va bien? Je t’ai appelé au moins trente fois. Tu as eu un accident?

Mélanie émit un petit rire pour se donner une contenance.

_ Bonjour mon Amour! Non, rassure-toi, tout va bien! Désolée, je n’avais plus de batterie… un jour, j’oublierais ma tête!

Allan n’avait pas l’air rassuré pour autant. Il revint donc à la charge :

_ Mais tu n’es pas rentrée hier soir! Je t’ai attendue toute la nuit. Je me suis un fait un sang d’encre!

Mélanie se doutait bien du fait qu’elle ne pourrait s’en tirer sans donner d’explications. À sa grande surprise, elle se découvrit en cette occasion une capacité d’improvisation qu’elle s’ignorait jusque là :

_ Hum… Jeanne avait un petit problème de… heu… de cœur, dirons-nous. Tu la connais, on a discuté, vidé quelques margaritas… j’ai préféré dormir chez elle.

_ Jeanne a des problèmes de cœur? Oh merde… Je croyais que ça allait bien avec son Robin?

Malgré cette inquiétude poliment formulée, Allan sourit, visiblement soulagé. Le connaissant, jaloux comme il savait l’être, il avait dû imaginer le pire… tout en restant bien en deçà de la réalité, Mélanie en était certaine. Elle ne le détrompa pas.

_ Oui, tu sais ce que c’est, elle a recruté un nouveau RH, dans son bureau. Un tout jeune, tout beau, à peine sorti de l’école. De quoi lui donner quelques hésitation vis à vis de son couple! Mais au final, elle avait surtout besoin d’un peu d’attention de ma part, d’une longue discussion et d’une bonne cuite, si tu veux mon avis.

Allan rit. Mélanie, qui jusqu’ici avait toujours eu le mensonge en horreur, était partagée entre la honte et la fierté face à cette nouvelle facilité qu’elle se découvrait.

_ Oui, sacrée Jeanne… son appétit lui joue toujours des tours. Tu t’es bien occupée d’elle?

Tu n’as pas idée, pensa Mélanie terriblement fort.

_ Oui, elle va… elle va mieux. Elle gaziantep eskort a bien décompressé.

_ Une nuit de débauche, ça remonte toujours le moral! Mais tu es sûre que ça va, toi? Tu m’as l’air toute épuisée…

_ Oui, merci Allan. Je… Je crois que je vais avoir besoin d’une douche, et peut-être aussi de faire une petite sieste. Ne t’inquiète pas, tout va bien.

Elle passa devant lui et s’éloigna rapidement vers l’escalier qui montait au premier étage. Alors qu’elle passait la première marche, elle entendit la voix de son homme dans son dos.

_ Ma chérie?

Elle se figea, respira un bon coup… puis se retourna.

_ Oui Allan?

En bas de l’escalier, on homme lui sourit :

_ Je t’aime

_ Moi aussi je t’aime, répondit-elle en dissimulant sa culpabilité.

Son homme rassuré, elle finit de monter à l’étage et se dirigea enfin vers sa douche, ou elle espérait à moitié pouvoir laver son corps des souvenirs brulants de la nuit passée.

Trente minutes plus tard, Mélanie émergea de sa salle de bain. Environnée d’un nuage de vapeur, un peignoir ouvert passé sur les épaules, elle vint s’asseoir sur son lit sans même prendre le temps d’enfiler des vêtements. Préoccupée par ses récentes expériences, elle s’assit sur on lit pour réfléchir à la manière avec laquelle elle allait pouvoir y réagir.

Les événements de vendredi soir lui semblaient impossibles, irréels. Comment aurait elle bien pu succomber à quelque chose de si… phaliquement grossier? Elle qui avait toujours mi un point d’honneur à être toujours au minimum dans un rapport d’égal à égal avec les hommes qu’elle avait côtoyé… Et que penser de la trahison de Jeanne? Son amie, bien que moins portée qu’elle sur le féminisme, avait toujours été une insoumise notable, croqueuse d’homme et dominante dans ses rapports amoureux. Que leur était-il arrivé?

Bien sûr, il lui était parfois, quelques nuits solitaires, arrivés de laisser ses pensées vagabonder du côté de la soumission. Mais de là a passer à l’acte… C’était impossible. Elles avaient dû être droguées à leur insu. Où peut être une sorte d’enchantement? De sort? Une chose était certaine, cette ordure de “Maître” (elle ne parvenait pas à y penser sous un autre nom) leur avait fait subir quelque chose de pratiquement surnaturel! Malgré ses questionnements, Mélanie sourit. Elle qui avait toujours été si rationnelle, voilà que la magie lui semblait réaliste… Mais sans cela, comment expliquer ses ressentis, ses propres actions et a fortiori celles de Jeanne? Cet abandon total, cette sensation de vulnérabilité absolue, de lutte endiablée et de défaite délicieusement inéluctable…

Rien que d’y repenser, elle sentit une légère chaleur monter en elle, preuve s’il en fallait que la douche ne l’avait pas lavée de toutes ses velléités. D’ailleurs, la sensation du peignoir sur sa peau nue ne l’aidait peut-être pas à se concentrer… pas plus que ses doigts qui caressaient doucement la pointe de ses tétons.

La quadragénaire nubile réalisa dans un petit gémissement que ses propres mains avaient quelques instants comme échappé à son contrôle, sapant doucement sa volonté par d’insidieux plaisirs charnels. Honteuse, elle tenta de se concentrer pour résister aux diktats de son corps, mais il lui apparut que son pauvre cerveau était déjà aventuré bien trop loin dans ce nuage de luxure pour réussir pareil tour de force. L’esprit déjà engourdi de plaisir, elle s’allongea malgré elle sur le lit, ouvrant son peignoir en grand et laissant ses mains expertes prendre les commandes son anatomie.

Des flashs du visage de son Maître s’imposèrent à elle, et elle entendait presque claquer les fessées que Jeanne saurait bien lui administrer. Abandonnant toute résistance, elle se sentit se soumettre totalement, chaque seconde plus excitée par son évidente impuissance. Elle repensa à la pression terrible qu’elle avait ressentie en pénétrant dans la chambre d’hôtel. Aux yeux débordants de désirs avec lesquels a meilleure amie l’avait regardée… et du se morde les lèvres pour ne pas crier.

Après quelques minutes d’une pratique appliquée, Mélanie exsangue réalisa, au bord de l’orgasme, que quelque chose l’empêchait d’atteindre l’explosion tant désirée. Obsédée par cette envie, alors que la frustration croissante ne faisait que multiplier le désir, elle roula sur le ventre, et souleva son bassin pour mieux laisser es doigts faire leur office. Elle se doigta de tout son être, passant en un rythme endiablé du clitoris au vagin, glissant dans ses propres fluides à une vitesse surprenante. gaziantep eskort bayan Mais rien n’y faisait. Si proche qu’elle fut du septième ciel, la porte lui était fermée.

Pleurant de désir et de frustration, elle se souvint des paroles de Jeanne, et de la règle qu’elle lui avait imposée le matin même. Elle savait qu’elle détestait ce genre de chose. Qu’elle ne le ferait pas. Que c’était trop.

Malgré tout, sans que sa main droite ne cesse de la stimuler habilement, elle sentit sa main gauche se déplacer d’elle même, passer sous son vagin, et serpenter doucement, plus bas, entre la base de ses jambes. Réalisant ce qu’elle allait s’infliger, Mélanie ferma les yeux, toujours à plat ventre, le corps tendu et le visage écrasé contre l’oreiller.

Elle sentit alors son doigt si doux masser quelques secondes la zone proscrite, ce qui lui envoya des décharges de plaisir assez intense pour laver son cerveau de toute trace de honte ou de gêne. Le doigt s’enfonça alors d’un coup, glissant sans résistance dans l’orifice, si bien lubrifié par sa propre touffeur. Mélanie ouvrit un instant une bouche et des yeux ronds, comme en apesanteur face au raz de marée qui s’apprêtait à déferler en son corps. Un ange passa ainsi, puis elle hurla d’un coup de plaisir, sans retenue, poussant un grand cri cristallin qui se prolongea d’un long fou rire aigu incontrôlable, alors que son corps tendu par le plaisir se débâtait sous la tempête.

Épuisée par l’exercice, sans même penser à se remettre sur le dos, elle resta dans cette position en riant, essoufflée, gémissante, et heureuse comme rarement elle l’avait été dans cette vie. Elle laissa quelque temps ses doigts poursuivre doucement leurs sévices pour son plus grand plaisir, alors qu’elle tentait doucement de remettre son cerveau en fonctionnement, environné d’un nuage de sueur en condensation, la pièce emplie d’une odeur de luxure brute. Hélas, son extase fut de courte durée, car une voix venue du rez-de-chaussée l’interrompit inopinément :

_ Ma Chérie? Je t’ai entendu crier. Tout va bien?

Cette intervention eut le mérite de ramener Mélanie à des réalités plus pragmatiques. Comme il était certain qu’Allan n’avait aucun moyen de reconnaître ce genre de cris pour ce qu’ils étaient vraiment, Mélanie fit le choix du mensonge :

_ Oui je… Je me suis assoupie, et je… j’ai fait un cauchemar mon Chéri. Tout va bien!

Sur ce dernier point, elle ne mentait pas. Allan répondit en criant :

_Tu m’a fait peur. Descends quand tu peux, j’ai fait à manger. Je t’aime Mélanie!

L’intéressée soupira.

_ Moi aussi mon chéri, moi aussi!

Toujours couchée sur le lit, Mélanie expira, reprenant enfin ses esprits. Il était très clair que l’emprise que le maître avait sur elle et Jeanne dépassait largement ce qu’elle avait imaginé. Et le fait de ne même pas pouvoir y réfléchir sans se faire jouir ne lui simplifierait certainement pas la vie. Quant à cette règle que Jeanne lui avait imposée… malgré sa honte, elle n’arrivait pas à lui en vouloir. Elle ne pouvait pas vraiment en vouloir à sa maîtresse.

La jolie brune réalisa alors que son doigt n’avait pas quitté le centre de ses désirs honteux. Elle le retira prudemment, sentant malgré elle une étincelle de plaisir traverser son corps jusqu’au bout de ses seins. Elle s’assit alors dans son lit, toujours aussi bouleversée, mais malgré cela plus satisfaite qu’elle ne l’avait été depuis de nombreuses années. Elle sentait malgré elle poindre une tentation terrible en elle : celle d’embraser cette soumission, de cesser toute résistance pour mieux profiter de son sort, comme Jeanne semblait le faire de son côté. Pareille solution était évidement inacceptable.

Mélanie se leva donc, et retira son peignoir. Elle enfila ensuite une robe légère dans laquelle elle ne put que remarquer que sa poitrine pointait agréablement. Alors qu’elle recomposait son visage afin de pouvoir descendre manger auprès de son fidèle mari, elle se sentit particulièrement tiraillée entre ses désirs et sa volonté, si fragile face à la puissance brute que son maître avait déchaînée sur sa vie parfois fade.

Alors qu’elle descendait l’escalier, elle repensa au fait que son Maître avait promis de lui rendre visite dès lundi sur son lieu de travail. Les instructions qu’il lui avait données ne laissait que peu de doute sur le fait qu’il ne rechignerait pas à échanger avec ses collaboratrices, dont elle avait d’ailleurs déjà commencé à faire mentalement une liste des plus belles représentantes. Bien qu’elle soit toujours terrifiée par les conséquences qu’allait avoir cette visite sur sa vie professionnelle, elle remarqua avec honte qu’elle ne pouvait plus s’empêcher de ressentir une pointe de curiosité et de désir, à propos de ce qui allait arriver lundi matin.

Elle se doutait d’ailleurs déjà du fait qu’elle ne pourrait probablement pas éviter, en prévention, de consacrer d’ici la fin du Week-end quelques siestes à cette intéressante question.

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Le Vrai Plongeon – Partie 01

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Le vrai plongeon – Partie 1 : Comment tout a commencé

Avant de rentrer dans les parties piquantes de l’histoire, il faut tout de même introduire le background de ce qui a conduit l’histoire au stade auquel elle est aujourd’hui. C’est l’objectif de cette première partie qui va rappeler rapidement le passé de notre héros (on peut encore l’appeler ainsi à ce stade) pour que vous puissiez bien comprendre que tout ne s’est pas fait en un jour, mais que ça a été un long processus, et que le véritable plongeon n’a été provoqué que par ce cheminement progressif.

Louis est un jeune homme de 25 ans. Sur le plan professionnel, il a toujours bien réussi. Sorti major de sa promotion en licence et en première année de master, il est maintenant dans sa dernière année d’études qui va le conduire à travailler pour une très grande firme internationale, ce qui a toujours été son rêve. Tout est planifié : son stage de fin d’études dans cette entreprise, l’embauche qui devrait en suivre, et une carrière toute tracée dans le domaine financier.

Côté personnel, c’est un peu plus compliqué. Il est à l’aise à l’oral, il sait parler aux filles et les intéresser. Ce n’est pas un timide qui ne sait pas aligner deux mots à une fille et perd leur intérêt très rapidement. Le problème n’est pas ici, mais il est ailleurs : il n’arrive pas à conclure. Pourquoi? S’il le savait, il n’aurait probablement pas été dans la situation dans laquelle il est aujourd’hui.

Dès qu’il en vient à prendre les devants pour embrasser la fille ou la ramener chez lui, il a toujours eu un certain blocage, qui s’ensuit pas une situation parfois malaisante. Les rendez-vous se terminent le plus souvent en bons amis. La fille trouvera rapidement quelqu’un d’autre pour satisfaire ses désirs, et lui répètera ce cycle jusqu’à tomber sur une exception. Ce n’est pas fréquent, mais ça lui arrive de temps en temps.

Il tombe sur cette fille qui prend elle les devants. L’embrasse, le ramène chez elle.

Ces filles sont dominantes, sûres d’elles, et c’est ainsi qu’il s’est progressivement construit ses envies et ses fantasmes. Son envie d’une femme dominante, bien au-delà de simplement être au-dessus ou de contrôler le rythme pour décider quand il sera autorisé à terminer.

Le véritable tournant sur ce changement dans ses envies a été la rencontre avec Sarah durant la deuxième année de ses études. Blonde, yeux bleus, visage d’ange avec un regard de diablesse. Un corps qui envouterait n’importe qui. Des fesses bombées sans être trop volumineuses. Des seins qui tiennent tout juste dans les mains. Il l’a rencontré dans la cafétéria de son école supérieure alors qu’il faisait la queue pour se chercher un café. Ils ont discuté et le courant est passé rapidement. Elle lui a proposé de se retrouver après les cours pour un verre. Naturellement, il a accepté sans réfléchir. Il était déjà sous son charme.

Ils se sont donc retrouvés plus tard dans la journée dans un bar proche de l’université. La soirée était folle. C’était comme s’il se connaissait depuis toujours. La conversation était naturelle, drôle et excitante à la fois. Le temps est passé très rapidement. 22H est arrivé très rapidement et il était l’heure d’aller manger un morceau pour elle. Elle mourrait de fin. Ils se sont donc levés pour payer (il l’invita) et une fois à la porte du bar, la situation gênante habituelle se reproduit. Il n’osait pas l’embrasser. Et puis ce cadeau du ciel lui tomba dessus. Elle lui sourit en le fixant dans les yeux, se rapprocha doucement et l’embrassa, en ne fermant les yeux qu’au dernier moment. La sensation était incroyable! Il était amoureux alors qu’il ne la connaissait que depuis quelques heures. Cette fille si parfaite. Il savait qu’il avait certains atouts pour plaire, mais il est loin d’être dans le top masculin. Il mesure 1m80 pour 65kg, maigre mais gaziantep escort numaraları tout de même athlétique, pas forcément musclé mais pas forcément faible non plus. A tout cela s’ajoute un visage dans la moyenne, il doit au moins être dans le top 60%, mais pas forcément dans les 50 premiers pour-cent.

Pourtant cela n’a pas empêcher cette fille, qui elle devait par contre être dans le top 10% au minimum, de l’embrasser. Il se sentait comme un joueur qui aurait sauté 4 divisions. Elle le sortit de ses pensées en lui demandant s’il voulait venir chez elle pour le repas. C’était très clair comme proposition. Le dessert serait probablement sur place, il n’en revenait pas. Encore une fois, il accepta sa proposition sans hésiter. Encore une fois, c’est elle qui décidait et dessinait le chemin de la soirée, il était un simple passager embarqué sur une route de bonheur.

Sur le chemin de chez elle, ils ont commandé leur repas qui allait être livré dans une vingtaine de minutes. Son appartement n’étant qu’à 10minutes du bar où ils étaient, ils avaient encore une dizaine de minutes à patienter lorsqu’ils sont arrivé. Le temps fut tué en baisers et câlins sur le canapé. Il était excité comme un adolescent sa première fois, comme jamais auparavant. Il coulait en continu dans son caleçon, cette fille était tellement excitante. Mais la sonnette de l’appartement le sortit de cette situation fantastique. Le livreur était là. Elle répondit et le fit monter. Elle accueille le livreur avec la même énergie que lorsque eux s’étaient rencontré dans la journée. C’est une femme diaboliquement sexy, qui le sait, et qui aime voir son effet sur les hommes. C’est évident.

Le repas se déroula comme le verre dans le bar. Magnifiquement bien. Mais plus les assiettes se vidaient, plus une sensation bizarre envahissait Louis. Il commençait à se poser des question, à appréhender la suite de la soirée. Allez t-il vraiment être capable de satisfaire cette déesse? Allait-il tenir suffisamment longtemps? Est-ce que son sexe est assez grand pour elle? Est-ce que son corps est assez séduisant? Tant de question qui fit monter en lui progressivement un stress qui s’amplifiait de plus en plus. Impossible que Sarah ne le remarque pas. Et effectivement, elle le sentit et essaya de détendre l’atmosphère en jouant la surprise : « Oh! Ne me dis pas que stresse pour une fille qui te ramène chez elle le premier soir. Elles doivent toutes vouloir te ramener ». Il savait que ce n’était pas vrai, mais il apprécia l’intention.

La soirée continua son chemin, et pris une nouvelle tournure lorsqu’ils se retrouvèrent nus sur le canapé. Impossible d’avoir une érection. Comment est-ce possible? Ça ne lui était encore jamais arrivé. Le stress probablement. Ça va venir. Il commença donc les préliminaires en l’embrassant partout et en descendant progressivement. Il commença à lui faire un cunnilingus et dit qu’il allait avoir une érection tout naturellement. Ce ne fut pas le cas.

Presque une heure passa et toujours rien. Elle était déjà à son deuxième orgasme et voulait lui rendre la pareil. Elle le rassura en lui disant que ce n’était pas grave, que ça pouvait arriver, mais qu’elle était sûre que sa bouche allait résoudre le problème. Elle commença donc à lui faire une fellation. Mais rien à faire. Son sexe ne voulait pas se lever. Elle abandonna donc la tâche mais continua de le rassurer en lui disant que ce n’était pas grave, que ça arrivait. Lui n’en revenait pas. Il était encore plus stressé qu’au début. Il avait peur de la perdre la-dessus. Qui voudrait d’un impuissant?

C’est ainsi qu’il lui proposa de continuer à s’occuper d’elle, en espérant qu’au moins si elle avait plusieurs orgasmes, elle passerait une bonne soirée et aurait tout de même envie de le revoir. Elle gaziantep escort reklamları accepta en lui avouant qu’elle était un peu nymphomane, qu’elle adorait le sexe plus que tout, et que si ça ne le frustrait pas, elle aimerait en effet qu’il s’occupe d’elle. Mais … Avec un de ses jouets. Elle mourrait d’envie de se faire prendre.

Il s’occupa donc d’elle toute la soirée. Elle, à quatre pattes. Lui, son gode de 20 cm de long et d’au moins 4cm de large, qui augmenta encore davantage ses complexes lorsqu’il le pris en main. En effet, il n’atteint que 14 centimètres en pleine capacité, sans parler de la grosseur qui n’atteint au mieux que la moitié.

Après presque deux heures de plus à s’occuper d’elle, elle lui déclara qu’elle était épuisée et complètement satisfaite. Qu’elle se sentait prise et ouverte comme une bonne salope et qu’elle aimerait aller dormir. Il pouvait l’accompagner s’il voulait. Ils se couchèrent donc ensemble, mais lui ne s’endormît pas immédiatement, trop frustré de ne pas avoir été capable de bander.

Le lendemain matin, c’est elle qui le réveilla. Et cette fois-ci .. son sexe était fièrement dressé. L’érection matinale avait pris le dessus sur son stress. Ses 14 centimètres étaient au garde à vous. Elle se mis à 4 pattes au-dessus de lui, l’embrassa langoureusement puis descendit doucement en ne lâchant pas son regard. Elle commença à lui embrasser son sexe, à le lécher de haut en bas, tout en s’interrompant de temps en temps pour s’intéresser à ses couilles. Et puis d’un coup, après une remontée douce, elle avala tout son membre, toujours en maintenant son regard. Et elle commença les va et vient. C’était trop, il ne pouvait plus tenir. Elle a dû faire au maximum une vingtaine d’aller-retour avant qu’il explose. Elle fut prise par surprise mais continua ses va et vient. Elle avala tout jusqu’à la dernière goutte. Tout du long, les regards de Sarah et de Louis ne se sont pas quittés. Et puis elle finit par lâcher son sexe et remonter pour l’embrasser. Il avait une forte appréhension mais il la laissa faire, n’étant pas fier d’avoir tenu si peu de temps, il ne voulait pas jouer les mecs qui décident. Elle l’embrassa donc langoureusement avec la langue, et ce fut la première fois qu’il eut un aperçu du goût du sperme. Pas agréable, mais pas désagréable non plus.

Et puis c’est à ce moment qu’elle lui lâcha la bombe. Elle aimait sa personnalité, mais le sexe est trop important pour elle. Elle n’est pas prête à mettre de côté ses aventures sexuelles trépidantes pour une relation stable si celle-ci ne la satisfait pas entièrement sexuellement.

Ils ont donc décidé de rester ensemble, parce qu’ils s’aimaient bien, mais qu’ils auraient une relation libre. Au final, seul elle eut une relation libre avec de multiples relations sexuelles. Lui n’était déjà pas capable de satisfaire une femme, il n’allait pas se compliquer encore davantage la tâche. Et c’est ainsi qu’il passa plusieurs mois dans une relation de cocu. En effet, il n’y avait qu’elle qui se faisait prendre en dehors de la relation. Parfois même alors qu’il était dans son appartement. Elle adorait jouer la scène du colocataire. C’est d’ailleurs ainsi qu’il goûta pour les premières fois le sperme d’autres personnes. Car même si elle prétendait s’être lavé avant qu’il s’occupe d’elle avec sa langue, parfois il sentait qu’il n’y avait pas que ses fluides à elle. Etait-ce volontaire? Est-ce que cela excitait Sarah? Il ne le saura jamais.

Ces 5 mois de relation avec Sarah conduisit Louis à aimer encore davantage les femmes dominantes, et à plonger de plus en plus dans les envies et fantasmes dans lesquelles il vit pleinement aujourd’hui.

C’était difficile d’avouer à l’époque que le fait d’être dans l’appartement alors que sa copine se gaziantep escort telefonları faisait prendre était excitant pour lui. C’était difficile d’avouer que quelque part, lui faire un cunnilingus après qu’elle ait eut une relation était enivrant, excitant. Et il n’arriva jamais à surpasser ses éjaculations trop précoces avec elle, tellement chaque scène avec Sarah était excitante pour Louis.

La relation se termina lorsque Sarah rencontra un véritable étalon. Et même lui doit avouer qu’il était très attirant, et que c’était la représentation parfaite du mâle alpha. Et à ce qu’elle a pu lui dire, son sexe était également très alpha. Ils se quittèrent néanmoins en très bons termes, et il leur arriva de se revoir de temps à autre par la suite, où elle lui raconta par moment certaines réalisations avec son nouveau copain avec qui elle est toujours aujourd’hui.

Cette histoire nous amène au prélude de la véritable histoire qui sera écrite dans cette histoire. En effet, c’est cette relation, ou plutôt après la rupture, qu’il commença vraiment à tomber dans les fantasmes de cocu d’abord, puis de soumis véritable, et même d’anal plus tard. Il ne faisait plaisir plus que sur ce genre de vidéos, et ne cherchait plus véritablement à avoir des rencontres sexuelles avec de vraies femmes. Il se disait que si elle doit arriver, elle arrivera toute seule. Or, comme vous le savez, ce n’est bien évidemment pas le cas.

Ainsi, il passait ses soirées, lorsqu’il était excité, à se masturber devant des vidéos pornographiques où une femme se faisait prendre devant son copain ou mari. Puis les vidéos où le mari finissait par nettoyer le sexe de sa femme après la relation, ce qui l’excitait vraiment de plus en plus. Ça lui refit monter certains souvenirs de sa relation passée. Qu’est ce qu’il aimerait aujourd’hui voir Sarah se faire prendre violemment par plusieurs hommes, et la nettoyer de partout une fois qu’ils ont tout lâché en et sur elle! Bien évidemment, tout cela sans forcément prendre de plaisir lui même. En effet, la cage de chasteté est rapidement monté dans ses fantasmes dès qu’il a commencé à l’apercevoir dans les vidéos qu’il regardait régulièrement.

Ensuite, la suite normale a bien été de s’acheter une culotte, une paire de collant, de se raser les jambes et les parties intimes (pas les bras pour que ça ne se voit pas de l’extérieur) et de commencer à expérimenter la féminisation. Cela le poussa de plus en plus loin, car avec ses jambes rasées, il appréhendait véritablement de se retrouver nu devant une femme. Il resta donc seul et continua à rentrer de plus en plus dans ses fantasmes.

Il en arriva ensuite à commander un gode, pas aussi imposant que celui qu’il avait utilisé sur Sarah à l’époque, mais tout de même. Et le début des sensations anales commença pour Louis. Ce qui le poussait de plus en plus loin. La cage de chasteté suivit. Et il passait des soirées à se féminiser, s’enculer devant des vidéos de soumission, en chasteté, avant de se finir tout de même en enlevant la cage et en branlant. C’était en effet trop dur de tenir en cage après tant d’excitation.

Et puis un jour, un article le marqua définitivement : il lut que 80% des femmes se battent pour seulement 20% des hommes. Ce fut une sorte de déclic. Il accepta sa place de soumis et voulait maintenant le montrer, mais sans oser véritablement franchir le pas. Quelques exhibitions en ligne et sur les chats, mais ça s’arrêta là. Jusqu’au jour où démarre notre histoire.

Ce jour là, Louis décide de vouloir expérimenter les sensations exhibitionnistes sans vraiment le faire. Comment? Il va se rendre à une soirée organisée par ses amis avec des dessous féminins uniquement : collants et culotte, ainsi que sa cage de chasteté, pour laquelle il compte laisser la clé chez lui, pour ne pas être tenté de l’enlever dans les toilettes, et un plug, pour se sentir plein sans que personne ne le sache. Avant de partir, un rapide nettoyage de l’intérieur et l’appréhension de cette soirée l’excitant tellement, il décide de prendre son gode et de se pénétrer très fortement avant de partir, pour faire redescendre un peu l’excitation. Il prend ensuite la route et direction la soirée dans un bar de nuit très fréquenté de sa ville.

A suivre …

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La débauche de Tania

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Asian

Cela fait maintenant 2ans que je suis avec Marc.

2ans déjà que j’ai quitté mes parents….sans aucun regret je le confesse.

J’ai rencontrée Marc sur un chat virtuel. Un truc en 3d, c’était assez sympa car on pouvait être tout ce que l’on voulait.

Sorcier, démon, petite écolière, classique, élégante,… tout était possible. Le pire aussi.

En fonction de mes humeurs et de mes envies j’étais soit une vampire en quête de sang, soit une fille classique, soit une petite écolière sexy.

C’est sur ce chat que j’ai rencontrée Marc.

J’avais 18ans à ce moment-là (j’avoue j’ai triché sur mon âge lors de mon inscription) et lui affichait 57 à son compteur.

J’étais dans une room classique, cherchant le dial sans prise de tête, un peu de délire…bref de quoi passer le temps.

Il m’a contactée en privé directement. D’habitude je ne répondais jamais à ce genre de contact, trop «direct»…mais là pour une raison que j’ignore j’ai répondue tout aussi gentiment.

Les conversations étaient quasiment toujours les mêmes, elles commençaient toutes par:

‘tu es d’où?’ ou ‘salut, ça va?’

C’est ainsi que j’ai appris qu’il était divorcé, avec un enfant mais qu’il ne voyait plus depuis longtemps. Qu’il avait 57ans, aimait se promener avec ses chiens, qu’il était fan de moto et qu’il ne travaillait pas, profitant d’une retraite confortable.

Moi j’étais étudiante, vivait chez mes parents, fille unique, 18ans et demi, j’aime sortir, m’amusée, lire, avoir du plaisir, rire,…

On discutait tranquillement, parlant de la pluie et du beau temps, de mes études, de sa passion,…

Il très agréable.

Il m’invite alors dans sa room privée pour continuer le dial.

Je n’ai pas refusée car la room publique commençait à se remplir et j’étais parasitée par plein de messages.

Je m’attendais à un truc glauque et sombre (c’est très courant dans ce genre de chat), mais non, il avait réalisé une superbe room privée.

C’était un flat, avec une piscine dans le jardin, un salon, une salle à manger, une cuisine avec bar, une chambre à coucher à l’étage.

Bref, un espace 3d très conviviale et très réaliste.

Bien que ce n’était que du virtuel, je trouvais qu’il avait énormément de goût, au point de rendre cet espace presque réel.

Dans cette situation, on mélange le roleplay avec le dialogue «normal». J’étais assise dans son divan, il me propose quelque chose à boire avant de s’installer gaziantep escort ilanları lui aussi.

Notre conversation reprend alors, on explore un peu plus l’autre par le jeu des questions/réponses.

Mais comme on est en privé, on peut se permettre des questions plus…osées.

A ce petit jeu, j’étais championne pour déstabiliser mon interlocuteur.

Je lui pose directement la question: pourquoi m’as-tu contactée?

Sa réponse : parce que j’apprécie la compagnie d’une jeune fille cultivée. Et tu me sembles être intelligente et avoir de l’humour, ce que j’apprécie énormément.

Et sans attendre, il me retourna la question.

Prise à mon propre jeu….le comble.

Je me suis accordée un petit moment de réflexion avant d’écrire : j’apprécie la compagnie de personne plus âgée car elles sont plus intelligente et plus ouverte d’esprit.

Ensuite j’ai repris le fil de la conversation en l’orientant vers ses hobbys, ses passions.

L’intimité de sa room, l’absence d’autre personnes, ouvrait le dialogue.

Sans détour il m’écrit alors qu’il était naturiste et nudiste.

«Quel est la différence?

Pour lui le naturiste est plus ouvert d’esprit qu’un nudiste.

J’étais troublée mais il repris alors la conversation.

«Ça ne te choque pas?»

«Non bien sûr que non, chacun est libre de vivre sa vie comme il le souhaite» et j’étais d’autant plus d’accord avec lui que j’appréciais être nue dans ma chambre.

Ensuite nous avons échangés quelques photos, il était très mignon pour son âge.

Une légère barbe de quelques jours, des cheveux court, couleur poivre sel.

Ça lui donnait un air très sérieux.

Mes photos étaient plus simple…moi en soirée, moi dans ma chambre,…bref des selfies classique.

Ces commentaires était agréable à entendre…jolie, mignonne, ravissante,…

Petit à petit on glissait vers un moment plus câlins. Le cadre était propice.

Un espace virtuel agréable, deux personnes qui s’entendent,…

Il me demande alors ce que j’aime dans une relation avec un homme.

Je lui répond en toute franchise que c’est avant tout la maturité et l’ouverture d’esprit qui m’attire chez un homme.

Outre cela, je dois ressentir une attirance physique, l’envie de me blottir dans ses bras, contre lui.

Et je lui avoue alors que c’est ce que je ressens en discutant avec lui.

Prise gaziantep escort kadın dans le jeu du virtuel, mélangeant la réalité et l’irréel.

Nos rencontres «virtuelle» se multipliaient, on se voit tous les jours. On discute, on s’échange des petits mots, petit à petit on envisage un premier rendez-vous.

Le problème est que je vivais alors chez mes parents, ceux-ci ne pourraient pas comprendre mes envies, mes pulsions…il était nécessaire que je manœuvre habilement pour éviter les ennuis.

Finalement on a convenu d’un premier rendez-vous dans un cinéma pour une séance au matin.

Ce genre d’endroit à l’avantage d’être facile d’accès, la salle est plongée dans le noir ce qui donne certains avantages,…

Le jour J j’étais prête. Un peu angoissée mais déterminée.

Je portais pour l’occasion une jupe courte foncée, un leggings noir, un chemisier en laine ouvert sur le devant et mes bottes.

Un léger maquillage, quelques gouttes de mon parfum préféré et j’étais en route pour le cinéma.

Il m’a envoyé les consignes pour notre rendez-vous par sms, je devais l’attendre au bar du cinéma, il me retrouvera sur place après avoir acheté les tickets.

Je m’impatiente, je remue dans le fauteuil en sirotant un soda…je scrute chaque personne qui entre dans le bar.

Jamais je ne me suis sentie aussi…excitée..oui c’est le mot…excitée.

Il entre alors, je le repère tout de suite.

Conforme aux photos que nous avions échangée.

-Bonjour Tania, enchanté de te voir en réel.

-Bonjour Marc, c’est gentil, moi aussi

-Tu es encore plus jolie que sur tes photos.

Je rougis immédiatement.

-Et tu es encore plus jolie quand tu rougies.

Il était assis devant moi.

-On a encore le temps avant le film, tu veux boire quelque chose?

-Je suis servie, merci.

Il glissa un papier sur la table et me demanda de le lire.

«Tu vas te lever, aller au toilette et retirer tes sous-vêtements. Ensuite tu reviens t’asseoir.

Comme preuve de ton action, je veux que tu me donnes ta culotte une fois dans la salle de cinéma»

Sans dire un mot, je me suis levée et j’ai été au toilette.

J’ai exécuté sa demande.

La sensation était étrange, le leggings frottait entre mes jambes.

J’étais un peu gênée car la situation m’excitait et le leggings augmentait cet état.

A mon retour, il gaziantep escort kız finissait son verre de soda.

-Voilà, c’est fait comme demandé.

-Tu es très obéissante, c’est bien.

On va y aller? le film commence dans 20minutes, mais comme cela on pourra choisir une bonne place dans la salle.

On marchait l’un à côté de l’autre, en se dirigeant vers la salle.

-J’ai pris des billets pour un film pas terrible, qui est dans sa dernière semaine, il ne devrait pas y avoir beaucoup de monde.

Effectivement, la file était très petite, à peine 6 personnes, nous inclus.

La salle était grande, ce qui laissait beaucoup d’espace disponible.

On s’installa tout en haut, dans le coin à droite.

J’étais contre le mur et il était à côté de moi, côté escalier.

Je profitais des publicités pour lui donner mon string et mon soutif comme convenu.

Il les glissa dans sa poche et murmura:«souvenir»

J’attendais avec impatience que la lumière s’éteint, que les publicités s’arrêtent…et que la salle soit enfin plongée dans le noir.

Le film commença.

Il glisse alors une main sur ma cuisse.

Il me murmure à l’oreille «écarte les cuisse et pose une main sur mon entrejambes »

Sa phrase finie, ma main était entre ses jambes.

Il avait déboutonné son jeans, je sentais sa verge se gonfler dans le creux de ma main.

Il n’était pas en reste, une main avait commencé à déboutonner mon chemisier et ses doigts me caressaient entre les cuisses.

Je devais mordre sur mes lèvres pour ne pas gémir de plaisir.

Il avait remonté ma jupe et glissait sa main dans mon leggings.

Son autre main s’occupait de mes petits seins, avec ses doigts il caressait les bouts, les tirait un peu, les malaxais.

J’avais de plus en plus de mal à me retenir, je me tortillais sur mon fauteuil.

Mes doigts caressait sa verge qu’il avait sorti. Elle était raide comme un piquet.

-Ne t’occupe pas de ma verge, caresse là. Laisse-moi m’occupée de toi.

Tu auras tout le temps de t’en occupée plus tard.

Ses doigts caressait mes lèvres intimes, taquinais mon clitoris.

Il glisse 2 doigts;

Il tire sur mes tétons;

Il glisse 3 doigts, les fais entrer et sortir plus rapidement.

Je mord ma main pour ne pas gémir de plaisir.

La séance se termine, il me fait signe de me rhabiller.

Les lumières se rallument, il se lève et me demande alors:

-Tu as quelque chose de prévu, tu dois rentrer maintenant ou on a encore un peu de temps?

Encore un peu à bout de souffle, j’ai alors répondue que je n’avais pas donnée d’heure pour rentrer. Du moment que je suis de retour pour 22h00. (il était alors 13h00)

-Bien, c’est parfait. Tu veux continuer?

Sans hésiter un instant j’ai répondu par l’affirmative en hochant la tête.

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Institut PAVO Ep. 04

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Considérant l’urgence de la situation, Madame La Directrice proposa à Madame La Duchesse de se venger immédiatement de l’infirmière Melissa par la punition de son choix.

« Voulez-vous que l’infirmière Melissa soit punie maintenant ou bien préférez vous attendre »

– Je veux une punition immédiate, qu’elle comprenne bien ce qu’elle m’a fait endurer et qui je suis!

– Très bien Madame La Duchesse

Madame La Directrice appela le service des gardes sur son téléphone :

«Envoyez 3 gardiennes ici en salle des sels de pieds, pour venir chercher puis accompagner l’infirmière Melissa au premier sous-sol dans la salle des supplices numéro 1. Préparez la sur le banc Y »

– Bien Madame La Directrice

A ces mots, et sachant parfaitement ce qui l’attendait, l’infirmière fut instantanément prise de panique, et supplia :

« Par pitié! Madame La Directrice! Pas ça! C’est trop horrible! Vous ne pouvez-pas me torturer de la sorte! Pas le banc, pas le banc par pitié. Ce n’est pas de ma faute, je ne savais pas qu’il s’agissait de Madame La Duchesse.

« – C’est bien ça le problème infirmière Melissa, » lui répondit la doctoresse Diana. « Vous auriez du vous renseigner avant » continua-t-elle.

« – Mais docteur, vous me connaissez, et vous savez que je ne résisterai pas à ce supplice. Je suis bien trop chatouilleuse. Je vous en supplie. Vous vous souvenez de ce qui est arrivée à la dernière suppliciée sur ce banc : elle est devenue folle de rire, elle a mis des jours à s’en remettre. »

«- Vous n’aviez qu’a réfléchir avant » rétorqua Madame La Directrice

« – Tout cela m’intrigue beaucoup : c’est quoi ce fameux banc Y? » s’enquit Madame L’Inspectrice

« – Vous le découvrirez bien vite suivez-moi », proposa La Directrice à Madame La Duchesse, à l’ Inspectrice et à la doctoresse Diana.

Trois gardiennes pénétrèrent dans la salle des pieds, et s’emparèrent de l’infirmière qui se débattait comme une lionne, tentant de s’échapper à leur emprise tout en vociférant et suppliant comme une folle. Pendant ce temps, la Directrice, l’Inspectrice, la Duchesse et la doctoresse sortirent de la salle des sels de pieds pour se diriger vers une porte située au fond du long couloir de l’aile du service de pédicurie. Cette porte était munie d’un important dispositif de sécurité limitant l’accès et surtout la sortie au seul personnel autorisé. Cette porte ouvrait sur une deuxième couloir plus court, au bout duquel se trouvait une seconde porte également ultra sécurisée. Dans ce couloir se trouvait une pièce occupée par deux gardiennes et par de nombreux écrans montrant chacun une pièce du premier sous-sol. La plupart des écrans montraient des cellules de prison, certaines vides, d’autres occupée par des prisonnières toutes habillées avec le même uniforme de couleur rose.

« -Madame La Directrice? » demanda une des gardiennes de la petite salle

«- Nous allons dans la salle des supplices numéro 1. 3 gardiennes vont venir avec l’infirmière Melissa dans quelques minutes »

« -Bien Madame La Directrice. Je vous ouvre »

Suite a l’ouverture de la deuxième porte, les 4 femmes s’engagèrent dans une cage d’escalier menant au premier sous-sol, et même a un deuxième (!). La Directrice ouvrit la porte numérotée SS1 qui donnait sur un vestibule avec deux lourdes portes en bois sur la gauche et en face, et un long couloir sur la droite. Le long couloir était encadré de nombreuses cellules munies de barreaux permettant ainsi de voir les prisonnières. La Directrice ouvrit la lourde porte en bois sur la gauche porte munie d’un écriteau « Salle des Supplices numéro 1 ».

A l’ouverture de celle-ci, l’Inspectrice et Madame La Duchesse restèrent bouche bée.

La salle, de style médiéval, était gigantesque et munie de très nombreux équipements de bondage et de torture : des tables en bois munies d’anneaux et de grandes roues et tambours avec des chaînes, parfois avec des carcans en bois munis de trous pour poignets ou chevilles, des anneaux avec des chaînes fixées aux murs de pierre, une espèce de boite de magicien avec des trous aux extrémités, des croix de Saint André. Parmi ces innombrables appareils se trouvait donc le fameux banc en Y.

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Comme son nom l’indique, celui-ci permettait d’attacher la victime en position de Y avec ses bras tires ensembles en arrière très loin derrière la tête, les poignets joints dans des anneaux métalliques, et les jambes largement écartées, les chevilles enserrées également dans des anneaux métalliques. La victime était en général complètement nue et ainsi parfaitement exposée.

La Directrice, telle une guide de musée, expliqua le rôle de ces différents instruments, lorsqu’elle fut interrompue par l’arrivée des 3 gardiennes emmenant l’infirmière Melissa menottée dans le dos, qui se débattait et vociférait de plus en plus violemment.

« -Lâchez moi!! mais lâchez moi! Laissez-moi partir!! Je vous en prie! Non! Non! Ne me gaziantep escort bayan torturez pas, pas comme ça, pas le banc, pas le banc à chatouilles, par pitié je ne supporte pas les chatouilles »

« -Déshabillez la et installez-la sur le banc à chatouilles » ordonna La Directrice.

L’infirmière tenta vainement de s’échapper lorsque les gardiennes lui ôtèrent ses menottes, et la déshabillèrent, mais elles finirent par y arriver s’opposant avec force aux véhémentes ruades nerveuses d’une Melissa, pratiquement en pleurs et au bord de la crise de nerfs. Elles l’attachèrent sur le banc avec beaucoup de difficulté face aux vives réactions de Melissa qui leur glissait entre les mains et les bras à plusieurs reprises.

Melissa se retrouva ainsi attachée horizontalement par les poignets lies ensemble très loin derrière sa tête, et par les chevilles écartant largement ses jambes. Elle était complètement nue, son corps tendu à l’extrême à la merci du vice de ses tortionnaires. Et quel corps magnifique! Son ventre naturellement plat était creusé par la position très étirée de son corps ; sa taille était fine ; ses seins lourds de taille moyenne se dressaient fièrement vers le plafond de la salle de torture. Ses aisselles très creuses, étaient parfaitement lisses ; ses longues jambes fines se terminaient par des pieds d’une rare beauté : pied grec, deuxième et troisième orteils particulièrement longs, les autres en escalier, le tout dans un dégradé de taille d’une rare élégance, tous les orteils en extension vers l’arrière, révélant une plante de pieds très fortement cambrée, fine et blanche en son milieu, liant un talon bien rond de couleur plus rosée et la partie charnue située sous la base des orteils particulièrement large. Ses longs orteils étaient comme relies sous forme d’une pointe triangulaire. La plante était tellement cambrée, que la partie charnue située sous les orteils était très avancée par rapport au talon.

«- Et bien dites-donc, je ne savais pas que vous aviez des infirmières aussi sexy! » s’exclama sans filtre la Duchesse

« -Oui en effet, c’est incroyable, vous les avez sélectionnées aussi pour leur physique? » demanda l’Inspectrice

« – Oui en effet les critères physiques sont aussi importants que ceux lies aux connaissances des pieds et des soins de pédicurie. Parmi ces critères physiques et physiologiques il y a le type de pieds, et ceux-ci sont un excellent exemple de ce que nous recherchons, mais aussi la beauté du ventre, et la sensibilité aux chatouilles. Toutes nos infirmières sont très chatouilleuses. » expliqua La Directrice.

«- Vous allez pouvoir le vérifier immédiatement, car, vous l’avez bien compris, elle va être punie par le supplice des chatouilles intégral. Le Docteur Diana est une experte dans ce domaine mais cette fois ci nous allons lui donner un coup de main. Je propose donc que le Docteur Diana lui chatouille un de ses pieds nus, pendant que Madame La Duchesse lui chatouille l’autre pied. Pour ma part je vais lui faire des chatouilles sur le ventre (j’adore ca!), et Madame l’Inspectrice, si vous le voulez, je vous invite a lui faire des chatouilles sous les aisselles » proposa La Directrice.

Melissa était maintenant en panique totale, et n’arrêtait pas de supplier :

« -Non! Non! Pitié! Pas les chatouilles! Pas les chatouilles! Je ne supporte pas ça! Par pitié! Ne me faites pas de chatouilles! Pas attachée comme ça je vous en supplie ayez pitié, c’est une torture horrible! Pas ça! Pas les chatouilles je vous en prie… » supplia-t-elle

Mais, très excitées, les 4 tortionnaires se dirigèrent près de leurs cibles affectées.

Tout en suppliant, le regard apeure de l’infirmière se porta successivement vers chacune d’elle avec un air suppliant espérant de la clémence d’au moins l’une d’elle. Elle regarda aussi ses propres orteils longs et élégants qu’elle maintenait en extension vers l’arrière, ou vers son propre ventre nu creusé par son corps tendu à l’extrême par le banc du supplice des chatouilles.

La doctoresse ouvrit le bal en passant délicatement l’ongle long de son index depuis le talon jusqu’à la base des orteils. Ce simple geste anodin fit instantanément tourner le pied nu de Melissa vers l’arrière par pur réflexe, ses pieds n’ayant pas été touchés par quiconque depuis fort longtemps.

«- Oh! Serait-on chatouilleuse des pieds? » demanda faussement la doctoresse tout en souriant

Melissa fixa intensément les orteils de son pied nu pendant que la doctoresse continua de lui chatouiller la plante de son pied nu avec juste son ongle d’index. L’infirmière essayait de résister tant qu’elle put, mais bientôt, elle se mit à rougir, et elle sentit le rire monter depuis les profondeurs de son ventre. Puis un petit rire incontrôlable et très aigu finit par sortir de sa bouche, son regard toujours hypnotise par ses propre orteils qui frétillaient sous les guilis de ses plantes :

«- mhiii! Hiiii! gaziantep escort bayan ilanları Ca!!! hahaha..!!! hihihihi!! Ca .. ca chatouille hahahaha…!! Madame La doctoresse! Hahaha! Arretez … hahaha…arretez de me chatouiller les pieds!!!! hahahahaha!!! ca chatouillllle!! Hahaha! Ca fait des guilis!!! hihihi!!!»

Mais la doctoresse, de plus en plus excitee lui dit :

«- mmm! Ca fait des guilis hein? hihi!! guiiiili guili guili…guili guili guili…on est treeees chatouilleuse des pieds hein? C’est horrible les ongles longs sous la plante des pieds hein? Guili guili guili… » dit-elle, cette fois-ci en agitant les 5 ongles de sa main droite gratouillant ainsi la profonde cambrure de la plante des pieds faisant grimper d’un cran l’intensité des chatouilles.

Le rire et les suppliques de Melissa augmenta en intensite :

«- wuuuuuAAAHAHAHAHA! Pas les ongles sous les pieds! Hahahaha! pas les chatouilles!! hahahah!!! HAHAHAHA!! Hihihihi!!…. hihihihi!! c est insupportable!! Madame la doctoresse, arretez de me chatouiller les pieds…pas les pieds pas les pieds …hahahahaha!! »

Puis, tout en continuant a chatouiller les pieds de Melissa avec ses ongles longs, la doctoresse fit un geste de la tete a la Duchesse qui n’attendait que ce moment pour se venger des tortures subies dans la salle des sels de pieds. Elle avait des ongles également très longs ; elle commença par agiter ses ongles d’index et de majeur sous la plante des pieds nus de Melissa depuis le talon jusqu’aux orteils en les passant bien dans le creux de la plante des pieds, et par la base des orteils ; tout en promenant ses ongles longs elle leur faisant effectuer des petits mouvements de va et vient répétitifs si caractéristiques des chatouilles avec les doigts.

La pauvre Melissa bouillait littéralement sous les chatouilles de ses deux plantes de pieds nues par les ongles longs de ces deux femmes, l’une experte et l’autre mue par un immense besoin de vengeance. Elle ne pouvait plus se retenir, et son petit rire aigu se mua en un rire plus profond encore, ses supplications devenant de moins en moins compréhensibles :

«- BwuuuuaaaaAHAHAHAHA!! HAHAHAHAHA!!!… pas caaa…!!!! ca chatouilllllle!!! ca chatouilllle les PIEEEEDS!!! hahahahah!!!! je suis horriblement chatouilleuse des pieeeeeedsss!!hahahahaha!!! hahahahah!!! arreteez les chatouilles sous la plante des pieds!!! par pitieeee!!!! hahahaha…pas les pieds pas les pieds » hurla-t-elle tout en agitant sa tête de droite a gauche, ou fixant longuement les longs orteils frétillants successivement de son pied droit et de son pied gauche ; ses pieds se tordaient dans des contorsionnons incroyables tantôt écartant largement les orteils ou bien les resserrant changeant leur couleur du rouge au blanc, plissant ou au contraire déplissant la peau nue de ses grandes plantes de pieds immensément cambrées.

La Duchesse, en état d’excitation intense sous les agitations des élégants pieds nus et sous les explosions de rire de Melissa, décida d’augmenter encore l’intensité du supplice des chatouilles, en chatouillant les pieds avec la pointe acérée de ses 10 ongles longs : ainsi, elle agita dans tous les sens les 5 ongles longs de sa main droite chatouillant a l’extrême la peau nue si chatouilleuse du creux vertigineux de la plante de pied, tandis qu’elle gratouillait les dessous des longs orteils avec les 5 ongles longs de sa main gauche de bas en haut et de haut en bas raclant bien la peau nue également horriblement chatouilleuse.

Pendant ce temps, la doctoresse, raclait intensément de bas en haut puis de haut en bas les immenses creux de la plante des pieds nus avec les ongles d’une main, ou bien faisait des petits mouvements circulaires, ou bien encore faisait faire la marche du petit cheval avec ses ongles d’index et de majeur de bas en haut et de haut en bas encore et encore, tandis qu’elle chatouillait les orteils longs avec ses ongles d’index et de majeur de l’autre main.

Sous l’effet simultané et combiné de ces abominables chatouilles procurées par ces 20 ongles longs sous ses pieds nus, l’infirmière Melissa tenta désespérément de supplier au milieu d’un concert de rire débridé:

«- bwuuuaaaAHAHAHAH!…HAHAHAHAHAHA…!!! hihihihihiiiiihihihihi.. paahahaha ..caaaa….ccaaaaahahaha.. ghiiiihihihiii!! HIHIHIHIHI!!!! Hahahaha.arreteeeeeezz les chaaaaaaaa…. les chaaaatouiilllllless!!!! paaaas sous les pieeeeeeeds!!!! hahahahaha!!! pas sous les pieds nuss!!!! hahaha… pas les ongles hahahahaha!!!! pas la plante! Pas sous la plante des pieds!!! arretez le suppliiiiiice des chatouilles!!!! Paaaas les chatouilles!! hahahaha!!!..ghiii!!! je suis trop chatouilleuse des pieds … hahahaha»

« -Oh! Ca fait des chatouilles? On est donc tellement chatouilleuse des pieds? Guili guili guili sous la plante des pieds nus ….guili guili guili… » répondit la doctoresse d’une voix très excitée.

C’est a ce moment, gaziantep escort bayan reklamları et sous ces rires incontrôlables, que la directrice décida d’entrer en action. Elle s’agenouilla près de la taille de la suppliciée hurlante de rire, et effectua des petits mouvement répétitifs avec la pointe de ses ongles longs d’index et de majeur de sa main droite effleurant et chatouillant la peau fine et douce du ventre nu et creux de Melissa, tout en souriant.

« -Dis-moi, serais-tu également chatouilleuse sur le ventre hein? guiiiili guili guili… » demanda-t-elle, tout en fixant ses propres ongles chatouillant délicatement le ventre nu.

Des le premier contact des ongles longs avec la peau de son ventre nu, le ventre se creusa instantanément dans un immense réflexe chatouilleux. Puis, son ventre nu fut parcouru de spasmes sous l’effet des chatouilles, spasmes contractant les muscles de ses abdominaux. Bientôt son ventre nu horriblement chatouilleux, ne fut plus qu’une sorte de machine a rire sous les chatouilles procurées par ces ongles longs impitoyables.

« -Oh mais oui! Qu’est-ce que tu crains les chatouilles sur le ventre! Et les aisselles? » demanda-t-elle tout en effectuant un mouvement de tête a l’inspectrice ; celle-ci s’agenouilla également pour chatouiller les 2 immenses creux des aisselles nues et exposées sans défense avec ses ongles, tandis que La Directrice pinçait rapidement et violemment les creux des hanches de Melissa avec ses ongles.

Sous l’effet simultané des chatouilles de ses plantes de pieds nues, de ses orteils, de son ventre, de sa taille fine, de ses hanches, et de ses aisselles, Melissa devenait complètement folle. Elle hurlait de rire! Toutes les prisonnières du sous-sol pouvait entendre ses intenses hurlements de rire.

« – bwuuuuaaahahahahahha…hahahahahaha….hahahahahaha…ghihihihihihihi..vous allez me rendre folle de rire… hahahahaha…arretez les chatouilles… arretez les chatouilles…pas sous les pieds … hahahahaha… pas les pieeeeds… pas les pieds… hahahaha… pas le ventre… noooon! pitieeee! hahahahaha… vous allez me faire mourir de rire…. hahahaha… pas sous les bras hihihihi… »

Bientôt, ses paroles devinrent incompréhensibles : au milieu des explosions de rire, parfois on entendait quelques mots comme « pieds », « ventre », « bras », « ongles » et bien sur « chatouilles ». Son corps était devenu une machine a rire. Parfois elle n’arrivait même plus a reprendre son souffle tellement ces ongles longs la chatouillaient de partout. Sa tête bougeait de droite et de gauche dans des mouvements de plus en plus violents, ses longs cheveux fouettant l’air. Sa bouche largement ouverte expulsait avec violence l’immense rire arraché du plus profond de son ventre. Ses abdominaux lui faisaient mal a force de rire, mais aussi parce que la Directrice s’amuser parfois a les chatouiller de manière sadique avec la pointe de ses ongles. Parfois, sous les larmes de rires, sa vision troublée fixait désespérément son ventre nu parcouru de spasmes chatouilleux contractant ses abdominaux; puis elle basculait sa tête en arrière pour expulser un immense éclat de rire incontrôlable et contagieux. Tous ces ongles longs de femme qui la chatouillaient sous les pieds, sur le ventre et sous ses aisselles nues, dans cette position complètement vulnérable la rendaient complètement folle a lier.

La torture dura ainsi pendant quatre heure!! Quatre heure de chatouilles extrêmes! Parfois les tortionnaires arrêtaient le supplice des chatouilles pendant une minute lorsque Melissa n’arrivait plus a respirer, c’est a dire lorsqu’elle était prise du fameux rire silencieux, ou que son corps était parcouru de violents spasmes incontrôlables.

Au bout de quatre longues heures insupportables, le visage de la suppliciée était couvert de bave et de larmes; son visage et ses oreilles était rouges comme une tomate; son corps en sueur ; ses cheveux en bataille ; parfois, durant le supplice, l’inspectrice, excitée comme jamais de sa vie, s’est même amusée a chatouiller délicatement les bords des 2 oreilles de la suppliciée leur faisant ainsi des petits guilis-guilis avec la pointe de ses ongles longs générant ainsi d’immenses frissons chatouilleux au corps de la pauvre Melissa. Ou encore, sadique, elle effleurait les bords des narines de la suppliciée avec la pointe de ses ongles créant ainsi d’insupportables chatouilles et démangeaisons, jusqu’à la faire éternuer au milieu du concert de rires. Ou encore elle gratouillait la nuque et le cou de la suppliciée avec ses ongles faisant parcourir son corps de violents spasmes et contractions chatouilleuses. Parfois, La Directrice, s’apercevant de l’effet intense procuré par ses ongles pinçant violemment les hanches de la victime, coupant ainsi parfois la respiration sous l’effet des atroces chatouilles, s’amusait à contrôler le rire et la respiration de la suppliciée.

Puis, la Directrice décida qu’elle en avait eu assez.

« -Bien je crois qu’elle a bien compris sa leçon! » dit la Directrice

« -Nous allons la laisser attachée ici pour qu’elle réfléchisse bien à son erreur » continua-t-elle

– J’espère, Madame la Duchesse, que vous êtes satisfaite »

-Oui, je suis parfaitement satisfaite! Et très heureuse d’avoir pu me venger de la sorte. Quelle séance! Je crois qu’elle s’en rappellera la coquine.

-Et vous Madame l’Inspectrice?

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LATI 02

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Brunette

C’est l’angoisse extrême, ce n’est pas possible! Non! Personne ne viens chez moi à l’improviste.

Pourquoi il n’a pas sonné, en bas de l’immeuble?

Je ne peux pas ouvrir dans cette position, non! Ce n’est pas possible, en plus la porte du salon est grande ouverte, j’ai une vue directe sur l’entrée. Je ne peux pas détacher mes yeux de la porte. C’est une voix de Femme. Qui est ce?

_ Ouvre moi Julien!

En plus elle me connaît, elle m’a appelé par mon prénom, une voisine? Une amie? C’est quelqu’un qui me connaît, c’est sur. Non, ce n’est pas possible, je n’attend personne. En plus elle insiste, elle continue de frapper à la porte.

_ Ouvre Julien, c’est important.

je connais cette voix, mais impossible de la reconnaître, je suis au bord de l’orgasme, je n’arrive pas à réfléchir.

Je n’arrive pas à réagir, à faire quoi se soit, je suis paralysé, au milieu de mon salon, les yeux fixés sur la porte d’entrée, une main sur ma queue, l’autre sur ce gode enfoncé bien au fond de mon cul et avec un plug dans la bouche qui m’empêche de parler.

Non! Non! La porte s’ouvre.

Merde! Merde! Je ne l’ai pas fermé à clef!

Nonnnnnnn!!! Pas elle. C’est LATI qui est là. Comment c’est possible? Que fait-elle devant moi?

Mon coeur s’est arrêté, je suis paralysé, incapable de faire le moindre mouvement. Non! ce n’est pas possible, c’est ma cheffe qui est face à moi. Ma Déesse. mon plus grand phantasme. Elle est là, devant moi. Elle va encore plus me rejeter. Elle va se foutre de ma gueule. Là, c’est sur, je suis grillé, je vais être viré. Je vais passer pour le pire des pervers. Je suis dans une position tellement humiliante.

Elle me dévisage de la tête aux pieds.

Mais Pourquoi, est-elle chez moi? Elle me regarde dans les yeux, je la regarde aussi, je suis hypnotisé. Elle ne se moque pas de moi, elle n’a pas éclaté de rire, au contraire, un grand sourire illumine son visage. Ses yeux me scrutent, tout mon être frissonne. Le temps est suspendu. Je ne peux absolument pas soutenir son regard. Je ne sais pas si je rêve ou si c’est réel. Sans savoir pourquoi, comme dans mes rêves les plus fous, mes désirs si longtemps phantasmés, je ne contrôle pas mon corps. Je tombe à genoux. J’expulse dans le même temps de ma bouche le plug qui rebondit devant moi.

La porte claque, je ne vois que ces bottines en cuir s’avancer. Je n’ose plus lever la tête. Ses talons claquent sur le parquet. Elle s’approche de moi. Le temps est suspendu, elle ne dit rien, elle est a quelques pas de moi, elle ne bouge plus, moi non plus. Mon sexe se dresse encore plus. Je n’ai pas besoin de parler, mon corps exprime mes désirs. Je suis dans une situation hallucinante. Pourquoi je réagis comme ça? Je me suis mis à genoux, cela m’a semblé si naturel, maintenant je me sents si ridicule. Que va-t-elle penser de moi?

_ Julien, petit cachottier, quel spectacle! Whaou, c’est fou, tu es vraiment à poils devant moi!

_ Euh!!!

_ Julien, on dirait que j’arrive au bon moment, tu te fais plaisir à ce que je vois. Whaou! Tu as un sacré attirail, et en plus devant une bien jolie vidéo. Tu ne m’avais pas tout dit. Petit cachottier.

_ Je! Je! Je!….

_ Julien. Je viens d’apprendre beaucoup de choses

_ Je! Je!…..

_ Julien, tu es bien un homme soumis? Tu es bien à la recherche d’une DOMINATRICE?

_ Mais, je! Vous!…..

_ Non ne bouge pas, reste a genoux, tu es parfait dans cette position. Alors, je t’écoute, vas y explique moi.

_ Excusez moi LATI, ce n’est pas possible? Pourquoi? Comment? Que faites-vous là? Comment êtes-vous rentrée? Non ce n’est pas possible!

_ Non ne bouge pas! Reste à genoux! Calme toi. Reste tranquille. Respire lentement. Parle moins vite. On m’a ouvert en bas, un couple charmant d’ailleurs. Je suis là, c’est tout. Répond à mes questions. Allez vas y explique toi.

_ Je! Je! Je!….

_ Alors, parle, qu’est-ce tu attends? Je t’écoute.

_ Excusez-moi Madame LATI, je suis désolé, je ne savais pas que vous alliez passer. J’ai si honte d’être devant vous comme ça. Non s’il vous plaît, oubliez ce que vous voyez, laissez moi me lever je vais m’habiller s’il vous plaît.

_ Julien, ne bouge pas!

_ Euh! Oui mais non! Pourquoi? comment???

_ Julien détend toi. Je t’explique. J’ai déjeuné avec mes anciennes collègues à midi, je viens de les quitter, il y a quelques minutes, j’étais présente quand tu as téléphoné à MARTINE.

_ Quoi?

_ Julien! Écoute moi bien, tu ne sais peut-être pas, mais l’on se voit très régulièrement entre nous, ce midi, quand je suis passée les voir, elles parlaient toutes d’un mec bizarre qui téléphone depuis plusieurs jours. J’ai même eu accès à toutes tes conversations, oui, oui, elles ont tout enregistré.

_ Quoi?

_ Quand tu as téléphoné tout à l’heure, il y avait le haut-parleur, nous étions cinq à t’écouter parler à “Maîtresse MARTINE”. J’ai reconnu ta voix presque tout de suite, j’étais sûre que c’était toi.

_ Pardon, Excusez-moi. Ce n’est pas possible.

_ Si Julien, c’est ce qui c’est passé. Et, je ne sais pas encore si je peux t’excuser.

_ je suis vraiment désolé.

_ Pour continuer gaziantep evi olan escort avant tout, c’est Madame LATI quand tu t’adresses à moi.

_ Oui bien sur, pardon Madame LATI.

_ C’est mieux, surtout dans ta position, et après tout ce que j’ai entendu, tu n’as plus trop le choix.

_ Excusez-moi Madame LATI, je suis désolé, j’ai trop honte.

_ Comment ça Julien, avec tout ce que as dit je ne comprends pas pourquoi tu as honte. Tu devrais être content, non? Tu es nu, à genoux, devant une femme.

_ Madame LATI, je suis vraiment désolé, excusez-moi, j’ai été trop loin, j’ai fait n’importe quoi. Vous avez vraiment entendu tout ce que j’ai dit?

_ Oui Julien, j’ai même écouté plusieurs fois les parties les plus croustillantes de tes confessions. Alors Vas-y explique.

_ Je suis vraiment désolé Madame LATI, j’étais trop troublé, très excité par tout ce que vous m’avez dit sur cette MARTINE. J’avais trop envie de réaliser mes phantasmes, je ne savais pas que vous étiez présente ou que vous écouterez tout ce que j’ai dis.

_ Julien tu ne réalises pas dans quelle galère tu t’es mis, les conséquences pour toi et surtout pour moi.

_ Madame LATI, je vous prie très sincèrement de bien vouloir m’excuser, vous avez entendu, je n’ai jamais parlé de vous, jamais je ne trahirai votre confiance.

_ J’espère bien, ton appel est de la pure folie, tu joues avec le feu. Tu n’as pas idée.

_ Madame LATI, s’il vous plaît, comprennez mon trouble, ça fait des années que je souhaite rencontrer une Femme DOMINATRICE. Et à cette soirée, je ne sais pas pourquoi, vous m’avez parlé d’une connaissance commune, une ancienne de vos collègue. Je dois vous avouer, elle représente mes désirs les plus inavouables, j’ai essayé de résister pendant plus d’un mois, mais j’ai craqué.

_ OK, je comprends, mais pourquoi tu ne m’a rien dit?

_ Madame LATI, après la soirée vous avez mis une si grande distance avec moi. J’ai cru ne pas vous intéresser, je vous ai trouvé très froide, très rejetante. J’ai même pensé qu’après tout ce que j’avais dit vous me preniez pour un pervers, que vous ne vouliez plus rien avoir à faire avec moi.

_ Julien c’est l’impression que je t’ai donné?

_ Oui Madame LATI.

_ Tu n’as pas apprécié la soirée?

_ Si beaucoup Madame LATI, j’ai eu la sensation de vivre un rêve, j’ai adoré nos échanges. Nous avons tellement de choses en commun. Vous étiez si géniale, si parfaite, vous m’avez tellement troublé. Mais après, vous m’avez totalement ignoré.

_ Bon, en effet, c’est vrai, j’ai mis un peu de distance avec toi. Je ne mélange jamais le travail et ma vie privée. Mais pour être honnête, je dois reconnaître. J’ai moi aussi, beaucoup apprécié cette soirée. J’ai adoré tes confidences.

Lève la tête, regarde moi. On dirait que je te fais de l’effet, tu bandes encore plus fort julien?

_ Oui, Madame LATI.

_ Regarde moi dans les yeux, quand tu me parles. Tu ne me dégoûte pas du tout, bien au contraire. Tu es un très bel homme, d’ailleurs tu n’as pas menti, tu as une belle bite, toute lisse, bien droite, bien grande, bien large et toute dure. J’adore.

_ Merci Madame LATI.

_ Dit donc, tu es sacrément équipé, avec tous tes jouets, tu ne dois pas t’ennuyer.

_ Euh….

_ Branle toi!

_ Quoi?

_ Quoi quoi?

_ Mais! Quoi Madame LATI?

_ Tu as bien entendu, julien, je n’aime pas me répéter. C’est ce que tu faisais avant mon arrivée.

_ Oui Madame LATI.

_ Alors! Vas-y! Branle ta queue, ton cul aussi, je vois qu’il est très bien remplit. Oui c’est bien, regarde moi, je veux voir ton plaisir, je veux t’entendre. Fais un joli sourire, j’immortalise ce petit moment. C’est tellement mieux d’avoir l’image et le son en même temps.

Branle toi, pour moi, défonce toi le cul.

Tu sembles aimer ça on dirait?

_ Oh! Oui Madame LATI.

_ Oui quoi?

_ Madame LATI, j’aime beaucoup me donner du plaisir devant vous.

_ Très bien, tu comprends vite.

A partir de maintenant, je vais combler tes désirs. Tu m’intéresse. Comme tu l’as proposé tout à l’heure au téléphone, tu veux te mettre à nu, ça tombe bien, tu es déjà nu, mais ce n’est que physiquement. Je veux tout savoir sur toi. Oui Julien, tu m’as bien entendu. Tu ne vas plus avoir aucun secret pour moi. Si tu savais comme tes confidences, à cette soirée, m’ont excité, j’ai vraiment adoré.

_ Merci Madame LATI.

_ Mais de rien mon petit julien. Je dois te dire, tout à l’heure, tout ce que tu as dit au téléphone m’a donné encore plus d’envie de te connaître.

Julien, tu as parlé de beaucoup de choses. Est ce que tu le penses vraiment, veux-tu vivre tous les phantasmes que tu as décrit?

_ Oui Madame LATI, c’est mon plus grand désir.

_ Alors c’est parfait, à partir de maintenant, je veux connaître toutes tes pensées, et surtout les plus intimes, les plus personnelles. Je veux tout connaître de toi. As-tu envie te confier à moi?

_ Oh! Oui Madame LATI.

_ Stop, arrête de branler ta bite, je veux juste te voir t’enculer. Montre moi comment tu joues avec ton cul.

Sort gaziantep fetiş escort le en entier, Ah oui, quand même, beau calibre. Il est beaucoup plus gros et long que ta bite. Tu as choisis le plus gros de ta collection on dirait, c’est très bien. Allez, encule toi plus vite, enfonce ce gode à fond. Il rentre tout seul, tu es bien ouvert, c’est parfait. Avertit moi quand je tu vas jouir.

_ Oui Madame LATI, merci beaucoup.

_ A quoi penses tu? Ça te fait quoi de te donner du plaisir devant moi?

_ Madame LATI, c’est très excitant de m’exhiber devant vous.

J’ai à la fois honte mais en même temps, vous obéir, vous satisfaire est mon plus grand phantasme. J’ai l’impression de vivre un rêve.

_ Que c’est mignon! Je suis un phantasme pour toi?

_ Oui Madame LATI, si vous saviez le nombre de fois ou je me suis branlé en m’imaginant le faire devant vous, pour vous.

_ A oui? Intéressant, continue Julien, ne t’arrête pas, je fais le tour pour pour ne rien louper du spectacle. Tu es très photogénique, tu as un très joli petit cul, bien ferme, bien accueillant, bien ouvert. Sort ton gode en entier. C’est bien, penche toi en avant, met toi à quatre pattes, c’est parfait, redresse toi. Tu peux le remettre.

_ Merci Madame LATI. Vous êtes si magnifique. Je me branle le cul pour vous.

_ Branle ta bite maintenant.

_ Merci, Madame LATI, c’est trop excitant. Je vais bientôt jouir Madame LATI.

_ Arrête de te branler, les mains sur la tête, parfait. Tu as envie de jouir?

_ Oui Madame LATI.

_ C’était quand la dernière fois que tu as jouis?

_ Madame LATI, c’était il y a plus de trois semaines.

_ Sérieux Julien? Tu as passé trois semaines sans te branler?

_ Non Madame LATI, je me branle tous les jours, et même plusieurs fois par jour, mais je ne jouis pas. J’aime retarder mes éjaculations. Je repousse mon plaisir. L’orgasme est alors tellement plus puissant.

_ Tu es surprenant Julien.

_ Merci Madame LATI.

_ J’imagine que tu voulais jouir aujourd’hui?

_ Oui Madame LATI.

_ Alors, montre moi, dis-moi ce que tu serais prêt à faire pour éjaculer?

_ Tout ce que voulez Madame LATI.

_ Vraiment Julien?

_ Oui Madame LATI.

_ Je t’écoute Julien. Dis-moi ce que tu désires vraiment.

_ Madame LATI, je désire du plus profond de mon être devenir votre soumis, vous pouvez tout me demander, je ferais absolument tout pour vous satisfaire.

_ Tu veux que je te domine?

_ Oui Madame LATI.

_ Sérieux Julien? Tu veux que je devienne ta Maîtresse?

_ Oui, oui Madame LATI, s’il vous plaît, j’en rêve depuis que je vous ai rencontré. Si vous saviez comme je désires de me prosterner à vos pieds. Je rêve d’être à vous.

_ Ah bon? Je te plaît alors?

_ Madame LATI, vous êtes absolument magnifique, je vous trouve tellement belle, vous êtes la Femme parfaite pour moi. Je dois vous avouer, que je …

_ Que quoi Julien?

_ Madame LATI, je, je, je,..

_ Je t’écoute Julien, dis moi tout.

_ Madame LATI, ce n’est pas facile à dire, je n’ose pas, vous allez trouver ça ridicule.

_ Julien, tu peux TOUT me dire. Non! tu dois TOUT me dire.

_ Madame LATI,…. je, je, je suis tombé amoureux de vous, dès le premier instant ou je vous ai rencontré.

_ whaou! Sérieusement?

_ Oui Madame LATI, je suis amoureux de vous.

_ Ah bon?

_ Oui Madame LATI, je vous aime.

_ Julien, je dois te dire que je suis très surprise. Je ne m’attendais pas à ça du tout.

_ Excusez-moi Madame LATI, je suis désolé, vous devez me trouver ridicule.

_ Mais pas du tout Julien, bien au contraire. Tu n’as pas à avoir honte de tes sentiments, surtout que ta déclaration d’amour me touche beaucoup. Mais, je suis curieuse. Qu’est ce que tu me trouves?

_ Madame LATI, vous avez un charme fou, vous êtes une princesse orientale à mes yeux, une reine. Je sais que vous êtes plus âgée que moi, à part ça, je ne connais rien de vous. Je ne veux pas interférer dans votre vie privée, vous devez être mariée, avoir des enfants,… Bref, vous avez sûrement une vie de famille. Je n’ai jamais osé vous interroger, vous êtes si inaccessible. De plus personne ne sait quoi que ce soit sur votre vie privée. Vous êtes si impressionnante, si sure de vous. Vous rayonnez d’une autorité si naturelle. Tout le monde vous respecte et vous obéit. Je dois vous avouer que c’est la première fois de ma vie que je ressens quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un. Je n’ai jamais été amoureux comme ça, de toute ma vie. C’est vrai Madame LATI, personne avant vous ne m’a fait autant d’effets.

_ Julien tu me surprend, continue.

_ Madame LATI je ne sais plus comment vous dire. Je vous ai rencontré, c’était il y a un peu plus d’un an, vous m’avez subjugué dès la première seconde. Depuis, je n’arrête pas de penser à vous.

_ A ce point Julien?

_ Oui Madame LATI. Je dois vous avouer que depuis que je travaille sous vos ordres, je n’ai pas été avec une autre femme.

_ Quoi? Ça fait un an que tu n’as pas couché avec une femme?

_ Oui Madame gaziantep bayan escort LATI. C’est la vérité. C’est impossible pour moi de rencontrer quelqu’un d’autre.

Vous êtes si belle. Vous êtes une Déesse pour moi. Je suis absolument désolé, je m’excuse d’avoir téléphoné à une autre femme. Vous êtes la seule et l’unique Femme de ma vie.

_ De plus en plus intéressant mon petit Julien. Pour une surprise c’est une sacrée surprise. Je ne m’attendais pas du tout à ça.

_ Je suis vraiment désolé Madame LATI. Je devais vous le dire.

_ OK, c’est beaucoup, beaucoup plus que ce que j’imaginais.

_ Je vous demande encore pardon Madame LATI.

_ Ça va, je comprends. Tu sais, si je suis venue chez toi, c’était juste pour t’avertir. Je savais que c’était toi. J’avais envie de m’amuser moi aussi. Je ne m’attendais pas à ce que tu viens de m’avouer. Je ne savais rien de tes sentiments. Je ne pensais jamais que ça ailles aussi loin.

_ Je suis vraiment désolé Madame LATI.

_ Ne soit pas désolé Julien, c’est très beau ce que tu viens de m’avouer.

_ Merci Madame LATI.

_ Je le pense sincèrement Julien. Je suis très surprise. Il me faut un peu de temps pour réfléchir et digérer ta déclaration. Mais pour l’instant, il y a une autre urgence. Je vois que tu es toujours en érection. Tu veux toujours jouir?

_ Oui Madame LATI.

_ Parfait, alors tu vas pouvoir me montrer ton amour, ta dévotion.

Viens te branler sur ma jambe, avance toi, c’est bien reste à quatre pattes, lentement, approche toi, redresse toi, relève la tête, regarde moi.

Frotte ta bite sur ma botte, non interdit d’utiliser les mains, n’oublie pas ton cul. C’est bien, défonce toi en même temps pendant que tu branles ta bite sur ma jambe. Regarde moi dans les yeux, lève la tête, Oui, c’est bien, regarde ta Maîtresse. Je veux voir ton visage. C’est parfait, frotte toi sur ma botte, comme un vrai petit chien. C’est très bien, Oui!!! J’adore.

je veux t’entendre prendre ton ” pieds ” continue, allez tu peux jouir, je t’autorise, lache toi, ne retient pas tes grognements. Oui! C’est ça, des feulement, des soupirs, je veux t’entendre jouir, ne te retient pas.

_ Merci Madame LATI, je vais jouir, ouiiiiiiiii ohhhh ouiiiiiiiiiii…..

_ Julien mon petit julien si tu savais à quel point ça me plaît de te voir dans cette position, avec tout ce que tu viens me dire. Tu n’as pas idée comme j’aime ça. C’est parfait, tu es parfait.

Tu es à moi maintenant.

_ Merci Maîtresse LATI, Ouiiiiiii je suis tout à vous. Merci!!!

Je jouiiii Maîtresse LATI, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii…

J’ai éjaculé violemment dans un grand cri puissant, plusieurs jets de sperme ont atterri sur ses deux bottines. Le gode est toujours enfoncé profondément dans mon cul. Je suis à genoux. Elle s’est reculée d’un pas. Elle est debout, grande, puissante, majestueuse. Moi, je viens de jouir, je me sens si épanoui. Je viens de réaliser mon rêve. Je suis dans une vénération totale de ma DÉESSE. Mon être entier, est comblé.

Je viens de vivre l’un des plus puissant orgasme de ma vie. Son regard Supérieur ne m’a pas quitté. Ses yeux, m’ont transpercés. Son téléphone est toujours allumé, elle a tout filmé.

A cet instant, je sais que j’ai trouvé, pour la première fois de ma vie, un sens à mon existence. Il me faut plusieurs secondes ou minutes pour me remettre de cet orgasme. je suis dans une béatitude muette.

_ Tu es très beau quand tu jouis Julien, je vois que tu viens d’avoir un orgasme puissant, très prolifique. Tu es très démonstratif, j’apprécie. Tu sais ce qu’il te reste à faire?

_???

_ Vient nettoyer mes bottes, maintenant. Non tu n’as pas besoin de serviettes ou autres. Utilise ta langue.

_ Maîtresse LATI, vous m’autorisez à lécher vos bottes?

_ Oui Julien.

_ Merci Maîtresse LATI, c’est un privilège de vous toucher, j’en ai tellement rêvé.

_ Allez dépêche toi, tu parlera plus tard.

Je suis à quatre pattes en un instant, la langue tendue, je m’approche d’elle. Je lèche alors chaque goûte de mon sperme. Il y en a partout sur ces deux bottes, je m’applique, je nettoie la moindre parcelle de cuir. Je ne suis pas fétichiste des pieds, mais là c’est totalement différent. LATI, la DÉESSE de mes rêves, m’a demandé, m’a ordonné de lui nettoyer les bottes. C’est un honneur, un privilège de la satisfaire.

Je lève les yeux, ce que je vois est une vision extraordinaire, le phantasmes absolu. Maîtresse LATI, me sourit, non c’est encore plus intense, elle semble hurler d’un plaisir silencieux.

Je réalise que sa main a disparu sous sa jupe entre ses jambes. Sa veste est ouverte, plusieurs boutons de son chemisier sont défaits. Son soutien gorge est assorti à sa culotte. Elle se caresse devant moi. Cette situation semble lui plaire aussi? Elle aime vraiment que je sois à genoux devant Elle? Non. Je ne rêve pas.

_ Je vais jouir, Julien, Oui c’est trop bon. Viens là.

Elle m’a saisit la tête pour l’appuyer sur son entre jambe. Elle a relevé sa jupe. Elle porte une culotte blanche en dentelle, décorée d’une grande tache humide. Ses lèvres sont clairement visible sous ce petit bout de tissus. Elle a beaucoup mouillé. Elle se sert maintenant de mon visage pour se donner du plaisir. Non je ne rêve pas, je suis à quelques millimètres du temple de tous mes phantasmes. Son excitation, son parfum intimes me submerge, c’est l’aphrodisiaque le plus puissant du monde. Je suis proche d’un autre orgasme moi aussi, alors que je viens juste de jouir, ma queue est dure de nouveau.

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Dominatrices Inattendues Ch. 15

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Babes

Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 15 la tigresse présente la nouvelle Virginie

Les jours passent Virginie a perdu la notion de temps.

Un matin la tigresse lui dit de se lever et de la suivre.

Elles sortent de la pièce et remontent au rez de chaussée elles arrivent dans le salon ou un cercle est dessiné au sol.

La tigresse montre le cercle et Virginie vient se mettre dans la position demandée.

Tu as droit au salon à la salle de bains à la cuisine et à la chambre précise la tigresse. Maintenant va te regarder dans la glace de la salle de bains.

Virginie ne se reconnait pas dans la salle de bains elle a bien perdu dix kilos et c’est une inconnue rasée qui la contemple dans le miroir.

Elle est tristounette pour ses seins victimes du régime.

Ne t’inquiète pas pour ça dit la tigresse on va s’en occuper.

La tigresse lui explique comment se tenir pour cherche une boisson la présenter à genou la bouche collée aux pieds et attendre avec le plateau dans les mains. Le bon vouloir de sa maitresse.

Elles font quelques répétitions et satisfaite la tigresse lui explique l’attitude à prendre suivant certains gestes de sa main.

Virginie apprend ainsi à s’exhiber debout la poitrine jetée en avant, à venir se mettre à genou et lécher le sexe de maitresse, se mettre à quatre patte pour servir de repose pied ou de table de salon. A servir de bibelot en se mettant à genou sur un gode les mains sur la tête en gardant la pause aussi longtemps que la maitresse l’exige et d’autres encore.

Elle apprend à laver sa maitresse sous la douche et à l’essuyer en n’utilisant que sa bouche pour tenir la serviette.

Enfin elles visitent la chambre ou elle apprend quelques positions à adopter selon les désirs de sa maitresse.

Maintenant elle mange dans la cuisine ou son bol et sa gamelle ont été apportés.

Elle apprend à servir sa maitresse à table ou généralement elle doit se mettre sous la table et satisfaire intimement sa maitresse.

Enfin elle apprend à réveiller sa maitresse en quittant sa couverture au pied du lit pour monter par le bas dans le lit et lécher le gaziantep bayan escort ilanları sexe de sa maitresse jusqu’au réveil de cette dernière.

Les jours passent Virginie porte désormais en permanence un double gode qui lui remplit le sexe et le cul. Elle apprend à mettre les escarpins de bondage avec un talon de 25 cm qui la rende si grande mais qui sont si difficiles à supporter car elle doit se tenir sur l’extrême pointe des pieds.

Un matin la tigresse lui annonce qu’elles vont faire un voyage en Roumanie.

Virginie ne se pose pas de question elle a renoncé à réfléchir et accompagne docilement sa maitresse.

Elles partent dans un mini van dans lequel elle dort quand sa maitresse couche à hôtel.

Elles arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit. Il étudie sa poitrine et discute beaucoup avec la tigresse.

Finalement elle se retrouve en salle d’opération et le matin elle se réveille avec une douleur à la poitrine qui a plus que doublé de volume. Elle sent sa peau tendue sous les pansements.

Les jours passent et enfin elle est invitée à regarder le résultat dans un miroir. Sa poitrine lui fait penser en plus gros à victoria l’ambassadrice de châteaux d’axe.

Mais les hématomes résiduels gâchent un peu le résultat.

Elles quittent la Roumanie et retrouvent la maison de la tigresse. Chaque jour Virginie peut constater les améliorations sur sa plastique et est toute frère de s’exhiber devant sa maitresse.

Maintenant la tigresse invite des amies seules ou en couples qui viennent admirer le résultat. Virginie est heureuse de se montrer est à l’écoute des compliments qui fusent en permanence. De temps en temps elle doit montrer ses talents buccaux aux dames ou aux hommes qui en font la demande.

Seule chose son sexe et on cul sont exclusivement réservés à sa maitresse. Un jour un tatoueur vient à la maison et elle a désormais sur la fesse les mots « esclave exclusive de Simone », prénom de sa maitresse.

Environ un an après le départ de Virginie Magalie reçoit un coup de fil de la tigresse.

La gaziantep bayan eskort tigresse très enjouée invite Magalie à venir chez elle car elle a une belle surprise à lui montrer.

Magalie se demande de quoi il peut s’agir et n’obtenant pas plus de précisions de la part de la tigresse accepte l’invitation pour prendre l’apéritif le soir même.

Magalie arrive devant l’imposante maison.

La tigresse l’attend et la fait rentrer dans le salon. La tigresse lui dit on va prendre l’apéritif mais avant tout je vais vous montrer la belle surprise.

Viens ici dit-elle avec une voix plus forte.

Aussitôt une femme entièrement nue au crâne rasé entre dans la pièce. Elle est très grande et vient se prosterner aux pieds de la tigresse.

A genou la bouche collée aux chaussures de la tigresse et les bras écartés la paume des mains tournée vers le ciel.

Magalie n’en revient pas. La femme dont Magalie voit la croupe est prise par un double gode qui est enfoncé à la fois dans le cul et dans le sexe.

La tigresse à un sourire carnassier.

Lèves toi et montre à Magalie comme tu es belle dit la tigresse. Aussitôt la grande femme se lève se met face à Magalie qu’elle regarde dans les yeux les bras jetés en arrière pour bomber son énorme poitrine.

Magalie regarde la fille de la tête au pied.

Très mince avec une poitrine énorme qui a du faire le bonheur d’un chirurgien esthétique. Des talons de près de 25cm qui la force à faire des pointes en permanence lui font des jambes interminables.

Entre ses narines sur ses deux mamelons et visiblement sur le clitoris elle a un anneau épais qui doit bien faire 5 cm de diamètre.

Sur ses fesses une inscription ne laisse aucun doute « esclave personnelle de Simone » .

Le visage de la fille lui parait familier mais elle ne la reconnait pas.

Je te présente mon esclave Virginie dit la tigresse.

Magalie est estomaquée elle reconnait Virginie au moins dix kilos de moins et une poitrine incroyable.

La tigresse dit : elle a voulu venir chez moi pour apprendre gaziantep escort le bondage. Je ne pense pas qu’elle voyait les choses comme ça mais finalement on s’est arrangé.

Magalie est toujours bouche bée elle murmure bonjour Virginie ça va?

Virginie ne bouge pas et la tigresse dit elle n’a pas le droit de parler et si elle essayait, son collier lui enverrait une décharge électrique pour la rappeler à l’ordre.

Virginie va nous servir un cocktail ajoute-t-elle. Virginie part prestement.

Aller venez-vous assoir on sera mieux pour discuter. Elles s’assoient et Virginie revient avec un plateau sur lequel sont posés deux verres elle se met à genou devant la tigresse baisse la tête et lève les bras contenant les verres.

La tigresse en prend un et Virginie fait la même chose devant Magalie qui prend son verre. Virginie se met à genou devant les femmes et tient le plateau à une hauteur permettant de reposer le verre sans effort pour les deux femmes.

Qu’en pense tu dis la tigresse à Magalie celle-ci reprend son souffle elle se dit que martine et elle sont des petite joueuses dans le domaine.

Incroyable dit-elle Virginie est magnifique.

Et très très obéissante dit la tigresse elle fait un petit geste de la main et Virginie pose le plateau et enfoui son visage dans l’entrejambe de la tigresse.

Elle lèche très bien maintenant dit cette dernière.

Touche son corps tu verras comme il est ferme je la nourris juste ce qu’il faut et elle fait beaucoup d’exercice.

Magalie caresse le corps et découvre que Virginie s’est beaucoup musclée.

Magalie est jalouse. Et le collier ça marche comment dit-elle pour se donner une contenance. La tigresse lui explique le fonctionnement du collier et Magalie se dit que ça serait idéal pour Tristan. Les avantages du bâillon et la bouche toujours disponible.

Elle demande les références. Elle pose la question à la Tigresse : mais Virginie est bien volontaire? Bien sûr dit la tigresse et elle a décidé de vivre avec moi un certain temps.

Elles prennent l’apéritif et quand Magalie repart elle ne peut s’empêcher de jeter un œil à la sculpturale Virginie qui visiblement est en adoration devant la tigresse. Comment s’est-elle débrouillée se demande-t-elle.

Ce soir-là couchée par terre au pied du lit de la tigresse Virginie repense à la dernière visite. Il lui semble que le visage de cette Magalie lui rappèle quelque chose mais elle l’oublie vite, un peu déçue cependant de ne pas avoir été invitée à la satisfaire avec sa bouche.

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Claudine, Professeur de Français 07

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Babes

Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d’année par un certain Geronimo. Aujourd’hui vous pouvez trouver sur ce site certaines de ses histoires sous le pseudo Elko. Mes remerciements à cet auteur.

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Je m’appelle Claudine, j’ai 49 ans et, depuis quelques temps, vous suivez mes aventures sexuelles ou plutôt devrais-je dire mes mésaventures sexuelles qui me sont imposées par deux de mes élèves ainsi que leurs complices suite à l’ignoble chantage dont je suis la victime. Beaucoup d’entre vous m’ayant encouragé à continuer à écrire cette confession, je vais donc vous raconter la suite de mon calvaire.

Après avoir été prise de toutes les façons possibles dans mon pavillon, Rachid et Bruce refusent de partir, voulant assister au repas de famille qui est organisé pour faire la connaissance de la future belle-famille de ma fille Anne-Sophie qui doit se marier bientôt avec un avocat.

Il est prévu qu’ils arrivent vers 20h00 et rien n’étant près, je commence à me demander si je ne devrais pas annuler le repas. Je supplie une dernière fois Bruce et Rachid de partir leur promettant de venir les rejoindre ou ils le souhaiteraient après le diner. Ce qu’ils refusent bien entendu.

Toujours habillée comme une « petite fille perverse » c’est-à-dire d’une jupe écossaise qui arrive à peine à cacher mon sexe, je déambule dans le salon en commençant à mettre la table en attendant Jessica, ma bonne, qui doit arriver sous peu à. Pendant ce temps, Bruce prend son téléphone portable et je l’entends, horrifiée, appeler Francis, le patron du bar, où j’ai, deux fois déjà, été contrainte aux pires turpitudes. Il lui dit qu’il faut absolument qu’ils viennent « avec les autres » chez moi où j’organise une petite fête. Rachid, de son côté, prévient Leila et lui demande d’amener son frère et surtout le « matos ». Je tente de protester que ce n’est pas possible mais Bruce me dit de la fermer. Au même moment, la sonnette du portail me fait sursauter. C’est surement Jessica qui devait arriver avant les invités pour m’aider à tout préparer.

J’ouvre le portail avec la télécommande. La porte du pavillon s’ouvre et Jessica entre. C’est une jolie brune avec un sourire éclatant mais avec un regard dur et froid. J’ai déjà eu des problèmes d’autorité avec elle, la menaçant de la renvoyer plusieurs fois. Elle reste stupéfaite en découvrant sa patronne en jupe écossaise et chemisier blanc trop petit pour elle. Elle est encore plus étonnée de voir que je suis avec deux jeunes hommes qui pourraient être mes fils. Sous son manteau, elle est habillée comme une servante doit l’être : Jupe noir et chemisier blanc, bas couleur chair et ballerines.

Bruce s’approche d’elle et l’emmène au milieu de la pièce. Nous sommes côte à côte et je me sens rougir de honte quand elle me demande d’une voix craintive :

– Mais madame, que se passe-t-il?

Bruce et Rachid éclatent de rire.

– « Madame » va t’expliquer. Lance Bruce sur un ton moqueur.

Je reste silencieuse, mortifiée. Bruce s’approche de moi et me regarde dans les yeux avec un air mauvais.

– Explique-lui que tu es devenue notre chienne, notre pute BCBG et qu’on fait tout ce qu’on veut avec toi.

Jessica me regarde avec des yeux ronds. Je sais ce qui se passe dans sa tête. Elle se demande si ce qu’elle entend est vrai. Est-ce possible? Que Madame soit devenue ce que ce jeune prétend?

Bruce s’approche de moi et me saisit les seins à pleines mains, me le triturant comme si c’était des pies de vaches. Jessica fait un « ho » avec sa bouche mais aucun son ne sort, fascinée par ce qu’elle est en train de voir.

Rachid lui prend le bras et l’entraine dans le bureau de mon mari où se trouve son ordinateur. Il se connecte sur internet et lui montre mon site intitulé « la bourgeoise salope ». Les photos prisent dans le bar puis la cave et enfin le film tourné dans le pavillon. Bien sur mon visage est flouté mais Jessica me reconnait malgré tout. Quand elle revient dans le salon, son regard a changé et elle me regarde différemment.

– Alors? Lance Bruce. Tu découvres quelle salope elle est ta patronne?

Jessica s’approche de moi, un sourire pervers sur ses jolies lèvres.

gaziantep escort tanıtımları T’es une belle cochonne sous ton air de sainte nitouche.

Je n’en reviens pas d’entendre Jessica parler comme ça. Elle se retourne vers Bruce et Rachid.

– Elle donne des leçons à tout le monde, traite ses domestiques comme des moins que rien et elle fait la pute dans les caves des Cités.

Sans prévenir, elle faufile sa main sous la jupe écossaise et elle glisse un doigt dans ma fente humide tout en me fixant dans les yeux.

– Tu as intérêt à m’obéir au doigt et à l’œil à partir de maintenant. Me lance-t-elle en me fouillant la chatte sans douceur.

Elle pince les lèvres et le clitoris et j’ai un mouvement brusque du bassin pour mieux enfoncer ses doigts dans ma chatte. Elle donne une claque sur mes seins m’ordonnant de ne plus recommencer. Elle enfonce de nouveau ses doigts et haletante, je m’abandonne complètement.

Bruce se penche vers moi et me suce les tétons des seins, les mordillant par moment. Derrière moi, Rachid claque mes fesses et soudain enfonce son index dans mon trou du cul et il le fait coulisser de plus en plus vite. Inconsciemment, je me cambre pour mieux qu’il s’enfonce. Jessica m’ordonne de me mettre à genoux ce que je m’empresse de faire. Elle soulève sa jupe, découvrant un string blanc déjà trempée qu’elle retire.

– Tu vas me sucer salope.

Elle me prend par les cheveux et approche mon visage de son bas ventre. Je colle ma bouche sur sa fente passant ma langue le long de ses lèvres. Jessica halète en se caressant les seins.

– Ah quelle chienne tu es….

Les yeux clos, je m’applique, de nouveau totalement soumise. Je sens que je suis trempée et Bruce et Rachid ne perdent pas une occasion pour me branler pendant que je dois absorber la mouille de ma nouvelle maitresse. Le fait que ce soit ma bonne qui me force à la lécher m’excite au plus haut point. Je mordille son clitoris entre mes lèvres. L’orgasme submerge soudain Jessica qui gémit de plaisir.

Elle me repousse sans ménagement et Bruce et Rachid s’occupent de moi protestant qu’ils n’ont pas profité de leur pute. Ils me positionnent à quatre pattes. Bruce s’allonge, sa bite fièrement dressé que je dois avaler et Rachid, derrière moi, s’enfonce dans mon vagin me limant furieusement à grands coups de reins. Pendant ce temps, je pompe la bite de Bruce avec frénésie. Les mains agrippant mes cheveux, Bruce respire bruyamment en agitant son bas ventre. Son membre est tellement imposant que j’ai du mal à l’engloutir tout entier. Folle d’excitation, je pompe la grosse queue avec fougue. Derrière moi, je sens Rachid qui accélère son mouvement de va et vient, son ventre claquant contre mes fesses. Jessica se lève, le regard fou et me fesse le cul violemment.

– Salope! T’aime ça te faire défoncer par des grosses bites!

Je ne peux répondre, bâillonnée par l’énorme queue de Bruce. Soudain, j’ai un orgasme violent pendant que Rachid se déverse dans mon vagin en grognant de plaisir. Dans le même temps, la bite de Bruce crache un long jet de sperme blanchâtre qui s’écrase sur ma bouche. Je détourne la tête avec une grimace mais un autre jet plus puissant encore me souille la joue et les cheveux. Jessica s’approche de moi en me murmurant dans l’oreille :

– Je n’aurais jamais cru que tu sois aussi salope, on va bien s’amuser toi et moi pendant que Monsieur sera absent.

Elle commence à lécher le sperme qui dégouline de mon visage comme une petite chatte en ronronnant de plaisir puis sa bouche se colle à la mienne et elle force le barrage de mes lèvres avec sa langue. J’ai un mouvement de recul, écœurée de devoir embrasser une femme mais Jessica m’agrippe par les cheveux me tirant violemment la tête en arrière.

– Tu vas te laisser faire. Tu m’appartiens.

Domptée, j’entrouvre ma bouche et sa langue s’enroule autour de la mienne. Puis elle se lève et regarde sa montre.

– Il est bientôt 20h00, les invités de Madame ne vont pas tarder. Madame devrait se préparer.

Elle prend un plaisir sadique à me donner du « Madame » ce qui rend la situation encore plus humiliante pour moi. Je suis conduite gaziantep escort telefonları dans ma chambre et c’est Jessica qui choisit ce que je vais devoir porter pour accueillir la belle-famille. Je dois me déshabiller sous le regard lubrique de Jessica. Elle me tend une veste de tailleur rouge très élégante et une jupe noire mais très courte que je ne mets pas normalement avec ce tailleur. Un porte-jarretelles et des bas noirs à couture ainsi que des talons aiguilles vertigineux, qui m’obligent à me cambrer, complètent ma tenue.

Elle m’oblige également à me faire un chignon pour faire, me dit-elle, distinguée. La jupe est trop courte et on aperçoit par moment l’attache du porte-jarretelles. Bien entendu, je ne porte aucuns sous-vêtements et mes seins lourds tressautent sous ma veste rouge portée à même la peau. Il est évident que mes invités vont s’en rendre compte.

Nous retournons dans le salon et je dois m’exhiber devant Bruce et Rachid qui sirotent un whisky. Jessica soulève ma jupe pour leur montrer que je ne porte rien dessous. Nous entendons soudain le crissement des pneus sur les gravillons du jardin. Affolée, je réalise que c’est mon mari qui rentre du travail. Tétanisée, j’ai l’impression d’assister à une scène surréaliste. Mon mari va me trouver avec ces démons qui vont, à ne pas en douter, lui raconter comment je suis devenue leur jouet.

Paul s’introduit dans notre pavillon et reste en arrêt, interdit devant la présence de ces deux jeunes qu’il ne connait pas.

– Mais, Claudine, ma chérie, qui sont ces personnes?

Jessica s’avance vers Paul, le prend par la main et le pousse dans le canapé. Subjugué, il se laisse faire. Jessica se tourne vers Rachid et lui demande d’amener l’ordinateur dans le salon. Bruce et Rachid s’exécutent pendant que Paul nous regarde avec étonnement. Commençant à s’énerver, il demande des explications. Jessica se penche vers lui :

– Monsieur ne sait pas que Madame est la dernière des trainées, une salope qui se tape ses élèves.

Paul reste bouche bée en me regardant. Jessica poursuit cette fois en me dévisageant :

– Et Madame ne se doute pas que son cochon de mari a une aventure avec cette salope de Géraldine M.

Cette fois, c’est à mon tour d’être totalement décontenancée par cette révélation. Ce n’est pas possible : Géraldine, la fille du Commissaire de police qui est notre voisin et chez qui nous avons été si souvent invités par sa femme Bénédicte. Géraldine est âgée de 21 ans et c’est vrai que j’aurais dû me douter de quelque chose vu le regard de salope qu’elle lui lance dès qu’elle nous croise mon époux et moi dans le centre-ville.

Bruce et Rachid reviennent dans le salon avec l’ordinateur et font rapidement les branchements sous le regard interrogateur de mon mari. Je tente bien de lui expliquer mais je suis giflée par Jessica.

– Tais-toi! Mets-toi à genoux!

Morte de honte, je m’exécute et Jessica se retourne vers Paul.

– Monsieur peut constater que Madame est très obéissante.

Paul ne répond pas, visiblement interloqué. Il a quand même un sursaut de dignité et se lève subitement du canapé en criant :

– Ça suffit! Sortez tous d’ici!

Bruce et Rachid le saisisse par ses bras et l’immobilise assez rapidement. Mon mari n’étant pas d’un gros gabarit, il est facilement maitrisé. On lui attache les mains et les pieds avec les cordelettes à rideaux.

– Si Monsieur veut bien regarder l’écran de l’ordinateur, il va assister un spectacle très intéressant.

Rachid se connecte à internet et mon mari découvre mon site avec toutes les photos et les vidéos. Bruce se penche sur mon mari :

– T’as vu ta femme? Tu vois comme elle aime se faire baiser dans les caves.

Paul est blême en découvrant les photos dans le bar et dans la cave. Il manque de vomir en découvrant le film tourné dans notre propre pavillon. Nous nous regardons, honteux tous les deux.

Jessica s’approche de Paul et défait sa braguette. Le sexe de mon mari jaillit comme un ressort. Il bande comme jamais je ne l’ai vu bander. Je crois rêver. Ce n’est pas possible, cette situation ne peut pas l’exciter? Jessica éclate de rire en découvrant gaziantep escort videoları l’état de mon mari. Elle s’empare de sa bite à pleines mains et commence à le masturber.

– Finalement Monsieur est comme Madame, c’est un gros vicieux.

Bruce et Rachid me relève et me mette à coté de Paul sur le canapé. Je suis contrainte de relever ma jupe, découvrant mes cuisses gainées de bas noirs. Rachid regarde mon mari :

– T’as vu, elle ne porte pas de culotte. Elle n’en porte plus depuis longtemps tu sais. On l’a bien éduquée.

J’ai l’impression de défaillir. Je m’exhibe devant mon mari totalement aux ordres de ces pervers.

Paul ne répond pas, la respiration oppressée par la vision de sa femme humiliée devant lui et l’habilité de Jessica à le masturber tout en lui donnant par moment un coup de langue sur le gland. Je sens qu’il est déjà à deux doigts de l’explosion mais Jessica sait y faire et s’arrête toujours avant.

Brutalement, Bruce enfonce ses doigts dans ma chatte tout en m’agaçant le clitoris. Il retire son index en rigolant, le montrant à mon mari. Il est couvert de mouille. Derrière moi, à pleines mains, Rachid me prend les seins à travers l’échancrure de la veste de mon tailleur qu’il ouvre largement et les pétrit sans ménagement. Le visage déformé par le plaisir, je me mords les lèvres. Bruce me tripote le bouton et je râle de plaisir. Mon mari devient le témoin de ma déchéance. Il me voit m’offrir sans retenue à ces voyous. Bruce s’approche de mon visage, son sexe à pleines mains Puis il se tourne vers Paul et demanda d’un ton ironique :

– Tu permets?

Blême de rage, mon mari détourne les yeux. Mais, malgré lui, son regard revient rapidement sur moi.

Bruce enfonce son sexe dans ma bouche.

– Vas-y chienne, montre à ton mari comme tu suces bien maintenant.

– C’est qu’elle commence à avoir de l’expérience. Ricane Rachid en me pinçant les pointes des seins.

Je penche ma tête sur sa bite et je l’engloutis sans sourciller. J’agace son gland avec ma langue, le pompant avidement. Bruce trouve que ça ne va pas assez vite et il me donne une claque sur les cuisses au-dessus des bas et je pousse un gémissement plaintif. A côté, j’entends Jessica me traiter de salope, de pute et demander à mon mari s’il veut qu’elle le suce également. Je n’entends pas la réponse mais je vois du coin de l’œil Jessica se pencher sur le sexe de mon mari et l’aspirer. Rachid s’exclame :

– Les paris sont ouverts. Qui va gagner? La dernière aura un gage.

On entend plus que les bruits de succions de nos langues s’activant sur les bites. Jessica termine rapidement car mon mari doit être excité par cette situation d’une perversité sans nom. Elle agite rapidement la queue de Paul et celui-ci éjacule soudain en poussant un cri. Le sperme s’étale sur son pantalon. Le va et vient de la queue de Bruce s’accélère entre mes lèvres et soudain il se vide par saccades au fond de ma gorge. Je suis forcée de tout avaler.

Jessica s’approche de moi m’obligeant à nettoyer sa main couverte du sperme de Paul avec ma langue. Rachid demande quel gage on va bien pouvoir m’imposer. C’est, bien entendu, Jessica qui trouve. Cette fille est décidemment pire que mes élèves. On détache mon mari et on lui ordonne de se déshabiller ce qu’il fait sans protester ce qui m’étonne. Je suis mise à quatre pattes, la veste du tailleur ouverte, mes seins ballotant dans tous les sens. Bruce va chercher une spatule dans la cuisine. On oblige Paul, en caleçon, à se mettre sur mon dos et je dois avancer à quatre pattes dans le salon, Paul sur mon dos pendant que Jessica me donne des coups avec la spatule sur mes fesses, me traitant de grosse jument. Bruce filme la scène avec la caméra de mon mari.

Rachid s’approche de Jessica et lui dit :

– On va pouvoir s’éclater tout à l’heure. Leila doit venir avec des godes, des martinets et pleins d’autres trucs.

– Où va-t-elle trouver tout ça? Demande Jessica, étonnée.

– Son frère travaille dans un sex-shop, rue Saint Denis.

Jessica a un sourire pervers.

– C’est intéressant, on pourrait y amener cette salope un jour.

Rachid éclate de rire et j’ai un frisson qui me parcoure l’échine. Je souffle comme un bœuf, devant supporter le poids de Paul sur mon dos. Par moment je ralentis, n’en pouvant plus, et immédiatement Jessica me fesse le cul avec la spatule. J’ai le derrière tout rouge maintenant et je ne parviens plus à avancer. Je supplie qu’on arrête mon gage et je suis relevée. C’est à ce moment précis que le carillon de la porte d’entrée retentit. Ma fille arrive avec sa belle-famille.

A suivre…

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