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Un fils indigne

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Bdsm

Je m’appelle Gabriel. J’ai le prénom d’un ange. Et pourtant, je suis un démon. Un démon de perversions. Laissez moi vous conter comment je suis devenu un pervers. J’ai 21 ans et je suis étudiant en médecine. Je suis assez timide, renfermé. Je n’ai pas beaucoup d’amis et je sors peu. Je n’ai pas de copine, je ne suis pas puceau mais je n’ai pas souvent de relations sexuelles. Je considère que j’ai un physique quelconque, je dirais même ingrat. Je suis petit, 1m60, je porte des lunettes qui me donnent un air intello.Bref, les filles ne me courent pas après. mon père, Bernard, 50 ans, est souvent absent du domicile familial. Il est ingénieur dans une société qui travaille dans le pétrole. Il est souvent parti à New York, l’Arabie Saoudite ou le Koweït. Autrefois, il allait souvent en Irak mais depuis quelque temps, pour des raisons évidentes, il préfère s’abstenir.Ma mère, Isabelle, est une belle femme de 44 ans.

Grande, élancée, fine, de belles jambes qu’elle met toujours en valeur en portant des jupes droites. Je crois bien que je ne l’ai jamais vu en pantalon. Elle est souvent en tailleur. Elle ne travaille pas, les revenus très confortables de mon père nous permettant de vivre de façon aisée.Elle passe son temps à s’occuper d’oeuvre de bienfaisance et de jeunes en difficultés en donnant des cours de français à travers une association. Elle a fait des études pour être prof et elle a laissé tomber quand elle a rencontré mon père. Bref, c’est une bourgeoise oisive, très appréciée dans le quartier résidentiel ou nous habitons. Pour ma part, entre deux cours à la fac, je m’ennuie un peu.Je vais donc souvent sur internet.Et notamment sur les sites de cul.Je vais beaucoup sur les sites ou l’on peut voir des photos de femmes habillées sexy dans des poses suggestives et j’ai toute une collection de DVD pornos avec des femmes symbolisant la bourgeoise salope. J’ai toujours fantasmé sur les femmes d’âge mur. Je pense parce qu’elles sont souvent habillées « classe » tailleur, bas, talons aiguilles.

Je ne me sens pas attirées par les filles de mon âge. Moi, mon truc, c’est la bourgeoise, la femme BCBG. Il y en a quelques unes dans mon quartier et je bande souvent en les regardant. Je mate ma mère parfois aussi.Des fois, je la surprend dans sa chambre quand elle oublie de fermer la porte et je l’observe , le coeur battant la chamade d’être pris sur le fait, en train d’enfiler avec grâce un bas sur ses longues jambes dont elle accentue encore la finesse en portant des talons aiguilles. Je vais tous les soirs sur un excellent site d’histoires érotiques, disons pornographiques du reste, qui sont envoyées par les internautes eux mêmes.j’ai toujours voulu en envoyer une mais je n’ai jamais osé. Je recherche à chaque fois les histoires de domination et de soumission. J’ai honte de l’avouer mais je bande souvent en lisant des histoires de bourgeoises contraintes d’obéir à de pervers maitres-chanteurs. Certes ces histoires sont d’une totale immoralité et souvent critiquées du reste mais que voulez vous,moi, elle m’excite et je donne toujours une excellente note à ces internautes.

J’étais tranquillement affalé sur le canapé en train de lire un roman d’espionnage, quand mon portable sonna. J’abandonnais une scène érotique torride à regret pour décrocher. Nous sommes samedi soir, ma mère est absente, partie diner avec des amies et mon père est à Los Angeles.

– Salut p’tite bitte!

Je souris.Je reconnais mon seul et unique ami, Christophe, Chris.Tout le contraire de moi. Grand, imposant. Dragueur invétéré, séducteur.Je ne compte plus le nombre de filles qu’il a kütahya escort sauté.Je lui en veux parfois de réussir ce que je ne parviens pas à accomplir. Je lui en veux aussi quand il m’appelle « p’tite bitte » même si je sais qu’il n’y a pas de méchanceté.

– T’es ou? me lance-t-il.

– Chez moi.

– Tu ne peux pas sortir un peu non!

C’est un sujet de dispute entre nous, je sors en effet très peu. Il me propose de venir le rejoindre chez lui (il habite à deux pâtés de maison) car il a une sortie un peu spéciale à me proposer. Méfiant, je demande de quoi il s’agit. Il me répond qu’il m’expliquera. J’hésite et je décide de le rejoindre après tout, ca n’engage à rien et je pourrais toujours revenir si ca proposition ne me plait pas.

1 heure après je sonne chez lui. C’est sa mère qui m’ouvre. Nadine est plus petite que ma mère mais également très excitante. Toujours en jupe, elle a aussi de belles jambes. Je me suis déjà masturbé en l’imaginant en train de me faire une pipe pendant que son fils serait dans sa chambre.Un fantasme quoi.Elle me fait la bise et je me sens rougir. Elle porte un T-shirts largement décolleté laissant apparaître la naissance de ses seins. Elle a une poitrine avantageuse la mère de Chris. Et je plonge mes yeux dedans à chaque fois.

– Chris t’attends.me dit elle avec un sourire.

Elle se retourne et se dirige vers le salon, ce qui fait que je peux lorgnée sur ces jambes nues.

J’arrive dans la chambre de Chris.Il est sur un site de cul ou il regarde une vidéo montrant une vieille en train de se faire défoncer par des jeunes. On a le même fantasme Chris et moi. C’est ce qui nous rapproche. Il entre tout de suite dans le vif du sujet.

– Tu connais le « Coquin Libertin »?

Je sursaute.J’en ai déjà entendu parler mais je n’y ai jamais été bien entendu.

– C’est une boite à partouze, non?

– Un club échangiste, corrige Chris.Comme si il y avait une réelle différence.

– Et alors?

Chris me regarde en souriant.

– Je connais le videur, on peut y entrer si tu veux.

– Mais.objectais je, plein de bons sens, comme toujours, il ne faut pas être deux?

– Nous sommes deux, Gabriel.soupira Chris.

– Je voulais dire : un homme et une femme.

– Tu veux te déguiser en femme, me lance t’il avec humour. Tranquillise toi, je te dis que je connais le videur ; on pourra rentrer sans aucun problème.

Je dévisage mon ami avec incrédulité.

– Mais pourquoi veux-tu aller dans un club échangiste?

Il éclata de rire!

– A ton avis, idiot!

Nous nous retrouvons donc dans sa voiture direction le « Coquin Libertin » qui se situe à quelques kilomètres de la ville ou nous habitons.

Nous avons pu effectivement rentrer sans aucun problème. Nous n’avons même pas payé l’entrée. Alors qu’une queue, sans mauvais jeux de mots, s’allongeait. Je suis étonné de voir, à l’entrée, les videurs demandé aux femmes de tout âge de soulever légèrement leurs jupes afin de constater si elles sont vêtues d’un porte-jarretelles ce qu’elles font sans aucunes gênes.

Chris m’explique qu’il s’agit d’une soirée à thèmes. Ce soir : « soirée porte-jarretelles » les femmes qui sont affublées de cet outil, oh combien érotique, ne paie pas l’entrée.Fallait y penser.

Nous rentrons dans ce lieux de débauche et mon coeur bat la chamade.Je suis à la fois effrayé et excité d’être dans un endroit pareil. Il fait sombre. Des couples sont assis dans des box ou ils se caressent avec une total impudeur. Une femme, la jupe révélée jusqu’à la taille, manisa escort gémit pendant qu’un homme lui enfonce deux doigts dans sa chatte. Juste à coté, une autre femme, d’âge mur, fait une pipe à un homme qui pourrait être son fils. Je sens ma bite durcir dans mon pantalon. On entend des gémissements, des petits cris. Une fille, vêtue d’un short sur des collants noirs opaques, et d’un boléro largement décolleté jusqu’au nombril, s’approche de nous et nous dirige vers une table d’une démarche chaloupée. Ces talons aiguilles accentue la cambrure de ses reins.Nous nous installons et Chris commanda deux whisky.Je protestais car je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool.

– Mais lâche toi un peu..Mate la bourgeoise la bas.

En effet, une superbe blonde qui devait avoir la quarantaine, vêtue d’une robe du soir, était en train de faire un strip-tease devant plusieurs hommes qui se branlaient comme des fous.Je suis complètement excité, je vais éjaculer dans mon slip si ca continue.

Nous restons à mater un bon moment. Puis, une femme s’approcha de Chris et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Il se leva et m’adressant un sourire d’excuse la suivit vers le boxe ou l’attendait un autre homme. Je l’observais et je vis la femme libérer son sexe déjà gonflé et commencer à le sucer devant l’autre homme qui était certainement son mari.Je soupirai.une fois de plus, ce n’étais pas à moi que cela arrivait.Je devais être maudit des glandes.Découragé, déprimé, je me levais et commençait à déambuler dans la boite. Je mis en quête des toilettes et j’arrivais devant une porte ou il était inscrit « PRIVE ».Surpris, je me demandais ce qui pouvait être « privé » dans un endroit pareil!

Curieux, je poussais la porte.Il s’agissait d’une pièce, petite. Éclairée par des projecteurs. J’entends des halètements.Des cris. Des gémissements. J’avançais un peu et aperçut la silhouette d’une femme. Mais je ne distingue pas ses traits. Elle est à genoux en train de sucer un type, ventripotent qui lui enfonce sa queue dans sa bouche. Je vois la tête de la femme qui monte et descend sur la bite de l’homme. Il la repoussa et elle se leva. Il la retourna et la cambra sur une table. Il enfonça ses doigts dans sa chatte et commença à la branler. J’ai une érection d’enfer et je commence à me caresser a travers l’étoffe de mon pantalon. Les gémissements de la femme emplissent la salle. L’homme retira ses doigts et empoignant son sexe a pleine mains s’enfonça dans le con de la femme qui poussa un cri bref. Il commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. J’entends les claquements de son gros ventre contre les fesses de la femme qui gémit sourdement. Elle couine.Les mains de l’homme sont enfoncées dans ses hanches.D’où je suis, ils ne peuvent me voir. Je bande comme un taureau. L’homme donne de violents coups de pines à cette malheureuse, enfin malheureuse tout est relatif, femme qui secoue la tête dans tous les sens.Elle a l’air d’être une bourgeoise. Je dis ca parce qu’elle est vêtue d’un tailleur dont la veste traîne par terre et sa jupe est relevée autour de sa taille. Ses longues jambes gainées de bas noirs tremblent sous les coups de boutoirs de l’homme qui la traite de salope. La femme gémit sous les coups de reins de l’homme. Je ne distingue pas son visage d’ou je suis. Soudain, l’homme se retira et dirigea son sexe vers l’ouverture des reins de la femme qui poussa un hurlement. Je frémis quand l’homme lui enfonça sa bite dans son cul. Puis il commença à la pilonner comme un fou.J’entendis les cris de la femme qui résonnes dans la petite mardin escort pièce. Elle bafouille des mots sans suite.

– Oui.oui.violez moi! Je suis une bourgeoise salope.Allez y.Plus fort.

Quelle salope! Quand je pense qu’il s’agit certainement d’une bonne épouse, une mère de famille honorable! Fébrilement, je sors mon téléphone portable et commence à filmer la scène, il faut que je montre ca à Chris. L’autre continue de baiser cette femme comme une chienne.Une autre porte s’ouvrit et deux autres homme entrèrent.Ils sont nus, la bite dressée. L’homme se retira et un autre le remplaça immédiatement. Nouveau cri de la femme et nouveau gémissement. On la mise à terre, à quatre pattes, le cul tourné vers ses hommes qui la baisent comme des brutes. L’homme se mit à genoux et s’enfonça dans sa chatte en lui donnant une claque sur ses fesses. Pendant qu’elle était en train de se faire défoncer par l’inconnu, un autre arriva devant son visage, une queue bien raide dans sa main et il l’enfourna dans la bouche de la femme. C’est alors que, me déplaçant légèrement sans faire de bruit, je découvris son visage.Et le sol se déroba sous mes pieds.

J’eu l’impression que mon coeur s’arrêtais de battre.L’oxygène vint à me manquer.Ce n’étais pas possible! Non! C’était ma mère! Ma maman.ma douce maman.qui était devant moi en train de se faire baiser comme la dernière des putes. Je voulus intervenir me disant qu’elle ne devait pas être consentante.Ce n’étais pas possible.elle devait être contrainte par un ignoble chantage! Elle c’était faite kidnapper et elle était forcée d’obéir.mais j’entendis ma mère les supplier de continuer et je compris qu’en fait ma mère était la dernière des salopes!

L’orgie continue.Elle est prise en levrette par un des hommes qui s’active sur elle. Ses fesses tressautent sous les coups de reins violents de l’homme. Elle halète comme une folle, je vois ses yeux,le regard fou, elle crie, de la bave coule sur son menton. Elle s’active sur le membre qu’on vient de lui enfoncer dans la bouche. Léchant le gland, suçant la bite puis ressortant pour lécher la hampe et replongeant dessus.Les bruits de succions de sa fellation se perdent avec les halètements de l’homme qui la bourre comme une chienne et qui pousse des cris de goret. Il éjacula sur son dos et un autre le remplaça aussitôt. Machinalement, je continue de filmer. Ma mère entoura de ses doigts le sexe tendue de l’homme qu’elle suçait et le masturba. Il lâcha des traînées blanchâtres en criant. Le sperme gicla sur le visage de ma mère. Elle en reçut sur le front, les joues.Celui qui était derrière elle éjacula également et aspergea ses fesses de filaments blancs.

On releva ma mère et elle rabattit sa jupe et remis sa veste de son tailleur élégant. Je fus surpris de voir que les deux hommes donnaient de l’argent au troisième, le gros. Je failli m’évanouir de dégoût! Ma mère était prostituée! Mais pourquoi? Et par qui? Qui était cet homme?

Ma mère accompagnée de l’inconnu se dirigea vers la sortie et je sortais à mon tour précipitamment.Qu’elle ne me voit pas surtout!

Je me cachais dans les toilettes et vis ma mère passée devant moi, l’air exténué, mais avec un sourire aux lèvres. L’homme lui a faufilé une main sous sa jupe.

Je me rends compte que je bande toujours et que je suis complètement excité. Je rentre dans les toilettes et me masturbe en pensant que je viens de voir ma propre mère en train de se faire enfiler par tous les trous et que j’ai un film le prouvant! J’éjacule en poussant un grognement de fauve.

Je retrouve Chris qui me cherche partout.

– Putain! Mais ou t’étais passé?

S’il savait! Je lui demande à ce qu’on rentre et il s’exécute de mauvaise grâce.Pendant qu’il me ramène chez moi, j’entends les cris de jouissance de ma mère qui résonne encore dans ma tête.

Je pense au film. Que vais je bien pouvoir en faire?

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Expiation

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Big Tits

Je pensais que le décès tragique de ma femme allait nous rapprocher avec ma fille. Elle avait 15 ans à l’époque, sa relation avec sa mére était très fusionnelle. Avec moi c’était plutôt utilitaire sans grand affect. Si c’était possible, Julie s’était pourtant encore éloignée de moi ces deux dernières années, développant une agressivité comme si j’étais responsable de la mort de sa mère. Responsable en tant que mari mais aussi en tant que male puisqu’elle avait été tuée par un déséquilibré sexuel. Je ne pouvais rien faire que lui apporter tout le confort et le service que j’avais toujours apporté au foyer. Seul son bonheur comptait.

La relation que j’avais avec sa mère m’avait toujours mis de côté dans la sphère familiale. Nous nous étions rencontrés et aimés sur ce contrat d’être totalement et en permanence à son service, sans aucun droit et tous les devoirs, soumis à ses désirs et envies. Nous avions l’âge de ma fille actuellement et avions vécu 20 années d’une densité incroyable, de fusion et d’abandon de ma part.

Et surtout une profonde dévotion, tellement je l’admirais et ne vivais que pour elle. Elle méprisait les hommes et avait passé ce dégoût à sa fille qui n’avait aucune considération pour moi, imitant ainsi la façon dont sa maman me traitait, sans comprendre l’intensité et la folie de notre lien. Sans connaitre les tenants et aboutissants de notre relation, elle m’avait toujours considéré comme un domestique. J’avais donc repris l’habitude qui était la mienne qui était de ne parler que lorsqu’elle m’adressait la parole et d’être à disposition. Je l’aimais bien sur intensément, mais rien à voir avec la passion qui s’était éteinte il y a deux ans maintenant.

Sa disparition m’avait laissé désemparé et perdu. Seule Julie me forçait à continuer sans trop me poser de questions. Je n’avais jamais eu le courage de couper la ceinture de chasteté que je portais le jour de sa disparition, ne voulant pas enlever ce lien, que je portais depuis le premier jour de notre rencontre. Nous n’avions jamais fait l’amour et je n’avais même jamais jouis réellement depuis que nous avions fait notre rencontre explosive et certains de nous être trouvés. Julie était née d’une insémination artificielle après un milking que j’avais subi. Sa mère était d’une exigence et d’une rigueur extrême : jamais c’était jamais. Les règles n’avaient jamais d’exception.

Aujourd’hui après deux ans sans aucun contact physique avec ma femme, aucune sodomie reçue, aucun cunnilingus, aucune gifle ni caresse, j’étais dans un état de manque terrible. En manque de tout, d’une caresse comme d’une claque ou même un coup de pied. Mais aller voir une autre femme me semblait une trahison, et ma frustration était une punition bien méritée. Le moindre que je pouvais faire pour son souvenir et pour Julie. Elle m’aurait vraiment arraché les yeux si j’avais fait cela c’est certain.

Julie s’était très fortement rapprochée d’une fille sombre et toute aussi agressive, Léa. Elles étaient devenues inséparables. Léa ne me considérait pas mieux que ma fille, ne me disant pas même bonjour quand je lui ouvrais la porte. Je comprenais que je devais leur laisser le salon et je montais m’isoler dans ma chambre. Elle restait également dormir souvent à la maison avec Julie. Je leur faisais à manger sans même songer à partager le repas avec elles, mon exclusion était une évidence. J’étais un parfait domestique. Au fond j’étais à ma place, et cela m’allait.

Un soir, j’étais dans le couloir et je vis Léa sortir de la chambre en nuisette transparente. L’effet fut saisissant pour moi en total manque. Sa poitrine était magnifique et très imposante, je ne l’avais jamais remarquée. Je ne dis rien, je la regardais subjugué. Mon sexe aurait bien voulu bander, cela faisait longtemps que je n’avais senti la douleur fulgurante des pointes de la cage me rappeler à l’ordre. Je n’avais pas bougé tandis qu’elle revenait de la salle de bain où elle m’aperçoit. A son regard je sens que j’ai fait une erreur.

« Julie cria-t-elle il y a ton père qui me mate comme un pervers! Julie sortit nue comme à son habitude. Elle avait toujours vécu nue et cela ne me faisait aucun effet, ma fille c’était ma fille. Mais léa évidemment c’est bien autre chose.

– Mais non pas du tout, je sortais pour aller aux toilettes! Julie me regardait d’un air outré.

– Tu parles il était là quand je suis allée dans la salle de bains et encore là quand je suis revenue!

– Tu parles oui, il mate toutes les filles dans la rue, je ne sors jamais avec lui tellement il me fait honte. C’est un obsédé pire que les autres. Julie m’enfonçait. Et c’est vrai que je regardais toutes les femmes tellement j’étais en manque, je ne pensais pas que cela se voyait.

– Je suis vraiment désolé les filles, je ne voulais pas vous déranger, vraiment. Je ne suis pas un pervers! »

Que n’avais-je dit là! Je sentis instantanément le changement d’attitude de Julie, celui qui signifiait une grosse crise. Léa semblait aussi complètement outrée, tout en continuant diyarbakır escort à me narguer avec sa nuisette indécente, je pouvais même dire que son sexe était épilé! Julie me cracha au visage que j’étais le pire des pervers, qu’elle savait bien tout ce que je faisais sur mon ordinateur puisque je ne prenais même pas la peine de le fermer, qu’elle connaissait les sites que je fréquentais, les histoires que je lisais et pire celles terribles que j’écrivais, elle avait même lu tous les échanges que je partageais avec sa mère. Elle avait tout vu et tout lu, et cela la faisait vomir. Léa en rajouta pour bien montrer qu’elle était aussi au courant de tout, me disant que j’étais bien pire que son père qui semblait une vraie référence. J’appris plus tard qu’il la violait depuis des années.

L’agression était terrible et frontale. Comment leur expliquer que je ne ferais jamais rien de mal à une femme, bien au contraire. J’étais complètement anéanti. Julie demanda à Léa si elle voulait déposer plainte, je suffoquais, je n’avais rien fait de mal. Je leur dis. Je leur dis aussi que je ferais toujours tout pour elle. La mine dégoutée de Julie me montra le mépris dans lequel elle me tenait et d’une certaine façon je la comprenais. Léa demanda un délai de réflexion, je la suppliais, j’étais au fond du trou.

« Mets toi à genoux dans le couloir, les mains sur la tête. C’est bien ainsi que tu as l’habitude d’attendre n’est-ce pas? »

La voix de Julie était coupante, l’ordre tellement imprégné en moi depuis ces années que je ne réfléchis pas et pris cette position que j’avais tant occupée, humilié et le regard baissé. Les filles rentrèrent dans leur chambre en continuant de m’insulter. Je n’étais qu’une flaque, je n’avais rien fait et pourtant j’étais coupable de tout. J’avais juste envie de me cacher, mais je ne pouvais pas bouger. Julie passe la tête et me commande d’aller dans ma chambre, à genoux sur le lit, nu. Elle referme la porte me laissant sans voix. Je voudrais ne pas obéir, mais je ne peux pas. Et à ce moment je dois dire que je ne veux pas. Cela fait deux ans que je n’obéis plus et cela me manque terriblement, c’est ma nature, ma place. Je mets mon cerveau en mode off comme je le fais si bien et je me retrouve nu sur le lit à genoux, à attendre les filles.

« Qu’est ce que tu as comme ceinture et sur ton sexe? Julie me regarde durement tandis que les deux filles me matent sans complexe.

– C’est une cage de chasteté Julie avec une ceinture en cuir pour la maintenir en place.

– Pourquoi portes tu cela? Tu l’as tout le temps?

– Oui je la porte tout le temps, elle est cadenassée et je n’ai pas la clé. C’est ta mère qui a toujours voulu que je la porte. Elle disait que les hommes cela met leur sexe partout, et elle voulait que je sois parfaitement chaste.

– Je vois dis Julie. Tu te branlais tout le temps je suis certaine.

– Mais non pas du tout! Comment pourrait-elle comprendre que c’est une offrande à sa mère que je lui ai faite?

– Ta gueule, on ne te demande pas de commenter, tu réponds juste aux questions. C’est compris.

– Oui Julie.

– Voilà ce qui va se passer maintenant. Je ne te demande pas ton avis, tu n’as pas à être d’accord ou pas, c’est ainsi et c’est ma décision. Léa va venir s’installer à la maison. Elle va prendre ta chambre. Pas que ta chambre d’ailleurs, elle a décidé de te prendre. Puisque de façon évidente à te lire et te surveiller, tu as envie de vivre en esclave. Tu vas être l’esclave de Léa. Moi cela me dégoûte, mais elle a envie de t’en faire baver comme tu ne l’imagines pas. Et tu seras bien sur toujours à mon service. Evidemment si tu ne nous satisfais pas, Léa va poser une plainte avec moi comme témoin, je pense que cela sera vite réglé avec tout ce qu’on pourra dire sur toi. Je laisse Léa continuer.

– Nestor c’est ton nom maintenant. Est-ce que tu as compris Nestor? Le regard de Léa me fait peur, je baisse les yeux

– Oui Léa, je suis Nestor.

– Bien tu es un bon chien. Alors moi je suis Maîtresse, en absolument toutes circonstances. Si à un moment je te demanderais de m’appeler autrement ce n’est que pour m’éviter la honte qu’on sache que tu es ma chienne. Et pour toi Julie c’est Mademoiselle, en toutes circonstances aussi. C’est compris Medor?

– Oui Maîtresse. Merci Maîtresse. J’avais repris des mantras que je connaissais par cœur.

– Merci pour quoi connard? Je ne t’ai encore rien dit!

– De bien vouloir me prendre pour esclave Maîtresse

– Oui, tu vas voir je vais te le faire regretter comme tu n’imagines pas. Ton ancienne Maîtresse t’aimait, moi c’est tout le contraire et tu vas voir la différence que cela va faire.

– J’ai honte de penser que ma mère pouvait l’aimer. Je me dis qu’elle l’utilisait surtout et lui faisait croire. Julie était pleine de dégoût en me regardant.

– Oui c’est sûr. Bon Medor, tu dois toujours connaitre toutes les règles que tu devais suivre. Est-ce que tu as continué à les appliquer Medor?

edirne escort Certaines Maîtresse, mais c’était difficile de toutes les appliquer Maîtresse

– Eh bien elles sont toutes d’actualité à nouveau. Tu as intérêt à ne pas en oublier. Je vais prendre un plaisir fou à te torturer et te briser mais si en plus tu désobéis ou commet des erreurs, tu regretteras de ne pas être mort. En plus des règles édictées, je t’interdis de regarder la moindre femme dans les yeux, de regarder son corps, y compris le mien et celui de Mademoiselle. Est-ce que c’est compris?

– Oui Maîtresse.

– Oui Quoi? Dis-moi pourquoi le porc que tu es ne doit plus regarder une femme?

– Oui Maîtresse, le porc que je suis n’a pas le droit de lever le regard sur une femme, il est indigne même d’en regarder une.

– Tu dors dans le dressing comme tu le faisais, tu vas reprendre tes bonnes habitudes. En revanche tes godes et plugs cela ne va pas du tout, c’est pour les fillettes ce que tu as, je veux quelque chose de plus sérieux, nous verrons cela demain. Julie m’a autorisé à utiliser toutes les affaires de ta femme, cela ne te changera pas trop, du coup. Ce sera bon de te voir quand je porterai ses vêtements, pauvre con. »

Sans surprise, c’est ce qui me fait le plus mal. Pourquoi Julie fait elle cela? Julie est repartie dans sa chambre, les filles se sont embrassées sagement, mais je sens Léa bien trop énervée pour dormir. Quant à moi, quiconque a la soumission profondément en lui, et moi je l’ai vécue près de 20 ans, le comprendra, j’étais vide de toute volonté et totalement béant pour être ainsi offert à Léa que je connaissais mal. Mais dont l’odeur et le souvenir de ses formes que j’avais entre-aperçues me rendaient fou de désir tant j’étais en manque.

Elle fit l’inventaire du dressing, sachant que j’avais gardé mes affaires dans un petit placard de mon bureau. J’avais bien évidemment laissé tout le dressing à ma femme et j’avais droit de porter bien peu de vêtements. Je la sentis excitée par la partie plus fétiche avec des talons aiguilles, bottines, des vêtements de cuir, des corsets. Tout ceci était tellement fort pour moi en souvenir. Léa se moquait de mon air de chien battu. Puis inspection du coffre où tous les accessoires étaient rangés. Avec surprise je découvre qu’elle connaît le code, et aussi le contenu. Elle sort la canne et la pose sur le lit.

« Viens là Medor, masse-moi les pieds. Nous allons commencer la cohabitation. Si je reprends la liste de tes règles tu vas me dire ce que tu fais ou ne fais plus. Et je te dirais ce que tu dois faire. Sans doute je te rajouterai des règles. Déjà tu seras battu matins et soirs, 50 coups de canne. Si pour une raison ou une autre tu ne les reçois pas ils sont reportés à la prochaine battue en le doublant. Je frémis de terreur, elle n’a pas idée de ce qu’est un coup de canne! C’était énorme, j’en tremblais de peur.

« Bon alors ces règles à compléter

1/ Penser à ta Maîtresse à chaque instant et passer une heure par jour à regarder ses photos et te remplir d’elle

– Non Maîtresse si je pense à elle, je ne regarde plus sa photo c’est trop douloureux je répondis d’un souffle

– Dès demain je t’envoie des photos de moi et je veux que tu y passes deux heures par jour. Je te passerai aussi des enregistrements audio de ma voix que tu écouteras toute la nuit. Tu n’es plus rien sans moi. Tu regarderas cela sur ton téléphone portable, interdiction d’utiliser ton ordinateur pour quoi que ce soit. Je vais te changer tous tes codes, y compris bancaires, tu n’as plus le droit de dépenser le moindre euro sans demande de ma part ou de Mademoiselle. Et même plus généralement tu n’as droit de ne rien faire qui ne soit un ordre de ma part. Est-ce que c’est compris sale pute?

– Oui Maîtresse. J’étais mortifié par sa dernière appellation, de ma femme, j’avais au moins de la considération. Je me sentais encore plus humilié et rabaissé. Et attiré.

2/ Saluer ta Maîtresse quand elle rentre ou sort d’une pièce

– Oui cela me manque, je serais heureux de Vous saluer Maitresse et Mademoiselle aussi en toutes circonstances.

– Ne t’avise pas d’oublier une seule fois!

– Non Maitresse, bien Maitresse.

A cet instant elle se lève subitement, va chercher des pinces crocodiles liées par une chaîne et sans ménagement ni précaution me pince les tétons. Je gémis de la violence, et reçois une baffe coup de poing dans la figure. Elle me hurle dessus.

– Ce n’est rien et déjà tu couines, tu n’as pas fini! Continue à me masser, cela manquait que tu n’aies pas un peu mal.

3/ S’occuper de toutes les taches de la maison et obéir à tous les ordres quels qu’ils soient

– Oui Maîtresse c’est ce que je fais.

– Bien maintenant tu t’occupes de tout pour moi

– Oui Maîtresse avec plaisir Maitresse.

– Je me fous de ton plaisir connard. Tu vas vite comprendre cela.

4/ Interdiction de s’asseoir ou s’allonger autrement que par terre

– Maîtresse je edirne escort bayan dois avouer ne plus le faire

– Oui je te vois bien assis à table ou sur le canapé. Et sur le lit tu l’utilises?

– Oui Maîtresse

– Tu te prends pour qui d’utiliser un lit? En conséquence les deux prochaines années tu dors par terre sans matelas, ni oreiller, ni couette, avec rien. En deux ans tu seras bien habitué!

– Oui Maîtresse, bien Maîtresse. J’étais désespéré.

5/ Douche froide uniquement

– Oui Maîtresse en toute circonstance.

– Tu ne prends jamais d’eau chaude?

– Non Maîtresse, sauf pour la vaisselle et la lessive Maîtresse

– Ben oui petite pute. A propos de pute je te ferais faire le trottoir que tu me ramènes de la thune, ce sera fun.

– Oui Maîtresse si tel est votre désir

– Je ne t’ai pas demandé ton avis, 10 coups de canne de plus ce soir!

6/ Autorisation pour aller aux toilettes sans avoir le droit d’utiliser les toilettes de Maîtresse

– Evidemment, hors de question que tu souilles mon trône. C’est bien tu te tais. Puis avec ta cage tu dois en mettre partout.

7/ Ne pas manger avec Maîtresse et se nourrir que de ses restes

– Ca tu ne le fais pas assez. Maintenant tu ne manges nos restes qu’avec un délai minimal de 48h. Tu vas prendre des tup et mettre la date dessus. Sans les ranger au frigidaire que cela aie bien le temps de murir. Et tu ne prends qu’un repas le matin dans ta gamelle. Tu me la présentes avant de pouvoir manger. J’avoue que l’idée de me lâcher dedans m’excite mais après tu me dégoutterais trop. A voir quand même. Bouffer de la merde cela correspond bien à ton niveau. C’est fou comme je vais te faire baver. Tu n’imagines pas.

8/ Ne boire que son urine sauf demande explicite de Maîtresse

– Oui eh bien c’est de nouveau actif. Quand je suis absente tu ne bois rien sauf si Julie veut bien t’hydrater. Et je veux que tu me remercies chaque fois que tu me bois, c’est un privilège pour une chienne comme toi. Si tu n’es pas là je me soulagerai dans une bouteille que tu puisses ne rien perdre.

9/ N’aborder ou ne parler à personne sans autorisation

– Une évidence, à coupler avec l’interdiction de regarder une femme au-dessus de ses chaussures.

10/ Ne jamais discuter ou palabrer avec Maîtresse

– Ca tu risques de voir qu’il vaut mieux pas. Je t’éclate une couille la première fois que tu le fais. Regarde, mets-toi debout à côté de moi.

Je me lève et vient avec précaution, les pinces me déchirent. Avec une main Léa enserre mes deux couilles en les tirant très fort. Je me retiens de gémir mais j’ai très mal. Avec les ongles de son autre main, elle pince une couille de toutes ses forces, je m’écroule par terre, le souffle coupé. La douleur est atroce. Je n’ai pas le temps de récupérer, je dois me remettre debout, elle recommence pareil avec l’autre couille. Je me tords de douleur par terre sous son rire sadique.

Je crois qu’on a pas fini de s’amuser ce soir.

Bon la suite.

11/ Offrir son corps sans restriction aux plaisirs de Maîtresse et de qui elle veut

– Evidemment

12/ Ne prendre d’autres plaisirs que ceux de Maîtresse

– De toute façon je vais faire de ta vie un enfer

13/ Ne jamais rien omettre ou cacher à Maîtresse

– Ne t’avise pas à cela, c’est sans doute le pire que tu puisses faire.

14/ Tenir Maîtresse au courant des activités de l’esclave en permanence

Tu m’envoies des sms toutes les 15 minutes quand nous ne sommes pas ensemble et tu as 30 secondes pour répondre à un message de ma part.

15/ L’esclave ne parle qu’en réponse à une demande de Maîtresse

– Ben c’est le minimum. Ou alors je te bâillonne toute la journée, cela pourrait être fun.

16/ Si l’esclave a une requête il se met à genoux et attend que Maîtresse lui donne l’autorisation de parler

– Ou pas, je me fous de ce que tu peux avoir à dire. Donc pas de requête.

17/ L’esclave marche toujours derrière Maîtresse tête baissée

– Je vais te faire porter un collier comme cela ce sera clair que tu es un esclave. Un truc bien voyant, bien humiliant.

18/ Aux claquements de doigts l’esclave se met à genoux en position, quels que soit le lieu

– Comme une chienne bien dresser. La moindre hésitation c’est 50 coups de canne supplémentaires.

19/ La maison est impeccable en permanence, le linge lavé tous les jours et les draps de Maîtresse changés tous les deux jours.

– Rien à dire. Si en fait, tu les changes tous les jours, c’est trop bon des draps propres et neufs.

20/ L’esclave est en chasteté de façon définitive. Il vit nu sauf ordre contraire

– Peut être une tenue de soubrette, Mademoiselle risque d’être incommodé par ta vue. Il faut que je m’occupe de tes couilles, je n’aime pas comme elles pendent.

21/ Tous les matins l’esclave réveille Maîtresse en lui baisant les pieds

– Oui enfin les jours où tu es libre de tes mouvements

Bon je fatigue, on va passer à la battue de ce soir. 60 coups, et comme c’est la première, on va arrondir à 100 qu’est ce que tu en penses? Non dis rien, c’est une tournure d’esprit, je me fous de ce que tu penses. Et si tu espères que je ne sais pas utiliser une canne tu vas vite comprendre que tu te trompes! »

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Der Wandel

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Der Wandel

Babsi kam erschöpft am Freitag von der Arbeit nach Hause. Wieder waren zu viele Arbeitskolleginnen krank oder im Urlaub. Aber sie freute sich auf Lina, denn ihr gemeinsamer virtueller Freund, hatte sie wieder in eine Story hineingeschrieben. Leider hatte Babsi das Gefühl, dass er bei Lina was falsches reingedichtet hatte. Lina und harten Sex. Ist die Erde eine Scheibe. Lina sieht zwar mit ihren knallroten Haaren, unbezähmbar aus. Aber eigentlich steht sie auf Kuschelsex.

Lina wartete schon auf der großen Couch auf ihre große Liebe. Babsi legte sich neben ihr. Streifte ihre Schuhe ab und wartete. Heute war Lina mit dem Vorlesen dran. Und Babsi müsste dabei sie streicheln und an bestimmten Stellen küssen. Lina fing an und der erste Teil, war für beide sehr gut nachvollziehbar. Aber als es zum zweiten Teil ging. Fing Babsi zu Schmunzeln an.

„Warum lachst du?”: fragte Lina. „Ganz einfach, weil er geschrieben hat, du hättest es gemocht, das man deinen Hintern versohlt. Ich stelle mir das gerade vor. Du streckst mir deinen Po entgegen und ich haue drauf. Du würdest doch sofort dich im Bad einschließen!”

Aha, du meinst also, dass ich sowas nicht mögen könnte? Und wenn ich es doch mal ausprobieren möchte? So du bei mir! Zu dienen und zu gehorchen!” „Jaja, du und devot! Zu viele Pornofilme, heimlich, geguckt?”

„Nein, nur die, mit dir zusammen çorum escort und das reichte schon!”

Also, meine Verlobte möchte dienen und gehorchen? Dann Dienerin, massiere meine Füße, sofort!”

Lina machte große Augen, denn diesen Ton kannte sie nicht von ihrer kleinen Blondine. „Los, Bitch, Füße massieren!” Lina gehorchte, mit viel Gefühl massierte sie die Füße und jeden einzelnen Zeh. Und etwas Neues kam in ihr hoch, ein ungewöhnliches Kribbeln in ihrem Körper und besonders zog es ihrer Muschi. Es geilte sich auf. Und Babsi? Es gefiel ihr auf zweierlei Art. Erstens hatte sie wirklich schwere Füße und zweitens, es geilte auch sie auf, dass eine zehn Jahre ältere Frau, auch wenn ihre Verlobte war, auf sie hörte.

„Dienerin, lass mir Badewasser ein. Los, hopp, hopp, sonst setzt es was!”

Und Lina gehorchte. Als sie zurück kam: „Herrin, euer Wasser ist eingelassen!”, in einem unterwürfigen Ton. Babsi ging ins Bad. Wasser war zwar in der Wanne, aber kein Schaum. „Dienerin, wie dumm bist du? Wo ist mein Schaum? Beuge dich vor und halte dich am Wannenrand fest.” Lina gehorchte, in Erwartung was nun kommen sollte. Babsi stellte sich hinter sie, öffnete ihren Gürtel und zog mit einem Ruck ihre Jeans und String bis zu den Knien herunter. „Strafe muss sein, Dienerin!” Lina präsentierte nun ihren nackten Po. Babsi roch sofort, den Muschisaft. denizli escort Also stand ihre Rothaarige doch auf die härtere Tour. Was natürlich bei ihr auch die Hormone in Wallungen brachte. Babsi streichelte zuerst nur Lina’s knackigen Arsch. Aber dann, wie aus dem nichts. „Patsch”, der erste Schlag auf die linke Pobacke. „AAAAH”, stöhnte Lina hervor. Sie zickte natürlich zusammen, noch nie hat auch irgendjemand auf ihren Hintern gehauen. Sie hat es mal selbst gemacht, aber das war jetzt doch was ganz anderes. „Patsch” und der nächste, diesmal die andere Seite. Dieser süße Schmerz, erregte Lina immer mehr. Sie lief förmlich aus. Und wieder schlug Babsi zu und auch ihr gefiel es. Sie merkte, dass nicht nur ihre Muschi nass wurde, sondern auch schon ihr Höschen. Sie sah sich die erröteten Pobacken, ihrer Liebsten an. Ganz vorsichtig berührte sie diese und Lina zickte zusammen. „Haha, Dienerin, so nicht!” aber dann klatschte wieder Babsi’s Hände auf den Po, doch diesmal ging’s schneller. Lins, rechts und so weiter. Und bei jedem Schlag zickte Lina zusammen. Stöhnte und seufzte aus einer Mischung aus Schmerz und Geilheit. Als aber Lina’s Pobacken so gerötet waren, dass sich Babsi schon erschrak, hörte sie auf. Mit flinken Fingern, massierte sie den nassen Clit von Lina. Und diese ging zu sofort, sie stand jetzt schon kurz vor ihrem ersten neuartigen düzce escort Orgasmus. Aber sie wollte noch nicht kommen, sie wollte noch den süßen Schmerz auf ihren Pobacken genießen. Also drehte sie sich um und ging auf die Knie. Dann half sie ihrer neuen Herrin aus den Hosen und bewegte ihren Kopf zu der nassen und pulsierenden Vulva von Babsi. Diese öffnete bereitwillig ihre Beine. Mit ihrer Zunge glitt Luna hinein. Irgendwie hatte sie das Gefühl, dass ihre Kleine heute nasser wäre. Babsi ging leicht in die Knie, damit Lina noch tiefer in sie kam. Lina schleckte, saugte und knabberte an Babsi’s geschwollene Perle. „Herrin, darf ich es mir bitte selbst besorgen?”: bettelte Lina. Babsi nickte nur und drückte Lina’s Kopf fest an ihre Scham. So besorgte es die Rote, ihrer Geliebten und sich selbst. Dabei noch immer ein brennen auf dem Po. Immer heftiger stöhnten die Zwei, immer mehr zuckern sie fast im Gleichklang und auch fast bekamen bei ihren Höhepunkt. Nur diesmal intensiver, heftiger und kaum abklingend. Was für ein Höhepunkt, Babsi konnte nicht mehr stehen und ging zu Lina auf die Knie. Und Luna fingerte sie weiter, bis sie erschöpft sich gegenseitig stützend auf im Bad waren. Als sie sich erholt hatten, küssten sie sich so heftig, dass ihnen schon fast die Lippen weh taten. „Lass uns in die Wanne steigen, Schatz. Und erzähle mir mehr, von deinen Wünschen und Träumen!”: sagte noch leicht wackelig auf den Beinen, Babsi zu ihrer größten Liebe. Babsi saß in der Wanne hinter Lina, seifte ihr den Rücken ein. Massierte diesen auch, aber auch nicht den vorderen Teil zu vergessen. Und Lina plauderte sich ihre Seele frei. Und beide freuten sich auf die kommende Nacht.

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Das Gute an der Zombie-Apokalypse ist, dass alle menschlichen Besitztümer jetzt einfach nur für die wenigen Überlebenden bereitlagen. Und so verbrachte ich die ersten paar Wochen damit, einfach in die verlassenen Villas im reichen Teil der Stadt einzubrechen und die Sachen anderer Leute zu durchwühlen, die höchstwahrscheinlich tot waren, aber auch ansonsten wohl nicht zurückkehren würden.

Das erste, was ich vermisste, war die Elektrizität. Das Stromnetz hielt noch ein paar Tage von selbst und fiel dann in dem Teil der Stadt aus, in dem ich mich befand. Nachts konnte ich noch immer die Lichter in anderen Stadtteilen sehen, aber ich ging dem nie weiter nach. Ohne Elektrizität gab es kein Licht, keine Kühlschränke, keine Herdplatten, es sei denn, man kochte mit Gas.

Es gab noch immer eine Menge zu Essen. Plötzlich waren die Vorräte von tausenden Menschen einfach nur für mich übrig — oder noch für eine Handvoll Anderer, von denen ich nichts wusste — und es gab keinen Mangel an Konserven, Müsli und allem anderen, das auch ohne Kühlung aufbewahrt werden konnte. Ich fand außerdem ein paar orte, die Gasherde hatten und konnte dort eine gute Zeitlang bleiben, einfach von den Vorräten in den umliegenden Häusern leben und mit den Sachen der Leute rumspielen, die ich so in ihren Wohnungen fand.

Das Schlechte an der Zombie-Apokalypse waren die Zombies. Ich hielt mich von diesen fern und hatte nie versucht, es mit einem aufzunehmen, blieb in gut befestigten Häusern, die von hohen Mauern umgeben und zombiefrei waren. Die Eigentümer waren entweder nach dem Ausbruch geflohen oder waren nicht zuhause, als es anfing. Und so waren die Zombies nur ein fernes Raunen, draußen, nachts, das mich gelegentlich aufweckte und mich dann veranlasste, die Türen und Fenster zu überprüfen, aber das war schon alles.

Seltsamerweise hatte ich während dieser ersten Tage eine gute Zeit. Der Zivilisationsdruck war verschwunden und ich genoss es, all diese reichen Häuser zu durchsuchen, Sachen zu sehen, die ich nie zuvor gesehen hatte und frei und ungehindert zu leben. So lange ich drinnen war, machte ich mir nicht einmal die Mühe, mich anzuziehen und verbrachte eine Menge Zeit mit Selbstbefriedigung. Zum Glück konnte ich einen großen Vorrat an Batterien, Vibratoren und anderen Spielsachen finden — man glaubt ja nicht, was für einen ausgefallenen Geschmack manche von diesen Leuten hatten — und der Gedanke daran, mir den Dildo einer anderen Frau in die Möse zu stopfen machte mich noch zusätzlich an.

Nach einer Weile ließ der Reiz jedoch nach und ich musste mir etwas langfristigere Gedanken machen. Menschen waren schließlich Gesellschaftstiere, und auch wenn ich selbst es vielleicht mehr als andere genoss, alleine zu sein, wusste ich doch, dass es mich früher oder später in den Wahnsinn treiben würde, wenn ich nicht jemand anderen finden konnte. Natürlich würde es mir auch nichts helfen, wenn ich bei der Suche von einem Zombiebiss getötet würde, und so verbrachte ich ein paar Tage damit, die sicherste Herangehensweise zu planen, mit der ich andere Überlebende finden würde.

In meiner Vorstellung war es auf dem Wasser am sichersten. Zombies schienen nicht schwimmen zu können und es würde mir erlauben, sicher fortzukommen. Außerdem würde ein Boot sicher die Aufmerksamkeit aller anderen intelligenten Wesen auf sich ziehen, und dadurch meine Chancen erhöhen, entdeckt zu werden. Natürlich konnte das auch schlecht sein, je nachdem wie feindlich die anderen Überlebenden gesinnt waren.

Um mich also verteidigen zu können, verbrachte ich mehrere Tage damit, meine Zielsicherheit zu trainieren. Auch wenn Schusswaffen größtenteils verboten waren, wo ich lebte, stellte ich doch fest, dass die meisten Reichen irgendeine Waffe zuhause hatten. Ich sammelte ein paar Pistolen, Gewehre, einen antiken Krummsäbel und so viel Munition, wie ich finden konnte. In einem der Untergeschosse war sogar einen Schießstand, der sich als sehr nützlich erwies und sobald ich erst einmal herausgefunden hatte, welche Munition zu welcher Waffe gehört, welche davon ich am besten handhaben konnte und welche andere Pistole ein guter Ersatz war, packte ich schließlich meine Sachen.

Ich war darauf bedacht, nicht zu viel zu tragen, und packte daher nur zwei Handfeuerwaffen, die ich in Halftern trug, die sich zwischen meinen Brüsten überkreuzten. Ein weiterer Gürtel um meine Hüften hielt mehrere Munitionsclips, und der Krummsäbel hatte seinen eigenen verzierten Gürtel mit Scheide, welchen ich ebenfalls umlegte. Nachdem es die Zombie Apokalypse war, und noch dazu Sommer in Italien, trug ich nicht viel andere Kleider, da ich davon ausging, dass sich niemand, den ich treffen bitlis escort würde, an meinen entblößten Brüsten oder sliplosen Schritt störte. Das einzige, was ich also noch anzog, waren eine grüne Jogginghose, ein paar Sportschuhe, ein weißes loses Hemd, und einen breiten weißen Sommerhut gegen die Hitze.

In meinem Rucksack hatte ich ein paar Jeans und einen Pullover, falls es einmal kühl werden sollte, sowie genug zu essen für eine Woche, ein paar Werkzeuge, die nicht zu klobig waren, Karten, Kreide, einen Kompass, Batterien, eine Taschenlampe, Streichhölzer, Feuerzeuge, ein paar Kerzen, ein Navigationsgerät und so viel Munition, wie ich noch tragen konnte. Und eines Tages dann, als die Sonne über der vierten Woche nach dem Ausbruch unterging, machte ich mich auf den Weg.

Das gute an den Zombies war, dass man sie meistens hören konnte, lange bevor man sie sah. Ich hielt mich an die Nebenstraßen und Gassen als ich mir den Weg hin zum Fluss bahnte, achtete auf jedes Geräusch, vermied alles, was verdächtig schien und machte mehr Umwege, als ich zählen konnte. Die Karte bewahrte mich davor, in die Irre zu gehen, aber es wurde viel eher dunkel, als ich erwartet hatte, und so suchte ich verzweifelt nach einen Platz für die Nacht.

Dächer und hochgelegene Orte schienen mir dafür am besten, und so ging ich durch ein verlassenes Hochhaus bis zum Dach und schlug dort mein Lager auf. Aus einigen der Wohnungen kamen stöhnende Geräusche, als ich an ihnen vorbeikam, und ich war froh, dass die Tür zum Dach aus Metall war und stabil aussah, und ich zog den Griff mit einem der Werkzeuge fest, was es schwerer machte, sie von der anderen Seite zu öffnen.

Bevor ich mich schließlich hinlegte, machte ich noch eine vorsorgliche Runde über das Dach um sicherzustellen, dass sich dort auch kein Zombie versteckt hatte, hielt dann an den Rändern an und hielt Ausschau über die Stadt unter mir, wo dunkle Schatten gelegentlich die Straßen entlang schlurften. Ich seufzte und zog meine Hose herunter, spreizte die Beine und entleerte meine Blase über den Rand hinweg in der Hoffnung, wenigstens ein paar von den Ärschen mit Pisse zu treffen.

Plötzlich, als ich da stand und mir die Pisse aus den klebrigen Schamlippen spritzte, sah ich ein Licht in einem anderen Gebäude aufblitzen, das nicht allzu weit von mir entfernt war. Es sah nicht so aus wie die Lichter in dem noch immer beleuchteten Teil der Stadt, sondern eher wie eine Taschenlampe, und ging in unregelmäßigen Abständen an und aus, wobei es in verschiedene Richtungen leuchtete. Bei Nacht war es mir nicht geheuer, dort hin zu gehen, und so versuchte ich, mir die Position zu merken und sie auf der Karte einzuzeichnen, um es mir am nächsten Tag anzusehen.

Am Morgen wachte ich mit einer Kerze in der Möse auf, mit der ich die Nacht zuvor noch gespielt hatte, bevor ich eingeschlafen war. Ich verfluchte meinen Mangel an Voraussicht und Klopapier und machte eine gedankliche Notiz, mir bei der nächsten Gelegenheit jemandes Badezimmer vorzunehmen. Hygiene war zu einem Luxus geworden, da fließendes Wasser immer seltener wurde. Ich hatte mich schon seit Wochen nicht geduscht, und vermisste dabei am meisten, mir die Haare waschen zu können. Also nächste Mission: Bad.

Zum Frühstück hatte ich eine Dose Pfirsiche bevor ich mich wieder auf den Weg machte, die gleiche Treppe runter, über die ich gekommen war. Über Nacht waren keine Zombies dort hingewandert und so konnte ich meinen Kurs durch die Straßen und Gassen wieder aufnehmen und steuerte auf das Gebäude zu, von dem ich dachte, dass das Licht gekommen war. Es war warm, und obwohl ich nur leichte Kleidung anhatte, war die bald durchschwitzt. Ich versuchte, mich im Schatten zu halten, da meine helle Haut sehr Empfindlich gegen Sonnenlicht ist, als Rothaarige und so.

Ein paar Häuserblöcke weiter fand ich die ersten toten Zombies. Jemand hatte ihre Stirn durchstoßen und dort hässliche klaffende Löcher hinterlassen. Sie lagen über die Straße verstreut und verwesten in der Sommerhitze, wo der Gestank mir den Atem raubte. Es war unmöglich festzustellen, wie lange sie bereits tot waren, aber ich folgte der Leichenspur zu einem weiteren, kleineren Wohnkomplex.

Die Tür war verschlossen, aber ich konnte zu einem Balkon hochklettern und von dort eine der Wohnungen betreten. Drinnen war es still, keine Spur von Zombies oder etwas anderem, aber ich blieb trotzdem vorsichtig. Wenn dies das Gebäude war, in dem ich zuvor das Licht gesehen hatte, dann war jemand vielleicht immer noch hier, und ich wollte nicht, dass ich gefunden werde, bevor ich ihn fand. Ich schlich in dem Zimmer umher und lauschte in die Stille des Gebäudes, bolu escort bis ich schließlich ein rumpelndes Geräusch von oben vernahm.

Ich ging nach draußen ins Treppenhaus, kniete duckte mich mit gezogener Pistole und schlich leise die Treppen nach oben. Eine kleine Stimme im Hinterkopf sagte mir, wie lächerlich das alles war — als ob ich überhaupt jemanden erschießen konnte, so untrainiert, langsam und mollig, wie ich war, aber der schwere Griff der Waffe in meiner Hand gab mir zumindest ein Gefühl der Sicherheit.

Als ich das nächste Stockwerk erreicht hatte, hörte ich noch mehr Geräusche, die aus einer Wohnung quer über den Flur kamen. Es klang, als ob Türen geöffnet und geschlossen wurden, und jemand in einer Sprache sprach, die ich nicht kannte. Ich kam zu der Tür, von der ich dachte, dass es von dort kam, und lauschte. Drinnen bewegte sich jemand und nuschelte Wörter vor sich hin. Es war eine weibliche Stimme, aber die Sprache klang fremd, sicherlich nichts, was ich verstehen konnte.

Ich wartete, bis das Geräusch sich von der Tür entfernt hatte, und versuchte dann leise, sie zu öffnen. Sie war verschlossen. Ich versuchte es mit den angrenzenden Wohnungen, fand eine, die ich betreten konnte und lief dort hindurch bis zum Balkon auf der anderen Seite. Dort ließ ich meinen Rucksack liegen und kletterte hinüber zum nächsten Balkon, wo ich durch die Tür lugte. Drinnen war es dunkel, aber ich konnte ein Wohnzimmer erkennen, mit ein paar Stühlen und einem Sofa, und den Umrissen einer Person, die darauf lag.

Die Balkontür selbst war halb geöffnet, wahrscheinlich um den Raum etwas zu lüften, und so stieß ich sie leise weiter auf und schlich mich hinein. Als ich dem Sofa näher kam, sah ich die dunklen, braunen Beine einer großen, schwarzen Frau, die auf dem Rücken lag und sich leicht wand. Sie war vielleicht Mitte 20, mit kurzen, lockigen Haaren und hatte die Augen vor Verzückung geschlossen. Als ich meinen Kopf hob, sah ich ihre Hand zwischen ihren Beinen, wo sie eifrig ihren Kitzler rieb. Ich senkte meine Pistole. Sie schien unbewaffnet und ich wollte keinen falschen ersten Eindruck machen.

Langsam stand ich auf. Zuerst schien sie mich nicht zu bemerken, aber plötzlich kreischte sie, schnellte auf uns starrte mich an. Sie war hübsch, mit starken, ernsten Gesichtszügen, die ihr langes Gesicht bestimmten. Ihre Brüste waren von einer roten Bluse bedeckt, aber ich konnte trotzdem erkennen, dass sie beeindruckend groß waren. Sie trug keine anderen Klamotten und ihr Schritt wurde von einem dicken schwarzen Busch Schamhaaren bedeckt, der fast komplett ihre geschwollenen Schamlippen verbarg.

„Entschuldigung,” sagte ich auf Deutsch und Italienisch, den beiden Sprachen, die in der Gegend gesprochen wurden.

Sie starrte mich weiterhin an, als ob sie mich nicht verstand. „Wer bist du?” fragte sie schließlich auf Englisch mit einem starken Akzent.

„Kathrin,” antwortete ich. „Ich heiße Kathrin.”

Sie beäugte mich von oben bis unten und ihre Augen fixierten sich auf meine Waffen. „Was willst du, Kathrin?” fragte sie weiter.

Ich zuckte mit den Schultern. „Ich habe letzte Nacht nur deine Taschenlame gesehen und wollte nachsehen, wer du bist. Ich war… alleine, die ganzen letzten Wochen.”

Sie nickte. „Rebekka,” sagte sie schließlich und streckte mir ihre Hand hin. „Ich bin Rebekka.”

Ich schüttelte ihr die Hand und bemerkte, dass ihre Finger noch immer glitschig von ihrem Schritt waren. „Was machst du hier so?” fragte ich neugierig.

Sie zuckte mit den Schultern. „Was man halt so macht,” antwortete sie. „Die Schweine da draußen bekämpfen und versuchen, zu überleben…” Sie hielt inne und sah zu ihrem entblößten Schoß hinab, als ob sie erst jetzt bemerkte, dass sie nackt vor einer Fremden stand.

Ich lächelte und trat näher an sie heran. „Ich weiß,” sagte ich sanft und ließ eine Hand auf ihrer Schulter ruhen. „Ich weiß, wie es ist.” Ich kniete mich neben sie und ließ meine Finger über ihr kurzes, feuchtes Haar gleiten als ich mich zu ihr hinlehnte. Meine Hand wanderte nach unten, um auf einer ihrer großen, schweren Brüste zur Ruhe zu kommen, als ich sie sanft küsste.

Sie erschauderte. Ich öffnete ihre Bluse und ließ ihre Titten herausfallen. Sie waren massiv, schwer und hängend, mit Brustwarzen so groß wie eine Tasse. Ich packte sie mit beiden Händen und quetschte und zupfte an ihren Nippeln während mein Kopf zwischen ihre Beine wanderte und nach der feuchten Muschi suchte, die ich zuvor gesehen hatte.

Ohne Vorwarnung fing ich an, sie zu lutschen und zog dabei ihre ganzen Schamlippen tief in meinen Mund und leckte die Flüssigkeit dazwischen burdur escort mit meiner Zunge auf. Meine Nase war in ihrem dichten Busch vergraben und roch dort ihren fast betäubenden Fotzengeruch. Ich wollte einen guten ersten Eindruck hinterlassen und leckte sie eingehend, während ich ihr kräftig den Kitzler massierte. Sie kam schon bald, da sie wohl bereits ziemlich erregt war, nachdem sie schon zuvor an sich herumgespielt hatte. Ihr Körper bäumte sich auf und sie schlug um sich und quietschte, als sie kam, wobei ein paar weiße Absonderungen aus ihr herausliefen.

„Mmmmh,” sagte sie, als sie wieder zu Atem gekommen war. „Das war das beste, was mir seit langem passiert ist.” Sie setzte sich auf und sah mir in die Augen. „Bitte lass mich den Gefallen erwidern.”

Ich lächelte und schob meine Hose nach unten, bis sie zu meinen Knöcheln fiel. Sie schnalzte mit der Zunge, als sie den roten Busch sah, der mein bleiches weißes Muschiloch umkrönte. „Was kann ich für dich tun?” fragte sie.

Ich zuckte mit den Schultern. „Das liegt an dir,” antwortete ich. „Alles, womit du einverstanden bist.”

Sie schüttelte den Kopf. „Ich muss es von dir gesagt kriegen,” meinte sie standhaft. „Ich will dir auf jede erdenkliche Weise zu Diensten sein, und ich will, dass du mich benutzt.”

Das ganze ging schon ziemlich schnell, dachte ich, aber wir kamen wohl beide zu dem Schluss, dass das Ende der Welt gekommen war, und da gab es keinen Anlass für Höflichkeiten mehr. Dass, und die Tatsache, dass ich noch immer auf der Suche nach einer Toilette war, ließen mich schließlich mit zitternder Stimme sagen: „Trink meine Pisse.”

Sie fiel auf die Knie, öffnete ihren Mund und streckte die Zunge heraus. Ich schloss meine Augen und ließ es laufen, spürte die Erleichterung, als meine Blase herausspritzte, fast schmerzhaft, und ihre lockigen haare und das süße Gesicht mit Pisse besprühte. Ich hörte, wie es ihren Mund füllte und sie es dann schluckte und sah schließlich wieder hinunter, wo ein goldgelber Strahl unterhalb meines Busches herauslief und ihre Lippen benetzte während sie mit großen, unterwürfigen Augen zu mir heraufsah.

Als ich fertig war, leckte sie meine Muschi langsam ab, mit ihrer feuchten Zunge über meine ganzen Schamlippen. Sie beugte sich zurück und rieb ihre großen Titten an meiner Spalte entlang, wo ihre harten Nippel gegen meinen Kitzler schnippten. Ich stöhnte bei ihrer Berührung und grinste, als sie mich ansah und nicht sicher war, was sie als nächstes tun sollte. „Steh auf,” sagte ich, ruhig, aber gebietend. Sie gehorchte, aber war etwas überrascht von meiner Grobheit, als ich sie am Kragen packte und sie zur Balkontür hinausstieß, wo ich sie über das Geländer beugte, so dass ihre großen Titten hinabhingen.

Von hinten sah ihre verschwitzte, haarige Möse noch appetitlicher aus sonst, und ich bückte mich um sie wieder zu lecken, wobei dieses Mal meine Zunge auch zwischen ihre Pobacken lief. Sie stöhnte leise, da sie nicht noch weitere Aufmerksamkeit von den Zombies in der Straße unter ihr auf sich ziehen wollte. Ich wurde noch aggressiver und wollte ihr zeigen, wer ihr neuer Boss war, so dass ich schließlich den Krummsäbel aus seiner Scheide zog. Die stumpfe Seite ließ ich über ihren schwarzen Po laufen, wo das kalte Metall ihr eine Gänsehaut gab. Dann schließlich stieß ich den Griff in ihre Fotze.

Sie grunzte, als der dicke, lange Griff sich in ihre Möse bohrte und ihr nasses Fickloch schmatzende Geräusche machen ließ als er rein und rausfuhr. Der Stab war komplett mit Bronzedraht umwickelt, was ihn rau machte, so dass er nicht so einfach aus der Hand glitt, und wurde etwas dicker in der Mitte. Ich sah, wie es ihre rosigen Muschilippen weiter und weiter spreizte und konnte mich nur wundern, wie es sich wohl anfühlen musste, es in sich zu spüren.

Sie konnte kaum noch atmen, wie ihr Loch so von hinten gefickt wurde, und verlor schließlich bald alle Selbstkontrolle und fing nur noch an zu schreien, dass ich sie wie die dreckigste Hure behandeln solle: „Oh Gott, ja, fick die schwarze Fotze! Fick mich gut, Herrin, benutz mich wie die blöde Fickschlampe, die ich bin. Gott, ich bin so ein dreckiges Fickloch, gerade mal gut genug, um als Spielzeug zu dienen, deine Pisse zu trinken und deiner süßen Fotze zu dienen.”

Sie hielt sich am Geländer fest und drückte sich mir entgegen als ich den Griff komplett in sie hineinrammte und sie mit Gewalt fickte. Sie kam erneut und schrie laut auf als sie auf die Knie sank. Ich zog den Krummsäbel wieder aus ihr heraus und hielt sie von hinten fest, als sie wimmernd und zitternd zu Boden sank, Tränen strömten über ihr Gesicht als sie kam und ihre Muschi verspritzte Säfte, die sich in einer Pfütze unter ihr sammelten. Wir küssten uns und ich wog sie sanft in meinen Armen, glücklich, sie gefunden zu haben; glücklich, die perfekte Gefährtin zu haben, mit der ich mich dem Ende der Welt entgegen stellen konnte.

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Mein erstes lesbisches Erlebnis

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Hallo, diesmal gibt´s ausnahmsweise einmal keine erotische Geschichte im üblichen Sinn von mir, aber – und nachdem das ja auch die meisten anderen Autoren auf Literotica machen, dachte ich vielleicht ist das ja doch ganz interessant für die Leser meiner Geschichten – einmal eine kurze „True Storie“ ,sozusagen die nackten Tatsachen, wie ich eigentlich ursprünglich auf meine heutige sexuelle Vorliebe, nämlich die Liebe zu anderen Frauen gekommen bin. Schließlich war ich ja nicht immer lesbisch – na ja ein bisschen bi bin ich ja wahrscheinlich noch immer – wenn’s auch schon eine Zeit her ist, dass ich das letzte Mal mit einem Mann oder Jungen im Bett war.

Ihr müsst mir auch verzeihen, wenn ich nicht allzu viel über meine Person verrate – aber ein bisschen Geheimnis muss schon noch sein. Am besten ihr nennt mich Anna (das klingt für mich irgendwie so leicht devot, aber süß), oder Carmen (da gefällt mir das rassige, erotische daran).
Auch werdet ihr vielleicht ein wenig die erotischen Details vermissen – aber ein bisschen Privates muss ja auch noch sein und das „erste Mal“ ist ja doch irgendwie immer was besonderes. Naja und vielleicht werde ich ja irgendwann mal noch mutiger und erzähle noch ein bisschen mehr…

Also dann zu meinem ersten lesbischen Erlebnis:

Ich war damals gerade 18 geworden, hatte das Gymnasium ebenso ganz gut hinter mich gebracht wie die eine oder andere Teenie-Beziehung zu Jungs aus der Schule oder von irgendwelchen Feten. Eigentlich waren weder die Beziehung noch der Sex in den Beziehungen (mein erstes Mal mit einem Jungen war mit 16) wirklich schlecht gewesen, der ganz große Knaller war aber auch nicht dabei gewesen.
Jedenfalls hatte ich dann an der Uni inskribiert und war zu Anfang des Semesters zum ersten Mal auf einer echten Studentenfete geladen. Ich war mit ein paar Freundinnen dort, die alle wie ich damals noch zu Hause bei den Eltern – etwas außerhalb der Stadt – wohnten. Die Fete war in einem Studentenheim und es war wirklich unglaublich bursa escort viel los, ein riesen Gedränge aber auch eine ganz tolle Stimmung. Wir tanzten ordentlich, tranken einiges und wurden von einigen Jungs angemacht – also eigentlich alles ganz nach „Plan“.

Es war bereits irgendwann nach Mitternacht, als ich mich wieder mal an der Theke anstellte um noch einen Drink zu ergattern und irgendwie ging nicht recht was weiter. Plötzlich tupfte mir von seitlich hinter mir jemand auf die Schulter und im Getöse der Musik hörte ich jemanden ein fragendes „Anna?“ (zu Namen siehe oben) in mein Ohr rufen. Ich blickte mich um – und hinter mir stand Sabine (Name ebenfalls geändert). Sabine hatte bei mir an der Schule mal so ein kurzes Schulpraktikum gemacht in Englisch, während ihres Studiums. Sie war ein total nettes Mädchen und wir hatten uns schon damals – das war zu dem Zeitpunkt schon zwei Jahre her – gut verstanden. Sie sah eigentlich auch ganz gut aus, war aber nicht wirklich auffällig; ein wenig größer als ich, die Figur ein wenig üppiger aber eigentlich immer noch schlank und längere braune Haare. Sie war damals 24 und für mich jungen Hüpfer war es fast schon so etwas wie eine Ehre, dass sie mich ansprach.

Jedenfalls freuten wir uns aber beide sehr uns wiederzusehen und nachdem wir unsere Drinks erhalten hatten zogen wir uns in eine etwas ruhigere Ecke zurück und quatschten und scherzten. Sabine hatte auch schon einige Drinks konsumiert und war recht locker drauf und machte mir einige wirklich nette Komplimente über mein Aussehen. Irgendwann begannen wir über unsere Beziehungen usw. zu quatschen. Ich erwähnte, dass ich gerade solo war und Sabine beichtete mir ganz offen, dass sie eigentlich bisexuell war. In meinem angeheiterten und von meiner ersten Studentenfete etwas aufgeheizten Zustand machte mich dieses Geständnis irgendwie sofort an – für mich war das einfach sehr erwachsen und revolutionär. Naja jedenfalls unterhielten wir uns dann çanakkale escort eine ziemliche Zeit lang über Lesben und Bisexualität und ich wurde schon ziemlich angetörnt von dem Gespräch bis wir von meinen Freundinnen unterbrochen wurden, die mich schon eine Weile gesucht hatten, da sie nach Hause fahren wollten. Ich wollte natürlich noch bleiben und da warf Sabine ein, dass ich ja auch bei ihr übernachten könnte. Ich stimmte zu und meine Freundinnen rauschten ab.

Ab diesem Zeitpunkt kam unsere Unterhaltung dann ein wenig ins Stocken. Ich war plötzlich furchtbar aufgeregt, hörte richtiggehend mein Herz schlagen. Ich glaube ich fühlte, dass ich eine Entscheidung getroffen hatte, auch wenn ich das vor mir nicht zugeben wollte.

Jedenfalls schlug Sabine dann recht bald vor, dass wir doch auch oben weiter plaudern könnten. Beim raufgehen brachte ich schon kein Wort mehr heraus. Sabine fragte dann ob ich noch duschen wollte – ich konnte nur nicken, wir duschten beide nacheinander. Zuerst Sabine und dann ich. Ich kam nur von einem Handtuch verhüllt zurück ins Zimmer und Sabine lag schon in dem eher engen Einzelbett und forderte mich auf zu ihr zu kommen. Beim zurückschlagen der Decke merkte ich sofort, dass sie nackt war. Ich zog das Handtuch erst unter der Decke aus.

Wir lagen ziemlich dicht aneinander und unsere nackten Körper berührten sich immer wieder ganz leicht. Für mich war jede kleine Berührung wie ein kleine Stromschlag. Sabine versuchte noch mal eine Unterhaltung in Gang zu bringen, die aber recht einsilbig verlief und dann blickte sie mir plötzlich ganz tief in die Augen und ich fühlte ihre Hand zuerst an meiner Schulter und dann näherte sich ihr Gesicht mir. Ich schloss die Augen und ihre Lippen berührten meine ganz sanft, ihre Zunge öffneten meinen Mund und ich folgte ihrem drängen. Zum ersten mal in meinem Leben wurde ich von einer anderen Frau geküsst, richtig geküsst – und für mich war dieser Kuss damals der beste meines çankırı escort Lebens. Allzuviel tat ich zwar nicht dazu, aber Sabine dafür umso mehr.

Im Laufe des herrlichen, zärtlichen Kusses begannen ihre Hände dann zu wandern; sie streichelte mich. Zuerst nur über meine Schultern, meinen Hals, meinen Bauch und dann über meine Brüste, berührte mein Schamhaar und dann meine Muschi – alles ganz langsam und ganz sanft. Ich ließ einfach alles mit mir geschehen. Eigentlich ließ ich mich von ihr nehmen. Kein Wort wurde gesprochen, als sie die Decke zurückschlug und meinen Körper küsste, meinen Busen mit ihren Lippen und ihrer Zunge verwöhnte, während ihre Finger an meiner Muschi spielten. Ich glaube ich begann irgendwann zu keuchen und zu stöhnen, genoss jede Berührung und genoss vor allem dieses unglaubliche Gefühl, dass es eine Frau war, die mich so verwöhnte. Unter ihrer Zunge erreichte ich dann meinen ersten lesbischen Orgasmus – und es war für mich ein unglaublicher Orgasmus; vielleicht weniger nur durch ihre Zunge sondern mehr noch durch die Erregung des lesbischen Erlebnisses, des Sex mit einer Frau ausgelöst.

Erst nachdem ich mich in ihren zärtlichen Armen von meinem Orgasmus erholt hatte und meine Erregung wieder stark anwuchs, wurde auch ich etwas entspannter und mutiger und wagte es auch sie zu berühren. Wir haben uns in dieser Nacht noch lange gegenseitig gestreichelt und geküsst und zum ersten Mal habe ich auch die Muschi einer Frau gekostet – und das hat mich auch noch einmal unglaublich erregt; und tut es noch heute!!

Nach dieser Nacht war ich noch ziemlich lange mit Sabine ein heimliches Paar, bis die Beziehung sich irgendwie verlief. Mit Jungs oder Männern hatte ich seither nur sehr selten sexuellen Erlebnisse und eigentlich erregt mich auch immer nur der Gedanke nach Sex mit einer Frau oder einem Mädchen.

Meinem Umfeld habe ich bis heute eigentlich nur sehr ausgewählt über meine Neigung erzählt. Eigentlich blöd, denn wirklich negative Reaktionen waren eigentlich wirklich selten.

Naja, soviel zu mir persönlich. Das nächste Mal wieder eine meiner Stories.

Freue mich wie immer auf Feedback und vielleicht erzählt mir die eine oder andere ja auch über ihr erstes Schlüsselerlebnis mit einer Frau….

EURE Pussylove69

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Gift Givers: A Winter Holiday Tale

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Amateur

Harnesses with glass dildos in the middle
Clitoris suckers and piercings in nipples
Fooling around in the shower and steam
These are a few of my favorite things

GIFT GIVERS;

OR,

THE CHRISTMASTIME MISADVENTURES OF HOPE MONROE AND YOO-JIN AHN

~

“Shit–!”

Hope tripped and nearly feel over something in the dark of the bedroom.

The ancient bedside clock radio showed 7:04, but it was late in the year, and the sun had been down for some time. There wasn’t much to light the room but streaks of moonlight through the chipped slats of the Venetian blinds.

The object of her near-demise looked up at her and mewed innocently. His eyes gleamed in the faint light.

“Yeah, I’m gonna say that was your bad, Fred,” Hope said.

Freddie was black from tip to tail, and was all but invisible in the dark room. He wandered off somewhere, sauntering as if he’d accomplished some mission.

Hope took off the slacks, shirt, and vest–Yoo liked to call it “the uniform”–then the olive green sports bra and navy blue boxer-briefs that both looked slate gray in the dark.

She collected the clothes into a ball against her large, heavy breast. She stumbled naked into the master bathroom. She turned the light on, briefly hissed and shielded her eyes with one pale arm, then laughed.

“I’m a vampire,” she joked to herself, sounding only vaguely like the scene from the Nicolas Cage movie.

She reached into the shower and turned on the water. It was taking its time getting hot. She crossed past the vanity, automatically avoiding the mirror, tossed her clothes onto the clothespile behind it, then went back to the shower and stood outside the crooked glass door and waited.

Yoo had never explained why she called it “the uniform,” but she didn’t have to. Fat women who wanted to look masculine and cute at the same time didn’t have a lot of options. It was either the three-piece look or a t-shirt and overalls, and only the former was work-appropriate.

She washed up quickly. She used too much shampoo, the common mistake of people unused to having short hair. She wiped up some of it with her hand and used it on her crotch, which was diapered with untamed pubic hair. When she was done, she toweled off. She got a fresh black sports bra and high waisted bike shorts out of a hamper of clean clothes she hadn’t quite gotten around to putting away.

Freddie’s eyes glowed up at her from the doorway. “I’m just going to lie down a while before your mama comes home,” Hope told him as she struggled to pull the underwear on over her damp skin.

Then the clock radio read 11:27, and Hope was sprawled face down atop the covers, knee up, arms splayed, snoring softly, moonlight playing back and forth in long parallel lines as the broad hump of her back rose and fell.

Something cool, hard, and smooth touched her half-open mouth. It gathered the delicate pearl of drool that had welled up in the corner and wiped a slow, shining tracery of it down her chin, the fat of her neck, her generous cleavage.

Then it brushed her low-slung nipple through the microfiber fabric of the bra, and Hope’s eyes fluttered open.

Immediately in front of her, she saw a flat, smooth belly, flanked with tattoos, jewel in the navel, and above that, two stainless steam barbells that shined in the dark against draperies of long black hair and areolas the color of warm umber.

Below that, a clear glass dildo, nubbed all across the shaft, held in place against an immaculately shaved pubis by a black polyurethane triangle and nylon straps that, even in the dim light, looked beaten and frayed.

Yoo looked down at her sleepy girlfriend, eyes in shadow, and whispered voicelessly.

“Don’t say anything.”

Soon, Hope was naked, face down with her ass in the air, and Yoo was gripping her in the folds of her waistline and fucking her from behind in expert, rotely practiced strokes that clapped their bodies and sent ripples up Hope’s wide hips.

Hope’s arms were underneath her body, and into the pillow of her pubic hair she held a clit sucker that whirred and puffed against her wet flesh. She was already on her way to a quick, reliable orgasm.

The two women grunted and gasped in near perfect unison, joined in rhythm by the slippery, unyielding hard thing that made Yoo feel such power and made Hope feel so full. After a while, Yoo slowed to a stop. She was breathing heavily.

“Need a break?” she asked, almost more for herself than for Hope.

Hope nodded and “mmhmmed” through the squish of her face against the mattress. She clicked off the clit sucker. Yoo carefully pulled the dildo out. The air was heavy with body smells.

Yoo got up, got her metal waterbottle from the bedside table, took a long, indulgent chug of cold water, then passed it to Hope, who was on her side, propped up on an elbow. Hope drank gratefully while Yoo wiped down and reapplied the lube to her ersatz penis.

Hope got on her back, her knees up, thighs apart. Yoo hoisted Hope’s round calves with afyon escort her forearms. The dildo went in easily. Yoo pushed in until her lean hips touched Hope’s soft ass.

Hope sighed, grateful and overcome with fullness once again. She reached down and touched the clit sucker to herself and clicked the button, once, then twice. It stayed quiet.

“Oh no,” she said.

Yoo paused. “What happened?”

Hope clicked it again. Nothing happened. “It stopped working.”

“Let me see it.”

Hope handed it up to Yoo and Yoo tried it. Again, it didn’t work. She turned it over, examining it.

“The battery’s dead,” Yoo said.

Hope said, “But I had it on the charger all night.”

“Hang on.”

Once again, Yoo withdrew carefully, though not so carefully as before. One of the nylon straps on her harness, the left one that hugged the underside of her tiny buttcheek, was suddenly dangling on her thigh.

“Shit,” Yoo muttered.

She passed the clit sucker back to Hope and tried to retighten the strap. Meanwhile, Hope crawled to the bedside table and felt around behind it for the clit sucker’s weird proprietary charging cable, which was still plugged into the wall.

Hope connected the toy to the charger. The usual blinking light didn’t come on. “Nothing’s happening.”

Yoo crawled over as well, the dick swinging awkwardly beneath her. Hope clicked on the tabletop lamp and they inspected the cable together. The jacket was worn through near the connector. The strands of bare wire had begun to to fray.

“Fuck,” Hope hissed under her breath.

“Can you use your hand?”

“I guess.”

They resumed their positions. Yoo pushed the dildo against Hope’s sodden vulva, but she felt resistance and stopped there. Hope looked as though she were suddenly embarrassed, lying there with her knees apart.

Yoo parked the dickhead in the slick spot between Hope’s labia. “Okay. In slowly.”

Hope breathed in deep, her large breasts and belly rising into the air. Yoo hugged one of Hope’s thighs and gripped the dildo with her other hand, pressing gently against the muscular opening.

Yoo breathed with her. “Out. And relax.”

Hope let the breath come rushing out, and her labia spread easily around the glass dickhead as Yoo slid it inside her, with millimeter slowness, up to the crown. There, Yoo waited, watching Hope.

“We good?” Yoo asked.

Hope nodded, though she said nothing. Gripping both thighs, Yoo pushed it in up to the hilt. Again, she held there, and waited for Hope’s reaction. It was getting difficult to tell if she was still into it.

Yoo tried to encourage her. “Play with yourself for me, baby.”

Hope jilled her erect clitoris with two fingers. As ambivalent as she was acting, she was still wet, and her pussy made slick, sticky noises. Her hand was awkward and uncoordinated; it had plainly been too long since the last time she’d tried to do this without technological assistance.

As Hope was finding her rhythm, Yoo started fucking her again, slowly and carefully. Hope’s inner walls were gripping the shaft of the dick tightly enough to be a worry.

Suddenly, Yoo hissed, “Fuck!”

Hope paused. “What?” She sounded annoyed.

The strap had come loose again. Yoo grabbed one of the loose ends and found it sheared off completely. The triangular plate hung away from her bald pubis at an odd angle; the dildo remained partway inside Hope.

“God damn it,” Yoo groaned.

“What do we do?” Hope said.

“Do you feel like doing it the old fashioned way?”

“Not really, no.”

“Fuck.”

Yoo carefully removed the dildo. The scent it released, of lube and freshly fucked pussy, was getting to be less of a turn-on each time.

Yoo disengaged it from the tattered harness and stashed it in a microfiber drawstring bag next to the bed. Hope sat her dead clit sucker down on the bedside table.

Hope got up to her knees. “I’m gonna get cleaned up.”

“Want company?” Yoo asked, aware even as she said it that it was a transparent attempt to keep the sexy atmosphere from fading.

“I guess,” Hope grumbled for the second time.

Yoo started the shower and waited for the frosted glass booth to steam up.

Hope said, “You get in without me. I need to pee.”

Yoo paused in front of the shower with one leg in and her hand on the door. “I can hang back in case you need help.”

“No thanks.”

“Are you sure? I just want everything to come out alright.”

Hope laughed. “Ew, gross!”

Yoo got in the shower and closed the door. She could still more or less see Hope through the steamy glass, the big pale shape of her leant forward on the toilet, doing her best to take a silent piss.

Then Hope got up and closed the seat of the toilet. Yoo turned and pretended she hadn’t been watching the whole time. She focused on the warm water hitting her thick, dark hair, enjoying the steamy patter on her tense scalp.

Soon, Hope squeezed into the tiny stall next to Yoo and aydın escort closed the rickety door behind her. It took a few tries.

They each gave themselves a once-over with exfoliating sponges and body wash. Then they took turns washing one other, mostly for play, lingering in sensitive places. Yoo was by far the grabbier of the two.

They stayed a while, eventually just killing time and wasting water. Yoo turned the spray off and got out first. She grabbed two towels and passed one to Hope.

As they toweled themselves off, they heard a dull bang come from downstairs, probably the kitchen.

Yoo said, “Should we?”

Hope said, “It can wait ’til morning.”

“He’s a little shit.”

“Yeah.”

Later, they were in bed. It was dark; the moon no longer shined directly through their window. Yoo was atop the covers on her side, facing away from Hope, wearing grey boxer briefs and nothing else. She seemed asleep. Hope was on her side, facing away from Yoo, back in her sports bra and under the blankets up to her chest.

Hope was on her phone, doing her best to hide the light of it with her body. She’d pulled up the website for their local sex shop. Despite the prominently advertised holiday sale, the harnessed were all expensive.

She opened her banking app. What little money she had in her account couldn’t have bought even one of the cheaper ones. She reopened the sex shop tab and gave it one more look before putting the phone down and plunging the room into darkness completely.

Hope Monroe, 43, had waited until she was married to a man to realize that she was a lesbian, then waited another 12 years just to be sure. Yoo-jin Ahn, 32, had gone through a threesome phase in her 20s. She ended up dumping her boyfriend for one of their female fuckbuddies, who, as it turned out, wasn’t interested.

Hope and Yoo first met at a party at a mutual friend’s house. Hope had been looking for monogamous romance, which was all she’d ever known. Yoo had instantly wanted Hope, but only for sex. After a tumultuous early courtship, Hope got her way. They’d been dating for two years.

~

Hope worked a 9 to 5 administration job at the local community college. Yoo worked a bartending job at a restaurant that typically scheduled her in the evening. On paper, Yoo’s shifts ended at 10, but closing duties would keep her there to one degree of lateness or another. Yoo would still be asleep when Hope got up for the day.

That morning, the Friday before the week of Christmas, Hope made a plan. Alone in the kitchen, at their tiny breakfast table, she turned on her tablet and pulled up the URL to one of the less savory adult websites on the Internet. Someplace Yoo had shown her, early in their relationship, without ever imagining that she’d remember.

She signed up under a carefully genderless username. It was an old-style web forum, imaginatively called “Adult Resale Store,” dedicated to the buying and selling of objects that had been on or in the most private places of a woman’s body.

Before she could change her mind, she bashed out an ad for her now-useless clit sucker, for $100 or best offer. She had her doubts. But, within five minutes, she received a private message from username “pussypounder420.”

“hey”

Hope rolled her eyes, copied the text from her original post, and pasted it into her response.

She received a message back: “ill give u 200 for it”

Her eyebrows went to her hairline. Despite silently shouting at herself to just take the deal, she couldn’t help it.

She wrote, “If $200 is what it’s worth to you…”

Soon, she received back, “yup. stick with me. fuck those other guys”

There hadn’t been any other offers. She shrugged and typed her agreement.

The terms were simple: he would pay up front, she would send the clit sucker that day, and she would not wash it first. Within a minute, her checking account balance had gone up by $200. Enough to buy the most expensive harness for Yoo, with plenty to spare.

The correspondence ended with pussypounder420 offering to send another $200 in exchange for a video of her using the clit sucker on herself. Hope scoffed and logged out. She glanced down at Freddie, who was busying himself with a tiny tumbleweed made of dust and his own hair.

“I guess my genderless username wasn’t quite genderless enough,” she whispered to him.

She fished a small cardboard box out of the recycling bin. (It had previously contained an assortment of carabiners.) She boxed up the clit sucker, scrawled out a label on a piece of scrap paper, and taped it all together. She stashed the box under the passenger seat in her station wagon and went to work.

The day felt peculiar, as it always did when the holidays approached. It was as if the entire staff had one foot out the door. Monday would be December 23rd, the last work day before Christmas break. How many of them would even bother to show up?

Hope got out late, but made it to the parcel store with time to spare. She ağrı escort fidgeted nervously as she waited in the long line, as if the clit sucker would suddenly come back to life in the little box in her hand for all to hear.

Once the clit sucker had been scanned and sent on its way, she hurried to the sex shop.

When she walked in, she was immediately descended upon by the clerk, a tall, slender girl in all black with multiple belts and big painted-on Kill La Kill eyebrows.

“Can I help you find anything?” the girl said. She sounded like Geena Davis.

“No thanks, just browsing,” Hope said automatically, trying not to stammer. It was so much easier to come to places like this with Yoo. By herself, she still felt intimidated.

She took some time to eye the various serpentine dildos along the far wall, just to make the most of the trip. Most of them were so ostentatiously large that she winced just looking at them. When she felt she’d browsed enough, she tracked down the most expensive harness they carried.

“Ooh, that’s going to look so good on you,” the clerk said as Hope approached the register with the box in her hands.

“Thanks. It’s for my partner, actually,” Hope said, setting it down on the counter.

“Of course,” the clerk said with a smile.

The clerk gave her the usual rap about how to clean sex toys, which materials worked with which lubes, the importance of making sure everything was body-safe. Hope thanked her, paid, and left.

In the parking lot, Hope thought about the awkwardly worded compliment. It made it seem almost as if the clerk were propositioning her. (In fact, she had been.) Hope drove home, fed Freddie, and didn’t even wait to change clothes before wrapping Yoo’s present and stashing it under the tree.

~

All evening, Hope’s nerves buzzed with excitement. She loved giving gifts, but she’d never been good at keeping secrets. It was a bad combination of personality traits.

She was in her pajamas–her customary sports bra and bike shorts–but still wide awake when Yoo shambled her way through the front door. It was past midnight. Yoo looked exhausted as she shrugged her way out of her slowly decaying denim jacket.

Yoo barely had time to notice that Hope was still up and waiting for her in the living room before everything came out.

“Baby, I’m sorry,” Hope said. “I was going to make dinner and leave some for you. But the kitchen was a mess, and I promise I’ll get caught up on it tomorrow, and I thought about ordering Korean food, but I know you hate the Korean food here, so I ordered Thai food instead and got the extra hot for you, and also I got you a new strap-on harness for Christmas and it’s in the box under the tree in the Snoopy wrapping paper.”

Yoo stared at her for a second, looking as though she were mentally scrolling through multiple reactions without a clear choice.

“Also, you look really cute,” Hope added.

Yoo blushed. She was wearing dark leggings that made the most of her slim legs and tiny ass, and a dress shirt with the sleeves rolled up and fabric that looked shrink-wrapped over her nipple jewelry. All the better to garner those generous last-minute holiday tips.

After some silence, Yoo said, “Thai food, huh?”

“Yeah,” Hope said.

“Guess that means no anal tomorrow.”

“Or… you know.”

“What?”

“No oral tonight.” Hope almost whispered, as if it would get her into trouble. Yoo looked amused. Two years as a certified carpet muncher and Hope still had a hard time with even the most G-rated vocabulary.

Hope heated up the takeout container of pad thai in the microwave while Yoo took her seat at the table.

“Just out of curiosity,” Yoo asked, “how did you afford a new harness? It doesn’t seem like it would fit the gift budget we agreed on.”

“I, uh…” Hope said. Yoo was giving her the strangest look.

“Sit,” Yoo said.

Hope sat across from Yoo at the table. Yoo took her by the hand. Yoo’s hands were small, deceptively strong, but capable of incredible gentleness. Her touch always felt electric to Hope.

It was Yoo’s turn to spill.

“Last night, I couldn’t sleep. I didn’t want to get up, because it looked like you were asleep and I didn’t want to wake you. But god, I was still so horny, and our night together was such a bust. I guess I decided to deal with the sexual frustration with a little retail therapy. I was on the Internet for like an hour, trying to find a replacement cable for your clit sucker.”

“They’re too expensive,” Hope said. “I looked.”

Yoo nodded. “So I found a guy online–some pervert–who would be willing to pay money for something… intimate. Something I had no use for anymore.”

Hope gasped. “Yoo!”

Yoo looked pained. “I know, I’m sorry, but I sold our dildo and went out and bought a new charging cable. With the broken harness, I figured it was okay. I was going to wrap it tonight and put it under the tree. I didn’t realize you’d be up when I got home.”

Hope just laughed, lifted Yoo’s hand, and nuzzled her knuckles.

“What’s funny?” Yoo said.

“I had the money for the new harness because I sold the clit sucker,” Hope said. “One of those seedy sites you showed me back in the day, with the forum full of perverts and the badly lit porn you like so much.”

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Neue Erfahrungen

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Heute erzähl ich euch eine Geschichte, die schon sehr lange her ist. Sie ist mir gerade wieder eingefallen.

Ich war damals um die 25 Jahre alt. Bei meinem Freund fand eine Geburtstagsparty statt und nachdem ich auf der Suche nach einer neuen Freundin war, kam diese Party gerade recht.

Die meisten Leute kannte ich schon Jahre lang, aber mein Freund sagte, dass er eine neue Kollegin, eine Maria, eingeladen hat und sie sich verspätet. Ich war neugierig auf “Die Neue”.

Irgendwann kam sie dann und wurde von meinem Freund freudig begrüßt.

Sie war ca. 1.60 m groß, hatte lange, blonde Haare und eine zarte Figur. Ihr Busen war eigentlich klein, aber aufgrund der zarten Figur erschien er groß und mächtig. Sie hatte ein gewinnendes Lächeln und war nett, – Nein, sie war so richtig süß! Genau meine Traumfrau!

Sie wurde das Objekt meiner Begierde an diesem Abend.

Es dauerte nicht lange und ich hatte sie in ein Gespräch verwickelt. Wir quatschen über Gott und die Welt und noch über all so unwichtige Details. In meinen Gedanken war ich schon dabei, sie zu küssen und zu streicheln. Meine Taktik war immer schon: Die Mädels reden zu lassen … dann wird ihnen nicht langweilig und sie glauben man hatte Interesse an ihren Themen! Mein Schwanz wurde härter. Dies war aber nur für kurze Zeit so, da ich sie über Umwege nach ihrem Freund fragte.

Sie lächelte: “Ich habe eine Freundin!” sagte sie.

“Einen Freund hab ich auch, viele Freunde!” sagte ich, da ich noch nicht verstand, was sie mir sagen wollte. Damals war es noch nicht so wie heute. Damals war man als Homo oder Lesbe etwas “besonderes”.

Sie lachte wieder: “Nein, ich habe eine Freundin als Partner, – eine Frau!” sagte sie nochmal und trank einen Schluck Bier aus ihrem Glas.

Mein Schwanz schrumpfte augenblicklich wieder zusammen.

“Hattest du schon mal was mit einem Mann?” fragte ich neugierig weiter.

“Ja ein paar mal, aber es war für mich nicht so wirklich erfüllend!” erklärte sie mir sachlich.

Der Abend war für mich gelaufen!

Aber sie gefiel mir und ich konnte mich gut mir ihr unterhalten. Wir quatschen noch den ganzen Abend und ich spürte sie hatte auch Gefallen an mir gefunden. Als ich um 3 Uhr morgens gehen wollte, fragte sie mich, ob ich sie nach Hause bringen würde.

Normal ist das wie: “Bitte Fick mich!” so war es nur ein “nach Hause” bringen.

Wir stiegen ein und sie sagte mir den Weg an.

“Du Maria, du bist eine tolle Frau und ich finde es sowas von Schade, dass du nicht auf Jungs stehst!” begann ich das Gespräch im Auto.

“Ja du bist auch süß, aber ich glaube, meine Freundin würde es nicht so prickelnd finden, wenn ich mit dir was anfange!” sagte sie lächelnd und streichelte über meine Hand am Schaltknüppel.

“Tja, da trifft man seine Traumfrau und dann hat die kein Interesse an einem!” sagte ich leise zu mir mit einem depressiven seufzen!

Sie musste schon wieder lachen!

“Du Armer!” sagte sie und wies mir wieder den Weg.

Bei ihr angekommen fragte sie: “Kommst noch mit auf einen Café mit rauf?”

Ich konnte es nicht glauben! Das war eine klassische Fickeinladung!

“Ja natürlich!” sagte ich mit einem lächeln.

Wir gingen in den 2 Stock und sie öffnete die Türe leise.

“Psst, Leise sein weil Angelika sicher schon schläft!” sagte sie, was meinen Schwanz in der Erwartung wieder kleiner werden ließ.

Wir gingen ins Wohnzimmer und ich setzte mich auf die kleine 2-Sitzer Couch. Sie kochte Cafe und setzte sich neben mich. Wir unterhielten uns leise, als plötzlich eine Türe aufging und eine junge Frau mit dunklen Haaren ins Wohnzimmer kam. Sie sah auch gut aus, nur nicht so schlank wie Maria.

“Hallo mein Schatz!” sagte Maria und Angelika bückte sich, um ihr einen Kuss zu geben.

“Wen hast du denn da mitgebracht?” fragte sie und sah mich an.

“Das ist Harry! Ein Freund meines neuen Arbeitskollegen!” stellte sie mich vor.

“Ich bin Angelika! Hallo!” sagte sie und setzte sich auf den Boden zu Maria.

Wir unterhielten uns zusammen und auch Angelika war lustig, obwohl sie am Anfang so verschlafen wirkte. Sie hatte einen extra großes Shirt an mit irgendeiner Uni Werbung.

Plötzlich stand Maria auf und ging aus dem Raum.

Angelika setzte sich auf Marias Platz und wir unterhielten uns weiter. Sie war auch nett aber ich hatte kein wirkliches Interesse an ihr. Nach einiger Zeit kam Maria wieder ins Wohnzimmer, sie hatte nun ebenso ein viel zu großes T- Shirt an.

“Ich habe mich schon mal Bettfertig gemacht!” sagte sie.

Als sie sich auf den Boden setzte, sah ich, dass sie keinen Slip mehr trug. Ich sah ganz kurz ihre glatte Spalte. Oh Kopfkino … mein Schwanz wurde wieder steifer, aber nur etwas.

Irgendwie ging dann das Gespräch auf Liebe und Sex.

“Ich kann mir gar nicht vorstellen, wie es bei euch so läuft? Ich dachte jede Frau braucht mal einen harten Schwanz?” sagte ich und blickte beide an.

“Nein nicht immer! Und da haben wir ja noch die Dinger aus Latex!” sagte Angelika und Maria lachte. bayburt escort Sie stand auf, setzte sich auf den Schoß von Angelika und begann sie zu küssen.

Irgendwie war es mir nun unangenehm. Die Couch war klein und eng, weshalb ich nicht von Angelika etwas wegrutschen konnte. Maria und Angelika küssten sich weiter, als ob ich nicht da wäre.

Dann setzte sich Maria auf Angelika, als ob sie sie reiten würde. Dann begann sie den Busen von Angelika von außen zu drücken und Angelika begann zu stöhnen. Angelika fasste Maria unter das Shirt und streichelte ihren Arsch, was ihr zu Gefallen schien.

Ich war irgendwie für beide nicht mehr da! Mein Schwanz wurde härter.

Plötzlich sah mich Maria an: “So machen wir das!” sagte sie und beide lachten.

“Ok schaut super aus! Lasst euch nicht stören, ich schau gerne zu!” sagte ich mit einem lächeln.

“Ok!” sagte Maria und begann ihr übergroßes T-Shirt auszuziehen. Sie saß nackt auf den Schenkeln von Angelika. Sie hatte eine Traumfigur. Dann rückte Angelika etwas nach vorne und Maria half ihr, ihr großes Shirt auszuziehen. Nun saßen beide nackt vor mir.

Dann sah mich Angelika an: “Was ist mit dem Herren der Schöpfung?” und machte eine Handbewegung, dass ich mich ebenso ausziehen soll!

Es war irgendwie eine skurrile Situation. Aber ich machte schon damals “jeden Scheiß mit”. Ich stand auf und begann mein Poloshirt, meine Hose, meine Short und meine Socken auszuziehen. Mein Schwanz war bereits halbsteif. Er stand etwas weich von mir ab.

“Na schau meine Liebe! Er hat doch einen ganz ansehnlichen Schwanz!” sagte Angelika.

“Ja wie der grüne Dildo!” sagte Maria und beide lachten. Dann klopfte Angelika mit ihren Händen wieder auf die Couch, was mir zeigen sollte, dass ich mich wieder setzen soll.

Ich setzte mich wieder zu den beiden. Ich spürte nun die Oberschenkel von Angelika an meinen Oberschenkeln und die Füße von Maria an meinen Oberschenkeln.

“Also los meine Damen – Action!” sagte ich und imitierte mit den Händen eine Klappe, wie es die Filmleute haben.

Wie auf Kommando begannen beide wieder mit ihrer Küsserei. Mein Schwanz wurde hart und groß. Dann fasste Maria an meinen Schwanz und drückte ihn.

“Er ist wirklich wie der grüne Dildo” sagte sie zu Angelika. Dann fasste auch sie meinen Schwanz an.

“Ja stimmt!” sagte Angelika.

“Können wir nicht ins Schlafzimmer gehen wo es gemütlicher ist?” fragte ich und beide nickten gleichzeitig.

Zuerst ging Maria, dann ich und hinter mir Angelika. Ich konnte den festen Apfelarsch von Maria während dieser paar Meter studieren. Er war so fest, dass man sogar ihre Rosette sehen konnte.

Maria sprang ins Bett und an mir vorbei auch Angelika.

Angelika lag nach kurzer Zeit unten und Maria lag seitlich. Auf der anderen Seite lag ich. Maria nahm meine Hand und legte sie auf den Bauch von Angelika. Ich begann sie sanft zu streicheln. Zuerst ihren Bauch, dann ihre festen Titten, dann wieder ihren Bauch und dann ihren rasierten Venushügel. Maria küsste Angelika währenddessen.

Ich ließ meine Hand tiefer gleiten und spürte eine fleischige, feste Fotze. Meine Finger suchten sich langsam den Weg zu ihrem Loch. Sie war nass. Dann fuhr ich langsam noch oben zu ihrem Kitzler. Sie stöhnte auf.

“Nicht ihren Kitzler!” sagte Maria. “Sonst kommt sie gleich!” fügte sie hinzu. Ok, das war eine Ansage.

Ich stieg vom Bett und ging auf die Seite von Maria. Sie lag seitlich und hatte ihre Beine angewinkelt. So konnte ich ihre Fotze und ihr Arschloch sehen. Die inneren Schamlippen waren schon nach außen gedrungen. Ich kniete mich auf den Boden und meine Zunge streifte leicht über ihre Schamlippen. Ganz zart und langsam.

“Uhhhaaaaa!” hörte ich Maria.

Dann begann ich mit meiner Zunge den Damm und dann ihre Rosette zu lecken. Sie stöhnte wieder auf: “Du bist aber ein versautes Schweinchen!” sagte Maria während sie die Brustwarzen von Angelika leckte.

Sie schmeckte gut und ihr Saft roch sowas von geil! Ich begann meinen Schwanz zu wichsen, was beiden “Damen” auffiel. Sie lächelten. Nun kamen meine Finger zum Einsatz. Langsam setzte ich meinen Mittelfinger an ihr kleines rosa Arschloch. Ich leckte und massierte es mit den Fingern. Ihr gefiel es, denn sie stöhnte immer lauter. Angelika “schälte” sich unter Maria hervor und kam auf meine Seite, um mir zuzusehen. Maria blieb unverändert liegen.

Ich drückte nun mit meinem Mittelfinger auf ihre Rosette und diese gab sofort nach und ganz langsam drang mein Finger bis zur Hälfte in ihren Arsch.

“Jaaaaaa … mach weiter!” stöhnte sie.

“Sie ist ein kleines Ferkel! Sie liebt es, wenn ich ihr Arschloch massiere!” sagte Angelika neben mir. Ich begann sie langsam mit meinem Mittelfinger zu ficken. Dann zog ich ihn raus und nahm meinen Zeigefinger hinzu.

Der Zeigefinger wanderte in die Fotze der Mittelfinger in ihr kleines Arschloch. Sie stöhnte, während Angelika ihren Kitzler leckte.

Sie war so eine heiße Frau! Ich musste sehen, dass ich mich nicht in sie verliebe. Angelika nahm bilecik escort meine Hand und zog sie aus der Fotze und aus dem Arsch von Maria.

Dann begann sie ihr Arschloch zu lecken und sie mit 2 Fingern zu ficken. Maria stöhnte wieder. Ich stand auf und legte mich zu Maria. In genau der Höhe, dass sie meinen Schwanz erreichen konnte. Sie fasste zu und nachdem ich noch ein bischen zu ihr gerückt war, öffnete sie ihren Mund und mein Schwanz verschwand zwischen ihren Lippen. Sie hielt meinen Schwanz nur fest, aber ihr Kopf ging rauf und runter.

Dann kam auch Angelika zu uns beiden hoch und sah Maria zu, wie sie meinen Schwanz im Mund hatte.

“Willst du auch?” fragte Maria Angelika.

“Nee danke, du weißt ja, ich mach mir nichts aus Schwänzen. Aber ich weiß du brauchst ab und zu einen und wenns nur im Arsch ist!” sagte Angelika und küsste Maria. Sie musste nun mich, meinen Schwanz, schmecken.

Dann krabbelte Maria hoch zu mir und küsste mich. Sie legte sich nun auf mich, streichelte meine Wange und fragte:

“Vorne oder hinten?”

“Am liebsten kurz vorne und dann hinten!” sagte ich und sie lächelte. Dann setzte sie sich mit ihrer Fotze auf meinen Schwanz. Sie war eng, sehr eng. Ich vermutete schon, dass es ihr Arschloch war, aber ein kurzer Griff zu ihrer Fotze zeigte mir, dass ich im Begriff war in ihre Fotze einzudringen.

Sie stöhnte auf, während Angelika aus dem Raum ging. Als mein Schwanz komplett in ihrer engen Fotze steckte, begann sie ihn zu reiten. Zuerst langsam, aber nachdem ihre Fotze weiter wurde, schneller.

Lange konnte ich dies nicht mehr durchhalten! Dann kam Angelika wieder und hatte eine Tube Analgel in der Hand. Sie setzte sich aufs Bett und als Maria auf meinem Schwanz saß, begann sie das Arschloch von Maria zu massieren und gab Gel drauf. Ich spürte an meinem Schwanz wie sie den Finger in den Arsch von Maria schob. Die begann wieder mit ihrem Ritt. Ich spürte die Enge ihrer Fotze und den Finger, der zur Gänze im Arsch von Maria steckte, an meinem Schwanz.

“Sie wäre dann soweit!” sagte Angelika und lachte.

Maria erhob sich und drehte sich um. Ich sah ihren geilen Arsch und ich sah ihre rosa Rosette die ein bischen geöffnet war. Dann griff die Hand von Angelika meinen Schwanz und Maria erhob sich. Als sie sich langsam wieder setzte, hielt Angelika meinen Schwanz genau an ihre Rosette. Maria drückte mit immer mehr Gewicht auf meinen Schwanz.

“Mann ist die eng!” dachte ich noch und schon war meine Eichel in ihrem Arsch verschwunden. Sie stöhnte laut vor Geilheit und Schmerz. Dann erhob sie sich wieder und ließ sich langsam wieder auf meinem Schwanz nieder.

Es war sowas von geil. Dieser knackige, kleine Arsch, ihre rosa Rosette und wenn ich zusehe wie mein Schwanz in diesem Traumarsch steckt …

“Jaaaaaaaa! Ich liebe es einen Schwanz in meinem Arsch zu spüren!” stöhnte Maria.

Angelika sah sich dies an.

“Keine Lust mal einen Schwanz im Arsch zu spüren?” fragte ich sie, während ihre Freundin meinen Schwanz in ihrem Arsch hatte und ihn hart ritt.

Sie sah mich überlegend an.

“Mal sehen!” sagte sie und wichste ihre nasse Fotze.

Ich hielt es nicht mehr aus und ich kam! Ich pumpte meinen Saft in den Traumarsch von Maria. Immer und immer wieder kam ich.

Sie war noch nicht so weit. Sie stöhnte mit einem langgezogenen “Jaaaaaaaa” als ich kam aber ich spürte keine Reaktion ihres Schließmuskels. Sie ritt weiter! Dann plötzlich schrie sie und mein Schwanz wurde annähernd zerquetscht. Immer und immer wieder verengte sich ihre Rosette, bis sie locker wurde. Auch Angelika hörte ich stöhnen und immer heftiger wichsen.

Maria blieb auf meinem immer noch steifen Schwanz sitzen. Sie machte kreisende Bewegungen. Mein Schwanz war noch hart. Dann begann sie wieder ein bischen ihren Arsch zu heben und ihn dann wieder zu senken, zu kreisen …

“Hast du noch nicht genug?” fragte ich.

“Nein, ich liebe es einen Schwanz im Arsch zu spüren. Deiner hat genau die richtige Größe für mein Arschloch.” sagte sie und grinste dabei.

“Dann lass uns einen Abdruck von meinem Schwanz machen!” sagte ich zur allgemeinen Erheiterung.

Ich genoss es, mir diesen Traumarsch anzusehen, wie mein Schwanz ganz tief in ihm steckt. Dann erhob sich Maria und mein Saft lief aus ihrem gedehnten Arschloch.

“Willst du ihn lecken?” fragte sie Angelika.

“Nee, eher nicht, da läuft ja sein Saft raus!”

Maria stand auf und ging ins Bad.

“Jetzt mal im Ernst! Willst du nicht einmal einen Schwanz in deinem Arsch spüren? Es ist doch was anderes als ein Plug oder Dildo.” sagte ich zu Angelika. Sie sah meinen Schwanz an, der sich langsam in sich selbst zurück zog.

Maria kam wieder ins Bett und legte sich in die Mitte.

“Harry, ich habe gerade zugehört und ich denke, Angelika will keinen Männerschwanz in ihrem Arsch! Das habe ich ihr auch schon oft vorgeschlagen …!” sagte sie und küsste Angelika, die irgendwie keinen Kopf dafür hatte.

“Was ist los mein Schatz?” fragte Maria Angelika.

“Nix ist los!” bingöl escort sagte sie.

“Bist du Eifersüchtig?” fragte sie weiter.

“Nein! Obwohl ich ja deinen Männergeschmack kenne und Harry fällt in dein Beuteschema.” sagte sie als ob ich nicht da wäre.

“Was ist dann?” bohrte Maria weiter.

“Ich überlege ob ich mich nicht doch einmal von einem Männerschwanz in meinen Arsch ficken lasse. Aber ich bin ja nur die kleinen Plug gewöhnt und die kleinen zarten Dildos.” sagte Angelika.

Maria bekam ein breites Grinsen, sah mich an und fragte:

“Bekommst heute noch einen Hoch?”

“Ja sicher! Musst nur eine Halbe Stunde warten, dann gehts wieder!” sagte ich lächelnd mit der Vorfreude, Angelika eine neue Erfahrung zu bescheren.

Wir lagen so da und quatschen über alles mögliche. Maria fand die Idee super, von meinem Schwanz einen Dildo anzufertigen:

“Ich habe eine Bekannte, die arbeitet bei einem Zahnarzt. Die haben solch eine Masse in Pulverform, dass man anrühren kann und mit dem man Formen abnimmt. Ich frag sie mal. Dann machen wir einen Abdruck von deinem Schwanz und ich kann mich jederzeit in meinen Arsch ficken!” sagte sie lächelnd.

Dann griff sie zu meinem Schwanz und wichste ihn leicht! Er bewegte sich schon wieder.

“Jetzt bereite deine Angelika mal darauf vor. Bis es soweit ist, steht er schon wieder!” sagte ich und Angelika drehte sich auf den Bauch und zog ihre Beine an. Sie kniete und nahm sich das Kopfkissen für ihr Gesicht.

Sie kniete sich hinter Angelika und begann ihre Fotze ihren Damm und ihr Arschloch zu lecken. Angelika stöhnte. Dann stand sie auf ging ins Bad und kam mit einem kleinen dünnen Dildo wieder, der im Umfang kleiner war als mein Schwanz.

Sie nahm das Gel und verteilte es auf ihrer Rosette. Sie massierte langsam und zärtlich. Angelika stöhnte. Dann ließ sie ganz langsam einen Finger in ihr Arschloch gleiten, dass aus meiner Sicht ziemlich verschlossen war.

Maria sah zu mir: “Sie ist noch eine Anale Anfängerin. Sie hatte erst 2-3 mal diesen Dildo im Arsch.”

Angelika stöhnte, als Maria langsam ihren Finger immer weiter und weiter in das enge Loch drückte. Mein Schwanz wurde schon hart, als ich sah, wie ihr Finger langsam in dem Arsch ihrer Geliebten verschwand.

Als er zur Gänze in ihrem Arsch war, zog sie ihn genau so langsam wieder raus und wieder rein. Ganz zart und langsam fickte sie den Arsch von Angelika. Ich begann meinen Schwanz zu wichsen.

“Aber nicht, dass du schon vorher kommst! Ihr Arschloch ist verdammt eng!” sagte sie, als sie meine Hand an meinem Schwanz sah.

“Keine Angst!” sagte ich nur und streichelte meine Eier.

“Na dann bequem dich mal neben Angelika und präsentiere mir DEINEN Arsch!” sagte Maria.

Ich war begeistert von dieser Frau stand auf und kniete mich neben Angelika. Sie hatte nun 2 Ärsche nebeneinander vor sich.

Ich spürte das kalte Gel an meinem Arschloch und wie ihre Finger es massierten. Dann ein Druck und schon spürte ich ihren Finger tief in meinem Arsch. Sie war ein Profi, denn sie begann meine Prostata zu massieren und mein Schwanz zuckte.

“Da eher nicht, sonst spritz ich wirklich schon vorher ab!” sagte ich und sie fickte nun mich und ihre Geliebte gleichzeitig, mit 2 Händen in unsere Arschlöcher.

“Jetzt bräuchten wir eine weitere Person, die ihren Finger in mein Arschloch steckt!” sagte Maria lächelnd.

“Du hattest heute schon dein Geschenk!” sagte Angelika im stöhnen.

Maria zog ihren Finger wieder aus meinem Arsch und ich sah, wie sie den Dildo in die Hand nahm. Ich wechselte meine Position und kniete mich neben Angelika. ICh hielt ihre beiden Arschbacken auseinander und sah von oben, wie Maria die Spitze des Dildos an die Rosette von Angelika hielt. Sie drückte langsam und ihre Falten spannten sich ein wenig. Dann ließ sie wieder los. Angelika stöhnte und vergrub ihr Gesicht im Kissen.

Dann wieder ein Druck auf ihr Arschloch. Diesmal etwas mehr, so dass sich die Falten fast schon soweit dehnten, dass man sie nicht mehr sieht. Dann wieder locker! Dann wieder ein Druck und dieser kleine Dildo hatte den Muskel überwunden. Ab diesem Moment fickte sie ihre Geliebte mit dem kleinen Ding und Angelika stöhnte immer lauter.

“Ich denke, es passt jetzt schon!” sagte ich ungeduldig.

“Ja, aber bereite ihr keine Schmerzen!” sagte sie

“Das wird wohl nicht ausbleiben!” sagte ich kurz.

“Ja schon, aber du weißt was ich meine! Nichts mit Gewalt und so …!”

Dann machte mir Maria Platz und rieb meinen Schwanz noch mit viel Gel ein.

Nun hielt sie die beiden Arschbacken von Angelika auseinander. Ich nahm meinen Schwanz in die Hand und hielt meine pralle Eichel an den leicht geöffneten Arsch. Ich drückte ein wenig und wir spürten, wie Angelika zu zittern begann.

“Ruhig Liebes!” sagte Maria leise.

Sie sah mich dabei vertrauensvoll an.

Ich begann in einem Rhythmus immer wieder leicht zu drücken und den Druck wieder wegzunehmen. Doch mit jedem erneuten Drücken wurde der Druck für Angelika fester, aber nur ganz leicht. Als ich spürte, dass ihre Körperspannung nachließ, drückte ich fester und schon nach 3-4 mal drücken, war meine pralle Eichel in ihrem Arsch verschwunden und auch die Falten waren weg. Ihr Arschloch dehnte sich.

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Ferienabenteuer 02 – Im See

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Anal

Einige Tage nach unserer nächtlichen Ausschreitung, machte die gesamte Ferientruppe einen Ausflug zum See, nur wenige Kilometer entfernt. Es war ein kleiner See, vielleicht so groß wie drei Schwimmbecken und von einem schmalen Sandstreifen umgeben. Rings herum war ein recht stacheliger Wald, sodass wir Einheimische oder andere Urlauber hören würden, lange bevor sie da wären. Die Campleiter riefen uns noch einige mahnende Worte hinterher, die wir gut gelaunt ignorierten. Die Gruppe verteilte sich. Einige schlenderten über den Strand, andere warfen sich brüllend und jauchzend ins warme Wasser. Ich sah Lia an. Sie grinste.

“Ins Wasser?”, fragte ich.

Sie nickte und wir stürmten los und hinterließen eine Spur aus Decken und Taschen. Letzte Nacht waren wir alle peinlich berührt und unter verlegenen Witzen in die Zelte gekrochen, nach dem gemeinsamen Riesen-Orgasmus, doch heute war es als wäre nie etwas geschehen. Naja. Fast.

Beim Rennen rammten Lia und ich einander, jede versuchte als Erste ins Wasser zu gelangen und fielen schließlich, übereinander kugelnd, in den See. Hustend und prustend tauchten wir wieder auf. Pitschnass, aber ausgelassen lachend, robbten wir zurück an Land. Ich rang nach Luft uns sah mich nach Lia um. Ihr Blick war auf meine Brüste gerichtet und eine Erinnerung, wie sie begeistert mit ihnen spielte, tauchte vor meinem geistigen Auge auf. Meine Nippel wurden hart. Hastig richtete ich mich auf, hechtete zurück ins Wasser und tauchte weg vom Ufer. Lia folgte mir.

Die nächsten Stunden mied ich den Körperkontakt. Dass ich allein von einem Blick steife Nippel bekommen hatte behagte mir garnicht. Doch nach und nach entspannte ich mich; Lia schien ja auch keine Probleme mit mir, mit uns zu haben.

“Wetttauchen!”, schrie meine beste Freundin schließlich und verschwand unter Wasser. Ich zuckte die Achseln und tauchte ebenfalls ab. Als ich wieder hochkam, nach Atem schnappend, sah ich mich um.

“Lia?” Sie war verschwunden. Ich rief noch einige Male, immer ärgerlicher. Wieso haut die dumme Kuh einfach so ab?

“Hier! Komm mal her, Mara!”

Die Stimme kam von einem entfernteren Ufer. Lia schwamm zwischen einigen Ästen des in den See hinein ragenden Gestrüpps und sah nicht so aus als würde sie zu mir kommen. Empört schwamm ich rüber.

“Warum muss ich denn schon wieder kommen, du bist doch abgehauen, was soll das denn?!”, nörgelte ich. Schnaubend tat Lia meine Worte ab.

“Halt balıkesir escort die Klappe und sieh dir das mal an”, verlangte sie. Endlich drehte sie sich mir richtig zu und ich brach in Gelächter aus. Ich wollte das nicht, wirklich, aber es sah zu komisch aus wie sie da zwischen den Zweigen hing schwamm und ihr Bikini … in Fetzen hing. Irgendwie gönnte ich es ihr. Klingt fies, aber das ist sie auch gerne mal.

“Und was jetzt?” Sie jammerte. Ich lachte laut auf und kassierte einen Schlag auf den Arm. Doch den kassierte ich gerne, denn dafür musste Lia die Arme von den Brüsten nehmen und ihre kleinen Brüste fielen aus den Restfetzen Stoff. Zwar hatte ich ihre Brüste schon oft gesehen, Lia war noch nie eine von der schüchternen Sorte gewesen, jedoch liebte ich nach letzter Nacht wirklich alles an ihr und konnte mich kaum satt sehen. Bevor ich so recht wusste was ich da tat, zog ich mir das Oberteil über den Kopf und warf es ins Gestrüpp.

“So. Jetzt bist du immerhin nicht als Einzige nackt”, kicherte ich und achtete darauf dass Lia auch ja einen guten Blick auf meine Doppel-D-Brüste erhaschte. Sie lächelte verschlagen. Der Ärger über ihren unbrauchbar gewordenen Bikini schien vergessen.

“Aber noch ist es nicht so ganz fair”, meinte sie und nickte nach unten. “Du hast dein Höschen ja noch an.”

Mein Herz raste, als ich mich verbog um besagtes Stück über meine Beine zu zerren, bemüht dabei nicht unterzugehen. Lia streckte die Hand aus und ich reichte ihr das Unterteil. Sie grinste und wies auf einen Fleck. “Oha, da ist wohl jemand feucht geworden, was?” Kess stieß sie ihre Hand unter Wasser und rieb ihre Faust an meiner Muschi. Ich keuchte. Sternchen blitzten um mich herum auf und es fehlte nicht viel und ich wäre gekommen. Das geile Gefühl der Nacktheit (hier, vor aller Augen, wenn sie nur hierher sehen würden), das Wasser das in meine Muschi drang, ihre Hand wie sie durch meine überlangen Schamlippen und am Kitzler rieb, all das brachte mich beinahe zum Höhepunkt. Wäre nicht … Mia gekommen. Ausgerechnet jetzt. Mir war nach heulen zumute.

“Hey ihr beiden, was treibt ihr denn so still in der Ecke?” Mia sah uns an, musterte unsere nackten Leiber (fast nackt, in Lias Fall) und ich sah wie es bei ihr Klick machte. Ihr fielen fast die Augen aus dem Kopf.

“Was zur Hölle soll das denn werden?! Das ist … das ist Sünde, verdammt!”, zischte sie.

“Oh, bartın escort jetzt lässt du die Katholikin raushängen?!”, fauchte Lia zurück. Sie wirkte ebenfalls ziemlich angepisst. “Wer hatte denn mit einer bloßen Internetbekanntschaft Sex in der Dusche und hat das jedem in der Schule erzählt?!”

Röte kroch Mias Hals empor. Doch immerhin verschlag ihr das die Sprache. Scheinheilige, dachte ich. Gestern Nacht hat es dir doch noch ziemlich gefallen, was ich mit dir gemacht habe. Ach ja. Sie hatte ja geschlafen. Ups.

Sanft versuche ich auf sie einzureden: “Komm schon Mia, mach doch mit. Es macht echt Spaß und uns sieht schon keiner.”

“Uns sieht schon keiner?!”, wiederholt Mia entsetz. “Wir sind mitten im verdammten See!”

“Am Rand. Und halb im Gebüsch”, erwiderte Lia sachlich. Ihre Hand streichelte noch immer die Innenseite meiner Schenkel und ich rückte näher an sie heran, bis meine Brüste gegen ihren Arm stießen.

Mia zögert. Ihr Blick wandert von meinen Brüsten zu Lias Arm, der sich verdächtig bewegte und dann zu meinen Augen, die ich vor Lust kaum noch offen halten kann. Dennoch löse ich mich sacht von meiner besten Freundin und schwimme zu Mia hinüber. Ihren Blick erwidernd, streife ich ihr langsam die Träger ab, ziehe ein wenig und der Badeanzug rutscht zu ihren Hüften. Dann schließe ich meine Augen, tauche runter, zu ihrem Intimbereich und zerre den Streifen, der ihre Muschi verbirgt, beiseite. Im Stillen verfluche ich ihre Abneigung gegenüber Bikinis. Ich überlege ob ich meine Zunge in sie tauchen soll, will jedoch kein Wasser im Mund. Also reibe ich einfach mein Gesicht an ihren Schamlippen, fühle wie sie zusammen zuckt und beginne ihren Hintern zu kneten. Lustig, so unter Wasser …

Ich kann die Luft nicht mehr anhalten und tauche wieder an die Oberfläche. Mia sieht viel lockerer aus und Lia … befriedigt sich grad anscheinend selbst. Mit einem Bein reibe ich an Mias Muschi, versuche hin und wieder meinen Fuß hinein zu kriegen und halte mich derweil mit den Armen rudernd über Wasser. Auf einen Blick von mir hin schwimmt Lia zu Mias Brüsten und knetet diese. Mias Hand wandert runter zu Lias Unterleib.

Ich sehe mich um ob uns jemand bemerkt hat und zucke zusammen. Schlucke Wasser. Hustend versuche ich die anderen beiden auf den Zuschauer aufmerksam zu machen. Klappt nicht. Als ich wieder Luft kriege, hat Caro, unser unerwarteter Zuschauer, ihr batman escort Bikinioberteil hoch über die Brüste gezerrt und knetete diese ziemlich heftig durch. Sie schien sich nicht im Geringsten an unserem Treiben zu stören. Aber vermutlich haben wir noch Glück dass es nur Caro ist. Auch wenn sie eine arrogante Nervensäge ist, sie war auch gestern schon dabei und würde uns garantiert nicht auffliegen lassen. Wellenschlagend kommt Caro zu mir rüber geschwommen, presst sich gegen mich und küsst mich. Erschrocken öffne ich meinen Mund und ihre Zunge gleitet hinein. Wir reiben uns aneinander, ihre Hand greift nach meinen Haaren und mit einem schmerzhaften Ruck zieht sie mich von sich weg.

“Autsch, Caro, was -“, beginne ich, doch sie drückt mich nur wortlos unter Wasser. Ich weiß, sie steht auf dieses ganze Domina-Zeug, aber muss sie immer an meinen Haaren zerren?! Aber immerhin benutzt sie keine Peitsche.

Durch Caros Handbewegungen wie eine Puppe gelenkt, stoße ich gegen Mias Beine. In Gedanken zucke ich die Schultern und lecke die Pussy, knabber hin und wieder sanft an dem Kitzler, streichel ihre Schenkel und knete mit der anderen Hand knapp unter der Wasseroberfläche Mias weiche Brüste. Rolle die Nippel zwischen den Fingern, kneife hin und wieder leicht hinein und als ich erneut Atem brauche, küsse ich mich ihren Bauch empor, bis ich zwischen Mias Brüsten auftauche. Wasser spuckend klammere ich mich an Mia, die sich stöhnend an meinem nackten Körper reibt. Auch Caro und Lia schwimmen nah an uns heran; Lia schnappt sich mein Bein und mit heftigen Schwimmbewegungen rubbelt sie ihren Kitzler an meinem Knie. Bei jedem Stoß schließt sie kurz die Augen und seufzt ekstatisch. Caro bleibt hinter Lia, soweit ich es in dem unruhigen Wasser erkennen kann, streichelt sie den beiden anderen die Hintern und geilt sich an unseren Geräuschen auf. Wir alle müssen an uns halten um nicht laut herum zu schreien, dafür wird das Gekeuche heftiger, ich sehe Sterne und mit einem erstickten, langanhaltenden Stöhnen komme ich. Als ich meine Augen wieder öffne versteift sich gerade Lias Körper im Orgasmus und Mia starrt mit verklärtem Blick in den Himmel.

Caro schiebt sich bereits durch das Gestrüpp und wenige Sekunden später klatscht mir mein Bikini ins Gesicht. Ich verkneife mir einen bissigen Kommentar, der entspannten Stimmung wegen, und ziehe mich wortlos unter viel geplantsche wieder an. Mia tut es mir gleich und schon sind wir mitten in einer Wasserschlacht. Lachend und quietschend albern wir herum bis es Zeit fürs Abendessen ist. Lia hat sich unterdessen heimlich zurück zum Strand geschlichen um sich anzuziehen und ihrem einzigen Bikini nachzutrauern. Doch meiner Meinung nach … hat sich dieses kleine Opfer wirklich gelohnt.

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Love Finds Rowena Crenshaw

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Fun

Rowena Crenshaw reached for another stack of books from the returns tray and started scanning them back into stock. She finished and as she reached for the next stack she glanced up at the clock, ten twenty two, and wondered if the lady would come in again today. Sure enough at ten twenty five, exactly the same time as the previous three days, the lady entered the library.

She was of smallish build just five three perhaps. Her dark brown hair was cut in a bob and she had a tired but pretty face. She was more than just smallish Rowena decided, she was really quite thin. She wore a pink cardigan, white blouse buttoned up, a cream pleated knee length skirt and lowish tan heels. She had her handbag, which matched her shoes and her umbrella-just in case thought Rowena- looking out at a blue sky.

Rowena carried on with her scanning glancing up from time to time to see what the lady was doing. Her actions were the same as previously; she found a seat away from the main reading tables, put her hand bag and umbrella neatly beside the chair, went to the romantic fiction section, found a book, same place as yesterday, returned to her seat, got her reading glasses out, put them on, closed her glasses case, put it back in her hand bag, found her page and started reading.

There was something about her that appealed to Rowena and her interest had been noticed by the other librarian Martha.

“Why don’t you go over and say hello,” She suggested as she joined Rowena in scanning returns.

“Oh I couldn’t, I shouldn’t even be looking, and I’m being very rude looking at her. I just need to stop and get on with what I’m paid to do.”

“Oh look if you’re going to be a chicken shit just say so,” Martha retorted rolling her eyes.

Rowena knew she was right but she was terrified. She hadn’t just watched the lady out of idle curiosity these four day; she had been trying to build up the nerve to go and speak to her.

“Oh come here,” Martha said and seized her arm.

‘What are you doing?” Rowena exclaimed as she was forced across the library to where the lady was sitting. She in turn looked up as the librarians approached fearful that she had unknowingly broken a library rule and was going to be thrown out.

“I, I,” she started closing the book and reached for her bag anticipating being asked to leave the library.

Martha put her hand up,

“You’re fine love, no problems.”

The lady relaxed a little and put the book on her lap.

“This is Rowena,” Martha told her pushing Rowena forward, “Rowena thinks you are really nice and wants to talk with you but she’s too shy to come over here and tell you that herself so I’m being horrible and embarrassing her.”

Rowena turned red, she had never been so humiliated in her entire life but as she waited for the earth to end her misery and swallow her up the lady looked up and gave her a shy little smile.

‘Do you?” she asked Rowena, then added, “want to talk with me?”

Rowena shrugged, looked away then darted a look in her eye, looked away again and nodded.

“Hey, there’s room on the settee over there,” Martha informed them helpfully and stepped back to leave Rowena close to the lady.

“Hey, have your break now, huh?” She added thrilled at how her matchmaking efforts were going.

Rowena nodded and moved to the side a little as the lady got her umbrella and hand bag and moved over to the settee Martha had pointed at. She sat down part way along, looked up at Rowena then down at a spot close to her on the settee.

Heart pounding and terrified Rowena sat beside her.

“I’m Rowena,” Rowena said thinking how lame that must sound- it was on her badge “Rowena Crenshaw SENIOR LIBRARIAN. ” Automatically she put out her hand. The lady took it and they shook.

‘I’m Alice, Alice Wilmott.” Alice replied.

Neither knew what to say next and so they sat together in silence each waiting for the other to say something but still happy to be in the others’ company as they recognized each other as kindred spirits.

“Do you like the romantic stories?” Rowena asked finally, hoping to start a conversation.

“Yes,” Alice replied, nodding.

Silence.

“I like them too,” Rowena remarked fidgeting with embarrassment.

More silence.

‘Oh, um,” Rowena started. She wanted to say how much she liked Alice but knew she couldn’t, well not yet anyway. Alice had looked up at her when she had said her “oh um” waiting for her to say something.

Another silence but now Alice spoke,

“It’s really nice of you to come and speak to me,” she said softly looking down, then she looked up and caught Rowena’s eye for just a second and added, “I get quite lonely at times” looking away again as she said it.

Rowena nodded. She was thinking of her own life and realized she got lonely too. She was lost in her reverie for a few seconds then looked up and smiled. Words didn’t come although she wanted so much to say something, instead she put her hand out palm up for Alice to hold.

Alice took her hand, got a squeeze aksaray escort from Rowena and their hands rested on their knees both having turned to be at an angle towards each other with their inside knees slightly touching.

Now the words came and Rowena spoke.

“I feel really rude, you know?”

Alice looked at her quizzically waiting for her to continue.

“I mean I took a liking to you the first time I saw you and I used to watch you- Oh it sounds so horrible! Like I was a stalker or something- I hope, you know, I hope I didn’t scare you or anything?”

“No,” Alice smiled and the smile lingered as she looked down obviously remembering having seen Rowena looking at her.

“At first I thought maybe there was a rule on how long you could stay in the library and maybe you were checking on me but, oh it doesn’t matter, you liked me from the first time?”

“Yes, I hope you don’t mind. Oh and I noticed you have a routine and each day you do the same things?”

“Yes, they said I should have a routine, apparently it helps recovery after a break down…”

‘Oh darling!” Rowena exclaimed; she felt an urge to comfort, to protect Alice and without thinking put her arm round her while still holding her hand and pressed forward to cuddle her.

Alice hugged her back thinking what a strong woman Rowena was while Rowena thought how delicate Alice felt. Rowena kissed her cheek affectionately and started to get up.

‘Do you mind if I speak to Martha?”

Alice had no idea why but why not? Martha seemed a nice person- she could have done with a Martha or two in her life not so long ago, a Rowena would have been nice too she thought wistfully. She shook her head,

‘No, that’s OK.”

And so she watched as the taller Rowena with her strong looking hips and powerful backside walked back across to the counter to speak with Martha. The latter had her back to her but she saw the jaw drop, the head lower and shake slowly from side to side. A final shaking of the head then she put her hand on Rowena’s shoulder and rubbed- a reassuring gesture. Now though Martha had turned and was headed heading straight for her.

‘Oh gosh,” thought Alice cringing as the battleship headed her way. Martha was the Matriarch of her family- she was, in fact, one of God’s Chosen Organizers – and she was now On A Mission. Reaching the settee she parked one ample cheek on it and took Alice’s hands in hers.

“My Lord you poor darling!” she exclaimed and letting go of Alice’s hands put her arms round her and pressed her to her own ample bosom. Alice felt cocooned with Martha’s meaty arms pressing her in to that amazing bosom of hers. Martha’s hand came up to Alice’s head and Alice felt it stroking her hair. It felt wonderful, just utterly surrounded and the strength; both the physical strength and this incredibly powerful personality.

Martha could feel the frail wee thing in her arms relaxing. She held her for a minute or so then pulled back a little and smiled at her.

‘Better?” she asked, smiling and Alice could feel the warmth in her voice.

She smiled, raised her head to kiss her on the cheek and said very quietly,

“Yes, thank you.”

Martha nodded,

“Come over and you can sit out the back with us, it’s time for a coffee.”

She helped Alice to her feet and guided her across to the counter with one large arm round her waist. Rowena had lifted the flap and Martha ushered Alice into their back area. It was a room with their lunch table, a couch next to it and in another corner a table with books needing repairs on it.

She put the jug on and served up some cookies from the jar. Rowena popped back to join them and Alice shared the best ten minutes she could remember with them until the counter buzzer rang and Rowena got up to answer it.

“She really likes you,” Martha stated flatly. Alice smiled, enjoying the thought, and nodded.

“She’s nice.”

“She is that, hey look could you help us out?”

“Yes, certainly, I guess.”

“You see these piles of books?”

She could hardly miss them.

” They’re all off the shelves because they need repairs. Just minor ones. If Rowena was to show you how would you like to have a go at mending some?”

It was a challenge and Alice felt that familiar tensing.

Martha saw it and reached over to stroke her arm in reassurance.

“How about you watch and when you think you’re ready? How about that?”

That was way better and Martha noticed the tension leave her body and the frown was replaced by a smile.

When Rowena came back in Martha was at the sink doing the dishes with Alice sitting at the mending table a chair next to her.

‘Row could you just sit here with Alice and show her a few mending tips? I’ll mind the fort,” Martha asked over her shoulder. Rowena pulled a chair over and sat down next to Alice.

“OK,” she said taking a book from the pile and flipping the torn cover out, “what we’re going to do…” and she was off, cutting here, pasting there amasya escort as she showed Alice what to do.

After a time she asked if Alice would like to do one with her and tentatively Alice worked with her concentrating as hard as she and the medication she was on would allow as together they repaired a plastic cover and mended a spine.

It had taken less than ten minutes but it left her exhausted. Rowena was reaching for the next one when she saw it. She put the book back and put her hand over Alice’s.

“They can wait sweetie, how are you feeling?”

“I’m tired I guess,” she replied, “but I did enjoy that.”

She ran out of breath and hoped the little tired smile she gave Rowena would let her know how much. And then she slumped. Before her head had moved two inches Rowena was holding her.

She slid one arm under Alice’s legs. pushed her own chair back then scooped her up to place Alice on her lap with her head resting on Rowena’s left shoulder while Rowena held her in place with one solid arm around her waist and the other stroking her shoulder. The eyes fluttered open.

‘Close your eyes darling,” she told her nuzzling in to her, “Just rest now, that’s a good girl, you just get some rest.”

Alice took little bidding, she loved being on Rowena’s lap and was happy to drift off as her hair was stroked and she felt Rowena’s soft warm cheek pressed against hers.

Through the back was a small room they used for naps on occasion. Martha slipped out to it and remade the bed, pulling the covers back. Rowena carried Alice to the bed,sat on it as she took her shoes off her then lay her her on the bed and pulled the covers up to her chin. Alice lay with her eyes closed and Rowena sat on the bed watching to make sure their guest was asleep. She soon was and Rowena continued to sit staring at her thinking how helpless and frail she looked and she knew she was in love.

Alice slept through the afternoon as Martha and Rowena took turns to sit with her. She awoke at quarter to five and opened her eyes to see Rowena’s impressive hip followed by her arm, the outline of her sizable bust and lastly the anxious caring face which now broke into a huge smile as she saw Alice was awake.

Martha closed up at five and came back to join them.

“We have to close now honey,” she told Alice gently, “do you need a ride back to your place? You’re at McAlister Street? The big brick place?”

Alice nodded.

Very gently they helped a much refreshed Alice to her feet and out to Martha’s car. Rowena held her hands after she had got in and gave her a hug and a quick but heartfelt kiss on the cheek before pulling the belt down for her and closing her door.

As the car pulled away she stood watching it with the tears streaming down her face. She was hopelessly in love and wanted so much to care and protect her beloved Alice. Whatever it was that was wrong in her life she longed to protect her from it; whatever was needed she longed to give it.

Martha said very little on the drive over to the Community House, Alice sat nervously and glanced over at her from time to time.

“We loved having you with us, you know,” she said as they waited at the lights.

“You will come and see us tomorrow, won’t you?”

Alice turned to her and nodded; she stroked Martha’s arm briefly and mouthed “thank you” to her.

The next morning she arrived early and was met by Martha who, very importantly, gave her her Badge “Alice Willmot, TRAINEE LIBRARIAN” and insisted on pinning it on her. As before they went out to the back room where Rowena sat repairing the books.

She hadn’t expected Alice to come so early and, indeed, had wondered if they hadn’t overdone it yesterday, herself especially, and scared her away. The instant she saw her Rowena was on her feet with a smile of pure delight on her face. She moved quickly over to where Alice stood just inside the doorway and hugged her, there was no way she could help herself; to her utter joy Alice hugged her back.

“What’s this?” Rowena asked on seeing the badge, “trainee librarian? Wow.”

Alice shrugged then grinned and nodded. They sat on their couch and held hands, Alice reaching for Rowena’s hands rather than waiting for hers to be held.

“I had such a good night last night,” she started, “When I got home, like where I’m staying, I told them I had met you guys and how lovely you were to me, oh and the nap and I asked if I could try sleeping with no medication and they said well um not sure, um OK” She pulled funny faces all through her impersonation and Rowena shook with laughter as she watched her.

“Yes, so you tried without medication?”

“Yes and I had the best night’s sleep I can remember, wanna know what I dreamed about?”

“Mending library books?”

“Yes, I did actually and in my dream I was really good at it and I dreamed about Martha but mostly I dreamed about you.”

She squeezed Rowena’s hand and Rowena noticed it was a stronger grip than yesterday, she squeezed gently antalya escort back and the delight showed on her face.

“I wasn’t sure you’d come back,” she said, “I cried most of last night because I thought you’d, um, you know, just stay away.”

Alice was astonished, Rowena, strong decisive Rowena had been so upset that she might not return. She reached over and hugged her.

“Well now you know, don’t you?” She gave a little grin and poked her tongue out at her.

Rowena looked at her adoringly and nodded. The realization that it wasn’t a brief interlude, that Alice genuinely had feelings for her sent shivers through her and she knew at that moment she had never felt more happy to be alive.

Martha had slipped discreetly back out to the counter on ushering Alice through to see Row. A half hour later she popped back in to see them sitting side by side each repairing books. Row was going very slowly she noticed and constantly encouraging Alice who had a small pile of repaired books to her left.

“How’s our trainee Librarian going?” she asked. They both looked over at her.

“She’s a natural,” Rowena replied then turned to Alice and said quietly, “It’s true you are so good with your hands. No, true, you are, those are really good, excellent, repairs.”

It meant a lot to Alice to hear that. She had been trying to do a good job and had been pleasantly surprised, as had Rowena, at how much more energy she had that morning than the day before. They worked on, had a break for a coffee and some more home baking then back to work. Alice had eaten a whole cookie this time, the day before she had just nibbled at one. A half hour later and she was beginning to tire, she had gone far longer than either Martha or Rowena had thought she would but she was just being watched so there would be no repeat of yesterday.

At eleven twelve Rowena decided that was enough. She pushed her chair out and stood up.

‘Come on,” she told Alice, “you’re done, time for a nap.”

“Yes I am tired. Should I work a bit longer so you have to carry me?”

“Would you like me to?”

‘Yes please.”

So with that Rowena scooped her up and carried her with Alice’s arms round her neck out to the cot. Martha had pimped it and the plain covers were replaced with a pretty pink duvet, the sheets and pillow slips were matching yellow and there were some stuffed toys on the bed.

“Don’t want to get your dress creased,” Rowena told her turning her round to unzip her then slip her dress up, over the arms Alice obediently raised and slipping it onto a hanger. In just her bra and panties the painfully thin Alice lay down on the bed as Rowena pulled the covers up then sat on the bed stroking Alice’s forehead and watching her as a mother would watch her sick child.

Alice was tired; she hadn’t realized how tired she really was but it was hitting her now and she was glad she was tucked up in this wonderful bed.

She had come to adore Rowena and before she nodded off she looked up at her, smiled and said, “I love you.”

She closed her eyes and, as a tear trickled slowly down Rowena’s cheek, went off to sleep.

As before the two took turns sitting on the bed so Alice wasn’t alone when she woke up. It was after one when she did wake, the lunchtime rush was over and just a few people in there till after the schools got out.

Martha it was who was with her when she did awaken. Martha went and got her dress off the hanger and got ready to slip it on her. As before Alice obediently raised her hands for the dress to be slipped on and stood, turning so Martha could make sure it hung just right. She got a hug and a kiss on the cheek from Martha too and came out with her to the counter where Rowena was serving a customer.

Rowena finished and Martha nudged her to indicate she would take over for now. Alice was standing just behind Rowena, she reached forward and stroked her arm. Rowena turned to her and smiled,

“Hi.”

“Hi yourself, miss me?”

“Yeah, I got to sit with you a bit though, that was nice.”

“Hey Alice,” Martha called from a bit further along, here are my keys, I’ve got a few things for our lunch today in the trunk, you know where it is, the green one? Yeah, look just pop out the back door out there. Row can you show Alice? And if you could bring the things in and some of it needs warming in the microwave.”

So Rowena showed Alice through the back door out to the car park and Alice brought in a substantial amount of food. Once it was in she locked the car, then the back door and set to warming, getting plates down and sorting out lunch. This was the first time she could remember in a long while that she was serving food for people she cared about. She found she was enjoying it and before long she had everything on the table.

She called the others in for lunch and Martha had them hold hands while she said grace. Then they ate. Alice had dished up big helpings for them and a tiny one for herself. Both watched her wanting to see her get her appetite back. She ate all she had and Martha put another smaller helping on her plate then gave her a wink. Alice managed that as well but now she was tired again.

Rowena waited for her to go to the bathroom and on her return held her arms out-It meant: it’s time for bed for you do you want me to carry you?

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Die Lesbenparty

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Babes

Copyright by swriter Jan 2015

„Du verarscht mich doch jetzt hoffentlich”, mutmaßte die Frau mit den schulterlangen brünetten Haaren, die auf der Couch ihrer Schwester saß und auf eine erleuchtende Antwort des zwei Jahre jüngeren Geschwisterteils wartete. Hanna zuckte unschlüssig die Achseln und wich dem bohrenden Blick von Sophie aus. Dann streckte sie den Rücken durch und erklärte: „Natürlich ist es ungewöhnlich … Aber man kann es doch mal ausprobieren.”

„Wieso passieren immer nur dir diese dämlichen Sachen?”, fragte Sophie und konnte immer noch nicht glauben, zu was ihre kleine Schwester sie zu überreden versuchte.

„Jetzt sei doch nicht so spießig und riskiere mal was”, entgegnete Hanna, deren kurzen Haare ihr hübsches Gesicht einrahmten. Die Schwestern sahen einander schweigend an, bis Sophie den Kopf schüttelte.

„Jetzt noch mal zum Mitschreiben … Wie bist du über die Sache gestolpert?”

Hanna hob den Kopf an, atmete tief durch und erklärte ihrer Schwester ein weiteres Mal, wie sie zu der ungewöhnlichen Einladung gekommen war.

Hanna arbeitete seit ein paar Wochen als kaufmännische Angestellte in einem Großraumbüro. Der überwiegende Teil der Belegschaft war weiblich und sie verstand sich mit ihren Arbeitskolleginnen ausgezeichnet. Es herrschte eine muntere und kollegiale Atmosphäre und Hanna wurde schnell akzeptiert und in gemeinsame Unternehmungen einbezogen. Letztes Wochenende hatte sie sich mit drei Arbeitskolleginnen getroffen, war durch die Kneipen gezogen und hatte am Ende des Abends eine gemütliche Zeit in der Wohnung einer Kollegin verbracht. Dort hatte man sich vertrauensvollen Gesprächen gewidmet und Hanna von einer bevorstehenden Party berichtet. Zu Beginn hatte Hanna angenommen, es handele sich um eine Geburtstagsfeier im üblichen Rahmen, doch je mehr ihre Arbeitskolleginnen erzählten, umso mehr verblasste dieser Eindruck. Es stellte sich heraus, dass sich mehrere Frauen in unregelmäßigen Abständen trafen und diese Treffen einen bestimmten Sinn verfolgten.

Die Frauen waren unter sich, Männer waren nicht erwünscht, und die gemeinsamen Stunden wurden intensiv genutzt, um sich einander anzunähern und ihren lesbischen Neigungen zu frönen. Hanna hatte zunächst nicht glauben wollen, dass sich ausgerechnet ihre Arbeitskolleginnen als Mitglieder eines privaten Lesbenbundes outen würden, doch je mehr sie erzählt bekam, umso besser konnte sich Hanna vorstellen, was an diesen besagten Abenden ablief. Angefangen hatte es an einem Abend mit drei Freundinnen, guter Laune und zu viel Alkohol. Zwei der drei Frauen arbeiteten mit Hanna im Büro, eine war eine gute Freundin der Gastgeberin. Der Abend hatte sich entwickelt, und nachdem genügend Alkohol geflossen war, war Schwung in die Angelegenheit gekommen. Es wurden anzügliche Themen angesprochen, intime Geheimnisse ausgetauscht und irgendwann hatten sich die drei Frauen zu küssen und streicheln begonnen.

Der Abend hatte mit drei nackten Freundinnen in einem Bett geendet. Die Freundinnen wurden sich schnell einig, dass es nicht bei einem einmaligen Ausflug in die Welt der gleichgeschlechtlichen Liebe bleiben sollte, und verabredeten sich für weitere angenehme Abende. Männer waren nicht erwünscht, auch nicht die festen Partner. Mit der Zeit gesellten sich weitere Frauen dazu. Gute Freundinnen, Nachbarinnen, Kolleginnen. Die Gruppe wuchs, und nach und nach verabredeten sich bis zu einem Dutzend Frauen zu gemeinsamen zärtlichen Stunden, in denen sie sich intimste Geheimnisse anvertrauten, sich einander hingaben, und Dinge anstellten, die sie zu Hause mit ihren Ehemännern und Partnern nicht erleben konnten. Jutta war eine der Frauen der ersten Stunde. In ihrem Bett waren die drei Freundinnen bei der Gründungsfeier der Lesbengemeinschaft gelandet. Und Jutta war die Arbeitskollegin, die Hanna spontan zu einem der besonderen Treffen eingeladen hatte.

Nachdem Hanna die Zusammenhänge geschildert hatte, sah Sophie sie ungläubig an. „Aber was willst du auf so einer Party …? Du stehst doch gar nicht auf Frauen.”

„Die anderen doch auch nicht”, entgegnete Hanna. „Jutta zum Beispiel ist seit 15 Jahren glücklich verheiratet.”

„Wissen die Männer eigentlich, was ihre Frauen ohne sie treiben?”

Hanna zuckte mit den Schultern. „Keine Ahnung. Juttas Mann weiß davon und für ihn ist es OK, solange seine Frau ihn nicht mit einem anderen Typen betrügt.”

„Und du hättest jetzt mal Lust, an so einer Lesbenparty teilzunehmen?”, fragte Sophie provokant nach.

„Warum nicht …? Wann hat man schon mal die Gelegenheit, so etwas Besonderes zu erleben?”

„Und wie stellst du dir das langfristig vor?”, hakte ihre Schwester nach. „Du triffst dich mit Jutta und deinen anderen Arbeitskolleginnen und treibt wer weiß was … und lauft euch dann anschließend im Büro ständig über den Weg. Wie soll das funktionieren?”

„So gründlich habe ich ja auch nicht darüber nachgedacht”, gab Hanna zu. „Aber die anderen kommen ja auch damit klar. Alleine aus unserem Büro machen drei Frauen mit. Ich wäre die Vierte.”

Sophie schüttelte ardahan escort ungläubig den Kopf. „Ich bin ja auch nicht von gestern und mir ist klar, dass manche Leute entspannter mit ihrer Sexualität umgehen als andere … Aber das ausgerechnet du eine derjenigen bist, die sich auf so etwas einlassen würden, überrascht mich schon.”

„Ich konnte mir das ja auch nicht vorstellen”, meinte Hanna. „Aber sie haben mich nett eingeladen, sich mir anvertraut, und mich reizt der Gedanke und ich will sie auch nicht enttäuschen.”

„Und wenn es dir nicht gefällt?”

„Dann gehe ich eben kein zweites Mal hin.”

Die Blicke der Schwestern trafen sich. Sophie zuckte die Achseln und meinte: „Also gut. Dann mach es. Ich verstehe nur nicht, warum du mich ins Vertrauen gezogen hast.”

Hanna blickte verschämt zu Boden. Dann räusperte sie sich und suchte Blickkontakt zu ihrer Schwester. Sophie ahnte, was nun kommen würde. „Das ist nicht dein Ernst.”

„Sophie …”

„Vergiss es!”

„Lass mich doch mal ausreden.”

„Nein, ich begleite dich nicht”, blieb Sophie abweisend.

„Du sollst mir doch nur beistehen, weil es eine große Überwindung für mich bedeutet”, gab Hanna zu. „Ich war noch nie auf so einer Sexparty und ich hatte noch nichts mit Frauen … Ich würde mich besser fühlen, wenn ich nicht alleine hingehen müsste.”

„Aber du bist doch nicht alleine”, wiegelte Sophie ab. „Du kennst doch deine Arbeitskolleginnen.”

„Ja schon … Aber mit meiner Schwester an meiner Seite würde ich mich wesentlich besser fühlen.”

Sophie erwiderte nichts und bedachte ihre Schwester mit einem feindseligen Blick.

„Komm schon!”, bat Hanna. „Du hast mir schon so oft beigestanden und wir sind oftmals gemeinsam durch dick und dünn gegangen.”

„Ja sicher”, erinnerte sich ihre ältere Schwester. „Aber der Besuch einer Sexparty mit wildfremden Frauen gehört nicht zu den bevorzugten Unternehmungen, bei denen ich meine kleine Schwester begleiten möchte.”

„Immerhin hast du schon Erfahrungen mit Frauen gesammelt”, behauptete Hanna.

Sophie hatte bis vor wenigen Wochen eine Beziehung mit einer Mitstudentin geführt. Diese hatte beinahe zwei Jahre gehalten. Zuvor hatte sie männliche Partner an ihrer Seite gehabt, kannte also beide Seiten der Medaille.

„Nur weil ich Sex mit einer festen Partnerin gehabt habe, bin ich noch lange nicht bereit, mich ins wilde Getümmel zu stürzen und zuzusehen, wie unbekannte Frauen sich befummeln.”

„Sei doch nicht so spießig!”, warf Hanna ihr vor.

„Außerdem bin ich nicht scharf darauf, meine kleine Schwester zu beobachten, wie sie von ihren Arbeitskolleginnen bedrängt und verführt wird.”

„Ich hatte eigentlich vor, zunächst einmal zur zuzuschauen und mich zu akklimatisieren”, entgegnete Hanna leise.

„Und wie verhältst du dich, wenn eine der freizügigen Damen sich an dich ranmacht?”

„Keine Ahnung … So weit denke ich noch gar nicht.”

„Ich wüsste nicht, was ich da sollte”, zeigte sich Sophie skeptisch.

„Komm doch einfach nur mit, damit ich nicht alleine hingehen muss. Du würdest mir damit einen großen Gefallen tun”, bat Hanna.

Sophie schwieg sich aus.

„Außerdem denke ich, dass die Frauen sich nicht sogleich die Klamotten vom Leib reißen und übereinander herfallen werden. Man wird sich erst nett unterhalten und sich kennenlernen … Und wenn es dann hinterher zur Sache geht und uns gefällt es nicht, dann können wir uns immer noch dezent zurückziehen.”

Sophie starrte ihre Schwester eindringlich an. Hanna hoffte, Sophie überlegte. Dann ergriff die Ältere von ihnen das Wort. „Also gut … Ich begleite dich zu diesem Treffen … Aber ich stürze mich da nicht ins Lesbengetümmel und lasse mich nicht befummeln.”

„Danke, Sophie”, rief Hanna aus und fiel ihrer Schwester stürmisch um den Hals. „Das wird bestimmt ein witziger Abend.”

„Wenn du es sagst”, blieb Sophie weiter skeptisch.

Das besagte Treffen der Frauen mit den lesbischen Neigungen war für das folgende Wochenende geplant. Hanna war Feuer und Flamme und konnte kaum erwarten, dass der Termin näher rückte. Sophie sah es entspannter und fragte sich, ob sie nicht zu schnell nachgegeben hatte. Sie hatte ein mulmiges Gefühl bei der Sache. Was kam dabei heraus, wenn sich Freundinnen und Kolleginnen trafen, Alkohol zu sich nahmen und sich treiben ließen? Sophie hatte so eine Party noch nie miterlebt und tat sich schwer, sich den Ablauf des Abends vorzustellen. Die anderen Frauen kannten sich untereinander und hatten schon Erfahrungen gesammelt. Hanna und sie waren die Neulinge, bei denen nicht klar war, ob sie sich sofort in die Gruppe integrieren würden. Auf der anderen Seite mussten Jutta und ihre Freundinnen genügend Vertrauen in Hanna setzen, denn natürlich lud man nicht jedermann zu einer intimen Privatparty ein. Hanna hatte Jutta ihr Kommen zugesichert, und selbstverständlich stellte es kein Problem dar, dass sie ihre Schwester mitbrachte. Jutta erwartete für den Abend bei ihr zu Hause fünf Freundinnen, artvin escort von denen bis auf eine bereits an einer der illustren Runden teilgenommen hatten. Hanna und Sophie würden als Nummer sechs und sieben also nicht die einzigen Novizinnen sein.

Sophie hatte sich auszumalen versucht, wie weit sie gehen würde. Wie würde sie sich verhalten, wenn das Tempo anzog und die Frauen sich einander zuwandten? Würde sie zulassen, dass man sich an sie ranmachte? Oder würde man Hanna und sie zunächst unbehelligt lassen, bis sie selber den Wunsch äußerten, mitzumischen? Die größten Sorgen machte sie sich über die Beteiligung ihrer Schwester. Es war eines, sich an einer gewagten Sexparty zu beteiligen. Dies im Beisein eines Familienangehörigen zu tun, war etwas anderes. Was wäre das für ein Gefühl, die eigene Schwester bei sexuellen Handlungen zu beobachten? Würde es ihr etwas ausmachen, wenn Hanna andere Frauen küsste oder sich streicheln ließ? Könnte sie sich selber in Gegenwart von Hanna fallen lassen und entspannen und so frei genießen, als wäre ihre Schwester nicht mit von der Partie? Trotz der offenen Fragen und Bedenken musste sich Sophie eingestehen, dass sie der gemeinsame Frauenabend reizte.

Endlich war das Wochenende gekommen. Hanna wurde mit jedem Tag aufgeregter und fragte bei Sophie immer wieder nach, ob sie ihr Versprechen halten und sie begleiten würde. Sophie hatte nicht vor, an ihrer Entscheidung zu rütteln, und war selbst unglaublich neugierig auf das bevorstehende Treffen mit Hannas Kolleginnen. Gegenüber Hanna hielt sie sich bedeckt und zeigte ihre Euphorie nur begrenzt. Die Geschwister fuhren gemeinsam in Sophies Auto zur angegebenen Adresse. Hanna wusste, wo Jutta wohnte, und während der zwanzigminütigen Fahrt schwiegen sich die beiden Schwestern an. Sie waren angespannt und nervös und fragten sich, was auf sie zukommen würde.

Zuvor hatten sie sich bei Sophie getroffen und sich hinsichtlich ihrer Kleiderwahl besprochen. Hanna wollte einen guten Eindruck hinterlassen und hatte sich schick gemacht. Sie trug einen schwarzen Minirock zu einer engen dunkelblauen Bluse. Darunter hatte sie schwarze Spitzenunterwäsche angezogen und Sophie empfohlen, ebenfalls schöne Wäsche auszuwählen. Immerhin war zu erwarten, dass man seine Dessous würde präsentieren müssen, wenn man nicht unbeteiligt bleiben wollte. Sophie hatte sich für eine knallenge Jeans entschieden, die sie mit einem engen Oberteil kombinierte. Ihre langen Haare hatte sie zu einem Pferdeschwanz gebunden und sich dezent geschminkt. Auf Anraten ihrer kleinen Schwester hatte sie reizvolle Unterwäsche angezogen, die aus einem knappen Stringtanga und einem schwarzen Spitzen-BH bestand. Hanna war der Meinung gewesen, sie beide sähen vorzeigbar aus und bereit, sich in das wilde Getümmel zu stürzen.

Sophie war aufgefallen, wie unruhig ihre Schwester mit jedem Kilometer wurde, den sie sich Juttas Wohnung näherten. Sophie entschied, Hanna Mut zuzusprechen und meinte: „Wird schon alles gut gehen … Entspann dich.”

„Ich bin total aufgeregt … Was ist, wenn ich mich unwohl fühle?”

„Dann können wir immer noch gehen”, schlug Sophie vor. Sie konzentrierte sich auf den vor ihr liegenden Verkehr und amüsierte sich über die innere Unruhe ihrer Beifahrerin.

„Sophie …”

„Ja?”

„Sollte etwas geschehen … was auch immer … Das ändert doch nichts zwischen und beiden, oder?”

„Du meinst, es würde sich etwas ändern, wenn ich dich in den Armen deiner Arbeitskollegin erwischen sollte?”

„Du weißt schon, was ich meine”, erwiderte Hanna leise. „Wir haben noch nie voreinander etwas gemacht … Ich meine …”

„Ich weiß, was du meinst”, unterbrach Sophie sie. „Manche mögen wahrscheinlich behaupten, dass man der eigenen Schwester nicht beim Sex zusehen sollte, aber ich kann damit umgehen.”

„Es steht ja gar nicht fest, dass ich Sex haben werde.”

Sophie lächelte schelmisch. „Vielleicht schnappe ich mir ja auch eine deiner heißen Kolleginnen und dann musst du mir zusehen.”

„Oh mein Gott”, warf Hanna ein. „Ich habe dich ja noch nicht einmal früher bei der Selbstbefriedigung erwischt … Bestimmt bekomme ich einen Schock fürs Leben, wenn ich dich mit einer Frau rummachen sehe.”

„Dann sollten wir uns beide ins Getümmel stürzen und mitmachen”, schlug ihre Schwester vor. „Dann muss keine von uns ein schlechtes Gewissen haben oder beleidigt schmollen.”

Hanna drückte Sophies Hand und schenkte ihr ein dankbares Lächeln. Als sie am Zielort ankamen, parkte Sophie den Wagen in der Nähe und gemeinsam machten sie sich auf den Weg zu Juttas Wohnung. Jutta öffnete ihnen die Wohnungstür und umarmte Hanna und Sophie herzlich. Sophie war froh, dass Jutta sie nicht nackt empfangen hatte. Die Party schien noch nicht weit fortgeschritten zu sein. Sophie und Hanna folgten der Gastgeberin ins Wohnzimmer, wo bereits zwei Frauen ein angeregtes Gespräch führten. Als die Neuankömmlinge eintrafen, unterbrachen sie den Small Talk und begrüßten die Geschwister freundlich. Jutta stellte die bodrum escort anderen Gäste vor und richtete das Wort an Sophie. „Das sind Kim und Marlies. Wir drei arbeiten mit Hanna zusammen.”

Sophie begrüßte die Frauen nacheinander.

„Hattest du nicht mehr Gäste erwartet?”, fragte Hanna neugierig.

„Leider haben einige abgesagt”, erklärte Jutta. „Meine Nachbarin Daniela kommt gleich noch rüber … Also sind wir heute leider nur zu sechst.”

Sophie musterte die anwesenden Frauen. Keiner von ihnen sah man an, dass sie regelmäßig an privaten Sexpartys teilnahmen. Die Gastgeberin Jutta schien Mitte vierzig zu sein. Sie hatte mittellange dunkle Haare und ein sympathisch wirkendes Gesicht. Sie war etwas korpulent, hatte ausladende Hüften und einen mächtigen Busen. Schlank war etwas anderes, aber sie wirkte auf Sophie auf eigenartige Weise anziehend. Marlies durfte unwesentlich jünger als Jutta sein und stellte das genaue Gegenteil ihrer Kollegin dar. Sie hatte kurze blonde Haare, war gertenschlank und wies kaum Oberweite auf. Kim war deutlich jünger und war die Attraktivste von den Dreien. Sophie fiel sofort das bildhübsche Gesicht auf. Kim wies vorzeigbare Proportionen auf, hatte ihren Körper in ein hautenges Kleid gezwängt und punktete mit unendlich wirkenden Beinen. Sophie verguckte sich sogleich in Hannas Arbeitskollegin und stellte spontan fest, dass es ein interessanter Abend werden könnte.

Die Geschwister nahmen im Kreise der anderen Frauen Platz und ließen sich prickelnde Getränke reichen. Sophie hatte zuvor beschlossen, nichts zu trinken, ließ sich aber leicht überreden, zur Not mit dem Taxi nach Hause zu fahren. Nach einer Weile gesellte sich die Sechste im Bunde dazu. Juttas Nachbarin Daniela stellte sich als Mittdreißigerin vor, die nicht die hübscheste, aber eine der Sympathischten darstellte. Die Gäste kamen locker ins Gespräch und wurden schnell miteinander vertraut. Sophie machte ihrer Neugierde Luft und stellte Fragen zum Ablauf der gemeinsamen Abende.

„Wie entwickelt sich so ein Abend normalerweise?”

„Manchmal machen wir erotische Spiele, um uns in Stimmung zu bringen”, verriet Jutta. „Hin und wieder legen wir auch sofort los, wenn die Lust uns überkommt.”

„Zieht ihr euch üblicherweise zurück, wenn es zur Sache geht?”, hakte Sophie nach.

„Nein … Wir bleiben immer hier im Wohnzimmer”, erwiderte Jutta grinsend. „Gemeinsam macht es doch am meisten Spaß.”

Sophie und Hanna tauschten überraschte Blicke aus. Jutta bemerkte dies und meinte: „Keine Sorge … Wir überfallen euch schon nicht. Bleibt einfach offen und spontan, dann passt das schon.”

Hanna lächelte gequält und auch Sophie konnte sich nicht vorstellen, bald nackt inmitten der anderen Frauen zu sitzen und einem sündigen Treiben zu frönen. Mit zunehmender Dauer des Abends wurden die Gespräche intimer. Alkohol löste die Zungen und die Frauen verrieten den Schwestern, was bei früheren Partys abgelaufen war. Sophie hörte neugierig zu und zeigte deutliches Interesse an allen möglichen Erzählungen über die frivolen Abende. Was sie hörte, regte sie an. Nie zuvor hatte sie Erfahrungen dieser Art erlebt, und ein flotter Dreier mit ihrem Ex und einer guten Freundin war das bislang Höchste der Gefühle gewesen. Sex inmitten von so vielen Frauen würde eine Herausforderung darstellen. Dass ihre kleine Schwester mit von der Partie sein würde, machte das Ganze nicht einfacher.

Nach einer Weile stellte Jutta ihr Sektglas auf dem Tisch ab und erhob sich von der Couch. Sie widmete ihre Aufmerksamkeit den beiden Schwestern und forderte Sophie und Hanna auf, sich in die Mitte des Wohnzimmers zu stellen. Die anderen Frauen schienen zu ahnen, was geschehen würde. Hanna und Sophie folgten der Aufforderung und sahen sich kurz darauf Jutta gegenüber, die die beiden anlächelte.

„Da ihr beide die Neuen seid, habt ihr ein kleines Einführungsritual über euch ergehen zu lassen”, stellte Jutta fest. Die Schwestern sahen einander irritiert an und Sophie fragte: „Und was sollen wir tun?”

„Zunächst einmal müsst ihr euch küssen.”

Sophie zog die Augenbrauen in die Höhe und Hanna kicherte verlegen.

„Du weißt aber schon, dass Sophie meine Schwester ist, oder?”, fragte Hanna neugierig.

„Na klar … Wo ist das Problem?”

Sophie zuckte mit den Schultern und meinte: „Ist ja nur ein Kuss.”

Sie trat einen Schritt auf Hanna zu und zog sie an sich. Sie drückte ihr einen flüchtigen Kuss auf die geschlossenen Lippen, was zu verhaltenem Jubel bei den zuschauenden Frauen führte. Doch Jutta zeigte sich weniger begeistert. „Das war doch kein Kuss!”

„Natürlich war es das”, meinte Sophie, und während sie sich noch fragte, warum Jutta ihren Kuss beanstandet hatte, übernahm Hanna die Initiative und setzte zu einer Wiederholung an. Dieses Mal presste sie Sophie die Lippen auf den Mund und schob ihre Zunge voran. Als Schwestern hatten sie sich früher bereits geküsst, doch eher freundschaftlich und liebevoll, nicht mit Zunge und schon gar nicht leidenschaftlich. Als Sophie die Zunge ihrer Schwester um Einlass begehren spürte, zuckte sie zusammen, hielt einen Moment irritiert inne und nahm dann das Angebot an. Ihre Zungen verschmolzen ineinander, sie küssten sich innig und züngelten unter großem Jubel der anderen Frauen, bis sich Hanna atemlos zurückzog und ihre Schwester breit angrinste.

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