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L’enseignante Pt. 03

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Bdsm

La jeune institutrice arriva plus d’une heure en avance, se garant, elle resta assise sur le siége, les mains crispées sur le volant, fixant l’entrée de l’école. Catherine De Monfort savait que si elle y allait, elle ne pourrait plus reculer, qu’ils la tiendraient en leurs pouvoirs, assouvissant leurs fantasmes les plus pervers et lubriques sur elle.

La jeune femme inspira un grand coup et sortit. Le plaisir nouveau pour le jeune rousse l’empêchait d’être lucide, mais si

Traversant les couloirs déserts, passant devant les classes encore vides, le silence pesant uniquement troublé par le bruit de ses talons claquant

– « Euh….. Bonjour Madame De Montfort …. Vous avez une tenue bien légère aujourd’hui… Cela vous va bien! …. En avance aujourd’hui…. étonnant!…. »

– «Bonjour monsieur le Directeur, je… euh…. oui…. j’avais laisse des copies a corriger ici….. je dois y aller bonne journée…. »

La jeune femme le dépassa, sans le regarder et continua son chemin. Le directeur qui s’était arrêté, se retourna et la regarda s’éloigner, fixant avec concupiscence les fesses plantureuses moulées dans la jupe courte.

Il repensa avec excitation à la peau laiteuse de sa poitrine généreuse, largement découverte par son décolleté. Puis, un peu amer et intrigué par la présence de la jeune femme de si bonne heure, il se promit de la surveiller afin de profiter de ses charmes si l’occasion se présentait, et de prendre sa revanche sur cette altière jeune rousse qu’il considérait comme une bourgeoise bien trop fière.

Catherine sentait son regard dans son dos, essayant d’évaluer ses formes, la jeune rousse en frissonna de dégoût. Elle arriva devant la classe dont la porte était fermée. D’une main tremblante, Catherine l’ouvrit et entra en fermant les yeux.

Les ouvrant la jeune femme découvrit que la salle était vide, elle poussa un soupir de soulagement tout en éprouvant un sentiment de frustration. C’est à ce moment qu’elle s’aperçut d’un message grossièrement écrit sur le tableau.

– « …..Pieds nus, juste la jupe et le chemisier……salle 114…..S».

Elle sentit son ventre se nouer et son cœur s’affoler. Elle se déchaussa, jambes flageolantes et posa sa veste sur le bureau. Puis elle effaça le message, paniquée à l’idée que le directeur avait peut être lu le message…

La jeune rousse resta là, immobile, ne sachant que faire, nerveuse et agitée. Puis comme envoûtée, elle sortit et se dirigea vers la salle 114, sentant le carrelage froid sous ses pieds. Elle avançait dans les couloirs déserts et pour la première fois la jeune femme se rendait compte qu’ils étaient mal éclairés et parfois assez sombres.

La salle 114 se situait à l’autre bout de l’établissement, dans une aile où peu de cours se déroulaient. Le sol était beaucoup plus froid et Catherine se mit à frissonner en avançant dans les couloirs. A chaque tournant, la jeune femme se penchait pour regarder si elle ne risquait pas de croiser quelqu’un.

De plus en plus inquiète Catherine accélérait le rythme mais après

– «Approche…!» ordonna-t il sans faire un geste.

Là, la jeune femme commença à paniquer et elle ne parvint à couvrir les derniers mètres la séparant de l’ignoble sourire qu’affichait le jeune qu’au prix d’un violent effort

– « Eh…. bien….. ma jolie…. Il t’en a fallu du temps… enfin tu sais pourquoi t’es là

– « Euh… je.. .. oui…… enfin », bafouilla-t-elle affolée, les joues empourprées.

Avec assurance Il posa une main sur la hanche de la jeune rousse et de l’autre, il saisit

– « Alors…vas-y ma belle…. branle moi…. et ouvre ton chemisier… montre les, tes gros nibards….. on sait tous que tu tortilles du cul comme une femelle en chaleur dès qu’on les touche. »

La respiration oppressée, le sang affluant aux tempes, la jeune professeur défit un à un les boutons de son chemisier, qui s’ouvrit largement livrant ses trésors au regard de son élève. Catherine n’avait pas mis de soutien-gorge, elle ne put qu’étouffer un frisson de elazığ escort honte en voyant son chemisier bâiller, dévoilant ses appâts mammaires.

– « Whaou..!! Quelle paire de loches… ben dis donc ma cochonne … t’as vraiment le feu au cul pour te promener les nichons à l’air… hein?!.… ah!…..ah! …. Rougis pas comme ça, salope!… Allez.. Cambre toi bien… tends moi tes nichons. »

Les larmes aux yeux, la jeune rousse s’exécuta, se cambrant un peu, elle sentait le tissu de sa jupe se tendre sur ses fesses et remonter un peu devant sur les cuisses. Le chemisier ouvert sur ses charmes, elle attendait immobile, les tétons durcis par le froid et l’excitation. Le sexe de son élève se déployait contre sa main au travers de l’épais tissu de jean.

Il la regardait sans rien dire, le silence devenait oppressant. Un peu honteuse Catherine De Montfort leva les yeux et croisa son regard rivé sur ses mamelons érigés, et il se mit à ricaner. Cela lui fit l’effet d’une douche froide et sa tête lui tourna sous l’effet de l’humiliation.

• « Oui…. C’est bien comme ça…. Allez ouvre ta bouche et sors moi ta langue que je te roule une pelle… ».

• « Nonn… non…. pas ça… je ne veux pas…. Pas de baiser….. Faites ce que… ce que vous voulez mais pas ça….. C’est trop intime.. »

Il repoussa brutalement la jeune femme, la toisant des pieds à la tête.

– « Ben alors…. Y’a que les putes qui refusent d’embrasser..!! Serais-tu une pute?!!.. trop intime tu veux rire..!! Montrer son cul et ses gros nibards à tout la monde, c’est pas intime ça?!!…. ET se faire baiser comme une chienne dans les dortoirs!!… Tu rougis?!! …..Eh oui!!… Je suis au courant…. et si tu veux pas que d’autres le sachent t’aurais intérêt à te montrer plus docile!!….»

Au fur et à mesure qu’il parlait la jeune rousse se sentait de plus en plus mal à l’aise, honteuse, puis franchement inquiète devant la menace à peine voilée. Catherine aurait voulu ne jamais être venue et si elle avait accepté c’était sous l’empire des sentiments troubles qu’elle avait éprouvé la veille sous l’abominable chantage de Mahoui et Joussouf.

Mais cette fois Sidi lui faisait réelement peur en l’obligeant à réaliser ce qu’elle faisait, et ce n’était plus de fantasmes honteux qu’il s’agissait. Il continua à l’insulter. Serrant les poings la jeune femme sentait des larmes couler sur ses joues cuisantes de honte tandis qu’il la brocardait.

• « Qu’est ce que tu croyais pauvre conne!!…. Qu’on allait jouer à touche-touche?!!…. Tu rêves ma jolie!!…. Maintenant c’est moi qui commande!!…. Tu n’as pas d’autre choix que de m’obéir alors….. Demi-tour et en avant!!… tortilles ton cul en marchant, et arrête de chialer!!!…. »

Paniquée Catherine recula brusquement comme s’il venait de la gifler. La jeune institutrice porta ses mains à son visage, elle ne parvenait pas à croire ce qu’elle venait d’entendre. Sans douceur il la poussa et avec une écœurante docilité Catherine se tourna, le regardant par dessus son épaule, implorante.

• « Allez avance..! et te retourne plus… »

• « Mais…… pas dans cette tenue!…. si on croise quelqu’un… je ne peux pas….. non!!….. nonnnnnnnn!…. j’ai trop honte»

Il la poussa dans le dos et ajouta en ricanant :

– «C’est sûr que ça peut être gênant de marcher le chemisier ouvert.….. surtout que si on te voit te promener sans soutien-gorge, on pourrait se faire des idées…. De toute façon je sais que ça te plaît d’avoir honte et si tu continues à te plaindre ce sera cul nu.!! Alors t’avance…. oui…..c’est ça… tortille du cul!… c’est bon….»

Catherine refaisait le trajet en sens inverse mais le trajet s’avérait beaucoup plus pénible dans cet accoutrement, les courants d’air hérissaient sa peau dardaient ses mamelons. Sidi restait juste derrière elle, une main contre ses reins, la poussant lorsqu’elle ralentissait. Parfois la jeune femme sentait la main du jeune descendre le long de la jupe et se poser sur ses fesses qu’il pinçait ou giflait un petit claquement erzincan escort de langue, riant.

Et chaque fois elle sursautait, se mordant les lèvres pour ne pas gémir et continuait à avancer le ventre noué. Le premier virage approchait, Catherine avait l’impression que cela durait depuis une éternité. La jeune femme ralentit, croyant déceler un bruit de pas qui approchait, mais ce n’était que le fruit de son imagination.

Le cœur battant à tout rompre, elle prit le virage, fermant les yeux, s’attendant à croiser quelqu’un mais il était bien trop tôt et le collège était encore désert. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, le couloir était vide, la jeune femme poussa un petit soupir de soulagement. Toutefois c’était le couloir principal et n’importe qui pouvait surgir au détour d’un couloir adjacent voire même sortir d’une salle de classe. Sidi perçut son soupir et l’arrêtant il commenta :

– « Et bien tu vois… il n’y a personne.. C’est bien dommage… je suis sûr que tu aurais aimée qu’on te voit dans cet équipage! ….»

Alors que la jeune institutrice repartait, pressée de quitter ce couloir, l’élève la retint par le bras et, passant devant elle, poursuivit :

– « Mhmm… j’ai une idée…. » dit-il avec un sourire narquois… «je suis sûr que tu marcherais mieux sans cette jupe un peu trop serrée, non?… Enlève la..!! »

Défaite, la jeune femme le regardait sans oser y croire :

– « Mais je…non…. écoute je ne peux pas…. je t’en prie… »

– « Suffit les conneries!… Plus vite tu feras ce que je te dis, plus vite on quittera cet endroit….. si tu continues à gémir, je te fous complètement à poil au milieu de la cour… et dernière chose…. je t’interdis de me tutoyer petite pute….. Allez magne toi l’cul….. »

Eperdue, les larmes aux yeux, croyant avoir touché le fond, Catherine commença à défaire les boutons de sa jupe, les mains tremblantes. Elle tomba dans un bruissement d’étoffe à ses chevilles. Humiliée la jeune femme baissa la tête. Sidi qui s’était un peu écarté poussa un sifflement d’admiration et tourna autour d’elle en détaillant ses charmes.

Il faut dire que c’était la première fois que la jeune rousse mettait cette « culotte », que des amies lui avaient acheté pour plaisanter quelques mois auparavant. Très échancrée, elle remontait très haut sur ses hanches. En dentelle quasi transparente, elle se resserrait pour ne cacher qu’une mince partie de son épaisse toison. Les poils roux débordaient de chaque coté et le tissu transparent moulait sa vulve. Par derrière on aurait dit un string, et le « V » plongeait entre ses fesses où la fine bande restait cachée. Elle semblait ouvrir les fesses de la jeune institutrice, les séparer, et rendait sa croupe encore plus provocante et excitante par le contraste entre le tissu noir et les fesses très blanches et satinées.

Jamais personne n’aurait pu croire que sous des airs hautains et assez réservés, Catherine portait de tels dessous.

• « Eh bien dis donc!!.. je comprends maintenant pourquoi tu ne voulais pas enlever ta jupe….. t’as pas honte de te promener avec ces dessous de salope? » lui demanda-t il en s’accroupissant devant son ventre dénudé.

Il se releva, visiblement très excité, passant derrière la jeune rousse, il remonta le chemisier dans son dos. Puis, d’une main il lui caressa les reins et descendit doucement vers ses fesses qu’il effleura légèrement, s’attardant sur l’arrondi d’une fesse. Inconsciemment alors qu’elle sentait la main ramper sur sa croupe, la jeune femme se cambra un peu, jambes tendues pour faciliter ses caresses.

Le contact de la main chaude sur sa peau la troublait au delà de toute expression, et elle sentait sa chagatte s’humidifier. En la découvrant en petite culotte, Sidi avait perdu son air autoritaire et pisse-froid, il était redevenu un jeune homme intimidé par la très belle épouse qu’il avait devant les yeux.

Elle se prit à espérer qu’en raison de son inexpérience, sa pose le rendrait nerveux et qu’elle pourrait erzurum escort reprendre un ascendant sur lui. Mais Catherine se trompait, Sidi n’était pas aussi inexpérimenté qu’elle le croyait.

– « Ouui… ma cochonne…. tu aimes montrer ton cul… hein?… tu as raison… j’ai jamais encore jamais baisé un cul pareil…. mais ça ne va plus tarder… Ah…. ah…. ah!! …»

A ces mots Catherine se redressa soudain, honteuse, serrant les poings d’avoir eu un fol espoir et surtout de s’être montrée ainsi à ce gamin. Elle était folle de rage et de honte, la jeune femme aurait voulu le griffer, crier mais elle n’en avait plus le courage, ni la force.

– «Allez on avance….. dis donc… tu tortilles drôlement bien ton popotin salope… tu veux en prendre plein la chatte, t’inquiète pas je bande comme un âne… oh, mais j’y pense c’est peut être ailleurs que tu veux que je te colle ma grosse queue… hein?…. » ajouta-il en la gratifiant d’une claque bruyante sur la croupe qu’elle balançait devant lui.

Catherine continuait à marcher, le long du couloir, elle voyait trouble, à cause des larmes qui lui emplissaient les yeux. Pendant ce temps il continuait à commenter. La jeune rousse n’osait rien dire et elle priait pour que ce cauchemar se termine.

– « On m’a dit…. mais cela demande vérification, que t’es très poilue… et que les poils roux qui tapissent ta raie sont très excitants…. peut-être même obscène, non?.… allez courage petite pute, on arrive bientôt, c’est la 3eme salle sur ta droite…. remonte ton chemisier dans ton dos…. comme ça….. oui c’est bien….. putain ce cul qu’tu t’payes!!!! … allez, on est arrivé!…..»

Elle entra dans la salle de classe déserte, un peu inquiète mais soulagée de ne plus se trouver dans ce couloir. Sidi ferma la porte derrière elle puis il se dirigea vers un sac que la jeune femme n’avait pas remarqué en entrant.

– « Monte sur le bureau…. à quatre pattes, jambes écartées, cul tendu face à la porte….. allez… Plus vite! ….»

Les jambes flageolantes elle s’exécuta, rouge de honte en se cambrant. La jeune professeur sentit ses fesses s’écarter et la raie de son cul couverte par la ficelle qui formait le fond de sa culotte se dévoiler. Les coudes appuyés sur le bois de la table, le cul relevé, plus haut que la tête, Catherine De Montfort attendait dans une posture vraiment obscène, elle pouvait difficilement avoir plus honte, du moins le pensait- elle. La jeune femme essayait de découvrir ce que Sidi faisait dans son dos.

Il revint avec le sac et le posant à ses chevilles, il ordonna à la jeune femme de regarder droit devant elle. Il fit le tour, écarta les pans de son chemisier pour laisser nus ses seins, puis remonta le chemisier haut sur son dos, pour bien découvrir son cul, commenta-il égrillard.

Puis lui ordonna de ne plus bouger il prit dans chaque main l’élastique de sa culotte et commença à la baisser. Catherine voulut protester mais il la fit taire d’une claque retentissante qui l’humilia fortement.

La jeune femme serrait les poings sentant sa culotte descendre très doucement pour s’arrêter à mi-cuisses. Elle sentait l’air frais rafraîchir son ventre moite, et poussa un hoquet de honte en sentant Sidi écarter ses fesses et du bout de l’ongle frôler la bague fripée de son anus palpitant. Il se posta devant la jeune rousse, et posa une feuille dactylographiée entre ses bras. Il caressa au passage ses seins qu’il soupesa, pinçant les pointes dures. Puis, elle le vit ouvrit sa braguette et sortir un sexe déjà en demi érection.

Il posa ses poings sur ses hanches et avançant le ventre il se plaça devant elle. Le pubis à une vingtaine de cm de son visage.

– «Tu vois cette feuille petite salope….. il s’agit d’un questionnaire!… écoute bien les consignes… tu vas bien lire les questions à voix haute. Tu sais comme tu sais si bien le faire en cours… Et si tu mens… tu auras un gage…. Si tu dis vrai tu auras le droit d’ouvrir grand la bouche pour une friandise… Allez… vas-y…. première question madame De Montfort!!! »

Au seul énoncé de son nom de famille, l’enseignante tressaillit. Il l’avait fait exprès pour bien la rappeler à la réalité. Dans la même position la jeune femme baissa la tête et commença à parcourir silencieusement le document puis elle bafouilla.

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Le Club – Partie 28

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Amateur

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret hatay escort pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Martina stoppa la voiture devant l’entrée principale de la gare ferroviaire de Fortlud où Sophie attendait sagement suivant les instructions de Ryan. Ce dernier descendit et ouvrit la portière arrière pour lui indiquer de monter. Toujours aussi docile, la jeune fille grimpa sans un mot et l’ancien maître de la « cour des miracles » lui emboita le pas.

La voiture redémarra immédiatement dans un silence qui aurait semblé accablant pour toute autre personne que Ryan mais pour lui il marquait son triomphe. Sophie enleva la veste, dévoilant sa ceinture d’explosifs et la retira après l’avoir désamorcée. Elle la tendit à son maître qui la rangea dans la compartiment sécurisé prévu à cet effet qui accueillait déjà celui de Martina avant de se réinstaller confortablement dans les coussins en cuir de sa voiture.

En animal parfaitement dressé, Sophie se pencha alors vers son entrejambe et défit uns à uns les boutons de la braguette de son pantalon avant de libérer son pénis. Elle commença à le masser doucement avec sa main avant de le prendre en bouche pour entamer une fellation dont elle était désormais une experte.

Ryan s’adossa encore plus dans les coussin afin de profiter du plaisir que lui procurait celle qui était à la fois la fille de son meilleur ami et la nièce de son pire ennemi en se souvenant qu’il lui avait fallu énormément de temps pour obtenir d’elle une telle obéissance.

CHAPITRE 2

Il avait été vraiment difficile de dresser Sophie Olivier en dépit de l’habitude qu’il avait acquise de l’époque où il était le bras droit de son père dans l’organisation du loup.

Quand il l’avait enfermée dans la cave de la « campagnarde », la jeune fille avait tout de suite compris qu’elle avait été piégée et s’était jetée sur la porte en hurlant et jurant. Ryan s’était éloigné sans prêter attention à ce déploiement de colère qu’il savait totalement vain : bien d’autres avaient tenté d’impressionner les geôliers qui œuvraient naguère en ce lieu sans obtenir le moindre résultat.

Il grimpa le grand escalier qui menait à l’étage pour se diriger vers la droite et entrer dans une petite salle munie d’un grand moniteur de contrôle. Il l’alluma et l’image de Sophie s’acharnant sur la porte de la cave apparut alors. Quand il avait inspecté la « campagnarde » lors de son retour à Fortlud, il avait eu la surprise de découvrir que l’ensemble du système installé par le docteur Shu était en parfait état contrastant avec la vétusté du reste de la maison. Ryan retrouvait là la rigueur du vieux médecin asiatique. Celui qui depuis peu avait adopté le sobriquet de l’homme au masque s’assit devant la console de commande et alluma l’immense système. Il sourit cruellement en songeant aux mauvaises surprises qu’il réservait à son « invitée » et appuya sur un bouton.

L’univers de Sophie se transforma alors en un véritable enfer lumineux. Un grand projecteur installé dans le plafond se mit à projeter ses lumières stroboscopiques que les murs blancs réverbéraient avec plus d’intensité encore. Au stress visuel vint s’ajouter un son strident qui obligea la jeune fille à abandonner ses tentatives d’ouvertures de la porte blindée pour se couvrir les oreilles pour une protection bien illusoire. La plaisir de Ryan s’accentua encore en voyant sa victime tituber avant de se blottir dans un coin en position fœtale. Il fit perdurer cette torture pendant presque une heure et elle fut tellement pénible pour Sophie qu’elle finit par pleurer.

Satisfait, Ryan coupa son et lumière. Il laissa quelques secondes à sa victime pour reprendre ses esprits puis quand il vit enfin la tête de la jeune fille émerger de ses genoux, il lui expliqua les nouvelles règles.

Dans la cave de nouveau envahie par l’obscurité, un rai de lumière révéla la présence d’une ığdır escort table d’entrave en bois contre le mur Est. Il fallut quelques instants au regard embué de larmes de Sophie pour comprendre la nature de cet objet si peu banal pour elle.

– Déshabille-toi! Ordonna Ryan dans le micro qui se trouvait devant lui.

Son ordre retentit au travers d’un haut parleur placé lui aussi dans le plafond.

– Déshabille-toi! Répéta-t-il devant l’apathie de Sophie. Et installe-toi sur cette table!

La jeune fille balaya un regard perdu dans toute la pièce pour trouver l’origine de cette voix qui lui lançait des ordres aussi ridicules. Ryan ne fut pas surpris, il savait qu’elle n’était pas encore prête : il ne s’agissait que d’un préliminaire.

– Tu n’auras plus la paix, tant que tu n’auras pas obéi, ajouta-t-il alors avant de la replonger dans un univers de tourment.

Sophie qui avait retrouvé un peu ses esprits se mit à hurler en comprenant que son calvaire reprenait.

Ryan fut cependant surpris par la résistance de Sophie. La jeune étudiante résista à la torture visuelle et auditive pendant plus de trois jours, une performance qui surpassait les plus résistantes des victimes qui l’avait précédée en ce lieu. Il ne put s’empêcher de retrouver dans cette volonté de ne pas céder, la force de son père. Cependant, il savait pertinemment qu’en dépit de son caractère fort, elle menait une bataille perdue d’avance, surtout que désormais, elle devait lutter contre un nouvel ennemi : la faim. Elle n’avait toujours pas mangé depuis le jour où elle s’était retrouvée enfermée dans cette cave et elle avait dut se contenter du minimum vital en eau et ces carences alimentaires commençaient à affaiblir autant son physique que son mental.

Ryan, patient comme le lion guettant une antilope, ne cessait de surveiller le comportement de sa proie qui restait l’essentiel du temps blottie dans un coin les mains posées sur ses oreilles. A temps réguliers, il coupait le son pour faire repasser son message afin de le graver dans son esprit. Finalement, au début du quatrième jour, elle craqua.

Ryan la vit se lever en reniflant, retirer sa robe pour dévoiler sa poitrine nue et un simple string en tulle et dentelle noire. Elle s’approcha doucement de la table de torture et voulut s’y asseoir dessus.

– Non! Tonna Ryan dans le haut-parleur. Pas sur le dos! Sur le ventre!

Elle sursauta devant cette nouvelle intrusion inquisitrice et il la vit de nouveau rechercher l’origine de cette voix qui osait lui lancer des ordres. Puis, sa faiblesse reprenant le dessus, elle finit par se retourner et se pencher sur la table. Presque naturellement, elle glissa ses bras dans les cavités prévues à cet effet. Quand ses mains arrivèrent au bout, deux « clics » significatifs indiquèrent que ses poignets se retrouvaient désormais emprisonnés. Ryan sourit et quitta sa place : sa proie était désormais sans défense, il était temps pour lui d’entrer en jeu.

Il descendit dans une cave désormais plongée dans un environnement bien plus agréable et s’approcha de Sophie qui, dans sa position, ne pouvait pas se retourner pour le voir s’approcher. Elle tenta de bouger cependant mais ses liens résistèrent et elle abandonna après quelques instants de lutte. Il attendit la fin de ce nouveau sursaut d’indépendance et se colla à elle. Il la sentit frissonner de dégoût et de peur quand il posa sa main sur son dos. Il se sentait fabuleusement excité : cela faisait tellement de temps qu’il n’avait plus goûté aux charmes d’une aussi jeune femme. Depuis qu’il avait guéri de ses blessures, il avait souvent eu des relations avec des femmes mais à cause de ses nouvelles difformités, les seules qui avaient daignés partager son lit étaient des professionnelles qui lui avaient coûté des fortunes pour des services limités par rapport à ses exigences.

Il fit descendre sa main jusqu’au niveau de ses reins et la promena sur ses fesses joliment sculptées. Il abandonna un instant son petit jeu de caresses pour la forcer à placer ses jambes dans les jambières placées en dessous d’elle. Deux nouveaux « clics » indiquèrent qu’elle était désormais définitivement prisonnière comme il aimait savoir ses partenaires. Il recula d’un pas pour l’admirer un peu mieux. Il la trouva superbe, presque aussi séduisante que Martina qui hantait chacune de ses pensées. Son excitation atteignait le plafond et il n’en pouvait plus. Il défit la fermeture éclair de son pantalon et délivra un pénis que tenait une érection comme il n’en avait plus connu depuis très longtemps. Il s’approcha alors de sa victime et se plaça entre ses jambes. Il glissa sa main entre ses cuisses et commença à flatter son antre d’amour avec toute la science dont il était capable. Il la vit se dandiner son l’effet de la chaleur qui montait en elle et cette sensation devait lui procurer un horrible sentiment d’horreur dont il se délectait. Il continua à l’exciter pendant plusieurs minutes et quand ısparta escort il jugea qu’elle était prête, il approcha l’extrémité de son gland de sa fente bien chaude. Il la pénétra alors doucement en prenant tout son temps afin de pleinement profiter du bruit de ses sanglots qui montait au rythme de la pénétration. A ce petit jeu pervers, il la perfora totalement provoquant chez elle une réaction de crispation. Ryan se déchaina alors et se mit à la pistonner avec la même énergie qu’il déployait naguère pour « briser » les jeunes femmes destinées à devenir les esclaves sexuelles dans les lieux de plaisir de l’organisation du loup. En dessous de lui et en dépit de ses entraves, Sophie se dandinait toujours dans l’espoir d’échapper au violeur auquel elle s’était elle-même livrée pour échapper au calvaire qu’il lui faisait subir. Ryan posa ses mains sur ses hanches pour lui imposer l’immobilité : il tenait à lui faire comprendre qu’il était le maître et qu’elle n’avait plus aucun pouvoir. Il continua son mouvement de va et vient avec toute la force dont il se sentait capable. Il savait que désormais il ne pourrait plus se passer de ce plaisir de domination totale qu’il venait de retrouver et que les prostituées ne pouvaient que simuler. Finalement son plaisir atteignit son paroxysme et il jouit dans l’utérus de la jeune fille qui poussa un hurlement de rage en sentant l’écoulement du liquide séminal en elle. Ryan mêla alors un cri d’extase à ce hurlement puis se pencha vers elle.

– C’était ta première leçon, lui susurra-t-il à l’oreille. Passons à la seconde.

Il s’écarta alors d’elle, la laissant toujours emprisonnée sur la table pour se diriger vers la porte. En route, il sortit une télécommande et réenclencha tous le système et fut comblé en entendant sa victime se remettre à hurler quand elle comprit que sa torture reprenait.

Cependant, ce qu’elle ne savait pas c’était que désormais le message visuel avait fondamentalement changé. Il ne s’agissait plus simplement de spots lumineux destinés à l’empêcher de se reposer mais elle contenait des signaux subliminaux auxquels elle ne pouvait plus échapper dans la position dans laquelle elle se trouvait. Par cette manière, il commençait à transformer cette jeune fille indépendante en l’esclave totalement soumise qu’elle était désormais.

CHAPITRE 3

Ryan rouvrit les yeux pour poser la main sur la nuque de Sophie qui continuait son travail de fellatrice avec le talent d’une professionnelle accomplie. Il lui caressa le dos et il la sentit se courber pour accompagner son geste comme le ferait un petit animal bien obéissant. Ryan sentit se sentit alors sur le point de jouir. Il éclata au fond de la gorge de Sophie qui avala sans rechigner la totalité de son liquide séminal et poussa le zèle jusqu’à lécher le pénis de son maître afin de le nettoyer de toutes les souillures qu’elle avait pu y laisser. Totalement comblé, Ryan ferma les yeux en pensant qu’en ce moment même un autre de ses petits pièges était en train de se refermer.

CHAPITRE 4

Yvon Parini retournait vers sa chambre l’esprit obnubilé par les dernières nouvelles. Il avait un moment espéré que la rencontre qu’il avait organisé entre l’homme au masque et le « frère » ne dégénère en règlement de compte sanglant qui dans le meilleur des cas le débarrasserait de ces deux épines qui s’étaient plantées dans son pied. Au lieu de ça, ces deux idiots avaient seulement discuté avant de se séparer comme de vieux amis. Yvon ne pouvait s’empêcher de se sentir frustré devant un tel dénouement mais heureusement pour lui, il savait comment faire pour retrouver sa sérénité. La fabuleusement bandante Sylvia, désormais toute soumise à sa volonté, l’attendait, prête à lui faire oublier toutes ses déceptions. Le sourire aux lèvres, Yvon poussa la porte de sa chambre pour se retrouver en face d’une énorme surprise.

Sylvia était allongée par terre sur le ventre, visiblement inconsciente et surtout une autre personne l’attendait tranquillement assise sur le lit. Yvon mit quelques secondes pour reconnaître Mathilde. Il fallait dire qu’elle exhalait une sensualité qu’il ne lui connaissait pas à l’époque où elle était à son service. Elle portait une robe de soirée en satin noir qui s’arrêtait au dessus de ses genoux et affichait un décolleté qui mettait en évidence sa belle poitrine. Yvon fut surpris aussi par l’expression avenante qu’elle affichait. Certes, elle s’était maquillée d’une façon plus que suggestive mais ce n’était pas la seule explication : Mathilde, la petite oie blanche qui ne cessait de geindre à chaque fois qu’un client s’allongeait sur elle semblait s’être transformée en une authentique poupée de plaisir. En voyant l’ancienne étudiante ainsi métamorphosée, Yvon ne put retenir une érection et fut pris par une irrépressible envie de se jeter sur elle pour lui déchirer cette robe si sexy afin de la violer sur ce lit comme il le faisait d’antan.

Pourtant au dernier moment, sa tête reprit le dessus sur sa libido et il se rendit compte qu’il ne se posait pas les bonnes questions. La première étant tout simplement de savoir comment Mathilde avait bien pu réussir à entrer dans la forteresse sans alerter aucun garde. Il voulut le lui demander quand la réponse s’imposa d’elle-même : les tunnels.

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La nouvelle vie de Christine Ch. 20

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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

Je reçus un nouvel appel de Nelson GOBERT le mercredi après-midi. Il semblait très excité :

– Le directeur a vu la vidéo. Il appelle Christine pour la convoquer ce soir à l’école. Bien sûr, je lui ai parlé de vous et de la situation.

– Et les autres enseignants? demandai-je.

– J’ai d’abord montré le film au directeur qui souhaitait un peu de temps seul avec elle. Je donnerai le film aux autres quand nous terminerons ce soir et peut-être seront-ils convaincus demain.

– D’accord. Dis-je en raccrochant.

Durant la journée, je ne vis pas Christine prendre d’appels téléphoniques. Mais à 16h55, elle m’appela pour me dire que le directeur de l’école voulait la voir ce soir à 19 heures. Inquiète, elle me demanda :

– Pensez-vous qu’il veuille parler de ce qui s’est passé vendredi soir.?

– Non ne t’inquiète pas salope. Répondis-je en raccrochant et attendant qu’elle descende de son bureau.

Sur le chemin du retour, je lui demandai pourquoi le directeur voulait la voir et elle me dit que c’était pour sa fille Alice. Je savais très bien que Nelson en était la cause et que nous avions convenu qu’Alice serait l’excuse

Alors que nous arrivâmes à la maison, ma belle-mère dit :

– Je n’ai pas envie d’aller à cette réunion ce soir.

Tout en entrant dans la maison, je rétorquai :

– Tu es obligée d’y aller. Toi ou ta fille pourriez avoir des ennuis si tu ne réponds pas à une convocation.

– Oui je sais. Dit-elle à contrecœur.

Christine se vêtit d’un pantalon et d’un chemisier strict sur un soutien-gorge classique. Le directeur ne lui avait rien demandé au sujet de ses habits. Il ne voulait pas l’alerter sur les principales motivations de la convocation.

Nous nous arrêtâmes sur le parking visiteur de l’école et entrâmes à l’intérieur. Nous restâmes quelques minutes à la réception puis nous entendîmes une porte s’ouvrir dans le couloir qui mène à la salle des profs et le bureau du directeur. Un homme assez grand arriva et se dirigea vers nous avec un grand sourire sur le visage. Il me tendit la main et me fit un clin d’œil :

– Bonjour, je suis Claude RINCLOT, directeur de cette école. Et vous êtes?

– Je suis le gendre de Christine. Je suis ici pour la soutenir moralement. Dis-je en souriant.

Il regarda de bas en haut ma belle-mère puis dit :

– Christine, nous nous sommes déjà souvent rencontrés n’est-ce pas?

Je sentis ma soumise mal à l’aise. Le directeur continua :

– Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau.

Il tourna les talons et partit dans le couloir, suivi de Christine puis de moi. Nous le suivîmes dans son bureau qui était assez petit. Il avait disposé de chaque côté de son fauteuil en cuir deux sièges. Dans le coin, était disposée une table avec un téléviseur et un lecteur DVD. Il nous fit signe de nous asseoir. Il dit :

– Maintenant, je ne vais pas tourner autour du pot ou je le ferai un peu plus tard. Je vais donc passer à autre chose.

Il prit la télécommande du téléviseur sur son bureau et appuya sur un bouton en la braquant sur l’écran. La pièce fut bientôt emplie par des gémissements. A la télé, nous pûmes voir la scène de baise entre Nelson et Christine.

Le visage de celle-ci se décomposa quand elle comprit pourquoi elle était là encore ce soir. Elle se tourna vers le directeur qui avait les yeux rivés sur elle et qui dit :

– Maintenant Christine, je pense que vous serez d’accord avec moi. Ce genre de comportement est totalement inacceptable avec l’un des professeurs de votre fille. N’est-ce pas?

– Oui, je suis d’accord, mais….

Elle commença à se justifier devant le directeur mais celui-ci l’arrêta en levant la main :

– Il n’y a pas de Mais Christine. En tant que directeur de cette école, je ne peux pas tolérer un tel comportement dégradant des parents envers mon personnel… sauf si j’en profite aussi.

Un grand sourire se répandit sur son visage tandis qu’il continua :

– Comprenez-vous ce que je veux dire Christine? Vous n’êtes pas assez stupide pour ne pas comprendre que vous faites du bon travail. Dit-il en la regardant fixement alors que les sons de son orgasme sur la bite de Nelson remplissaient le bureau.

Bien sûr, à l’école, il était connu que Christine avait une bonne position dans son entreprise et qu’elle gagnait beaucoup d’argent. C’est ce que les gens pensaient, ne connaissant pas sa nouvelle promotion.

– Je suis ce que vous pensez Monsieur RINCLOT. Dit Christine en le regardant puis en se tournant vers moi sachant très bien que j’autoriserai le directeur à la baiser.

– Ça ne sert à rien de regarder ton ami. D’après ce que Nelson m’a dit, ton gendre est devenu ton maître Non?

Il profita de pouvoir poser des questions embarrassantes à ma belle-mère qui répondit :

eskişehir escort Oui c’est vrai.

– Et que dit Alain? Je suppose qu’il ne sait pas.

– Non, il ne sait pas. Confirma-t-elle.

De mon côté j’ajoutai :

– Pas encore non….

Ils se tournèrent tous les deux vers moi. Christine était nerveuse et le directeur se réjouissait du contrôle que j’avais sur ma belle-mère et de l’embarras de celle-ci à remettre en question ma menace de dire à son mari ce qu’elle était devenue.

Le directeur reprit :

– Donc Christine, si vous savez ce que vous êtes et si vous comprenez pourquoi vous êtes là, je vous suggère d’enlever vos vêtements un par un et de les empiler sur mon bureau.

Ma belle-mère était maintenant bien dressée. Elle avait été si souvent dans cette situation qu’elle comprit qu’elle n’y échapperait pas. Elle se leva en poussant sa chaise et avança au milieu du bureau. Je bougeai légèrement ma chaise afin de mieux voir son strip-tease humiliant.

Elle commença par son chemisier strict qu’elle déboutonna et enleva. Quand elle apparut en soutien-gorge, Claude lui dit qu’elle avait des seins fantastiques puis il lui demanda de continuer. Elle défit le bouton de son pantalon et descendit la fermeture éclair de la braguette laissant apparaître un peu de dentelle de la culotte. Elle se pencha pour déboucler ses chaussures. Ensuite elle laissa son pantalon tomber sur ses chevilles. Elle se pencha de nouveau pour le récupérer sur le sol et elle le plaça sur le bureau avec son chemisier. Sa petite culotte était en dentelle noire avec des petits nœuds rouges sur les bords.

– Tournez-vous. Demanda Claude.

Elle obéit, montrant son beau petit cul recouvert de dentelle noire.

– Remettez vos talons. Ordonna de nouveau le directeur.

Elle remit ses chaussures, et se mit en attente dos au bureau. Claude prit un moment à l’admirer puis il dit en souriant :

– Magnifique. Enlevez votre soutien-gorge.

Les yeux baissés, elle mit les mains dans le dos pour faire sauter le fermoir. Son soutien-gorge tomba légèrement avant qu’elle le saisisse. Elle se retourna et le déposa délicatement sur le bureau du directeur. Celui-ci put regarder ses gros seins avec les grandes auréoles autour de ses mamelons pointus. Il attrapa le soutien-gorge, le frotta entre ses doigts et trouva l’étiquette qu’il lut :

– 95 D!!!

Il cria presque en regardant ma belle-mère et en lui lançant un sourire lubrique. Il reposa le soutien-gorge et demanda :

– Maintenant voici le final, Enlevez le bas!

Christine attrapa l’élastique de sa culotte et commença à la baisser quand Claude l’arrêta :

– Demi-tour et penchez-vous!

Elle se retourna et recommença à baisser sa culotte tout en se baissant. On put voir tout d’abord son petit trou du cul, puis les plis de sa chatte bien rasée. Elle descendit le sous-vêtement jusqu’aux chevilles.

– Ne bougez plus! Demanda le directeur en regardant le cul et le sexe déjà humide de ma belle-mère.

Puis après quelques secondes, il ordonna :

– Apportez-moi votre culotte Christine.

Elle dégagea sa culotte de ses chevilles et se dirigea vers le directeur, la tête baissée et les yeux rivés sur sa mince bande de poils pubiens. Elle arriva près le bureau. Claude tourna sa chaise sur le côté pour lui montrer qu’elle devait lui amener au plus près. Elle fit le tour pour se placer juste devant lui puis elle lui tendit sa culotte. Il la prit et la posa sur son nez pour humer l’odeur de ma belle-mère. Il sourit et mit la culotte dans un tiroir de son bureau.

– Vous sentez bon Christine.

Il lui dit d’ouvrir les jambes puis lui fit signe avec son doigt d’avancer tout près de lui. Une fois qu’elle fut positionnée, il tendit sa main droite pour la gifler à l’intérieur de la cuisse droite juste en dessous de sa chatte. Instantanément, elle écarta les jambes. La main droite du directeur se posa sur son sexe et il glissa deux doigts en elle.

– Hummmmm. Gémit-elle, incapable de se contrôler.

– Soumise et mouillée, c’est comme ça que j’aime mes putes. Dit-il en la regardant.

Il commença à faire coulisser lentement ses doigts dans son vagin, savourant chaque instant et s’assurant qu’elle sente bien toute la longueur de ses doigts potelés. Il les retira puis les remit à l’intérieur en les poussant au maximum.

Christine avait fermé ses yeux. Soit parce qu’elle ne voulait plus voir le regard vicieux du directeur, soit elle ne voulait pas voir son visage alors qu’elle profitait de ses doigts et qu’elle poussait sa chatte sur sa main, demandant encore plus.

Même si ma belle-mère avait fermé les yeux pour ne pas montrer à Claude qu’elle appréciait ses doigts, celui-ci avait certainement vu le mouvement du bassin. Il lui demanda :

– Vous aimez mes doigts dans votre chatte, n’est-ce pas?

– Hummmmm…ummmm. Gémit-elle tout en avançant de nouveau le bassin sur sa main, signalant ainsi son approbation.

Elle poussa un petit cri quand le pouce du directeur gaziantep escort écarta les lèvres de sa chatte pour localiser son clitoris. Il n’avait pas besoin de réponse, le comportement de la femme l’avait fait.

– Ohhhh! Votre clito est brulant. Dit-il en le frottant.

Il accéléra son mouvement, excitant de plus en plus le clitoris si bien que ma belle-mère jouit violemment en s’abandonnant. Ses jambes se dérobèrent sous elle et le directeur la tint par l’épaule tout en pompant sa chatte et caressant son clitoris, le temps que l’orgasme se termine.

Une fois qu’elle eut repris son calme, il enleva sa main de sa chatte et il lui demanda :

– Tournez-vous, penchez-vous, gardez les jambes écartées et attrapez vos chevilles avec vos mains.

Bien sûr, elle fit ce qu’il dit et une minute plus tard elle était en position. Elle ne résista pas quand le directeur prit de la mouille de sa chatte pour en badigeonner son anus serré. Il recommença une fois puis se pencha pour cracher directement sur son petit trou. Ensuite il trempa son index dans sa chatte pour le lubrifier une fois de plus puis il l’enfonça lentement dans son trou du cul.

– ARGHHHHH.

Christine gémit quand elle sentit qu’il violait avec son doigt son intimité anale. Suivit un gémissement plus profond ainsi qu’un gémissement d’acceptation quand le doigt entra entièrement.

Claude pilonna le passage avec un seul doigt pendant trois ou quatre minutes et je pus voir qu’il coulissait en elle avec une grande facilité. On aurait pu croire qu’il avait lu dans mon esprit car il ajouta un deuxième doigt à côté de l’index. Les deux coulissèrent aussi facilement sans que Christine de fasse de commentaires à l’intrusion supplémentaire. Donc après deux minutes encore, Claude rajoutait un troisième doigt à l’intérieur de son cul.

– Putain! Oh! Merde! Ahhhh!

Ma belle-mère se tortillait sur la main, ses fesses rebondissant alors que le passage s’étirait pour accueillir trois doigts.

Au même moment, le téléphone sonna sur le bureau. Le directeur répondit de sa main gauche inoccupée, trois doigts de l’autre main fermement coincés dans le cul de Christine.

– Ha oui. Je vais venir Nelson. Je suis juste en train d’apprendre à connaitre Christine un peu plus intimement après toutes ces années. Elle se familiarisera avec ma bite lorsque nous vous rejoindrons. A bientôt. Dit-il au téléphone avant de raccrocher.

Je n’ai rien demandé et le directeur n’a pas donné d’autres informations. Il a simplement demandé à Christine de se relever. Puis il se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte en nous demandant de le suivre Ma belle-mère alla récupérer ses vêtements mais quand Claude la vit, il lui dit de les laisser car elle n’en aurait pas besoin.

Après avoir hésité, elle le suivit dans le couloir, complétement nue à part ses hauts talons qui cliquèrent sur le plancher. Je leur emboitai le pas.

Claude nous conduit vers la salle des professeurs. En nous approchant, nous pouvions voir qu’il y avait de la lumière à l’intérieur. Claude ouvrit la porte et nous laissa entrer, d’abord Christine puis moi et il referma la porte. Ma belle-mère se figea sur place et je faillis la bousculer. Je compris lorsque je vis Nelson ainsi que deux autres hommes assis dans des canapés.

Claude se tourna vers Christine et lui dit :

– Ne soyez pas timide Christine, venez voir Daniel et Georges, deux autres enseignants qui voudraient goûter à votre chatte.

Ils se mirent tous à rire. Ma belle-mère se tourna vers moi et me prit la main en me suppliant :

– S’il vous plaît, tous ces hommes enseignent à ma fille Alice.

Sur l’instant, je pensai que j’allais peut-être trop loin dans la soumission et l’humiliation à laquelle je la soumettais. Elle me serait peut-être reconnaissante si je la ramenais à la maison. Je réfléchis un moment, puis je retirai sa main de la mienne et je la retournai en face des quatre hommes qui attendaient. Lentement, elle avança vers les hommes assis.

– Stop! Dit Claude lorsque qu’elle fut au milieu des canapés, deux hommes de chaque côté.

Sur sa droite, étaient Claude et Nelson qui l’avaient déjà doigtée et baisée. A sa gauche se tenaient les deux autres hommes dont je ne connaissais que le prénom et qu’ils étaient enseignants. Je m’installai dans un fauteuil afin d’assister au prochain spectacle.

Les deux hommes étaient beaucoup plus jeunes que Claude ou Nelson. Ils devaient avoir la trentaine, étaient en forme et bien musclés. Je pensai qu’ils étaient en mesure de baiser ma belle-mère rudement.

– Christine, ne soyez pas impolie, dites bonjour à Daniel et Georges. Dit Claude.

Il pointa d’abord son doigt sur l’homme aux cheveux bruns puis sur l’autre au crâne rasé qui devait être Georges.

Christine se tourna vers ces deux hommes tout en essayant de cacher ses seins ainsi que les lèvres de sa chatte. Elle salua les deux enseignants avec un simple bonjour, avant de se détourner complétement gênée et humiliée.

Claude giresun escort lui demanda :

– Allez Christine, vous pouvez faire mieux que ça. Je sais que vous ne les avez pas souvent rencontrés auparavant. Mais vous serez bientôt très familière avec eux, alors ne soyez pas timide et montrez-leur vos superbes seins et votre chatte.

Ma belle-mère rougit et baissa la tête, honteuse d’être ainsi dégradée et humiliée. Puis elle se tourna de nouveau vers Daniel et Georges, les bras ballant sur les côtés et les pieds légèrement écartés afin qu’ils puissent la voir complétement. Et elle dit :

– Je suis désolée d’avoir été grossière. Bonjour, je suis Christine, la mère d’Alice. Je suis heureuse de vous rencontrer.

– Nous sommes heureux de vous rencontrer aussi. Dit Daniel tout en lui faisant un clin d’œil.

Claude reprit :

– Voilà qui est mieux Christine. Maintenant pourquoi ne pas leur demander ce qu’ils pensent de votre corps.

Ce fut une humiliation de plus que de lui faire demander à ces étrangers ce qu’ils pensaient de sa plastique. Mais elle obéit :

– Que pensez-vous de mon corps Messieurs? Est-il bien pour vous?

Elle me jeta un coup d’œil, le visage encore rouge de honte et d’embarras.

– Pour être honnête, il semble bien pour une femme de votre âge. Mais j’ai besoin de voir de plus près avant de l’affirmer. Déclara Georges en se décalant sur un bord du canapé et en tapotant la place qu’il vient de laisser entre lui et Daniel.

Christine savait ce qu’ils attendaient. Elle se tourna vers Claude et Nelson ricanant et s’assit entre les deux enseignants. Immédiatement les mains de ceux-ci trouvèrent les seins et les mamelons. Ils furent malmenés par ces hommes qu’elle venait juste de rencontrer. Elle ferma les yeux, comme s’il cela suffisait à l’emmener loin de cette situation. Mais Claude lui ôta cette illusion :

– Gardez les yeux ouverts Christine.

Elle les rouvrit lentement puis fixa le directeur et l’homme qui avaient déjà abusé d’elle.

Les mains de Daniel caressèrent sa cuisse droite et montèrent toujours plus haut jusqu’à ce que ses doigts frôlent la région la plus intime de son anatomie. Il n’était plus qu’une question de secondes avant que de nouveaux doigts étrangers se posent sur son sexe.

– Ouvrez vos jambes. Lui dit-il à son oreille.

Christine leva la jambe droite et la posa sur sa jambe à lui. Sa chatte trempée par son orgasme sur les doigts de Claude était maintenant ouverte et accessibles aux deux jeunes enseignants. Leurs mains descendirent sur son sexe en même temps.

Les doigts de Georges trouvèrent en premier son trou. Il y entra facilement trois doigts tandis que Daniel écarta ses lèvres pour découvrir son clitoris encore sensible du jeu du pouce à Claude. Quand Daniel le pinça, elle eut un petit cri. Il le roula entre ses doigts pendant quelques secondes. Puis quand Georges retira se doigts, il en introduit trois des siens pour la baiser avec.

– Elle a mon approbation. Dit Georges en regardant Nelson et en s’amusant avec le clitoris de ma belle-mère.

– Qu’en pensez-vous Daniel? demanda Nelson.

– C’est très bien pour moi. Répondit-il en souriant.

Claude s’installa confortablement dans le canapé, les pieds posés sur le sol, ses genoux bien écartés. Je sus de suite ce qu’il allait arriver.

– Que diriez-vous de me rejoindre Christine et de vous familiariser avec ma bite? Dit Claude tout en montrant sa bosse dans son pantalon.

Ma belle-mère se leva, et après que son cul soit claqué par Daniel et Georges, elle se dirigea vers le directeur pour se mettre à genoux entre ses jambes. Elle défit son pantalon et alla pêcher sa bite à l’intérieur. Elle en sortit une grosse queue raide de 18 centimètres environ assez épaisse. Christine commença à le masturber.

Nelson prit l’initiative lui-même de sortir son membre et baisser son pantalon sur ses chevilles :

– Venez Christine. Je vous ai déjà vu vous débrouillez avec deux bites à la fois. Attrapez donc la mienne. Dit-il en secouant sa verge.

Claude déplaça ses jambes de façon qu’elle soit maintenant à genoux entre les deux, sa main droite sur la tige de Claude et sa main gauche attrapant celle de Nelson.

Du liquide pré-éjaculatoire sortait du gland de Claude si bien que chaque fois qu’elle glissait sa main sur le membre et le gland, elle étalait ce jus et lubrifiait la bite.

– Sortez vos bites messieurs, elle va vous rejoindre dans une minute. Déclara Claude.

Il attendit qu’ils aient libéré leurs membres puis il dit à ma belle-mère d’aller leur faire la même chose qu’à eux.

Elle se tourna et se dirigea vers les deux hommes plus jeunes. Elle se mit à genoux entre eux, tendit les mains et saisit les deux bites. Elle replia leurs prépuces et commença à les masturber en rythme. Daniel avait la plus longue queue des quatre, pas loin de 22 centimètres Tandis que Georges avait la plus petite aussi bien en longueur qu’en épaisseur, mais étant plus jeune elle paraissait solide.

Après cinq minutes, Claude dit à ma belle-mère de revenir vers lui et de se remettre à genoux dans la même position que précédemment. Mais pendant qu’elle masturberait Nelson elle devrait sucer sa bite. Donc, Christine tendit une main et saisit la bite de Nelson puis elle se pencha, ouvrit la bouche et engouffra la queue du directeur.

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Les malheurs de Florence 06

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Big Dick

A peine arrivé dans l’enceinte du lycée le lundi matin, David fut interpellé par Asma qui l’emmena dans les toilettes des filles.

Blandine et Clémence, les filles chéries de la directrice étaient toutes les deux à quatre pattes en train de se faire baiser par des élèves du lycée.

– Je gagne un max de fric, elles sont bien dressées. Lance Asma.

David a du mal à cacher son érection.

Les cris et les gémissements des esclaves d’Asma résonnent dans les toilettes.

La jeune fille tire David par le bras.

– Vient, j’ai autre chose a te montrer.

Ils se dirigèrent vers le bureau de la conseillère principale d’éducation, madame Dumas.

Celle ci était accroupi devant trois élèves suçant leurs bites,sa jupe en cuir remonté sur ses cuisses devoilent les bas auto-fixants. Ses seins sont malaxés par des mains avides.

A coté d’elle debout sur des talons aiguilles, la directrice du lycée, madame Gautier, la jupe tirebouchonnée autour de la taille se fait ramoner par la queue d’un black pendant qu’elle en suce un autre.

David reste interloqué. Il n’aurait jamais imaginé que madame Gautier se transformerait aussi vite en pute.

Comme si Asma lisait dans ces pensées, elle lui fourni une explication.

– On a été chercher la CPE chez elle et on a débarqué à quinze chez la dirlo. La CPE n’est pas mariée et la dirlo est divorcée. On a été tranquille tout le week-end pour un dressage express, tiens regarde.

Comme a son habitude ,Asma a fait une vidéo.

On y voit madame Gautier et ses filles baisées comme des chiennes dans toutes les pièces de la maison ou elles habitent par une horde de jeunes les faisant hurler de plaisirs aussi bien la mère que ses filles.

La scène ou Madame Gautier dut lécher la chatte de ses filles et vice et versa excita au plus haut point David.

Madame Dumas elle est filmer en gros plan en train de se faire défoncer par Fatou avec son gode-ceinture pendant qu’elle suce des bites à la chaine.

– A la fin , elles en redemandaient. Ricana Asma.

La sonnerie retentit alors que les jeunes se vidaient sur le visage de leur directrice et de leur CPE.

A la pause de midi, Asma vint de nouveau chercher David et le conduisit dans le bureau de la directrice cette fois.

Madame Gautier léchait la fente de Fatou qui lui appuyait sur la tête en la traitant de sale pute. Madame Dumas, elle, s’enfonçait un gode dans sa chatte en gémissant et en regardant la directrice se faire humilier.

Asma sortit le sexe bien dur de son prof.

– Allez chien, tu sais ce qu’il faut que tu fasses.

Humilié, David se masturbe en regardant la directrice et la CPE en train de se brouter le minou.

Fatou enfonce son index et son majeur dans la fente de madame Gautier, allongée par terre pendant qu’elle doit lécher sa subordonnée accroupie sur kahramanmaraş escort elle.

Les deux femmes ne tardèrent pas à jouir en poussant des hurlements.

David éjacula en criant sur la moquette du bureau de la directrice.

Le soir venu, David se rendit chez sa mère.

Florence l’acceuillit vetu de sa robe en latex achetée dans le sex-shop. avec des talons aiguilles rouges. Les seins a l’air sont déjà rouge d’avoir été trituré par Rachid et Moktar. Qui reprenne leur manège devant le fils.

Faisant vite gémir Florence.

Cécile arriva dans le salon. Vétue d’une minijupe en cuir avec un zip sur le devant. Ses jambes sont gainées de bas résilles avec des talons aiguilles au talons en acier.

Ils se dirigent tous vers la Mercedes. David au volant, Florence et Cécile a l’arrière tripotées et doigtées par Brahim et Rachid.

La Mercedes démarre sans que quiconque ne réalise que monsieur Duval-Cochet arrivait à ce moment, son séjour a l’étranger ayant été annulé.

Interloqué, il regarde son épouse habillée comme une pute accompagnée de son fils et sa copine monter dans leur Mercedes avec des inconnus et partir avec eux.

Intrigué, il décide de les suivres…..

la Mercedes se gara devant une barre d’immeuble de la cité.

Florence et Cécile en sortirent aussitôt entourés par des jeunes du quartier.

Les seins de Florence étant accéssibles a tous, ils sont vites malaxés.

– C’est ca les salopes que tu nous avais promis? Demande l’un deux en farfouillant sous la jupe de Cécile.

– Oui, les autres sont la?

– Ouai, elles sont déjà au travail.

Ils se dirigent tous vers les caves de l’immeuble.

Des cris et des gémissments entrecoupés de supplications acceuillent Florence et Cécile.

David découvre la directrice madame Gautier habillée d’une combinaison en résille ouverte au niveau de la chatte se débattre avec Fatou et Asma. Les joues rouges, décoiffée, elle halete en gémissant. Fatou fait coulisser un gode dans sa chatte.

Plus loin, ses filles, Blandine et Clémence, en équilibre sur des talons aiguilles, une jupe ultra courte ne dissimulant rien du tout, pompent des bites à la chaine.

Madame Dumas, seins à l’air, se fait mettre des claques puissantes sur les fesses par Aya, la mère de Fatou et Asma.

Florence est contrainte de doigter Cécile pendant que celle-ci fait de même avec sa belle-mère. Les deux femmes gémissent sans retenue pendant que, de son autre main, Florence doit masturber son propre fils.

Rachid filme toute la scène.

Philippe Duval-Cochet descendit silencieusement les escaliers qui menaient à la cave. Il entend des cris de femmes, des gémissements et des rires et des insultes.

Il s’approche encore et découvre l’horreur.

Pleines de perversions, Fatou kastamonu escort et Asma ont eut un idée.

Gautier et Dumas sont assises sur un canapé en très mauvais état et avec des taches plus que suspectes qui trône au milieu de la cave.

Les jambes bien relevées, elles gémissent sous les coup de langues de leurs filles respectivent qui leur mordillent le clitoris.

David se fait pomper par sa mère et sa copine qui se disputent le droit de le suçer. Florence lui lèche le gland salivant dessus pendant que Cécile lui léche les couilles.

Rachid et Brahim se positionnent derrière Clémence et Blandine occupées a bouffer la chattes de leurs mamans et les pénétrent les faisant vite gémir.

Leurs mères ne tardent pas à jouir comme des folles en hurlant.

David éjacula un torrent de sperme sur le visage de sa mère.

Rachid et Brahim défoncèrent encore Blandine et Clémence les pilonnant violemment et ils jouirent sur leurs culs.

Philippe assistant a cette scène d’une perversité sans nom se caresse la bite a travers son pantalon attendant la suite….

Florence se retrouve accroupie devant plusieurs jeunes.

Elle suçe une bite pendant qu’elle en branlent deux autres de ses mains manucurées. Les commentaires salaces pleuvent.

– Quelle salope!!

– Elle suce comme une pute….

Madame Duval-Cochet devant son fils, mais aussi devant son mari toujours caché, continue de pomper le jeune qui enfonce sa bite jusqu’au fond de sa gorge la faisant hoqueter.

Cécile se fait pelotter les seins et branler par Fatou, Asma et Aya. Elle halete violemment pendant que les doigts s’agittent dans sa chatte et sur son clitoris.

Les jeunes éjaculent sur le visage de Florence la remaquillant de foutre.

Youssouf et Moktar déchainés font crier la directrice et la CPE à quatre pattes, échevelées, haletantes pendant que leurs filles se font prendre en double.

Les deux jeunes filles sont empalées sur les bites de deux noirs pendant que deux arabes les pilonnent sans ménagements.

Madame Gautier et madame Dumas se font goder par leurs propres filles. Blandine et Clémence font coulisser un gode que leur a donné Fatou.

Les deux femmes allongées sur le sol de la cave bafouille des mots sans suite en ondulant du bassin. Jouissant sans retenue.

Cécile et Florence sont au prise avec Asma et Aya.

Toutes deux ont enfilé un gode-ceinture et elles pilonnent leurs deux victimes les faisant hurler. Debouts sur leurs talons aiguilles, les deux bourgeoises, les seins ballotants dans tous les sens, halétent et gémissent.

Issa, le père de Fatou et Asma débarqua soudain avec des potes à lui , les pères des jeunes qui étaient déja dans la cave.

Ils se ruèrent sur Florence au grand désespoir de David.

Sa maman se retrouve kayseri escort à genoux pompant trois bites en même temps. L’épaisseur des bites lui deformes la machoire.

Cécile poussée dans le canapé se fait défoncer par Youssouf.

Madame Gautier et madame Dumas debouts, hurlent sous les coups de pines de deux blacks qui les encules. Blandine et Clémence se font bouffer la chatte par Asma et Fatou tout en suçant des bites.

Plusieurs jeunes crachèrent leurs foutres sur le visage de Florence pendant que celle ci se faisait enculer par Moktar.

David dut s’approcher de sa mère haletante sous les nombreux orgasmes qu’elle a eu. A grands renforts de claques sur le cul pour qu’il obéisse, il pointe son gland sur l’ouverture des reins de sa maman qui frémit et tourne la tête en voulant protester. David encula sa mère la faisant hurler.

Il la prend aux hanches et se met à la pilonner comme un fou. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Florence ouvre la bouche, elle halète, gémit en se pinçant les seins.

Brahim tout en filmant lui pinça le clitoris et madame Duval-Cochet hurla sa jouissance.

Témoin de toute cette déchéance, Philippe se branle de la main droite en poussant de petits gémissements.

Il éjacula par terre quand il vit son fils enculer sa femme.

Il partit précipitemment ne voulant pas en voir plus.

L’orgie se termina rapidement.

Tous ces jeunes aux couilles pleines éjaculèrent leurs foutres sur les visages de Florence, Cécile, Blandine, Clémence et leurs mères.

Méconnaissables, recouverts de spermes, extenuées, elles cuvent leurs orgasmes sur le sol de la cave…..

Evidemment, tout cela ne pouvait rester sans conséquence.

Philippe demanda le divorce. La rumeur de vidéos circulant sous le manteau dans l’enceinte du lycée remonta jusqu’à l’inspection d’acadmie.

David, madame Gautier et madame Dumas furent renvoyés de l’Education nationale.

Sans travail, sans logement, le pavillon appartenait à son père et celui ci ne voulait plus le voir, David et sa mère se voyait déjà mendier dans les rues de Nantes.

Ce furent Brahim et Fatou qui trouvèrent la solution…..

Fatou grogna et se retourna dans son lit. Pestant contre le bruit qui venait du salon. Folle de rage, elle se leva et ouvrit la porte de sa chambre.

– Oh je dors moi!!

Mais les cris continus.

Elle avança dans le salon.

Florence, à quatre pattes, hurle sous les coups de pines d’Issa. A coté d’elle, Cécile est empalée sur le gode-ceinture d’Aya. Elle monte et descend faisant bouger ses seins.

David est devant eux,voyeur comme d’habitude, branlé par Asma.

Il est résigné maintenant. Lui, sa mère et sa copine sont devenus les esclaves sexuelles de toute la famille de Fatou.

Madame Gautier et madame Dumas sont les putes de Brahim et sa famille. Il n’est pas rare qu’ils se retrouvent tous dans les caves pour ramener un peu de frics à la maison.

Blandine et Clémence sont les pute de Youssouf et Moktar et leurs familles. Elles sont souvent emmenées dans d’autes cités pour être louer à d’auttres jeunes. Parfois leurs mères les rejoignent….

FIN

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Prise Sauvagement Par Surprise

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Blowjob

Voici une histoire qui narre des événements qui me sont arrivés, évidemment légèrement modifiés pour exalter votre plaisir… Et le mien.

C’était une soirée d’automne. Je me rappelle être particulièrement allègre ce jour là car mes études dans le monde du livre se terminaient sous de belles augures, mes notes étaient bonnes et surtout j’aimais ce que je faisais.

Je ne sort pas souvent mais ce soir, Elisa, l’une de mes amies étudiantes m’a persuadée de l’accompagner boire un verre dans un petit bar pour fêter la fin des partiels.

Pour une fois, sans doute grâce à mon humeur du moment j’acceptai sans hésiter.

Le bar était plutôt exiguë, lumière tamisée, peu d’ambiance mais les prix étaient particulièrement attractifs à cette heure (fin de soirée).

Ma tenue était habituelle, je m’habille souvent de la même façon en automne. Je portai des petites ballerines noires et bien sûr des collants noirs translucides à élastiques sans motifs car cela met en valeur mes jambes, fines et longues malgré ma taille moyenne d’un mètre soixante-trois.

Une jupe noire terminée par un volant en dentelle m’arrivait au dessus des genoux. J’avais un top bleu foncé moulant qui j’imagine me va plutôt bien sans doute grâce à la séance de fitness que je fait une fois par semaine depuis quelques année. Cela me permet d’exhiber une taille bien dessinée, un ventre bien plat en accord avec ma petite carrure, du moins je l’espère… De plus cela dévoile juste suffisamment ma poitrine (90 C), sans trop en montrer!

Au dessus de mon top je porte une légère veste grise compte tenu du climat doux. Mes cheveux sont raides et noirs. J’ai les yeux bleus et un petit nez aquilain.

Nous pérorons au comptoir avec Elisa, tout en buvant une peinte de bière. Je n’ai pas l’habitude de l’alcool et cette quantité suffit à m’égailler ce qui ne veut pas dire que je sois ivre!

A ce moment un jeune homme arrive. Brun à lunette, le type un peu geek et s’assied à côté d’Elisa. Je suis soulagée car je n’aime pas être abordée.

Il nous salue simplement en faisait un léger sourie qu’Elisa lui renvoie. Son portable sonne. Elisa doit s’en aller, elle me fait la bise et quitte le bar rapidement, me laissant pantoise.

J’attrape également ma veste, prête à partir.

“Attendez, je vous ai commandé un cocktail.

— Comment ça?

— Et bien à cette heure là pour un cocktail acheté le deuxième est offert, vous kuşadası escort n’allez pas me laisser me soûler quand même?”

En temps normal je serais certainement déjà partie mais ce type de garçon m’attire. Pas vraiment sûr de lui, il essaye maladroitement de cacher sa légère timidité.

Je décide de rester et l’aider à boire son deuxième cocktail. Je suis séduite, je crois. Nous sortons et faisons quelques pas dans la rue.

Je ne sais pas trop comment mais je décide de l’inviter chez moi, prendre un café. J’ai peu d’expérience avec les hommes car moi aussi je suis assez timide et la plus part des garçons ne m’attirent avec leurs techniques de drague bien rodées et expérimentées sur des dizaines de proies.

Nous prenons l’ascenseur. Nous nous regardons en échangeant des sourires. Séduisant, c’est le mot. Il s’approche de moi et m’embrase à pleine bouche.

Je lui rend son baisé. Mais que m’arrive-t-il? Je ne me reconnaît plus. Peu importe, c’est agréable. Il me glisse sa main derrière mes fesses et commence à les caresser puis passe sa main sous ma jupe et se montre plus entreprenant quand les portes s’ouvrent.

Nous nous séparons pour rejoindre mon studio, j’ouvre la porte qui donne sur la pièce principale, qui fait office de chambre et de bureau.

Elle est composée d’un lit mezzanine, d’un bureau et immédiatement quand on rentre d’une petite table ronde en bois contre le mur.

J’entre en première, enlève ma veste et la dépose sur le porte-manteau à ma gauche, je fais un pas et entend la prote claquer. Sans mot dire, le garçon me pousse sur la petite table ronde. Je lâche mon sac à main et me retrouve à plat ventre dessus. Qu’est-ce qu’il lui prend? Moi qui le prenait pour le type galant… Je suis plutôt surprise mais amusée.

A peine ai-je le temps de réaliser ce qu’il se passe que je sens ma jupe se soulever et entend le bruit métallique d’une ceinture qu’on enlève.

Une voix roque que je ne lui connaissait pas grogne : “J’ai vraiment trop envie ma belle, impossible d’attendre”. Aplatie sur ma table, je suis toujours gaie. Je crois que le cocktail y est pour quelque chose mais diable, pourquoi pas, pour une fois, se laisser tenter?

J’essaye de me retourner pour l’embrasser et lui signifier que moi aussi, j’ai “envie”. Il faut dire que ça fait 3 ans que je n’ai pas fait l’amour, ayant tout donné pour mes études.

Cependant, kocaeli escort impossible de se retourner. Le garçon exerce une pression sur mes reins avec ces mains ce qui me maintiens sur la table. Pas très confortable…

Il essaye d’enlever mon top et n’y parvient pas, commence à tirer dessus.

“Tu vas l’étirer! Laisse moi t’aider!” Et laborieusement, mon top est retiré et jeté contre la fenêtre face à la table, s’écroule au sol et gît comme un tas de chiffons.

Il passe une main sous le bonnet gauche de mon soutien gorge noir uni et palpe mon sein. Cela ne dure qu’une seconde et laissant un sein en dehors du soutiens gorge, l’autre au dedans, sans chercher même à me débarrasser de mon soutien gorge, il s’attaque à mon shorty bleu marine. Il le tire avec force, je l’entend craquer puis il le baisse et je le laisse tomber à mes pieds. Je crois qu’il est bon à jeter.

Sans avoir le temps d’y réfléchir ou même de pouvoir lui demander d’être doux étant donné son hardeur, je sens mes lèvres s’écarter brutalement et immédiatement après mon vagin est rempli de son sexe.

“Haaaa!!” Un cri m’échappe et j’essaye de le ravaler immédiatement, connaissant le voisin, un vieil abruti cinquantenaire, qui me reluque lorsque je le croise et me sort des sotises auxquelles je me force à rire.

Il me pénètre sauvagement, brutalement même, avec un rythme soutenu, trop rapide, sans doute.

Mes hanches sont empoignées par ce garçon décidément pas si doux qu’il en a l’air, ses coups de butoir me propulsent en avant et arrière cognant mes hanches contre le bord de la table au grés de ses fantaisies.

Mon vagin est clairement humide et de la cyprine commence à dégouliner sur la moquette. Mince ma moquette! Il va falloir tout laver…

Je rassemble mes forces pour parvenir à articuler quelques mots tout en essayant de ne pas pousser trop de gémissements.

“Doucement… S’il-te-plait… Le voisin est là…”

Pour seule réponse j’ai des râles, des grognements. Ne jamais se fier aux apparences! Moi qui l’imaginais fleur bleue… Finalement, mon plaisir est immense et je me rend compte à quel point j’aime sa façon de me prendre. Pourtant je rassemble mes pensées…

“As-tu mis un préservatif?!

— Ne t’inquiète pas, je te prends dans les règle de l’art.” Et les grognements reprennent. On va prendre ça pour un oui…

“Ralenti, t’es possédé ou quoi?

konya escort Ta gueule, c’est toi que je possède, petite chienne”. On ne m’a jamais traité ainsi, malgré le plaisir, si notre relation dure, ce que j’espère, il faudra qu’il apprenne à se calmer le garçon!

Je crois que la moquette est inondée, mes hanches rougies, mes seins aplatis contre cette foutue table, je n’arrive plus à retenir mes gémissements, cet énergumène ne ralenti toujours pas, m’enfourche jusqu’à la garde en m’écrasant contre la table, et pourtant je n’ai jamais rien vécu d’aussi bon, je crois qu’un orgasme est en passe de me foudroyer.

Tout à coup, une douleur aiguë l’envahie, me force à empoigner la table et à pousser un cri. Que se passe-t’il? Les coups de butoirs ont cessés.

Soudain je comprends, mon dieu! Il m’a pénétrée par le mauvais trou!

“Haaaaaaa! Mon dieu, mauvais trou! Dégage!” Je crie, sans penser au voisin.

Mais il ne se retire pas. J’essaye de me redresser mais il pose sa main sur ma tête et me force à rester à plat ventre, sans ménagement.

“Désolé, mais c’est de ta faute, tu es une fontaine.” Et sur ce, il retire son sexe de mon anus de quelques centimètres, et le pénètre à nouveau. Les larmes me viennent. La douleur est

trop forte.

“Arrête! Arrête! Retire toi!” Rien n’y fait, il continue sa pénétration et l’accélère même.

“Connard! Salop!” J’ai beau l’insulter de tout les noms, il continue. Mais la douleur s’atténue au fur et à mesure des allers-venues, heureusement.

Je me sens possédée, compressée contre cette table, sodomisée par surprise, chose que je n’avais bien sûr jamais expérimentée. Je ne suis même pas encore déshabillée. J’ai toujours mes collants, ma jupe et mon soutien-gorge. Mes seins sortis de son bonnet balotte au rythme donné par mon brutal partenaire. Et je crois que j’apprécie toujours autant ce qui est en train de se passer.

Je ne lutte plus. Je vois des étoiles, non pas à cause de la douleur cette fois, mais grâce au plaisir. L’orgasme promis tout à l’heure vient enfin. La moquette est trempée, le voisin à tout entendu, tant pis!

Les râles du garçon se font de plus en plus insistant. C’est une vraie bête. Et il se retire de mon petit trou, souillé. Il a terminé, visiblement.

“Mon dieu c’était vraiment…” Avant que je puisse terminer ma phrase j’entends la porte s’ouvrir et se fermer. Parti! Ce salopard se tire comme ça, et me laisse gisant sur la table, haletante de plaisir, les lèvres dégoulinantes de cyprine et soudain je le réalise, l’anus dégoulinant de sperme!

Ma vie sexuelle sera bouleversée par cet événement et je n’aurai qu’une hâte : retrouver le plaisir d’être prise aussi sauvagement.

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4 Femmes Béta 05

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Masturbation

Il est bien entendu que cette histoire n’est qu’un fantasme, que je condamne toute sorte de violence dans la réalité, que je ne cautionne aucunement toute forme d’agression envers les femmes, que tous les personnages ont plus de 18 ans.

Ca y était, Isabelle avait enfin raconté son histoire, l’histoire de sa vie, son viol en Asie devant son mari et deux couples d’Américains.

Cela aurait dû la soulager, lui enlever un poids de son cœur. Il n’en était rien. La façon dont elle se sentait à ce moment de son histoire, qui n’était pas terminée, au lieu de la libérer, l’engourdissait mollement, électrisait le bout de ses seins qu’elle sentait inhabituellement gros. Sa vulve qu’elle tripotait mollement en prenant un plaisir avilissant à le faire devant ses amies semblait guider son comportement. Elle voulut poursuivre et terminer de raconter ce calvaire qu’elle avait vécu 10 ans plus tôt à l’aube de sa cinquantaine.

Je devrais peut-être terminer de raconter mon histoire dit-elle en regardant Annie Catherine et Nelly.

Nelly qui était allongée sur le parquet du salon uniquement vêtue d’une drôle de culotte et d’un drôle de soutien-gorge rouges criard fait de mailles de différentes dimensions, élargies à ses fesses, plus nombreuses devant son pubis et son sexe ainsi que sur les pointes de ses seins. Mais ceci n’empêchait pas Annie Catherine et Isabelle de voir ces pointes de seins de Nelly tenter vainement de passer au travers des mailles du soutien-gorge écrasées qu’elles étaient par le chanvre rugueux, cordé dont était fait son soutien-gorge. Et il en était de même pour sa culotte, le clitoris saillant avait réussi à percer, même s’il était étranglé à sa base, avait réussi à percer une maille et il dressait sa tête violette et brillante comme s’il cherchait de l’air. À ce stade, Nelly avait les yeux vitreux, elle tenait ses cuisses très écartées, elle jouissait des regards d’Isabelle de Catherine et d’Annie fixés sur ses parties intimes obscènes. Le chanvre mouillé s’était rétréci, Nelly avait mal aux seins et au sexe tant ils étaient comprimés. C’est normal se dit-elle, je suis faite pour être tenue comme ça.

« Oui continue lui répondit Nelly dans un souffle, continue à nous raconter ce que tu as vécu dans ce jardin public en Asie…

trabzon escort attends, intervint Catherine, dis-nous Isabelle, donc, quand l’homme édenté, l’asiatique, était en toi, il ne bougeait pas c’est bien ça?

— Oui c’est ça répondit Isabelle, je crois qu’il s’était mis un baume sur le sexe, comme un aphrodisiaque je suppose, quand il m’a pénétré, ça a du faire son effet… Il n’avait pas besoin de bouger, comme je vous l’ai raconté…

— c’est-à-dire, poursuivit Catherine, c’est toi qui le massais avec ta vulve pour le faire juter? Et ceci sans qu’il bougeait lui-même?

— Oui, répondit Isabelle dans un souffle, le regard fuyant, le visage rouge betterave…

— raconte encore ce passage renchérit Nelly à voix basse,

— je ne sais pas… je ne sais pas quoi dire de plus… son gros sexe m’avait totalement pénétré, il ne bougeait plus, il touchait au plus profond de moi et, oui…, oui…, c’est ça, oui c’est ça, je sentais ma vulve, ma chatte se contractait toute seule, comme si elle voulait le traire, je ne voulais pas, j’avais terriblement peur de tomber enceinte, mais je ne pouvais pas m’empêcher de le traire, de réclamer son sperme, qu’il se déverse tout au fond de moi…

le salon était presque bruyant de soupirs aigus, comme exaspérés ; les quatre femelles d’à peine 60 ans se reconnaissaient toutes entre elles désormais…

— et quand tes deux amies américaines, renchérit Catherine, ont crié à ton mari et à leurs maris que, ça y était, tu étais pleine. Ça t’a fait quel effet d’entendre parler de toi comme ça, attachée sur un banc public dans un jardin sombre, la culotte arrachée, pleine de sperme, enceinte?

— Je crois, je crois… Isabelle hésitait à répondre, elle tordait exagérément son mamelon, et son autre main tirait sur l’une des lèvres de sa vulve, elle montrait à ses amies son intérieur… je crois que j’ai considéré que c’était normal de m’avoir mis en cloque, je crois que j’ai compris que j’étais faite pour ça, faire sortir le sperme des sexes masculins, des sexes d’hommes…

— termine ton histoire lui réclama Nelly

— oui, j’y viens, son père qui voulait m’éjaculer dessus est arrivé et il s’est mis à cheval sur mes hanches. Il était nu, complètement tunceli escort nu. J’étais toujours attachée sur le banc en ciment rugueux qui m’écorchait les fesses et le dos ; ma tête était toujours tenue par mes amies américaines, ma tête reposait sur l’une de leurs cuisses. Le corps de cet homme était comme un cep de vigne, très nerveux, avec de nombreux muscles sans un soupçon de graisse. Il était complètement nu et son sexe n’était pas très long mais il était gros et il bougeait tout seul de bas en haut comme au rythme de son cœur. Le regard de l’homme était comme celui d’un dégénéré, il rigolait en silence.

Il a réclamé et obtenu qu’une de mes amies américaines lui tienne la queue sans bouger devant mon buste, laquelle américaine a tendu la main et tenu le sexe avec deux doigts enroulés à la base de sa queue, elle était subjuguée, dégoûtée. Cet homme, comme son fils, voulait jouir immobile. Il voulait que ça sorte tout seul… L’autre américaine qui me tenait affectueusement la tête sur sa cuisse s’est penchée à mon oreille : je vais te dépoitrailler le plus possible pour ne pas qu’il tâche ta robe de gala Isabelle d’accord? Oui d’accord répondis-je affolée. Et tandis qu’elle me faisait signe de me soulever légèrement, ce que je fis, elle me dénuda à complètement, j’aidais à ce qu’elle passe mes bras dans les bretelles spaghettis puis reposait à nouveau ma tête sur sa cuisse. Ma robe de soirée n’était plus qu’une ceinture noire rabattue sur mon ventre. Mon autre amie américaine qui tenait le sexe de l’asiatique s’est elle aussi penchée sur moi et me chuchota aussi quelque chose : il n’arrête pas de bouger dans la main, je vais essayer de viser tes mamelles et d’épargner ton visage mais je ne sais pas si je vais y arriver…

je lui fis un battement de cils pour signifier que je l’avais comprise, en même temps je posais doucement mes mains sur celle de l’américaine qui me tenait les cheveux, nous étions comme trois complices du moins l’espérais-je, trois complices devant l’inévitable éjaculation à venir. Mon amie américaine qui était devant moi et qui tenait le sexe de l’asiatique fatiguait, elle changea de main et le tint par en dessous en le décalotant. Peu à peu la queue de l’homme se mit à suinter de plus en uşak escort plus, ça sortait du trou de son gland, coulait sur les doigts de mon amie américaine, sur son poignet et son avant-bras avant de tomber en gouttes grasses et lourdes sur mon ventre. Toutes les trois nous étions fascinées, cet homme semblait exceptionnel, je m’apercevais qu’il avait de très grosses couilles. Ça allait bientôt sortir, nous le sentions. Mais deux amies américaines se regardaient avec une certaine complicité que je ne comprenais plus tout à fait ; étonnamment je me suis sentie un peu exclue. Je regardais leurs seins pointus qui ballottaient sous leurs robes de soirée quand elles bougeaient.

Tout à coup c’est sorti. Directement sur mon ventre et mes gros seins, des jets puissants blancs glaireux. C’est allé très vite. Mon amie américaine qui tenait la verge a relevé le gland et les jets de sperme sont arrivés dans mon cou ; je me suis débattue je tentais de m’échapper en tournant la tête tous les côtés mais l’amie américaine qui me tenait par les cheveux le visage juste devant le gland de l’asiatique a resserré subitement et fermement sa prise. Je n’ai pas cherché à lui retirer les mains. Mes mains étaient toujours posées sur les siennes doucement… mon visage était souillé, j’en avais sur les joues, sur le nez, sur le front et dans les cheveux. Celle qui me tenait les cheveux justement s’est exclamée dégoûtée: ah j’en ai un peu sur le bras ; et disant, elle s’est essuyée sur mon épaule.

— Et tu n’as rien dit demandas Nelly.

— Non je ne crois pas répondit Isabelle.

— Et comment ça s’est terminé demanda Annie.

— Je me souviens que mes deux amies américaines m’ont donné chacune leurs petits mouchoirs avec lesquels je me suis essuyé du mieux que j’ai pu, mais je me souviens aussi que ça ne suffisait pas, il en restait beaucoup sur moi… nos maris sont partis devant nous d’un pas pressé, les asiatiques se sont évaporés dans la nuit et j’ai été tenue par les bras par mes deux amies américaines qui m’ont amené avec elles jusqu’à la soirée de gala. Nous sommes arrivées en retard, beaucoup de regards convergeaient sur moi, je voulais m’enfuir, me cacher, mais je n’étais pas assez forte. Je savais que j’avais encore des traces de sperme dans les cheveux et sûrement aussi sur ma robe de soirée ; je savais que mes seins proéminents, torturés, gonflés tremblaient comme de la gelée sous ma robe tachée. J’étais pleine de sperme à l’intérieur, je m’étais fait engrossée devant tout le monde et j’en avais sur moi aussi….

à suivre….

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Barbie Outragée!

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Bdsm

Chacun d’entre nous a entendu parler du succès colossal du film « Barbie ». Certains l’ont vu, d’autres pas. Pour le récit qui va suivre, se souvenir de la belle actrice jouant le rôle de Barbie. Un film dénonçant le machisme, la phallocratie. Les hommes se retrouvant méprisés et ridiculisés dans ce film. À la fin, Barbie choisi de devenir un être fait de chair et de sang. Une décision, lourde de conséquence comme nous allons le voir…

Barbie vivait désormais San-Francisco et habitait avec une militante de la ligue des droits féminins. Barbie allait vieillir comme n’importe quelle femme, mais pour l’instant, son corps était comme celle d’une poupée, celle d’une blonde aux formes parfaites. Ni grande, ni petite. Des seins ni petits, ni gros. Des cuisses fines, mais justement galbées. Un ventre plat, un fessier rebondi sans extravagance. Un visage toujours souriant. De belles lèvres, charnues comme il le faut. Et cette belle chevelure blonde, brillante. Son amie s’appelait Maude. C’était une vraie activiste des droits féminins, et Maude était devenue la maitresse de Barbie. Celle-ci avait découvert le plaisir lesbien. Un plaisir uniquement clitoridien. Toute pénétration d’un corps étranger ne pouvait être que l’expression de la phallocratie. Ainsi Barbie, avait découvert la jouissance, celle faite de caresses, de baisers, de léchages. Elle qui était imberbe comme toutes les poupées, avait laissé pousser une jolie toison dorée, sur les recommandations de Maude. La toison représentait la toute puissance féminine. Maude et Barbie s’aiment et affichaient leur relation. Barbie, tout innocente, était devenue une égérie sur les réseaux sociaux. Phallocratie ou pas, Barbie posait avec des tenues parfois des plus suggestives et faisaient bander les hommes et mouiller les lesbiennes. Maude en avait fait un bizness et était aussi son guide, car Barbie ne connaissait pas grand-chose de l’humanité…

Mais l’humanité a des aspects sombres. Ce matin-là, Barbie, toute souriante, quittait l’appartement qu’elle partageait avec sa compagne. Elle fit quelques pas sur le trottoir, quand un van noir et teinté s’arrêta à sa hauteur. Deux hommes cagoulés en sortirent et saisirent Barbie. Un troisième la piqua à l’aide d’une seringue contenant un sédatif et l’entrainèrent à l’intérieur du van. Tout avait duré que quelques secondes. Seule une vielle dame avait été témoin de cet enlèvement. Barbie s’évanouissait dans le véhicule. Barbie était désormais aux mains de la terrible et occulte « IAH », « l’ile aux hommes ».

Cette mystérieuse organisation avait été crée il n’y a que quelques années. Elle réunissait des décideurs, des hommes puissants, qui ne supportaient plus de ne pouvoir exercer un droit de cuissage qu’ils estimaient légitime sur les femmes. Depuis « me too », les procès étaient nombreux et la disqualification morale était fréquente. Un petit groupe avait donc eu l’idée de créer un espace qui ne serait consacré qu’au plaisir masculin et à toute sa perversité. Il s’agissait d’une île dans les Caraïbes, qui avait été aménagée pour être un paradis de luxure.

Au départ, des putes avaient été engagées pour travailler sur l’île et accepter d’être urfa escort des esclaves du sexe à mi-temps, mais cela avait produit des effets indésirables, car des fuites avaient eu lieu. C’est pourquoi, depuis deux ans, le cheptel était celui de prisonnières venant du monde entier à qui avait été proposé d’être libéré au bout d’une année d’esclavage. Ces femmes étaient choisies en fonction de leur beauté, de leur âge. A la différence des putes, elles présentaient l’avantage de ne pas être des professionnelles. Leur innocence était plus excitante et les adhérents de l’organisation en étaient des plus satisfaits. Un certain nombre de prisonnières refusaient, mais la plupart dont les peines étaient les plus longues dans des conditions terribles acceptaient. Le contrat était des plus clairs. Au bout d’une année, elles étaient libres, mais durant celle-ci, elles devraient être de parfaites soumises. Elles seraient violées, parfois torturées, seraient considérés comme des choses à plaisir. Leur bouche, anus, et vagin seraient indifféremment utilisés et disponibles. Leur libération, la moindre parole valait un retour en prison ou pire une disparition…

Cette île aurait pu ressembler à un bordel comme les autres, mais dans de prochains récits, je reviendrais plus en détail sur cette île fantastique. Sachez, par exemple, qu’étaient organisés des chasses à la femme. Des hommes en équipes de trois ou quatre devaient être les premiers à attraper une femelle lâchée dans la nature, vêtue simplement d’un mini-string et les seins nus. Si celle-ci parvenait à échapper à ses poursuivants et rejoindre un abri, ce qui était rare, elle évitait un viol collectif en pleine nature et d’une grande sauvagerie. La prise était des plus humiliantes puisque la femelle devait être attrapée avec un filet. D’autres scénarios avaient lieu ainsi que des tortures raffinées.

Une dizaine de gardes était employé sur l’île et commandés par Yasmina et Vascos. Yamina était une ancienne prostituée d’origine marocaine. Quarante ans et encore fort désirable, elle était chargée de former les esclaves, de veiller à leur obéissance, mais aussi de diriger certaines séances de torture. Elle avait perdu toute morale et humanité. Quant à Vascos, c’était un ancien acteur de porno. Il était doté d’un sexe impressionnant. Il veillait, lui aussi, sur l’obéissance des esclaves, mais aussi les instruisait sur l’art de sucer, et de recevoir des queues dans leurs orifices.

Enlever Barbie était d’une grande audace. Tout un programme avait été conçu. Elle ne resterait que 24 heures sur l’île et serait l’unique attraction de… 30 hommes. Ces derniers, dont la plupart étaient des mâles blancs de plus de 50 ans, avaient payé 1 million de dollars pour vivre un moment inoubliable. La sélection avait été des plus rigoureuse. Il s’agissait d’adhérents qui participaient régulièrement aux activités ignobles de l’île. L’idée d’enlever Barbie était venue d’un pari, puis s’était imposé comme un défi. L’originalité devait être de mise et il ne s’agissait pas d’un vulgaire viol collectif. L’organisation avait mis les moyens et fabriquer grandeur nature… une maison Barbie.

Tel sivas escort un studio de cinéma, une maison Barbie avait été reconstitué, jusqu’à l’allée bordant la maison avec une voiture Barbie. La maison était composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage. Les pièces étaient fort grandes et ouvertes sur l’extérieur comme une scène de théâtre ; Les couleurs des murs, des meubles, étaient vives et chatoyantes. Il y avait néanmoins un détail. Toutes les pièces étaient munies de discrètes sangles sur les meubles et d’un crochet en hauteur. Il y avait un grand salon, une cuisine, une salle de bain, une salle de gym, une chambre rose. Un petit ascenseur extérieur allait être utile pour se déplacer confortablement. Chaque pièce avait une caméra mobile de haute définition. Un caméraman supplémentaire serait chargé des plans serrés et rapprochés.

Deux gardes portant Barbie toujours inconsciente arrivèrent devant la maison et la déposèrent sur le lit de la chambre au premier étage, puis partirent, laissant Yasmina et Vascos seuls avec elle. Les deux complices la déshabillèrent complètement. Barbie portait un jean et un adorable petit pull en laine sexy. Ses dessous étaient blancs et des plus sages. Yasmina et Vascos sourirent lorsque Barbie fut nue.

Yasmina : « Ils vont se régaler! »

Yasmina palpa le corps de Barbie ainsi que Vascos.

Vascos : « Il va falloir lui raser la chatte. Le grand Maitre veut qu’elle soit comme une poupée ».

Yasmina écarta les lèvres du minou de Barbie.

Yasmina : « Bien, elle est encore vierge….tu as vu cette souplesse? »

En effet Barbie avait la souplesse d’une poupée. Vascos et Yasmina s’amusèrent a lui écarter les cuisses dans un grand écart. Yasmina passa un coup de langue sur un téton et embrassa les lèvres de la prisonnière.

Vascos : « Comme j’aimerais la baiser, là tout de suite »

Yasmina sourit : « Ce n’est pas pour nous, pas tout de suite…le grand Maitre m’a promis de nous la laisser pour la fin…. Bon, il est temps de la préparer! »

IL était 14 heures pile. 30 hommes viennent prendre place sur de confortables chaises au rez-de-chaussée de la maison. Un écran vidéo géant placé a coté s’allume, ainsi que toutes les pièces de la maison. Ils découvrent alors, Barbie, allongée inconsciente sur le lit. Ses cuisses nues sont relevées et écartées, perpendiculaires à son ventre, maintenues par une corde et un crochet. Ses deux mains sont réunies au-dessus de sa tête et tiré par une corde. Elle porte un mini string rouge et les seins a l’air. Un tonnerre d’applaudissements accompagne cette vision des plus excitantes. Un homme grand et mince, distingué, mais le visage dur, s’assoit au bord du lit. Il fait sentir à Barbie une essence forte qui la réveille. L’homme met un masque de carnaval qui lui recouvre les yeux.

Barbie ouvre les yeux. D’abord surprise, elle essaye de se défaire de ses liens par de vaines ruades.

Barbie : « Mais qu’es ce qui se passe?, ce n’est pas amusant.. »

L’homme « Bien au contraire, chère Barbie! »

Barbie : ‘« Qui êtes-vous? »

Un cameraman filmait les expressions de Barbie, mais aussi la main tekirdağ escort de l’homme qui caressait les cuisses, le ventre, les seins de la petite.

L’homme : « On m’appelle le grand Maitre… Vous êtes notre invitée… Nous sommes 30 ou plutôt 31 avec moi, à qui vous serez offerte. »

Barbie : « Si c’est un jeu… Ce n’est pas drôle… Vous pouvez recouvrir mes seins s’il vous plait monsieur. Je dois me rhabiller. Ou est Maude? »

Le grand Maitre: « Hum, votre amie lesbienne… Celle qui bouffe ce charmant minou… »

L’homme arracha le mini-string. On entendit les murmures de l’assistance.

Barbie : « Nooonn »

Le grand Maitre, après lui avoir peloté la poitrine, vient poser sa main sur la fente rasée.

Le grand Maitre : « On t’a rasée la chatte… Imberbe comme quand tu étais une poupée. Tu es si douce. Tu vas redevenir cette poupée quelques heures, mais ce ne seront pas des petites filles qui joueront avec toi. Tu dois savoir ce que sont les hommes, pas des Ken sans sexe. Tu vas prendre 30 queues et de bien des manières… »

Barbie se rendit alors compte de l’horreur de sa situation. Maude lui avait parlé de ce qu’était un viol et que de toutes les manières, les hommes ne savaient que violer. Une queue était une horreur. Elle devait les fuir.

Barbie : « Je ne veux pas… Laissez-moi!, s’il vous plait’

Le grand Maitre : « Tu devrais nous remercier. Nous avons reconstitué ta maison, avec quelques petits aménagements qui t’intéresseront et pour notre plaisir. »

Yasmina vécu de cuir, et aux formes sensuelles, fit alors son apparition. Elle s’approcha du visage de Barbie. Celle-ci pensant trouver une aide féminine.

Barbie : « S’il vous plait Madame… »

Le grand Maitre : « Yasmina sera comme une coach pour toi et nos…. Elle va te raconter le programme de nos réjouissances »

Yasmina parla à l’oreille de Barbie, dont le visage se décomposa petit à petit avec des larmes glissant sur ses joues. Elle voyait également le Grand Maitre sortir son sexe et se branler tranquillement en regardant son corps et la position dégradante qu’elle subissait.

Yasmina : « Le Grand Maitre va te baiser, d’abord ta jolie chatte qui ne sera bientôt plus vierge, mais il va aussi t’enculer, prendre ton petit cul. Tu devras le sucer avant. Toutes ces choses que tu ne connais pas encore, vont devenir une habitude. Ensuite, les trente invités te baiseront chacun leur tour, comme ils le voudront et ou ils le voudront. Chacun a réservé la pièce de son choix. Puis, tu seras baisée par groupe de trois pour que tu connaisses un viol collectif. Ce sera donc dix séances. Pas mal pour cette journée. Tu pourras te reposer. Et demain, tu subiras quelques séances de torture qui feront à nouveau bander nos invités. Puis, tu seras libérée et ramené chez toi. Tes larmes ou tes cris les exciteront bien davantage. Tu peux te laisser aller…. »

Barbie : « Pourquoi êtes aussi méchante, vous êtes une femme »

Yasmina porta ses lèvres sur celles de Barbie qui les gardait fermées. Elle lui tordit alors une pointe d’un de ses adorables nichons. Barbie poussa un cri. Yasmina engouffra sa langue puis se retira.

Yasmina : « Petite conne…tu vas morfler! »

Yasmina sourit au grand Maitre.

Yasmina : « Elle est à vous! »

La grand Maitre : « Merci chère Yasmina… Que la fête commence.. »

Des applaudissements montèrent jusqu’à la chambre.

A suivre…..

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De Mari à Esclave Ch. 24

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Babes

Robert est amené le soir suivant par les trois filles de la veille dans un donjon immense un club public. Il se retrouve attaché en coulisses, jambes très écarté par une barre, ligoté et bâillonné en string en velours. On lui place une électrode sur le gland et une autre à la base du sexe et on remet le tout dans son string.

Le micro annonce cet esclave va être punie pour faute commise il est a vous tous amusez vous.

Soudain il entend le public bruyant qui l’attend. Il se débat, il ne veut plus mais il ne peut plus rien arrêter.

Il a très peur du public qui l’attend. Il voudrait stopper tout…trop tard!

La poulie le lève et il se retrouve au-dessus du public, trop haut pour qu’il le touche. Il découvre un large public enthousiaste, sadique et pro-actif. Surtout des filles. Il est exhibé en string au-dessus du monde.

Il descend lentement vers les mains tendues armées de fouets, de martinets, de cravaches. Les filles hurlent pendant la descente. Il veut se libérer, crier stop mais impossible.

Dès que ses jambes très écartées sont à portée, les martinets claquent surtout entre ses cuisses et à ras du string. Tous les instruments y passent: coups de cravaches très violents et très douloureux. Il a beau se contorsionner, Il reste à la merci de ces filles en folie. C’est insupportable et très humiliant.

Puis on le retourne: suspendu par les jambes, très écartées, mains ligotées dans le dos, la tête trois pieds au-dessus du sol. Il a beau essayer de se libérer, le public s’en donne à cœur joie: fouet très violent dans l’entrejambe présenté à tous. Pendant quinze minutes. Son string, ne protège que petit peu le sexe des coups.

Mais, à ras du string, c’est entrecuisses sont écarlates, striées et très sensibles…

Ensuite, on met en route le stimulateur au niveau cinq: la vibration ondulatoire tout au long du sexe est déjà très gênante. Cinq secondes de décharges électrique et cinq secondes de repos. C’est le public qui décide les montées de niveau.

De six à huit, les vibrations semblent arracher le sexe.

Plus Robert gesticule, plus les filles s’amusent et redoublent le fouet pendant les cinq secondes de repos.

À partir de dix, la douleur est très forte. La cadence est toujours de cinq secondes de décharge électrique et cinq secondes de repos pendant lequel le public peut caresser ou fouetter les jambes.

Onze, il voudrait hurler stop, puis douze, la douleur est très violente. Il essaie par toutes sortes de contorsions de se libérer. Le micro annonce que le niveau treize passe un cap et double quasi la puissance. Le public réclame le niveau treize et l’obtient.

La douleur aigüe qui cogne le gland en longues vibrations est quasi insupportable mais solidement ligoté et bâillonné, il ne peut rien faire pour stopper tout. Le public rit de ses contorsions de douleur en tous sens. C’est femmes sont frustré sadique un peut malade.

L’érection est énorme et le sexe sort alors spontanément du string à la grande joie du public. Les fouets et cravaches redoublent alors sur le sexe et les testicules. Il hurle toujours, du moins Il essaye.

Il ne sait plus ce qui est le plus douloureux: les cinq secondes de décharges électrique van escort à treize ou les violents coups sur son sexe dilaté, énorme, rouge de coups et très sensible.

Au niveau quatorze, les cinq secondes de douleur provoquent une réaction de tout le corps. La cravache qui frappe toujours exactement au même endroit, très haut entre les cuisses, provoquent une douleur aigüe.

Enfin, le dessert, après au moins trente minutes de niveau quatorze en cinq, deux et une secondes, entrecoupés de coups de fouets et de cravache de plus en plus forts, le public, en hurlant d’excitation, veut lancer le niveau quinze!

Non! Un peu de repos cris Robert s v p! Non!

C’est fait!

La douleur est extraordinaire, insupportable, les vibrations profondes secouent violemment son sexe compressé dans une énorme érection réflexe… Il gesticule dans tous les sens, mais bâillonné et ligoté, rien ne peut arrêter le public! Les décharges à quinze donnent en plus des sensations très piquantes, comme si on perforait son sexe!

Les filles réclament de se faire pénétrer par lui, de force.

On le détache et il est de nouveau attaché sur un banc très large, mains et bras attachés au sol, très écartés, le sexe pointant exposé à tous. Une fille verse du vinaigre sur toutes ses rougeurs et ses stries une douleur fulgurante le fait hurler des muffff sorte du bâillon.

Le micro propose alors une nouveauté (pas prévue!) pour corser la suite en autorisant le public à planter cinq aiguilles dans le gland et deux dans chaque testicule. On ajoute deux électrodes à chaque testicule.

Les longues aiguilles de deux-a trois pouces de long sont tirées au sort dans le public et distribuées!

Il veut bouger, il cris arrêter cela: ouf c’est horrible de voir ces filles surexcitées, l’aiguille à la main.

La première se dirige vers lui, le sourire aux lèvres. Bien attacher serer il ne peut bouger.

La lente pénétration de la première aiguille est très longue et très douloureuse: pire encore que les plus fortes décharges électriques! Les filles se battent pour être la suivante. La deuxième aiguille dans le gland est encore plus profonde. La troisième ne parvient pas à pénétrer puis traverse très lentement un testicule.

La quatrième troue le prépuce et provoque une nouvelle forme de douleur, très piquante, fulgurante, puis traverse le sexe en diagonale. La cinquième troue de part en part l’autre testicule. La sixième est piquée par en-dessous et remonte jusqu’au gland. Enfin, la dernière, beaucoup plus grosse et plus longue, entre difficilement dans le gland dilaté et traverse toute la verge: Robert ses secousses sont très violentes, on resserre ses liens.

Il pense que tout se termine enfin mais surprise une fille enfile un préservatif au-dessus des aiguilles et les fait pénétrer un peu plus.

Le micro annonce alors que ce n’est pas fini et que la douleur électrique est beaucoup plus «piquante” par la conductivité des aiguilles!

Pour mieux en juger, on retire son bâillon. IL hurle alors toute sa douleur, il implore, il veut tout arrêter, mais la fille sur qui il a éjaculé entre ses fesses la veille dit ta punition loin d’être terminer avec un sourire yalova escort sadique.

On annonce le niveau huit: Robert hurle de douleur, c’est insupportable. Plus il hurle, plus les filles rient.

Il a l’impression qu’on le pique avec des milliers d’aiguilles à chaque décharge. La douleur aux testicules est violente et fait vibrer tout son corps.

Les filles découpent et arrachent son string, montent sur lui et se font pénétrer à la cadence qui leur plait en savourant les violentes secousses de douleur. Ponctuées de ses hurlements.

Elles règlent la cadence à cinq, trois ou une seconde. Chaque fille reste environ quinze minutes.

A chaque changement de fille (et de préservatif), on augmente la puissance d’une unité.

Plus la pénétration est profonde, puis les aiguilles s’enfoncent dans le gland ou dans la verge et plus l’électricité va loin. Ses cris de douleur sont très longs, stop, stop!

Il se tord pour se libérer en hurlant mais ça excite encore plus les filles.

Leur jouissance ne lui laisse aucune chance de répit. Ses hurlements les amusent!

Toutes les filles inactives se régalent de sa douleur et font de nombreuses photos de son sexe, de son visage défiguré par la douleur ou quand il hurle.

Entre deux filles, d’autres le fouettent avec une violence inouïe: plus aucune limite.

Robert n’a jamais eu une aussi grande érection et les filles s’empalent tour à tour sur son sexe truffé d’aiguilles et secoué de décharges électriques qui suivent les aiguilles en brûlant!

Le passage au fameux treize lui a arraché des hurlements ininterrompus pendant que plusieurs filles en profitent. Réglé à une seconde de violente douleur toutes les deux secondes, les filles se régalent des pénétrations répétées. Ses hurlements sont toutes les secondes et bientôt soutenu par un applaudissement à chaque seconde!

Plus il ressent la douleur, plus il hurle, plus elles s’amusent et prennent leur plaisir.

C’est impossible, stop, il hurle, il crie, il gesticule: il reste au moins dix filles insatisfaites!

On monte de puissance jusqu’au quinze!

Outre le sexe qui semble arraché, la douleur des testicules est extraordinaire! Les aiguilles brûlent à chaque décharge, Robert n’en finis pas de hurler. Elles en ont marre et remettent le bâillon.

Tout le public est autour de lui et se délecte. Impossible de hurler ou de se libérer. Il est ligoté, les jambes de plus en plus écartées, l’entrejambe et le haut des cuisses rouges vif, irrités par les centaines de coups de fouet, de martinet et de cravache. Et, quand il pense que tout est fini, le Maître accorde encore trente minutes au public qui a trouvé un scion de canne à pêche: en l’arquant très fort et le lâchant, le scion claque sur le sexe ou les testicules.

Cinq secondes de fouet, puis cinq secondes de violentes décharges électriques.

Non! Non! Non! Il reste trente minutes: le plaisir sadique des filles en contemplation est à son comble! Elles fouettent à présent violemment le sexe et les testicules.

Ensuite, robert est retourné, toujours suspendu, mais sexe vers le bas.

Tout au long de la nuit, de nouvelles filles rentrent dans la çorlu escort salle et viennent le caresser partout, le sodomiser avec un bois, le fouetter à nouveau. Certaines lui offre quinze ou tente minutes d’électricité.

Il restera suspendu toute la nuit, exhibition forcée de tous ses organes aux manipulations de centaines de mains expertes et sadiques: coups de fouets, de cravaches, de lattes, de martinets, suspension aux testicules, pénétrations et bien-sûr décharges électriques.

L’une d’elle a une idée: elle arrache les électrodes du sexe et les remplacent par un long fil à souder, plié en deux, et présentant une extrémité ronde donc.

L’une est entrée dans le gland très profondément (dix pouces) et l’autre est insérée entre ses fesses et remonte loin, loin (douze pouces.) Il n’ose pas comprendre. On retire son bâillon.

Robert proteste, il hurle, il les injurie, il se débat dans tous les sens: personne n’en tient compte.

Avec horreur, Robert vois une fille coller les électrodes aux extrémités des fils insérés si loin.

Elle commence par le niveau cinq à tout hasard: c’est horrible, plus fort que le quinze avec aiguilles, la douleur aigüe traverse le gland, toute la verge, les testicules et remonte au plus profond jusqu’en mes entre ses deux fesses.

Elles lui ordonnent de se taire mais il continu a hurler et elles montent d’un niveau chaque fois.

Comme il est pendu par les bras et jambes, il ne peut bouger, gesticuler, se soulever en hurlant mais ne parviens pas à se libérer.

Chaque nouvel arrivant lui donne droit à une nouvelle séance. Mais ses hurlements n’arrêteront personne jusqu’au petit matin…

Cette nuit mémorable lui a provoqué une jouissance extraordinaire, la plus puissante de toute ma vie, même si parfois la douleur est très violente, insupportable et surtout si on ne peut rien arrêter malgré ses hurlements.

L’humiliation de dizaines d’yeux se délectant est insupportable. Les photos sont humiliantes.

La soirée est imprévisible, à la merci de chaque nouveau participant. (Sous contrôle)

Le stress, l’exhibition forcée, la violente douleur: un cocktail qu’il voudrait bien subir lors d’une prochaine soirée pour le plaisir de la Corporation des Maitresse Mondiales!

Lorsque il se réveille, Robert est allongé dans sa chambre, les poignets attachés avec des menottes de nuit, Maitresse Jennifer le lave au moyen d’un gant puis lui donne à boire directement au goulot d’une bouteille. Elle lui sourit, et lui dit bravo pour les deux soirées quelle bon esclave tu es Robert incroyable ta résistance me fascine, la tu va te reposer quelque jours mes deux esclaves vont prendre soin de toi quelque jours, ensuite quand tu seras remis je voudrais te parler voila bon repos robert, Maitresse Jennifer parti.

Il ferme ses yeux relaxe sont corps endolorie, soudait il sent des Mains le frotter partout même sur sa queue, il ouvre ses yeux il voit Natacha et Lyza les deux esclaves personnelles de Maitresse Jennifer. Elles son nus lui sourie, sans dire un mot elle ajoute sur le corps de robert une crème apaisante, Robert se laisse aller mes il sent les mains de la jolie et sensuelle Natacha qui le masturbe tranquillement, il jouie en douceur sa bouche de Natacha liche tout liche sa queue elle aime le gout du sperme, ensuite lui offre à boire ainsi que deux pilule.

Puis elle lui souhaite bonne nuit et parte doucement en éteignant la lumière Robert ferme les yeux il part dans les rêves.

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Stepmom

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Lesbian

Erica has been the closest thing to a mom I have ever had. She married my dad when I was thirteen and she has always been very good to me. As I got older we became more like friends than stepmom and stepdaughter and when I had sex for the first time she was the first person I told. Erica always told me how beautiful I was and as my body began to change she took me shopping and bought me several outfits to accentuate my new body.

When I was getting ready to leave for my first year of college she sat me down and had a long talk with me about college guys. She explained that all they cared about was getting in my pants and to be very selective of who I went out with. I knew before I left that her and my dad were having problems and when she called me to tell me that they were getting a divorce I wasn’t surprised. I told her she would always be a part of my life even though her and my dad would no longer be together.

Every summer while I was in college I would stay with her for a few weeks and we would have a blast together. My dad remarried during my second year of college and I really didn’t care for his new wife but Erica told me to give her a chance which I did but I told her I would never be as close to his new wife as I was to her.

After I graduated I asked Erica if I could move in with her and she said that I was more than welcome. Not long after I moved in with her I started dating this guy and things got serious pretty fast and we were soon exclusively dating each other, he even gave me a key to his apartment.

Then one afternoon I got off work early and decided to surprise him by cooking him his favorite dinner. I went to the store and bought everything and as I pulled into the parking lot of the apartment complex I was surprised to see his car there. But when I walked into the apartment I got an even bigger surprise when I could hear moaning coming from the bedroom. When I looked in the bedroom there he was having sex with the next door neighbor, a woman old enough to be his mother. I threw a fit calling him a piece of shit and her a slut before I stormed out of his apartment not before I threw his key at them.

When I got to Erica’s she could tell something was wrong and as I told her about what adana escort had happened she pulled me into her arms telling me I could do much better. I told her I was done with guys for a while and she assured me that I would get over him eventually. She opened a bottle of wine and poured us both a glass and the more we talked the better I felt. She then finally told me what had happened between her and my dad. As it turns out she caught him cheating on her with the woman he was now married to and I asked her what she did about it and I was surprised by her answer.

She said “I felt kind of like you are feeling right now and I went to a bar and ended up going home with another woman and had my first bisexual experience that night.” I asked her what that was like and she said she had such a good time she hasn’t been with a man since. I told her while I was in college one of my sorority sisters tried to come on to me and we even made out but someone walked in the room and we stopped before anything really happened. She asked me how that had made me feel and I told her it really turned me on. She then asked me “did you want it to go further? did you want to make love to her?” and I told her I did.

She moved closer to me on the couch and I felt her hand on my leg and as she began to move it up she said “I want to make love to you right now Ashley, would you like that?” I told her I would love that and she leaned towards me and pressed her soft lips to mine. When I felt her pushing her tongue between my lips I automatically opened my mouth to accept her soft tongue and I couldn’t believe how much it was turning me on just kissing her.

As we continued to kiss she moved her hand up to fondle my breast through my tank top. When I felt her pinch one of my hard nipples I moaned into her mouth and she pinched it even harder. She then stopped kissing me long enough to take off my shirt and as she fondled my naked breast she kissed me again and I have to admit it felt much better than any guy I’d ever been with. She then moved her mouth down and started sucking my hard nipples as I ran my fingers through her hair moaning how good it felt.

After a few seconds she pulled her mouth off my nipple and ankara escort kissed me again before she said “your first time with another woman should be special, let’s go to my bedroom before we go any further.” I followed her into her bedroom where she had me lay on the bed while she lit several candles. When she was standing next to the bed she pulled her shirt off revealing her beautiful breast and her hard pink nipples. She then pushed her shorts off and I saw that she kept herself completely shaven just like I did and I could feel myself getting even more turned on.

She laid next to me on the bed and kissed me again before she moved back down to suck my nipples again as she squeezed my breast. I felt her hand start to move down my stomach and I spread my legs for her and as she began to rub my pussy she said “you’re so wet Ashley and I’m going to make you even wetter.” She began to kiss her way down my stomach as she moved between my legs, I could soon feel her hot breath on my pussy and I was practically begging her to make love to me with her mouth.

She started out by lightly running her soft tongue over my lips before pushing it inside me causing me to moan again. After she moved her tongue in and out of me for a few seconds she moved her tongue up and started flicking my throbbing clit. I could already feel myself getting ready to cum and when I moaned she was going to make me cum she started sucking my clit as she continued to flick it with her tongue and a second later I was cumming harder than ever before. I was moaning how much I loved what she was doing to me and she continued to suck my pussy until my first orgasm of the night began to subside.

She then moved back up and kissed me letting me taste myself on her lips and tongue before she pulled back and said “did you like that sweetie?” I told her I loved it and wanted more but I wanted to make love to her first. She rolled us over so I was on top of her looking down into her beautiful green eyes and told her to remember I had never done this before. She pulled my mouth down to hers and kissed me before saying “don’t worry Ashley, when you get started you will know exactly what to do.”

I kissed her again before I adıyaman escort moved my mouth down to suck her hard pink nipples and I was surprised when I could feel them getting even harder inside my mouth. As I continued to suck her nipples I moved my hand between her legs to find her smooth pussy was already soaking wet. I ran my fingers over her smooth wet lips before pushing a finger inside her and I was surprised by how tight she was. As I started to move my finger deeper she moaned she loved my finger inside her as she began to push my head down between her legs.

As soon as I ran my tongue over her smooth wet lips, tasting her sweet juices for the first time I knew my life was about to change forever. I couldn’t believe how natural it felt to make love to her with my mouth and I was soon licking and sucking her pussy like I had been doing it for years. As I began to suck her swollen clit and flick it with my tongue she was moaning she could feel herself getting ready to cum. I then plunged two fingers in her tight juicy cunt and started pumping them deep inside her until she cried out she was cumming. I pulled my fingers out of her and covered her pussy with my mouth and sucked her pussy, drinking her sweet juices until she was pushing my head away.

She pulled me up and kissed me before saying “I haven’t cum like that in a long time, are you sure you’ve never made love to another woman?” I assured her that she was my first and then said “but I enjoyed making love to you more than any guy I’ve ever been with and right now I don’t care if I ever have sex with another guy.” She kissed me again as she rolled us back over and moved down to suck my hard nipples again. She made love to me again with her talented mouth making me cum so hard I could actually feel my juices squirting from my pussy, something I had never experienced before and I loved it.

As we laid there holding each other I told her I could get used to her making love to me and she said “I’m glad because I could definitely get used to making love to you Ashley.” She then moved us into a sixty-nine so we could eat each other’s pussy at the same time until we were both cumming together. We went to sleep after that and the next morning I woke up to her licking my pussy until she had me cumming again.

That night was almost six months ago and I have since moved in with her and we have been living as lover’s. At first when my dad found out about us he was furious but he soon realized I was a grown woman now and he gave us his blessings.

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Die Lesbenparty

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Babes

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„Du verarscht mich doch jetzt hoffentlich”, mutmaßte die Frau mit den schulterlangen brünetten Haaren, die auf der Couch ihrer Schwester saß und auf eine erleuchtende Antwort des zwei Jahre jüngeren Geschwisterteils wartete. Hanna zuckte unschlüssig die Achseln und wich dem bohrenden Blick von Sophie aus. Dann streckte sie den Rücken durch und erklärte: „Natürlich ist es ungewöhnlich … Aber man kann es doch mal ausprobieren.”

„Wieso passieren immer nur dir diese dämlichen Sachen?”, fragte Sophie und konnte immer noch nicht glauben, zu was ihre kleine Schwester sie zu überreden versuchte.

„Jetzt sei doch nicht so spießig und riskiere mal was”, entgegnete Hanna, deren kurzen Haare ihr hübsches Gesicht einrahmten. Die Schwestern sahen einander schweigend an, bis Sophie den Kopf schüttelte.

„Jetzt noch mal zum Mitschreiben … Wie bist du über die Sache gestolpert?”

Hanna hob den Kopf an, atmete tief durch und erklärte ihrer Schwester ein weiteres Mal, wie sie zu der ungewöhnlichen Einladung gekommen war.

Hanna arbeitete seit ein paar Wochen als kaufmännische Angestellte in einem Großraumbüro. Der überwiegende Teil der Belegschaft war weiblich und sie verstand sich mit ihren Arbeitskolleginnen ausgezeichnet. Es herrschte eine muntere und kollegiale Atmosphäre und Hanna wurde schnell akzeptiert und in gemeinsame Unternehmungen einbezogen. Letztes Wochenende hatte sie sich mit drei Arbeitskolleginnen getroffen, war durch die Kneipen gezogen und hatte am Ende des Abends eine gemütliche Zeit in der Wohnung einer Kollegin verbracht. Dort hatte man sich vertrauensvollen Gesprächen gewidmet und Hanna von einer bevorstehenden Party berichtet. Zu Beginn hatte Hanna angenommen, es handele sich um eine Geburtstagsfeier im üblichen Rahmen, doch je mehr ihre Arbeitskolleginnen erzählten, umso mehr verblasste dieser Eindruck. Es stellte sich heraus, dass sich mehrere Frauen in unregelmäßigen Abständen trafen und diese Treffen einen bestimmten Sinn verfolgten.

Die Frauen waren unter sich, Männer waren nicht erwünscht, und die gemeinsamen Stunden wurden intensiv genutzt, um sich einander anzunähern und ihren lesbischen Neigungen zu frönen. Hanna hatte zunächst nicht glauben wollen, dass sich ausgerechnet ihre Arbeitskolleginnen als Mitglieder eines privaten Lesbenbundes outen würden, doch je mehr sie erzählt bekam, umso besser konnte sich Hanna vorstellen, was an diesen besagten Abenden ablief. Angefangen hatte es an einem Abend mit drei Freundinnen, guter Laune und zu viel Alkohol. Zwei der drei Frauen arbeiteten mit Hanna im Büro, eine war eine gute Freundin der Gastgeberin. Der Abend hatte sich entwickelt, und nachdem genügend Alkohol geflossen war, war Schwung in die Angelegenheit gekommen. Es wurden anzügliche Themen angesprochen, intime Geheimnisse ausgetauscht und irgendwann hatten sich die drei Frauen zu küssen und streicheln begonnen.

Der Abend hatte mit drei nackten Freundinnen in einem Bett geendet. Die Freundinnen wurden sich schnell einig, dass es nicht bei einem einmaligen Ausflug in die Welt der gleichgeschlechtlichen Liebe bleiben sollte, und verabredeten sich für weitere angenehme Abende. Männer waren nicht erwünscht, auch nicht die festen Partner. Mit der Zeit gesellten sich weitere Frauen dazu. Gute Freundinnen, Nachbarinnen, Kolleginnen. Die Gruppe wuchs, und nach und nach verabredeten sich bis zu einem Dutzend Frauen zu gemeinsamen zärtlichen Stunden, in denen sie sich intimste Geheimnisse anvertrauten, sich einander hingaben, und Dinge anstellten, die sie zu Hause mit ihren Ehemännern und Partnern nicht erleben konnten. Jutta war eine der Frauen der ersten Stunde. In ihrem Bett waren die drei Freundinnen bei der Gründungsfeier der Lesbengemeinschaft gelandet. Und Jutta war die Arbeitskollegin, die Hanna spontan zu einem der besonderen Treffen eingeladen hatte.

Nachdem Hanna die Zusammenhänge geschildert hatte, sah Sophie sie ungläubig an. „Aber was willst du auf so einer Party …? Du stehst doch gar nicht auf Frauen.”

„Die anderen doch auch nicht”, entgegnete Hanna. „Jutta zum Beispiel ist seit 15 Jahren glücklich verheiratet.”

„Wissen die Männer eigentlich, was ihre Frauen ohne sie treiben?”

Hanna zuckte mit den Schultern. „Keine Ahnung. Juttas Mann weiß davon und für ihn ist es OK, solange seine Frau ihn nicht mit einem anderen Typen betrügt.”

„Und du hättest jetzt mal Lust, an so einer Lesbenparty teilzunehmen?”, fragte Sophie provokant nach.

„Warum nicht …? Wann hat man schon mal die Gelegenheit, so etwas Besonderes zu erleben?”

„Und wie stellst du dir das langfristig vor?”, hakte ihre Schwester nach. „Du triffst dich mit Jutta und deinen anderen Arbeitskolleginnen und treibt wer weiß was … und lauft euch dann anschließend im Büro ständig über den Weg. Wie soll das funktionieren?”

„So gründlich habe ich ja auch nicht darüber nachgedacht”, gab Hanna zu. „Aber die anderen kommen ja auch damit klar. Alleine aus unserem Büro machen drei Frauen mit. Ich wäre die Vierte.”

Sophie schüttelte ardahan escort ungläubig den Kopf. „Ich bin ja auch nicht von gestern und mir ist klar, dass manche Leute entspannter mit ihrer Sexualität umgehen als andere … Aber das ausgerechnet du eine derjenigen bist, die sich auf so etwas einlassen würden, überrascht mich schon.”

„Ich konnte mir das ja auch nicht vorstellen”, meinte Hanna. „Aber sie haben mich nett eingeladen, sich mir anvertraut, und mich reizt der Gedanke und ich will sie auch nicht enttäuschen.”

„Und wenn es dir nicht gefällt?”

„Dann gehe ich eben kein zweites Mal hin.”

Die Blicke der Schwestern trafen sich. Sophie zuckte die Achseln und meinte: „Also gut. Dann mach es. Ich verstehe nur nicht, warum du mich ins Vertrauen gezogen hast.”

Hanna blickte verschämt zu Boden. Dann räusperte sie sich und suchte Blickkontakt zu ihrer Schwester. Sophie ahnte, was nun kommen würde. „Das ist nicht dein Ernst.”

„Sophie …”

„Vergiss es!”

„Lass mich doch mal ausreden.”

„Nein, ich begleite dich nicht”, blieb Sophie abweisend.

„Du sollst mir doch nur beistehen, weil es eine große Überwindung für mich bedeutet”, gab Hanna zu. „Ich war noch nie auf so einer Sexparty und ich hatte noch nichts mit Frauen … Ich würde mich besser fühlen, wenn ich nicht alleine hingehen müsste.”

„Aber du bist doch nicht alleine”, wiegelte Sophie ab. „Du kennst doch deine Arbeitskolleginnen.”

„Ja schon … Aber mit meiner Schwester an meiner Seite würde ich mich wesentlich besser fühlen.”

Sophie erwiderte nichts und bedachte ihre Schwester mit einem feindseligen Blick.

„Komm schon!”, bat Hanna. „Du hast mir schon so oft beigestanden und wir sind oftmals gemeinsam durch dick und dünn gegangen.”

„Ja sicher”, erinnerte sich ihre ältere Schwester. „Aber der Besuch einer Sexparty mit wildfremden Frauen gehört nicht zu den bevorzugten Unternehmungen, bei denen ich meine kleine Schwester begleiten möchte.”

„Immerhin hast du schon Erfahrungen mit Frauen gesammelt”, behauptete Hanna.

Sophie hatte bis vor wenigen Wochen eine Beziehung mit einer Mitstudentin geführt. Diese hatte beinahe zwei Jahre gehalten. Zuvor hatte sie männliche Partner an ihrer Seite gehabt, kannte also beide Seiten der Medaille.

„Nur weil ich Sex mit einer festen Partnerin gehabt habe, bin ich noch lange nicht bereit, mich ins wilde Getümmel zu stürzen und zuzusehen, wie unbekannte Frauen sich befummeln.”

„Sei doch nicht so spießig!”, warf Hanna ihr vor.

„Außerdem bin ich nicht scharf darauf, meine kleine Schwester zu beobachten, wie sie von ihren Arbeitskolleginnen bedrängt und verführt wird.”

„Ich hatte eigentlich vor, zunächst einmal zur zuzuschauen und mich zu akklimatisieren”, entgegnete Hanna leise.

„Und wie verhältst du dich, wenn eine der freizügigen Damen sich an dich ranmacht?”

„Keine Ahnung … So weit denke ich noch gar nicht.”

„Ich wüsste nicht, was ich da sollte”, zeigte sich Sophie skeptisch.

„Komm doch einfach nur mit, damit ich nicht alleine hingehen muss. Du würdest mir damit einen großen Gefallen tun”, bat Hanna.

Sophie schwieg sich aus.

„Außerdem denke ich, dass die Frauen sich nicht sogleich die Klamotten vom Leib reißen und übereinander herfallen werden. Man wird sich erst nett unterhalten und sich kennenlernen … Und wenn es dann hinterher zur Sache geht und uns gefällt es nicht, dann können wir uns immer noch dezent zurückziehen.”

Sophie starrte ihre Schwester eindringlich an. Hanna hoffte, Sophie überlegte. Dann ergriff die Ältere von ihnen das Wort. „Also gut … Ich begleite dich zu diesem Treffen … Aber ich stürze mich da nicht ins Lesbengetümmel und lasse mich nicht befummeln.”

„Danke, Sophie”, rief Hanna aus und fiel ihrer Schwester stürmisch um den Hals. „Das wird bestimmt ein witziger Abend.”

„Wenn du es sagst”, blieb Sophie weiter skeptisch.

Das besagte Treffen der Frauen mit den lesbischen Neigungen war für das folgende Wochenende geplant. Hanna war Feuer und Flamme und konnte kaum erwarten, dass der Termin näher rückte. Sophie sah es entspannter und fragte sich, ob sie nicht zu schnell nachgegeben hatte. Sie hatte ein mulmiges Gefühl bei der Sache. Was kam dabei heraus, wenn sich Freundinnen und Kolleginnen trafen, Alkohol zu sich nahmen und sich treiben ließen? Sophie hatte so eine Party noch nie miterlebt und tat sich schwer, sich den Ablauf des Abends vorzustellen. Die anderen Frauen kannten sich untereinander und hatten schon Erfahrungen gesammelt. Hanna und sie waren die Neulinge, bei denen nicht klar war, ob sie sich sofort in die Gruppe integrieren würden. Auf der anderen Seite mussten Jutta und ihre Freundinnen genügend Vertrauen in Hanna setzen, denn natürlich lud man nicht jedermann zu einer intimen Privatparty ein. Hanna hatte Jutta ihr Kommen zugesichert, und selbstverständlich stellte es kein Problem dar, dass sie ihre Schwester mitbrachte. Jutta erwartete für den Abend bei ihr zu Hause fünf Freundinnen, artvin escort von denen bis auf eine bereits an einer der illustren Runden teilgenommen hatten. Hanna und Sophie würden als Nummer sechs und sieben also nicht die einzigen Novizinnen sein.

Sophie hatte sich auszumalen versucht, wie weit sie gehen würde. Wie würde sie sich verhalten, wenn das Tempo anzog und die Frauen sich einander zuwandten? Würde sie zulassen, dass man sich an sie ranmachte? Oder würde man Hanna und sie zunächst unbehelligt lassen, bis sie selber den Wunsch äußerten, mitzumischen? Die größten Sorgen machte sie sich über die Beteiligung ihrer Schwester. Es war eines, sich an einer gewagten Sexparty zu beteiligen. Dies im Beisein eines Familienangehörigen zu tun, war etwas anderes. Was wäre das für ein Gefühl, die eigene Schwester bei sexuellen Handlungen zu beobachten? Würde es ihr etwas ausmachen, wenn Hanna andere Frauen küsste oder sich streicheln ließ? Könnte sie sich selber in Gegenwart von Hanna fallen lassen und entspannen und so frei genießen, als wäre ihre Schwester nicht mit von der Partie? Trotz der offenen Fragen und Bedenken musste sich Sophie eingestehen, dass sie der gemeinsame Frauenabend reizte.

Endlich war das Wochenende gekommen. Hanna wurde mit jedem Tag aufgeregter und fragte bei Sophie immer wieder nach, ob sie ihr Versprechen halten und sie begleiten würde. Sophie hatte nicht vor, an ihrer Entscheidung zu rütteln, und war selbst unglaublich neugierig auf das bevorstehende Treffen mit Hannas Kolleginnen. Gegenüber Hanna hielt sie sich bedeckt und zeigte ihre Euphorie nur begrenzt. Die Geschwister fuhren gemeinsam in Sophies Auto zur angegebenen Adresse. Hanna wusste, wo Jutta wohnte, und während der zwanzigminütigen Fahrt schwiegen sich die beiden Schwestern an. Sie waren angespannt und nervös und fragten sich, was auf sie zukommen würde.

Zuvor hatten sie sich bei Sophie getroffen und sich hinsichtlich ihrer Kleiderwahl besprochen. Hanna wollte einen guten Eindruck hinterlassen und hatte sich schick gemacht. Sie trug einen schwarzen Minirock zu einer engen dunkelblauen Bluse. Darunter hatte sie schwarze Spitzenunterwäsche angezogen und Sophie empfohlen, ebenfalls schöne Wäsche auszuwählen. Immerhin war zu erwarten, dass man seine Dessous würde präsentieren müssen, wenn man nicht unbeteiligt bleiben wollte. Sophie hatte sich für eine knallenge Jeans entschieden, die sie mit einem engen Oberteil kombinierte. Ihre langen Haare hatte sie zu einem Pferdeschwanz gebunden und sich dezent geschminkt. Auf Anraten ihrer kleinen Schwester hatte sie reizvolle Unterwäsche angezogen, die aus einem knappen Stringtanga und einem schwarzen Spitzen-BH bestand. Hanna war der Meinung gewesen, sie beide sähen vorzeigbar aus und bereit, sich in das wilde Getümmel zu stürzen.

Sophie war aufgefallen, wie unruhig ihre Schwester mit jedem Kilometer wurde, den sie sich Juttas Wohnung näherten. Sophie entschied, Hanna Mut zuzusprechen und meinte: „Wird schon alles gut gehen … Entspann dich.”

„Ich bin total aufgeregt … Was ist, wenn ich mich unwohl fühle?”

„Dann können wir immer noch gehen”, schlug Sophie vor. Sie konzentrierte sich auf den vor ihr liegenden Verkehr und amüsierte sich über die innere Unruhe ihrer Beifahrerin.

„Sophie …”

„Ja?”

„Sollte etwas geschehen … was auch immer … Das ändert doch nichts zwischen und beiden, oder?”

„Du meinst, es würde sich etwas ändern, wenn ich dich in den Armen deiner Arbeitskollegin erwischen sollte?”

„Du weißt schon, was ich meine”, erwiderte Hanna leise. „Wir haben noch nie voreinander etwas gemacht … Ich meine …”

„Ich weiß, was du meinst”, unterbrach Sophie sie. „Manche mögen wahrscheinlich behaupten, dass man der eigenen Schwester nicht beim Sex zusehen sollte, aber ich kann damit umgehen.”

„Es steht ja gar nicht fest, dass ich Sex haben werde.”

Sophie lächelte schelmisch. „Vielleicht schnappe ich mir ja auch eine deiner heißen Kolleginnen und dann musst du mir zusehen.”

„Oh mein Gott”, warf Hanna ein. „Ich habe dich ja noch nicht einmal früher bei der Selbstbefriedigung erwischt … Bestimmt bekomme ich einen Schock fürs Leben, wenn ich dich mit einer Frau rummachen sehe.”

„Dann sollten wir uns beide ins Getümmel stürzen und mitmachen”, schlug ihre Schwester vor. „Dann muss keine von uns ein schlechtes Gewissen haben oder beleidigt schmollen.”

Hanna drückte Sophies Hand und schenkte ihr ein dankbares Lächeln. Als sie am Zielort ankamen, parkte Sophie den Wagen in der Nähe und gemeinsam machten sie sich auf den Weg zu Juttas Wohnung. Jutta öffnete ihnen die Wohnungstür und umarmte Hanna und Sophie herzlich. Sophie war froh, dass Jutta sie nicht nackt empfangen hatte. Die Party schien noch nicht weit fortgeschritten zu sein. Sophie und Hanna folgten der Gastgeberin ins Wohnzimmer, wo bereits zwei Frauen ein angeregtes Gespräch führten. Als die Neuankömmlinge eintrafen, unterbrachen sie den Small Talk und begrüßten die Geschwister freundlich. Jutta stellte die bodrum escort anderen Gäste vor und richtete das Wort an Sophie. „Das sind Kim und Marlies. Wir drei arbeiten mit Hanna zusammen.”

Sophie begrüßte die Frauen nacheinander.

„Hattest du nicht mehr Gäste erwartet?”, fragte Hanna neugierig.

„Leider haben einige abgesagt”, erklärte Jutta. „Meine Nachbarin Daniela kommt gleich noch rüber … Also sind wir heute leider nur zu sechst.”

Sophie musterte die anwesenden Frauen. Keiner von ihnen sah man an, dass sie regelmäßig an privaten Sexpartys teilnahmen. Die Gastgeberin Jutta schien Mitte vierzig zu sein. Sie hatte mittellange dunkle Haare und ein sympathisch wirkendes Gesicht. Sie war etwas korpulent, hatte ausladende Hüften und einen mächtigen Busen. Schlank war etwas anderes, aber sie wirkte auf Sophie auf eigenartige Weise anziehend. Marlies durfte unwesentlich jünger als Jutta sein und stellte das genaue Gegenteil ihrer Kollegin dar. Sie hatte kurze blonde Haare, war gertenschlank und wies kaum Oberweite auf. Kim war deutlich jünger und war die Attraktivste von den Dreien. Sophie fiel sofort das bildhübsche Gesicht auf. Kim wies vorzeigbare Proportionen auf, hatte ihren Körper in ein hautenges Kleid gezwängt und punktete mit unendlich wirkenden Beinen. Sophie verguckte sich sogleich in Hannas Arbeitskollegin und stellte spontan fest, dass es ein interessanter Abend werden könnte.

Die Geschwister nahmen im Kreise der anderen Frauen Platz und ließen sich prickelnde Getränke reichen. Sophie hatte zuvor beschlossen, nichts zu trinken, ließ sich aber leicht überreden, zur Not mit dem Taxi nach Hause zu fahren. Nach einer Weile gesellte sich die Sechste im Bunde dazu. Juttas Nachbarin Daniela stellte sich als Mittdreißigerin vor, die nicht die hübscheste, aber eine der Sympathischten darstellte. Die Gäste kamen locker ins Gespräch und wurden schnell miteinander vertraut. Sophie machte ihrer Neugierde Luft und stellte Fragen zum Ablauf der gemeinsamen Abende.

„Wie entwickelt sich so ein Abend normalerweise?”

„Manchmal machen wir erotische Spiele, um uns in Stimmung zu bringen”, verriet Jutta. „Hin und wieder legen wir auch sofort los, wenn die Lust uns überkommt.”

„Zieht ihr euch üblicherweise zurück, wenn es zur Sache geht?”, hakte Sophie nach.

„Nein … Wir bleiben immer hier im Wohnzimmer”, erwiderte Jutta grinsend. „Gemeinsam macht es doch am meisten Spaß.”

Sophie und Hanna tauschten überraschte Blicke aus. Jutta bemerkte dies und meinte: „Keine Sorge … Wir überfallen euch schon nicht. Bleibt einfach offen und spontan, dann passt das schon.”

Hanna lächelte gequält und auch Sophie konnte sich nicht vorstellen, bald nackt inmitten der anderen Frauen zu sitzen und einem sündigen Treiben zu frönen. Mit zunehmender Dauer des Abends wurden die Gespräche intimer. Alkohol löste die Zungen und die Frauen verrieten den Schwestern, was bei früheren Partys abgelaufen war. Sophie hörte neugierig zu und zeigte deutliches Interesse an allen möglichen Erzählungen über die frivolen Abende. Was sie hörte, regte sie an. Nie zuvor hatte sie Erfahrungen dieser Art erlebt, und ein flotter Dreier mit ihrem Ex und einer guten Freundin war das bislang Höchste der Gefühle gewesen. Sex inmitten von so vielen Frauen würde eine Herausforderung darstellen. Dass ihre kleine Schwester mit von der Partie sein würde, machte das Ganze nicht einfacher.

Nach einer Weile stellte Jutta ihr Sektglas auf dem Tisch ab und erhob sich von der Couch. Sie widmete ihre Aufmerksamkeit den beiden Schwestern und forderte Sophie und Hanna auf, sich in die Mitte des Wohnzimmers zu stellen. Die anderen Frauen schienen zu ahnen, was geschehen würde. Hanna und Sophie folgten der Aufforderung und sahen sich kurz darauf Jutta gegenüber, die die beiden anlächelte.

„Da ihr beide die Neuen seid, habt ihr ein kleines Einführungsritual über euch ergehen zu lassen”, stellte Jutta fest. Die Schwestern sahen einander irritiert an und Sophie fragte: „Und was sollen wir tun?”

„Zunächst einmal müsst ihr euch küssen.”

Sophie zog die Augenbrauen in die Höhe und Hanna kicherte verlegen.

„Du weißt aber schon, dass Sophie meine Schwester ist, oder?”, fragte Hanna neugierig.

„Na klar … Wo ist das Problem?”

Sophie zuckte mit den Schultern und meinte: „Ist ja nur ein Kuss.”

Sie trat einen Schritt auf Hanna zu und zog sie an sich. Sie drückte ihr einen flüchtigen Kuss auf die geschlossenen Lippen, was zu verhaltenem Jubel bei den zuschauenden Frauen führte. Doch Jutta zeigte sich weniger begeistert. „Das war doch kein Kuss!”

„Natürlich war es das”, meinte Sophie, und während sie sich noch fragte, warum Jutta ihren Kuss beanstandet hatte, übernahm Hanna die Initiative und setzte zu einer Wiederholung an. Dieses Mal presste sie Sophie die Lippen auf den Mund und schob ihre Zunge voran. Als Schwestern hatten sie sich früher bereits geküsst, doch eher freundschaftlich und liebevoll, nicht mit Zunge und schon gar nicht leidenschaftlich. Als Sophie die Zunge ihrer Schwester um Einlass begehren spürte, zuckte sie zusammen, hielt einen Moment irritiert inne und nahm dann das Angebot an. Ihre Zungen verschmolzen ineinander, sie küssten sich innig und züngelten unter großem Jubel der anderen Frauen, bis sich Hanna atemlos zurückzog und ihre Schwester breit angrinste.

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