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Ağustos 20, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

Mon Aventure Ch. 01

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Big Tits

Traduction d’un texte de RayStar.

Ce récit est une fiction qui mélange plusieurs genres. Vous y trouverez des relations non consenties, des relations interraciales, des relations incestueuses, de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas à lire.

**********

Il s’agit d’une longue histoire. Elle a commencé sur un flirt et s’est transformé en quelque chose de plus grand. Ma vie est pleine de surprises tous les jours. Je vais vous raconter.

Je suis une petite femme. Je n’ai jamais atteint les 1m60. J’ai 39 ans mais j’en parais 29. Mes seins sont assez gros et toujours ronds et fermes. On dit de moi que je suis bien conservée.

Je n’ai jamais dépassé les 50 kilos sauf quand j’étais enceinte. Je me suis mariée à la sortie du lycée, assez jeune pour avoir besoin de la permission de mes parents. J’ai rencontré Jack la dernière année du lycée. Nous sommes sortis ensemble pendant environ 6 mois puis nous nous sommes mariés.

Nous avons eu notre première fille en septembre, 10 mois après notre mariage. Puis vint Avril et ensuite notre fille surprise Janvier, peu de temps après.

Jack a un excellent travail. Financièrement nous sommes bien. Notre vie familiale est épanouie et continue de s’améliorer, surtout depuis les récents évènements.

Septembre a maintenant 20 ans avec de longs cheveux blonds. Elle est grande. Elle était pom-pom girl. Donc vous pouvez vous imaginer ses longues jambes, son joli petit cul et une belle poitrine.

Avril a 19 ans avec des cheveux châtains. Elle n’est pas aussi grande que sa sœur mais est construite de la même façon. Elle est mince et bronzée car elle a fait partie de l’équipe de tennis de son école et elle a participé à quelques épreuves d’athlétisme.

Mes deux filles les plus âgées ont eu des petits amis au lycée mais elles sont libres actuellement. Je suis certaine que ni l’une ni l’autre n’était vierge quand elles ont obtenu leur diplôme. Une mère sent cela.

Janvier a 18 ans. C’est mon bébé. Oui nous avons donné comme prénom à nos filles leur mois de naissance. Jack plaisante souvent sur le fait que nous aurions pu faire un calendrier.

Janvier est différente de ses sœurs. Elle a les cheveux foncés, des jambes bien musclés et un gros cul. Mais elle n’a pas de poitrine. Ses seins n’ont jamais poussé plus gros que deux tasses.

Depuis leurs naissances, j’ai vu mes filles nues. Je sais maintenant que Jack aussi. Janvier semble être la plus timide mais cela ne veut rien dire. Elle porte toujours des mini-jupes avec seulement un string généralement.

En tant qu’adolescente, elle ne fait pas toujours attention à sa manière de se tenir autour de la maison. Et elle se sait pas ou ne se soucie pas que quelqu’un puisse avoir une belle vue quand elle monte ou descend les escaliers.

Mes filles s’habillent dans leurs chambres. Donc il n’est pas rare de les voir dans le couloir entre la chambre et la salle de bain avec une seule serviette sur elles.

Je suis à peu près sûre que Janvier a déjà fait des trucs avec les garçons, et peut-être avec des filles aussi. Mais je ne pense pas qu’elle soit expérimentée, peut-être seulement des jeux de mains avant les évènements récents.

Pour ma part, j’ai eu quelques petits amis et quelques aventures avant Jack. Je n’ai jamais eu de problèmes à lui ouvrir les jambes ou la bouche au début. Jack et moi avons fait différentes choses au fil des ans afin de garder vivace notre vie sexuelle.

Jack mesure 1m80 avec une bite épaisse de 18 centimètres. J’ai pris cette queue volontairement dans mes trois orifices. Nous jouons souvent dans une relation de domination soumission avec moi comme soumise. A 39 et 40 ans nous sommes très actifs et mon mari aime bien pimenter les choses.

L’été dernier, j’eut une semaine de repos. Je décidai alors de travailler au jardin. Jack partit au boulot pendant que je prenais mon café dehors, examinant nos plantations de fleurs.

Janvier traversa la cour, me criant qu’elle allait voir un ami. Avril fit de même en disant qu’elle était en retard pour son travail au magasin de vidéo. Septembre rit en regardant ses deux sœurs et elle s’arrêta près de moi pour me donner un bisou sur la joue. Puis elle partit travailler dans son restaurant.

Quand je vérifiai ma montre, je réalisai que ce qui m’avait semblé quelques minutes était devenu une heure et demi. Je décidai de me mettre au travail. Comme en ce début de matinée il commençait déjà à faire chaud, je partis me changer. J’enlevai mon tee-shirt et mon jean pour prendre un débardeur et un short.

Je fus surprise quand je retournai dehors. Un grand homme noir était appuyé contre la clôture de derrière et me regardait. Il me sourit et je rougis. Il se présenta. Il s’appelait Sam Tuzla travesti et était un voisin dans la rue. Nous bavardâmes alors que je commençai à travailler. Il décida alors de m’aider à déplacer les choses : les chaises, la table de jardin, les pots de fleurs. Nous lavâmes les meubles de jardin et taillâmes quelques buissons. Bientôt nous étions en train de travailler côte à côte et je le sentais me frôler.

J’eus plus que quelques picotements quand son avant-bras frotta ma poitrine, quand sa main frôla mon cul et quand je pus sentir son souffle dans mon coup. Je le remerciai pour son aide et je lui offris de l’aider en retour.

– Je vous le rappellerai. Me dit-il.

Je sentis une douleur dans mon ventre et je réalisai qu’il était midi passé et que je n’avais pas mangé. Comme je me pliai sous la douleur, Sam s’approcha. Et quand je trébuchai vers lui, il enroula son bras musclé autour de moi tout en posant sa main sur mon cul.

Je retrouvai mon équilibre et Sam me libéra. Je lui demandai s’il voulait venir déjeuner avec moi. Un fois à l’intérieur, Il me demanda où étaient les toilettes. Je lui désignai le couloir et j’enlevai mes gants de jardinage.

J’étais en train de me laver les mains quand Sam arriva derrière moi. Il pressa son aine contre mon cul et il passa ses mains pour attraper mes seins.

J’attrapai une serviette et je m’échappai de son étreinte. Il recula et commença à enlever son pantalon. Bien sûr, je commençai à protester jusqu’au moment où sa bite à moitié raide apparut.

Je fus désorientée. Je voulais parler mais je ne pouvais pas. Je suis marié, j’aime mon mari mais je ne sus pas que faire.

Sam sourit à mon hésitation et il me montra son sexe du doigt en disant :

– Suce ma bite!

Il s’approcha et posa ses mains sur mes épaules.

– Cela n’a rien à voir avec ton mari. Je ne cherche pas de petites amies ou de femmes. C’est juste du sexe. Dit-il catégoriquement.

Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux. Et il ajouta :

– D’ailleurs, tu m’as proposé de m’aider à chaque fois que je le voudrais. J’ai donc besoin de ton aide maintenant.

Je me retrouvai à genoux, face à sa bite, à quelques centimètres d’une grosse et longue bite noire pour la première fois de ma vie. Je haussai les épaules et commençai à avancer la main. Ce ne serait pas la première queue que je sucerai.

Dans ma tête, mes pensées tourbillonnaient : « Que dirai-je à Jack? Devrai-je le faire? Comment avais-je pu me mettre dans cette situation? »

Je me résignai à en finir puis de l’expliquer à Jack avec tact et de lui promettre de ne pas recommencer. Ma saisit le membre quand mon voisin dit d’une voix plus grave :

– Si je voulais qu’une main fasse le travail, je le ferais moi-même. Je t’ai dit de me sucer.

J’enlevai ma main et ouvrit la bouche pour avaler la bite. Je la sentis grandir en suçant le gland. Puis je bougeai ma bouche sur le bout de la queue tout en faisant tourner ma langue. Comme la queue durcissait, je commençai à l’avaler complétement et à bouger ma bouche de haut en bas.

Mes mains voulaient le toucher. Mais quelque chose dans sa façon de parler me fit me sentir impuissante. Je mis mes mains dans mon dos. Il me sembla qu’il était content.

Cette bite était plus grosse que celle de Jack mais pas tant que ça. Ma bouche s’habitua à la taille et l’avala complétement. Puis je reculai et baissai mon visage pour pouvoir lécher et sucer ses couilles.

Il gémit alors que je suçais chaque couille. Je retournai à sa bite, bougeant ma tête de haut en bas. Sa queue était humide et s’enfonçait un peu plus dans ma bouche à chaque coup. Je le sentis gicler un jet de sperme pendant qu’il laissa échapper un long gémissement. Il y eut un deuxième jet puis un troisième. Je ne pus m’empêcher d’attraper son membre.

J’avalai son sperme et pressai sa bite en la tirant dans ma bouche pour récupérer toute sa semence. Puis je reculai et enroulai mes lèvres sur son gland en aspirant. Il me repoussa, sa bite sortant de ma bouche avec un « pop ».

– Maintenant, je suis prêt à déjeuner. Dit-il.

Il s’installa sur une chaise sans remettre son pantalon. Il ne portait qu’une chemise. Je me souviens avoir regardé ses pieds et m’être demandée quand il avait pu enlever ses chaussures et ses chaussettes.

Je me retournai et préparai le déjeuner, le goût de son sperme dans ma bouche jusqu’à ce que je prenne un verre de thé glacé. Je lui servis un sandwich avec des frites et un verre de thé. Je m’assis en face de lui. Il n’avait toujours pas remis son pantalon. Je ne savais pas que dire et je me demandai ce qu’il pensait. Je commençai à manger quand il dit :

– Enlève tes vêtements que je ne sois pas tout seul à être nu.

Je levai la tête, surprise Tuzla travestileri par ces paroles. Ce n’était pas une demande, c’était un ordre. Il ajouta :

– Je vais te baiser après le déjeuner.

Mon esprit voulut protester. Mais je me dis que j’étais déjà aller si loin. Je me levai et enlevai mon débardeur. Alors que je le tenais devant moi, Sam fit un geste pour me demander d’approcher. Il prit le vêtement et le laissa tomber sur le sol.

Il prit mes mains et les mit sur mes côtés. Son pouce et son index tordirent et roulèrent mes mamelons. Ceux-ci durcirent alors que je ne bougeais pas, les mains sur les côtés comme s’il les avait attachées. Plusieurs minutes s’écoulèrent pendant qu’il manipula ma poitrine. Il me pinça les tétons et j’eus mal. Il m’attira vers lui et suça chaque mamelon. Puis, ayant goûté aux deux, il me relâcha et se pencha en arrière sur la chaise.

– Le short maintenant! Dit-il.

Je descendis mon short le long de mes jambes. J’étais nerveuse en pensant à Jack et mes filles, mais je ne voyais pas d’autre solution. Je sortis de mon short et je me tins devant lui avec seulement une culotte.

Il tendit la main et passa le majeur entre mes jambes. Puis il me regarda et fit un geste. Je baissai les yeux, embarrassée soudainement à l’idée d’être nue devant cet homme. Je réfléchis et je me résignai à finir le travail. J’enlevai ma culotte.

Sam me regarda et revint à son assiette. J’étais mal à l’aise, debout nue alors qu’il commençait à manger. Alors je suis allée m’assoir sur ma chaise en face de lui. Nous avons discuté comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Nous avons mangé, parlé du quartier, de nos emplois, de la famille. Sam avait l’air très intéressé par ma famille et surtout par mes filles. Je compris pourquoi plus tard.

Après le déjeuner, je jetai les assiettes en papier à la poubelle et j’allai à l’évier avec mon verre. Sam fut de nouveau derrière moi et il posa ses mains sur mon cul.

Je ne savais pas que faire, me retourner et m’échapper ou juste en finir. En fin de compte, j’ouvrai mes jambes et arquai mon cul vers lui. Je sentis ses doigts séparer mes petites lèvres par derrière alors que son autre main montait à mes seins pour tordre et pincer à nouveau mes tétons.

Ses doigts jouèrent avec ma fente pendant quelques minutes et soudain je sentis un doigt me pénétrer. Sa main glissa contre ma peau. Je me rase le sexe. Je laisse juste un peu de poils pubiens taillés en v au-dessus de ma chatte.

Je sentis son doigt me pénétrer jusqu’à ce qu’il soit complétement à l’intérieur. Ma chatte devait déjà être humide car elle n’offrit aucune résistance. Un frisson traversa mon corps.

Je poussai mon corps en arrière sur son doigt alors qu’il le faisait tourner dans mon vagin. Puis il commença lentement à l’enlever et le remettre. Je sentis que ma chatte était vraiment humide. Ses doigts tirant sur mes mamelons envoyaient des ondes de choc à mon clitoris. Comme s’il lisait dans mes pensées, ses doigts trouvèrent mon clito et le frottèrent de haut en bas. Je pus sentir à quel point ses doigts étaient humides alors qu’il caressait cet endroit sensible.

Enfin, il me détourna de l’évier et me plia sur la table. Il écarta mes jambes. Puis il remit son doigt dans ma chatte et me baisa avec pendant quelques secondes. Puis tout d’un coup le doigt ne fut plus dans mon vagin et je le sentis près de ma bouche.

Il glissa son doigt entre mes lèvres et je goûtai mon propre jus. Après l’avoir bien sucé, Sam recula pour regarder ma chatte ouverte et humide. Il dit :

– Peut-être que la prochaine fois je baiserai aussi ton cul.

Mon esprit se perdit dans l’idée qu’il y aurait une prochaine fois. Puis je fus ramenée à la réalité par la sensation d’une bite frottant mon sexe. Je la sentis à l’entrée, puis je sentis le gland dans ma chatte. Sam avança et quelques centimètres de sa queue entrèrent.

Sa bite était plus grande que celle de Jack, mais pas tellement plus par contre elle était plus épaisse. Je gémis alors qu’il se retira un peu afin de pousser à nouveau pour mieux enfoncer son engin dans ma petite chatte. Bien qu’ayant eu trois enfants, ma chatte était encore petite et serrée.

Elle s’ouvra pour l’accueillir mais je la sentais bien. Sam était beaucoup plus grand et costaud que moi. Pendant un moment je pensai à la scène que verrait quelqu’un : Un grand homme noir mettant sa grosse bite dans une petite chatte blanche.

Au bout d’un moment, il fut complétement à l’intérieur de moi. Je pouvais sentir ses poils pubiens contre mon cul. Il resta un moment immobile, content de m’avoir complétement pénétrée.

Ma chatte était remplie et je m’habituai à cette sensation. Puis Sam recula et s’avança de nouveau. Il le fit lentement, Travesti tuzla sortant presque toute la longueur de sa queue avant de la glisser de nouveau à l’intérieur. Mes seins étaient écrasés sur la table et je réalisai que mes mains tenaient le bord opposé alors qu’il pilonnait ma chatte encore et encore.

Mon sexe serra sa queue à chaque coup de reins. Pour s’adapter à mon gabarit ses genoux étaient pliés. Après quelques coups de plus, il se retira en disant :

– Maintenant c’est le moment de bien baiser.

Il me retourna. Il me bougea comme une poupée de chiffon, plaçant mon cul au bord de la table. Il attrapa mes chevilles et écarta mes jambes largement. Je sentis son sexe se présenter à l’entrée du mien puis il poussa vers l’avant dans s’arrêter. Je sentis ses poils pubiens sur mon clitoris.

– Mmmmmm, belle petite chatte serrée. Gémit-il.

Je me souvins que je n’avais rien dit depuis que nous avions fini de manger. Maintenant je m’entendis gémir alors qu’il me baisait avec fougue. Quelque chose dans sa façon de faire et de me parler m’excitait. Il m’appela « sa petite salope blanche ». Cela sembla l’exciter lui aussi.

Il respirait fort et me baisait rapidement, claquant sa bite dans mon vagin. Bien que je ne le dise pas à haute voix, je pensai « Oh oui, fourre cette grosse bite dans ma chatte, prends-moi »

Je levai la tête alors qu’il tenait mes jambes ouvertes avec ses avant-bras. Je regardai se bite me pénétrer et je fus étonnée que non seulement ma petite chatte acceptait cette grosse bite noire mais qu’elle semblait la sucer.

J’étais en feu et excitée par cet homme qui me baisait. Il alla de plus en plus vite et poussa un grognement alors qu’il se vidait en moi. Je n’avais pas pensé à son sperme dans ma chatte mais je l’acceptai naturellement. Je prenais la pilule alors je ne m’inquiétai pas de tomber enceinte. Je me mis plutôt à penser à mon mari et à sa réaction s’il savait que ma chatte accueillait le sperme d’un autre homme. En fin de compte, j’étais ce que Sam disait : Une petite chatte blanche et chaude.

Après avoir vidé ses couilles en moi, il fit quelques va-et-vient supplémentaires avant de se retirer. Il recula les mains sur les hanches puis il me regarda pour voir son foutre couler le long de mes petites lèvres écartées.

Je vis sa bite, brillante de sperme entre mes seins qui se soulevaient. J’étais en train de reprendre mon souffle quand il fit un geste vers le bas en ordonnant :

– Suce et nettoie!

Je n’hésitai pas. Je me mis à genoux et je le pris dans ma bouche. Comme une bonne fille, je tins mes mains derrière mon dos. J’utilisai ma bouche et ma langue pour nettoyer entièrement sa queue jusqu’à ce qu’elle ne soit plus recouverte de sperme mais seulement de ma salive. Je travaillai encore sous sa queue et sur ses couilles pour enlever les dernières gouttes de foutre.

– Bonne fille! Me dit-il.

Je me sentis fier. Son sperme dégoulinait de ma chatte sur mes jambes et je réalisai que je n’avais pas joui. Il me sembla naturel que je fusse là pour le satisfaire et non le contraire. En fin de compte cette idée m’excita.

Je voulais aller dans ma salle de bain pour frotter son foutre sur mon clitoris jusqu’à ce que je jouisse. Mais il me regarda et je constatai soudainement qu’il tenait un téléphone portable et qu’il prenait des photos de moi, sa bite dans ma bouche. Il me sourit et rangea le téléphone. Puis il m’expliqua qu’il allait dorénavant me baiser où et quand il le voudrait.

Il ajouta qu’il allait me fixer des règles. Je ne devrais plus porter de culotte en dehors de la maison. A la maison, je devrais porter une jupe, une nuisette ou rien. Les soutien-gorge et les culottes m’étaient interdits.

Je fus encore plus excitée quand il me dit que j’étais son jouet et qu’il allait me partager avec ses amis quand il le voudrait. J’étais sa vide-couilles et il me raconta avec beaucoup de détails ce qu’il prévoyait pour moi.

Toutes pensées de vie privée m’abandonnèrent. Je me retrouvai avec mes doigts enterrés dans ma chatte. Toujours à genoux, je l’écoutai tout en titillant mon clito jusqu’au moment où j’eus un orgasme fracassant. Sam me regarda tout du long et ria lorsque l’orgasme m’envahit, me faisant haleter et trembler.

– Suce et nettoie tes doigts. Commanda-t-il.

J’obéit et je pus goûter son sperme mélangé à mon jus.

Je l’avais entendu mais je ne l’avais écouté qu’à moitié. C’est seulement après son départ que je pensai à ma famille. « N’importe où et n’importe quand » commença à prendre un autre sens quand je me mis à penser à Jack et à mes filles.

En m’habillant, je décidai de parler à Jack et de ne plus voir Sam. Mais inconsciemment, j’obéis aux règles en remettant mon short mais pas ma culotte.

Je pensai à porter un short plutôt qu’une jupe. Et je me sentis un peu vaseuse alors que ma chatte palpitait d’avoir été pilonnée. Mes pensées passèrent d’un monde à l’autre. Je me demandai auquel j’appartenais. Etais-je une femme et mère dévouée ou une salope pour bite noire?

A suivre…

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Sortie Scolaire 06

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Beach

Hélène CARTIER, sous la contrainte, a accepté un rendez-vous de son maître chanteur le lendemain, elle est déjà prévenue de ce qui l’attend si elle veut récupérer sa tenue de bain. Déjà elle vient d’être en but aux sarcasmes de deux potards, alors qu’elle se fournissait en vaseline …..

Midi sonnait au clocher de la cathédrale lorsqu’elle arriva sur le parvis, accoudé à sa moto, Franck l’y attendait, un large sourire illumina son visage lorsqu’il la vit arriver.

Il avait de quoi jubiler : cette fière bourgeoise pliait sous sa volonté, il savait maintenant qu’il avait suffisamment assis son autorité sur elle pour ne plus employer que dans les cas extrêmes le chantage. Il sentait qu’esclave de ses sens, sa petite révolution personnelle l’enchaînait à lui, d’autant plus, il s’en doutait, qu’elle devait penser que cela ne durerait que le temps des vacances, à lui de faire qu’il en soit autrement ….. qu’il puisse poursuivre par la suite.

Il sortit un casque de ses sacoches, elle l’enfila sans un mot, se hucha sur le siège de la moto, consciente de l’inanité de toute manifestation, elle était décidée à le contenter pleinement, mais n’était-ce vraiment que dans le but de récupérer son maillot?

La moto démarra lentement, il se coula dans la circulation, et gagna la périphérie de Saint Quentin, un petit hôtel discret, dont il connaissait le patron, ce qui lui permettrait indirectement d’asseoir définitivement son emprise, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver par la suite, et comme souvent femme varie, il jugeait nécessaire, par pure précaution d’engranger les preuves de son infidélité.

Il gara sa moto sur le parking, et descendant, lui indiqua la porte d’entrée.

Tête basse, consciente de sa veulerie, elle se dirigea vers le hall d’entrée. Franck salua le tenancier d’un bref signe de tête.

Ce dernier, derrière son bureau tendit un formulaire au couple indiquant :

– “Si vous voulez bien remplir la fiche de police”.

– “Mais …. “

– Nous somme tenus de la faire remplir à chacun de nos clients”.

Intervenant alors, Franck lui intima :

– “Tu la remplis au nom de Monsieur et Madame CARTIER”

Sans plus chercher à comprendre, elle s’exécuta, elle ne pouvait savoir qu’elle lui fournissait ainsi une preuve indiscutable de son escapade, un redoutable moyen de pression.

Prenant la clef que lui tendait l’hôtelier, il la poussa vers les escaliers, s’attardant quelques instants, le temps de demander au propriétaire :

– “Tu m’en fais une photocopie?

– “Comme tu veux. ” accepta le triste bonhomme, subodorant une magouille.

Il rejoignit rapidement Hélène, et la main aux fesses, l’encouragea du geste à se magner le fion.

La chambre était petite, sommairement meublée d’un placard, un lavabo et un grand lit de deux personnes, des serviettes et un gant attendaient l’utilisateur sur le dossier d’une chaise. On ne pouvait ignorer l’utilisation qui était faite de ces chambres, visiblement elles accueillaient plus souvent qu’à leur tour les amants en goguette, voir les amours tarifiés.

De toute manière toute à sa promesse de la veille d’obéir à toutes ses volontés, Hélène sentait son cœur battre la chamade, il l’en avait averti, elle devrait lui sacrifier une virginité qu’elle n’avait jamais pensé accorder à quiconque, pour parler net, elle était là pour se faire enculer, elle tremblait déjà à cette idée.

Comment Pendik travesti allait-elle le supporter?

La douleur serait-elle supportable?

Saurait-elle aller jusqu’au bout? Elle le devait pour récupérer son bikini …

Comment cela allait-il se passer?

Elle blêmissait de peur, sure qu’il serait inexorable et qu’il lui imposerait ce gage qu’elle lui avait accordé à la légère. Si hier, bien qu’angoissante, l’idée lui avait parue envisageable, il en était autrement aujourd’hui, il y avait loin de la promesse à la réalisation, et ce qui hier n’était finalement qu’une projection aléatoire s’avérait à cet instant même une affolante certitude : elle allait y passer.

Rapidement, il se dévêtit, jetant au hasard ses fringues sur une chaise. Elle le regardait faire, pour la première fois elle pouvait prendre connaissance de son corps, Franck était normalement musclé pour un jeune d’une vingtaine d’années, il dégageait une impression d’énergie, peu commune, elle réalisait combien son jeune corps lui plaisait, se secouant pour sortir de sa contemplation absorbante, elle entreprit à son tour de quitter un à un ses vêtements, cherchant inconsciemment à subjuguer son “amant”, c’est avec des gestes mesurés, lascifs qu’elle dévoila petit à petit son corps, prenant bien soin, en ménagère soigneuse qu’elle était de poser ses frusques sur le dossier de la chaise, après les avoir méticuleusement pliés.

Elle se rendait compte du contraste qu’elle présentait alliant la sagesse de la femme respectable au déshabillage langoureux qu’elle lui prodiguait.

Enfin, alors que pas un mot n’avait été prononcé, elle s’agenouilla le long du lit, penchant son cou vers le glorieux pénis déployé qui s’offrait à sa convoitise, cette fois, il ne lui était nul besoin de réclamer cette caresse, comme ensorcelée elle se disposait à la lui prodiguer sans plus attendre.

Impatient il se cambra, proposant aux lèvres avides leur proie.

A peine eut-elle entrouvert les lèvres que déjà son gland s’insinua dans l’étroit passage. D’un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de sa langue et bientôt, il envahit sa bouche. Sa queue grossit rapidement, butant contre son palais.

Il entama alors un lent va et vient dans ma bouche, ses mouvements prirent de l’ampleur, il se servait de sa bouche comme d’un sexe, presque à chaque fois il butait au fond de sa gorge, pour éviter de suffoquer, pour limiter ses mouvements, elle posa ses mains contre son ventre, et modula la pression de ses lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula lui maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. Un flot de sperme envahit son palais s’écoulant lentement dans sa gorge, quelques filaments brillants s’échappant aux commissures de ses lèvres. Il la repoussa légèrement, maintenant néanmoins son visage près de son bas-ventre, elle en profita pour nettoyer méticuleusement sa pine, fière d’avoir obtenu si rapidement un tel résultat, un instant l’idée qu’il serait trop épuisé pour l’obliger à tenir ses promesses l’effleura.

Mais bientôt le chibre un instant défaillant repris de sa vigueur, elle le vit à nouveau se déployer glorieusement, un frisson courut le long de sa colonne vertébrale, l’instant fatidique était arrivé. Il se leva et la prenant aux épaules, la poussa l’obligeant à s’agenouiller sur le lit…

Ses doigts progressèrent Pendik travestileri soudain vers le centre de ses fesses, s’insinuant dans la raie serrée qui séparaient ses deux globes voluptueux, son majeur suivait le fond du sillon velouté. elle tressaillit au contact de son doigt sur son œillet anal. Il palpa lentement les contours de son anus, en éprouvant l’élasticité.

Il réclama alors :

– “Alors chérie, tu as amené ton tube de vaseline?”

– “Oui, oui je ….”

– “Où l’as-tu mis?”

– Dans mon sac, sur la chaise …”

Se relevant il lui ordonna de garder sa posture, d’un geste vif il ouvrit le réticule de la dame et s’empara du tube souhaité, en un clin d’œil il perça l’opercule et recueillit une noisette de vaseline au bout de son index, puis s’approchant des fesses de sa pénitente, il ordonna :

– “Prends tes fesses à deux mains et ouvres bien ton cul”

Servilement elle s’exécuta, face enfouie dans le couvre lit, elle tendit les bras et agrippa ses fesses, qu’elle écartela vigoureusement, livrant son anneau inviolé à la convoitise du sbire déjà enflammé.

Lentement, la faisant frissonner autant d’angoisse que d’impatience, il caressa longuement le petit puits largement exposé, en enduisant lentement la corolle d’une épaisse couche de pommade, puis d’un geste inexorable, il fora l’anus malgré tout rétif, introduisant un doigt curieux dans son boyau plus du tout secret.

Le fragile orifice céda sans plus de résistance, et elle sentit la première puis la deuxième phalange investir son intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans son cratère, évasant le plus possible le sphincter pour l’assouplir.

Alors qu’elle craignait tant d’avoir mal, très mal, elle sentait le doigt inquisiteur forer avec habileté son passage, ne créant qu’une vague gène, la sensation étrange de percevoir petit à petit son boyau s’adapter à la taille de l’index fouineur. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :

– ” Je vais forcer tes reins. Tu me faire l’offrande de ta dernière virginité. Ce sera délicieux, j’en suis sur, tu vas aimer!”

– Oui, prends moi par là râla-t-elle, troublée jusqu’à la moelle.

Un second doigt, puis un troisième, dilatèrent encore son sphincter annelé, cette fois la gène se muait lentement en une extravagante sensation d’élargissement, il lui semblait que telle un goulot de bouteille, son cul recevait le bouchon qui lui était depuis toujours destiné.

Elle ne souffrait même pas, c’était comme si son esprit, ayant depuis bien longtemps abdiqué toute idée de révolte, s’étant fait à l’idée d’accorder son dernier trésor intime, anesthésiait toute sensation douloureuse, accompagnant avec soin la profanation de cet endroit qu’à peine une semaine avant elle pensait encore tabou.

Elle sentait d’ailleurs, physiquement son boyau culier se défroisser, se déplier, se conformant aux désirs de son enculeur.

La sentant prête, il présenta son sexe raidi au fébrile annelet, elle sentit le gland brûlant se glisser dans le sillon de ses fesses, se posant sur a boutonnière anale, toute frissonnante.

Il se guida d’une main sure et poussant inexorablement, il força le sphincter mater à jouer et à s’ouvrir, pour laisser le gland creuser son nid dans ses reins soumis.

Un instant de répit, le temps de la laisser s’habituer à cette présence inhabituelle à Travesti pendik l’orée de ses reins, et le gland reprit sa lente progression, millimètre par millimètre, il s’enfouit inexorablement dan son anus.

Elle se mit à haleter, ressentant soudain une brutale brûlure au cœur de son conduit, mais chaque gémissement, chaque tremblement contractait son muscle anal autour du gland qui le distendait, facilitant son enfouissement au tréfonds de ses entrailles Son souffle se bloqua dans sa gorge, elle étouffait. Mais plus ne pouvait l’arrêter.

Peu à peu, son fourreau s’adapta à l’envahisseur, la douleur s’estompa.

Elle détendit son sphincter, et bientôt, son gland buta au fond de sa matrice.

Longuement il força ses reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein, au lieu de la déchirure tant crainte, elle sentait son boyau se conformer à la masse du pénis enfoui dans ses reins, elle se sentait pleine à ras bord, jamais elle n’avait ressenti une telle impression.

Chaque coup de boutoir était rythmé du claquement sec produit contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l’anneau, la laissant pantelante un instant avant de labourer à nouveau ses reins. Elle sentait ses sphincters anéantis, son anus béait sans se refermer même lorsqu’il le libérait complètement. Petit à petit, son corps se mit à participer, par d’amples coups de reins elle sollicitait maintenant son enculeur, s’empalant à fond à chaque poussée, le sentant sur le point d’éjaculer, elle contracta ses muscles fessiers cherchant à encore approfondir l’intromission.

Prisonnier d’un gant de fer, il eut tout le mal du monde pour parvenir à se retirer sans s’être exonéré au fond de ses reins.

Sortant avec effort de son anus plus du tout secret, il l’enjamba, s’assit sur sa poitrine et, haletant lui mit la queue dans la bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure de son annelet.

Il éjacula longuement dans sa bouche, sa jouissance lui sembla interminable. Le sperme coulait impétueusement dans sa gorge, elle avait à peine le temps de déglutir, pas le temps d’en savourer le bouquet salé.

Enfin, les reins encore secoués de brefs spasmes, il s’effondra à ses cotés, la laissant pantelante reprendre ses esprits, effarée d’avoir pris un tel plaisir à ce qu’hier encore elle considérait comme la pire des turpitudes. Bien sur son conduit anal la brûlait, mais n’était-ce pas la juste rançon d’un tel éblouissement, car, elle en était convaincue, sans même le sa voir, du moins le croyait-il, d’un coup, d’un seul il venait d’en faire une fervente de l’enculage.

Elle s’assoupit sur le lit, la laissant récupérer, il en profita pour fouiller son sac à mains, différentes enveloppes adressées à son nom le convainquirent rapidement qu’elle avait indiqué sa véritable adresse sur le registre de l’hôtel, cela lui suffisait, il s’allongea à ses cotés et se laissa emporter dans un somme réparateur.

Déjà la sonnerie du réveil réglée sur 16 heures trente résonnait dans la chambre, rapidement, ils se rhabillèrent, elle descendit l’attendre sur le parking, tandis qu’en échange d’un billet de 20 euros, le portier lui livrait une photocopie de la page du jour du registre.

Quelque minutes de moto, et ils regagnaient le parvis de la cathédrale, le temps de récupérer les sacs de linge propre au pressing, et déjà le car convoyant enfants et accompagnateurs se pointait, sous l’œil goguenard de son amant, elle prit place dans le minibus, éprouvant quelques petites douleurs pour s’asseoir.

Déjà le car repartait vers le camping qui les accueillait.

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Viols au lycée 05

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Brunette

Viols à l’université Ch 5 La nouvelle prof

High School Rape Club – V

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite logique de

High School Rape Club 1, 2, 3 & 4″ (Viols au lycée Ch1, 2, 3 & 4)

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Remarque : tous les protagonistes de cette histoire ont plus de 18 ans.

Cheryl Dawson était follement heureuse d’avoir dégoté un poste au lycée de Porterville, qui était considéré comme le meilleur lycée de l’état sur ces dix dernières années.

L’année précédente on lui avait confié une classe d’ados, elle était prête à s’installer avec son mari à Junction City dans le sud profond où Jeff son mari pouvait obtenir sa mutation et où elle pourrait prendre en main une classe des élèves plus âgés.

A 25 ans, mariée depuis 1 an à son amour d’enfance, Cheryl avait postulé pour Porterville juste après avoir obtenu son diplôme d’enseignante, elle voulait prendre place sur la liste des candidats à un poste d’enseignant dans ce lycée, sachant qu’il fallait généralement attendre 5 bonnes années avant de voir exaucer ses vœux.

Le fait d’être une ancienne du lycée lui donnait une certaine bienveillance de la direction sinon une certaine priorité, d’autant plus qu’elle y avait été chef de classe, membre des représentants d’élève et pom-pom girl.

Avec ses prévalences, Cheryl supposait que se serait l’histoire de quelque temps pour qu’apparaisse une opportunité au vu du nombre de responsables qui savaient son profond désir de revenir enseigner dans son ancien lycée.

En fait, elle espérait enseigner au coté de Gayle Meese, maintenant madame Gayle Benton, sa grande sœur de fraternité qui avait été nommée à Porterville un an après avoir obtenu son diplôme.

Aussi lorsqu’elle reçut un coup de fil de monsieur Grant le principal du lycée tout début juillet, elle apprit avec joie qu’il y avait une ouverture et qu’il voulait la rencontrer pour en discuter.

Lors de son entrevue avec monsieur Grant, elle apprit avec stupeur que c’était justement Gayle Benton qui devait quitter brusquement son poste, apparemment son mari s’était vu transféré dans une branche européenne de la compagnie dans laquelle il travaillait.

Lorsqu’elle avait rencontré Gayle à la dernière réunion de leur confrérie à Noé dernier, elle lui avait confié combien elle était heureuse d’enseigner au lycée de Porterville lui promettant de lui téléphoner dès qu’une opportunité de la rejoindre se ferait jour.

De ce fait, Cheryl avait été extrémement surprise que Gayle ne l’ait pas appelée, elle conjoncturait que la mutation de son mari avait du être diablement brutale pour qu’elle quitte Porteville sans tambour ni trompette.

En fait Gayle n’avait pas oublié de téléphoner à sa petite sœur de fraternité, lorsqu’elle avait pris la décision de quitter Porterville, c’était délibérément qu’elle ne l’avait pas fait espérant que son amie n’entendrait jamais parler de la vacance de son poste.

Gayle avait vécu une année enthousiasmante jusqu’aux derniers jours de l’année scolaire.

Elle avait adoré enseigner dans cet établissement réputé pour son excellence et son haut niveau d’étude.

Cependant le rêve de la belle Madame Gayle Benton, avait tourné au cauchemar le dernier jour de l’année scolaire.

Comme n’importe quel autre collège, Porterville avait ses fruits pourris et entre autres ceux qui avaient pour tous talents d’être d’excellents basket-teurs.

Et bien entendu, ces gaillards ne s’intéressaient absolument pas à la chose scolaire.

Elle ne voulait pas leur octroyer de notes leur permettant de passer dans la clase supérieure s’ils ne le méritaient pas, ils détestaient ces ensei-gnants qui ne considéraient pas qu’ils étaient justes là pour jouer au basket et porter haut les couleurs de Porterville.

Gayle leur apparaissait comme une prof anachronique qui considérait que mieux valait une tête bien pleine que des pectoraux développés, ils l’avaient surnommée ‘la frigide petite pute cette salope qui ne voulait pas comprendre qu’ils étaient là pour jouer au basket.

Marcus Green le capitaine de l’équipe de basket B ne s’intéressait qu’au basket, il espérait parvenir un jour à jouer en ligue nationale.

Mais pour Marcus et ses coéquipiers noirs de l’équipe B, le B.B pour équipe B de Basket s’était transformé en Gang des grosses bites noires.

Et comme s’était vraiment un enculé, il avait développé un penchant pour… Pour les chattes des blanches!

En tant que capitaine de l’équipe de basket B, Marcus adorait se relaxer, et plus encore s’allonger sur de ravissantes putes blanches.

Leur première malheureuse victime avait été Lori Baxter, une blonde pom-pom girl très sexy, ils s’étaient emparés d’elle sur son chemin de retour après un match de basket.

Marcus et ses comparses l’avait maintenue au sol pendant que Joey vio-lait cette chaude petite chienne, lui dépucelant le cul alors qu’elle luttait pour rester vierge.

Puis ils l’avaient Kadıköy travesti sautée chacun à leur tour, la partousant en chœur l’en-culant férocement alors qu’elle avait déjà une bite dans le con et une au-tre en bouche.

Julie Norris un rouquine une des joueuses de l’équipe de basket fémi-nine avait été leur seconde victime, Julie venait de remporter son championnat grâce à sa vitesse d’exécution, mais cette vitesse n’avait pas suffi à la sauver de l’attaque du gang des bites noires alors qu’elle retournait chez elle après un jour de classe.

C’est Toby Hopkins qui avait eu la joie et l’honneur de cueillir son pucelage, Marcus maintenant sa main serrée contre sa bouche alors que le jeune colosse noir plongeait sa grosse bite dans son étroite petite chatte.

Volontairement, Gayle Benton ne l’avait pas avisée de la vacance de son poste, elle avait été victime des menées du gang des bites noires de Porterville.

Ils l’avaient accostée le dernier jour de classe de l’année, l’avaient rete-nue captive dans sa salle de classe et lui avaient fait endurer une épreuve qu’elle n’avait rapporté ni à la police ni à ses amies les plus proches.

La sœur de fraternité de Cheryl avait demandé sa mutation pour Londres pour accompagner son mari qui était transféré à la branche européenne.

C’était une sacrée promotion pour Jeff Benton, il se préparait à affronter la volonté de sa femme qui voulait rester à Porterville, mais elle avait soudain changé d’opinion et avait décidé de partir pour Londres dès le début de juillet.

En fait elle cherchait à fuir les horreurs qui l’attendaient si elle était restée enseigner à Porterville, elle était certaine que Marcus et sa bande n’hési-teraient pas à la faire chanter, la réduisant à une sorte d’esclavage sexuel en échange de leur silence.

Epinglée sur le bureau d’où elle enseignait les maths à la classe des deuxièmes années elle s’était fait impitoyablement violer.

La possibilité d’échapper à ces vils salauds en quittant Porterville l’avaient délivrée de la peur et des appréhensions qui la hantaient, tout au moins jusqu’à la semaine précédente lorsqu’elle s’était rendue compte qu’ils l’avaient engrossée.

Elle devait donc consulter un registre des lois locales pour se documenter sur réglementation en vigueur régissant les avortements.

Six semaines plus tard, Gayle et son époux commençaient à rechercher un domicile à Londres ainsi que les magasins où se fournir et s’équiper.

Mais Gwen devait accomplir personnellement une chose bien particu-lière, elle devait dénicher un médecin ou une clinique pratiquant les avor-tements.

Elle s’était fait violer le dernier jour de l’année scolaire par le gang des grosses bites noires, elle était grosse des oeuvres de l’un d’eux, exacte-ment comme Marcus Green l’avait cyniquement espéré en gloussant tandis qu’ils la baisaient à couilles rabattues.

Le cœur de Gayle s’affola en lisant que son amie Cheryl Dawson allait la remplacer, elle priait pour qu’elle ne subisse pas le même sort.

Elle n’avait pas oublié d’appeler sa petite sœur lorsqu’elle avait pris la décision de quitter Porterville en fait c’est délibérément qu’elle ne lui avait pas téléphoné, espérant qu’elle n’aurait pas vent de la vacance de son poste, elle ne voulait pas l’informer de son triste sort.

-Devrai-je l’appeler pour la mettre en garde?

-Dois-je lui confier ce qui m’est arrivé? Se demandait-elle, mais la simple pensée de devoir rapporter le sauvage viol qu’elle avait subi entre les malins de ses ignobles agresseurs noirs qui avaient rava-gé son corps.

De retour à Porterville, vêtue d’une tenue sportive et portant des tennis aux pieds, Cheryl venait de dépoussiérer sa classe après les deux mois de vacances, un chiffon mouillé en main elle s’attaquait à son bureau.

Comme elle remplaçait son amie Gayle et qu’elle allait occuper la même salle classe, Cheryl ce dit qu’elle mettait les pieds dans les pas de sa grande sœur de fraternité.

En essuyant la surface de son bureau, Cheryl pensait :

-Je vais reprendre ses cours de maths, assise à son bureau!

Cheryl essuyait la poussière du bureau avec le chiffon mouillé utilisant le long ongle de son pouce pour gratter quelques taches séchées qui résis-taient.

Si elle avait su que la dernière fois que ce bureau avait été utilisé, le dernier jour de la dernière année scolaire son amie était étendue nue en travers du bureau, alors que les membrés gang des grosses bites noires se succédaient dans son intimité.

Ces taches séchées représentaient les dernières traces de cette mémo-rable journée.

Elle prit le seau d’eau sale et le jeta dehors avant d’aller le remplir à nouveau. Cheryl remarqua alors plusieurs étudiants qui mimaient des dribbles de basket, sortant de la salle de gym.

Alors que les 4 ados poursuivaient leur chemin, Cheryl sentit un vent de nervosité la gagner à la vue de ces musculeux jeunes noirs.

Mais peut-être bien que c’était autre chose qui la rendait nerveuse… Ils étaient tous Kadıköy travestileri COLOSSAUX et NOIRS!

Gwen était proche de la panique lorsqu’un des jeunes jouant avec le bal-lon lui souhaita :

-Bon après-midi madame… Vous devez être une nouvelle enseignante! Je m’appelle Marcus Green, je suis capitaine de l’équipe B… De l’équipe de basket veux-je dire…

Puis il lui présenta ses copains, elle sourit et répliqua :

-Heureuse de vous rencontrer… Je suis madame Dawson et je vais enseigner les maths aux deuxièmes années…

-Et madame Benton? Elle ne revient pas cette année? Demanda l’un des joueurs.

-Son mari a été muté à Londres, apparemment ils ont du déménager précipitamment… Répliqua Cheryl calmement.

-Connaissez-vous madame Benton? L’interrogea suavement le dé-nommé Marcus.

-Oh oui… Rétorqua Cheryl Nous étions ensemble au collège!

-Madame Benton était une excellente enseignante… Et très jolie de surcroît! Commenta Marcus nous avons tous participés à ces cours dans cette salle!

Cheryl était loin de se douter du double sens de ces mots, il ne parlait pas de ses cours de maths, mais bel et bien du viol de cette ravissante prof sur le bureau duquel elle délivrerait bientôt son enseignement.

Puis un des ados nommé Joey lui sourit à pleines dents et ajouta :

-C’est sûr c’était ma prof favorite!

Puis les quatre jeunes gars la quittèrent poliment sur un dernier au revoir madame convivial.

Cheryl se sermonna d’avoir ressenti cette pointe de nervosité lorsqu’elle les avait vus s’approcher d’elle.

Elle était fort surprise de constater leur politesse qui détonnait de la part d’étudiants actuels, et maintenant elle était plus que ravie de pouvoir enseigner dans son ancien lycée.

Cheryl ne se doutait pas qu’en fait Marcus et sa bande l’avaient dupée.

Puis elle avait rencontré un de collègues à qui elle venait d’être présen-tée plus tôt qui se montra fort surpris de la voir déjà là milieu de l’été, elle lui répondit

-J’ai pensé que je pourrai venir aujourd’hui visiter ma classe, mon mari a du s’absenter jusque tard demain soir.

-Bordel, elle est drôlement mignonne la nouvelle prof les gars!

-Sûr… Une belle petite à baiser! s’exclama Marcus à l’adresse de ses comparses une fois la porte du lycée franchie.

-Putain, je me demande si on ne ferait pas mieux de revenir sur nos pas pour l’aider à s’installer dans sa classe… L’aider à s’allonger sur son bureau… Et la faire tortiller du cul à poil sur son bureau! Ricanait Toby.

-Bordel de merde, y a trop de monde pour l’instant, trop de monde qui préparent les classes pour la rentrée! Un seul cri et on l’aurait dans le cul! Et comme je viens tout juste d’avoir 18 ans je serai bon pour 20 ans de taule les avisa Tyrone l’air sombre.

Marcus gloussa, la main pointée sur l’énorme bosse qui déformait l’avant du short de Toby, en signalant aux autres :

-Hey les gars, regardez Toby… Rien que l’idée de sauter cette pe-tite pute et il se tape une gaule pas possible!

Explosé de rire il ajouta :

-Lorsque l’école fermera, ils ne vérifieront pas qui stationne dans le parking des profs! On va y ranger la voiture ainsi nous pourrons suivre cette ravissante petite salope jusque chez elle, et peut-être bien qu’on pourra profiter d’une opportunité de s’la faire! Je l’ai entendue dire à cette vieille baderne de Norton que son mari ne rentrerait pas avant tard demain soir! Bordel ce qu’elle doit être bonne à baiser! On pourrait peut être goûter à sa petite chatte sans trop attendre! Je parie qu’elle doit être bien douce et juteuse!

Une heure plus tard, Cheryl fermait à clef sa porte de salle de classe et chargée du seau et des chiffons qu’elle avait apporté, elle se dirigeait vers le parking et chargeait son équipement dans le coffre.

Elle grimpa à sa place et mit le moteur en route, puis elle quitta le par-king après avoir bouclé sa ceinture de sécurité.

Elle se glissa alors dans le trafic pour retourner chez elle à 5 km de l’école.

Insouciante elle n’avait pas remarqué la voiture argentée qui était sortie du parking derrière elle et qui la suivait maintenant à une courte distance.

Marcus pensait qu’il s’agissait juste d’une filature préparant une future visite à la ravissante prof de maths et surtout de savoir si le voisinage décourageait les rôdeurs.

Toutefois, alors qu’il se garait au coin de la rue, à la vue de la charmante jeune femme sortant de sa voiture rangée dans son garage, Toby avait sorti sa bite et se branlait à ses cotés se souciant peu de savoir si ses copains assistaient au spectacle, il grognait :

-Bordel, Je ferai n’importe quoi pour fourrer ma grosse bite dans la chatoune de cette somptueuse pute! Elle semble vraiment très in-nocente et naïve pour une prof! Je parie que la baiser dans sa maison sera bien plus facile que dans sa foutue classe…

-Putain tu ferais mieux d’arrêter de te branler avant de gicler sur le siège espèce de trou du cul! l’engueula abruptement Travesti kadıköy Marcus.

Cheryl était entrée dans sa cuisine et sortait une boite de jus d’orange de son frigo.

En finissant de vider le verre cette boisson rafraîchissante qu’elle s’était servie Cheryl jeta un oeil sur les fleurs qu’elle venait de planter dans le parterre derrière la maison, puis elle posa le verre vide dans l’évier avant de monter à l’étage pour prendre une douche.

Si elle était restée quelques secondes de plus dans la cuisine, Cheryl aurait vu des importuns sauter la clôture de bois de l’arrière cour prenant pied dans sa propriété.

Cheryl disposa une tenue propre sur l’arête de la baignoire comme elle le faisait d’habitude, puis elle enleva sa robe, son soutien-gorge et sa petite culotte tout en testant la chaleur de l’eau de la douche avant de pénétrer dans la cabine.

Comme elle se pensait seule dans sa maison, la porte de la salle de bain n’était pas verrouillée, elle était même restée entrebâillée.

Elle se savonna sous l’eau chaude qui cascadait sur son corps, elle avait le dos tourné vers la porte de la salle de bain, elle était totalement inconsciente que trois vils agresseurs se glissaient discrètement dans la salle de bain.

-Aieeeeeeeeeeee hurla-t-elle lorsque la porte de la cabine de douche fut brutalement ouverte, son cri fut tout de suite étouffé par la grosse main calleuse qu’un de ses agresseurs plaquait sur sa bouche.

Elle reconnut un des adolescents qu’elle avait rencontré dans le hall du lycée, le nommé Toby qui la maintenait fermement tout en la traînant hors de la cabine.

Extraite de la cabine de douche ou l’eau de la douche continuait à s’écouler, elle se mit à trembler en reconnaissant le chef de la bande, celui qui s’était présenté sous le nom de Marcus Green.

-Hello prof! Nous représentons le comité d’accueil de Porterville… Et comme t’es une toute nouvelle enseignante on est venu t’accueillir pour faciliter ton insertion dans notre petite communauté! Exposait ironiquement le chef de la petite bande.

Puis comme Toby l’entraînait plus loin, elle entendit Marcus lui indiquer :

-Tiens la bien Toby! Notre mignonne petite prof n’a pas eu le temps de rincer sa petite chatoune! Cela risque de donner un goût de savon à sa chatte lorsqu’on voudra lui bouffer le gazon! Je n’aime pas trop le jus de chatte savonneux!

Elle observait stupidement le vil ado mettre en coupe sa main sous le jet de la douche pour recueillir assez d’eau pour lui rincer ensuite la fou-foune.

Tout en promenant sa main nue sur son ventre et son mont de venus, Marcus jubilait de voir de grosses larmes perler à ses paupières alors que son doigt tendu franchissait la jointure de ses cuisses pour parcourir sa fentine ce qui la fit frissonner de répulsion.

Comme Toby s’efforçait de l’entraîner hors de la salle de bain, Tyrone lui prit les jambes pour aider son copain, Marcus ferma la douche avant de les rejoindre dans la chambre principale.

Joey avait tout filmé depuis le début de l’agression dans la cabine de douche jusqu’à son transport dans la grande chambre.

Tenue fermement sur le grand lit, les poignets bloqués au-dessus de la tête, une des mains de Toby plaquée sur la bouche alors qu’il brandissait l’autre de façon menaçante devant son visage tout en la prévenant :

-Je ne voudrai pas avoir à te foutre ma main sur la gueule ma petite prof chérie! Vas-tu te calmer? C’est d’accord?

Tremblante de peur Cheryl sentit que Toby libérait sa bouche alors que Tyrone posait un cran d’arrêt sur sa table de nuit, puis paniquée, elle sentit quelqu’un empoigner son entrecuisse alors qu’on écartait ses cuis-ses en grand.

-Oh mon Dieu… Oh, mon Dieu… Mon Dieu… Nonnnnnnnnnnn! Sanglotait Cheryl alors que Marcus sortait entièrement nu de la salle de bain tenant dans sa main sa petite culotte rose dans laquelle il se branlait furieusement.

Puis il la remonta sur ses narines savourant visiblement ses flagrances intimes.

Un mouvement attira son oeil, elle se focalisa sur la grosse bite noire pendant entre ses cuisses maintenant, clairement visible maintenant qu’il en avait le petit rempart rose.

-Oh mon Dieu son membre est bien plus gros que celui de Jeff! Réalisa-t-elle à la vue de l’épaisse queue ébène.

Les yeux écarquillés par l’incrédulité elle était fascinée par l’épaisse mentule qui palpitait entre ses cuisses se tenant selon un angle de 45°.

Puis il enveloppa sa bite dans sa petite culotte rose et il recommença à se branler âprement.

-Non… Non, je vous en prie… Je vous en prie, nonnnnnnnn… Se lamentait-elle alors qu’il s’approchait du lit se penchant sur elle.

Le sourire démoniaque qu’il arborait, sa façon salace de se pourlécher les babines l’affolait totalement.

-Oh mon Dieu… C’est un fou… Un dément… Se disait-elle en le voyant frétiller de la langue les yeux braqués sur elle.

-Nonnnnnnn… Nonnnnnnn… Arrêtez, arrêtezzzzzzz… Pleurnichait-elle alors qu’il posait les mains sur la face interne de ses cuisses enfouissant son visage démoniaque dans son entrecuisse.

-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Gémit-elle alors en secouant frénétiquement sa tête, ses longs cheveux blonds fouettant l’oreiller alors que sa langue s’enfonçait dans sa caverne la rendant folle.

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Prise Dans Un Cercle Viceux 10

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Bdsm

Nicole embrasse sa nouvelle vie avec gourmandise, elle se fait belle pour son amant. Une fois de plus, Jacques est en déplacement pour la semaine. Elle est dans la chambre que son amant a loué pour être plus de discrétion avec son entourage, elle se pomponne à sa demande pour une soirée festive avec ses amis. Pour commencer, elle se nettoie et lubrifie son petit trou. Après une bonne douche, elle enduit son corps de lait parfumé. Puis, afin de ne pas trop abîmer ses cheveux, elle les coiffe pour qu’ils lui retombent sur les épaules. Elle applique un fond de teint mat et du flush pour faire ressortir ses pommettes, puis, dessine le contour de ses lèvres avec un crayon violet et les recouvre d’un rouge à lèvres assorti mat.

Sa bouche paraît encore plus grande et plus pulpeuse. Une invitation à la fellation! Nicole s’admire, un sourire coquin sur les lèvres. Elle se farde ensuite les paupières supérieures de nuances plus claires sur les contours pour un regard plus profond. Pour finir, elle trace sur le contour de ses yeux un épais trait d’eye-liner et charge ses cils de mascara noir. Elle souhaite charmer son amant d’un regard de biche.

Elle retourne dans la chambre, entièrement nue, contourne le chien qui s’y trouve, il est à un ami de Karim. Elle sort la tenue qu’il a prévue pour l’occasion. Elle rentre au chausse pied dans le corset qui la sert bien à la taille, ses seins rentrent tout juste dans les bonnets bien échancrés et sans bretelles. Elle passe ensuite un string de fines dentelles noir ouvert à l’entrejambe, laissant ainsi libre accès à son intimité. Avec beaucoup de précautions pour le ne pas les filer, elle passe ses bas résilles à la jarretelle, elle aussi, faite de fine dentelle et auto fixant. Bien qu’inutile, elle fixe ensuite les six portes jarretelles pendantes de son corset.

Pour cette soirée, son amant a exigé qu’elle soit épilée, manucurée, qu’elle se me fasse un lavement anal, … Elle a beaucoup aimé l’épilation, en tout cas. Depuis, elle va très souvent au centre d’esthétique, et il lui arrive de plus en plus souvent de pratiquer le lavement, ce qui l’amène inévitablement à se caresser le sexe et à se mettre un ou voir deux doigts dans l’anus…

Nicole sent que sexuellement, elle va devoir être patiente ; Jacques ne la touche plus, il lui tourne carrément le dos pour dormir.

Plusieurs pensées perverses lui traversent l’esprit. Nicole repense à ces queues qu’elle a dû sucer, à la façon dont elle a été prise, comment elle a fini la soirée sodomisée par son mari… Elle a eu plusieurs orgasmes, ce soir-là. Je n’avais connu ça qu’à très peu de reprises avec Karim.

Elle avait joui plus de fois en quelques heures, avec les trois hommes pendant toute la durée de la soirée… Les sentiments et les sensations contradictoires lui harassent le cerveau…

Malgré elle, elle a espéré ça, elle a aimé être traitée comme une pute, comme une chienne. Nicole a aimé leur sucer leurs queues, lécher leurs couilles… Elle a adoré qu’ils crachent dans sa bouche, qu’ils éjaculent sur sa langue, elle a aimé avaler. Elle affectionne le goût du sperme. Elle a adoré cette sensation, cette sensation que c’était elle qui les faisait jouir. Elle a apprécié se faire mordiller le clitoris, sentir leurs langues sur son anus, et dedans aussi. Elle a adoré les doigts dans son cul. Elle a aimé que ces trois amants la baise tous en même temps… Surtout, elle a apprécié se faire partouzer, elle aime ça, elle l’avoue.

Nicole n’a pas voulu tromper Jacques. Enfin, elle a choisi de calmer son corps, dans un premier temps, parce que plus le temps passait justement, plus je sentais Jacques s’éloigner. Non seulement il ne la touchait presque plus ; il avait repris des heures en plus à son boulot et elle commençait à croire qu’il l’évitait. Nicole ne voulait pas le quitter, elle l’adore. Alors que faire? Plus elle réfléchissait, plus une pensée se dessinait dans sa tête : il fallait qu’elle jouisse.

Mais comment? Avec qui? Nicole ne savait plus quoi faire. La réponse à toutes ses questions allait arriver d’une manière dont elle ne se serait jamais doutée… Karim est arrivé comme ça… Il l’a excitée sexuellement, elle en avait besoin.

Nicole est surprise d’entendre les invités dans l’escalier, le cœur battant, elle passe un déshabillé de mousseline transparent, à manches courtes, au décolleté plongeant, la drapant jusqu’à la pointe des talons, échancré sur toute la longueur de sa jambe gauche. Alors que les grosses voix s’approchent elle s’admire une dernière fois dans le miroir du placard.

Le chien aussi a entendu son maître approcher, dressé sur ses quatre pattes, remue sa queue de gauche à droite tout excité de le retrouver. Nicole a juste le temps de se présenter derrière la porte de la chambre pour ouvrir aux invités. Son cœur bat la chamade, elle a des bouffées de chaleur d’anticipation et d’excitation sur ce que va lui faire subir Karim avec ses amis. Affichant son plus beau sourire, le regard gourmand, c’est avec Dikmen travesti une certaine appréhension qu’elle leur ouvre la porte et accueille, Karim et Max, dans la chambre, plus sexy que jamais.

-Putain, mais ce que tu es bandante!

Ils la complimentent à leur manière. Karim l’attire à lui et colle sa bouche sur ses lèvres charnues.

Le cousin, pas en reste, se colle derrière la belle, son ventre appuyé dans le creux de ses reins. Il passe sa main gauche sous l’échancrure de la nuisette et lui fouille la vulve. Elle est déjà bien ouverte et humide d’excitation. De sa main droite, il lui attrape le poignet et la force à se cambrer d’une clé de bras. Karim lui attrape les seins à pleines mains et d’un mouvement brusque, il écarte les deux pans de la nuisette, il les extrait du soutien éphémère de son corset.

La bouche ouverte et dégoulinante de bave, Nicole sent la langue de son tortionnaire en elle. Il la fouille, s’amuse avec sa langue, leurs fluides se mélangent. Le doigt du cousin, lui masse le clitoris avec force et vigueur, rien à voir avec la douceur préventive de Karim, qui, de son côté, pince et torture ses tétons gonflés.

Max relâche la pression sur le clitoris tout gonflé et s’écarte de la femme. Quant a Karim, il relâche les tétons durcis de la belle pour attraper et écarter ses lobes fessiers. Toujours en bouche avec son amant les yeux fermés, elle ne voit rien de ce qui se trame autour d’elle.

Elle est surprise lorsque le cousin, à genoux derrière elle, se met à lui lécher la pastille. Le Max crache un gros mollard, puis s’en sert de lubrifiant pour commencer à lui fouiller le boyau de son gros doigt. Il la travaille quelques instants avant d’en insérer un deuxième.

-HUM HUM HUM !

La bouche engluée, la femme lâche des petits cris étouffés en cadence avec le pistonnage de son petit trou. Les mains libérées, elle écarte d’elle-même ses lobes fessiers pensant inviter Max à lui enfiler un troisième doigt. Quelle n’est pas la surprise de Nicole lorsque ce dernier se retire. Son contact chaud et brutal est vite remplacé par le contact froid d’une grosse boule métallique.

Le Max est en train de lui enfoncer la première boule d’un chapelet anal. Malgré sa préparation, le trou bien ouvert elle reçoit avec un peu de difficultés les quatre centimètre de la première boule d’acier. Le Max force un peu et hop, elle disparaît soudain dans le cul de Nicole qui, la bouche enfin libérée, lâche son premier râle de plaisir.

-AAAAAAAAAAAAAAAH

Le Max lui enfourne les trois dernières boules, laissant pendre la petite cordelette et son anneau entre les cuisses de la belle. Les deux hommes relâchent ensemble la pression sur la Nicole. Elle, le souffle court, les jambes tremblantes, les regarde sortir de la pièce, suivis par le chien.

-Allez ma belle, on a soif nous!

Nicole, un peu décontenancée par le désintérêt soudain des deux hommes à son égard, rassemble ses idées, réajuste sa nuisette et les suit dans le salon. Elle a tenu toute la journée pour se faire fourrer par ces amants, et ils la laissent là? La chatte ouverte, quatre boules dans le cul. Elle veut leurs bites, elle est bien décidée à être la meilleure des hôtesses.

Ils sont déjà assis dans le canapé du salon lorsque Nicole, d’une démarche très féline, les rejoint, les seins sans soutien bringuebalent de haut en bas sous le tissu transparent de la nuisette. Karim a déjà dégainé sa grosse queue à moitié bandée et se branle en douceur voyant sa belle approcher. Elle s’arrête, appuyée sur le chambranle de la porte, les jambes croisées, l’index entre ses lèvres avec de la gourmandise dans le regard, elle observe le gros gland apparaître et disparaître de la grosse peau sombre du prépuce.

Elle s’approche de la table basse, se penche, les seins pendants, pour servir ses invités. Elle leur tend un verre chacun et trinque avec eux sans avoir vu ce que Karim a versé dans son verre. Karim toujours la queue en main. Elle ne tient plus, elle s’approche de Karim et s’agenouille entre ses cuisses. Prenant le relais, elle le branle dans le cliquetis de ses bracelets. De ses lèvres maquillées, elle aspire le gland dans un bruit de succion, lentement, avec désir et dextérité. La grosse queue durcit entre ses doigts manucurés, elle accélère le mouvement et la gobe de ses lèvres maquillées.

– AH! Ouais, c’est ça ma pute, pompe-moi la queue.

– SLURP!! SLURP!! SLURP!!

Elle le pompe avec avidité, le rythme toujours imposé par son amant, elle lui caresse les boules qui se rétractent à son contact. Elle a enfin retrouvé cette belle bite, sa chatte frétille à l’idée de se faire labourer par ce beau morceau de chair dur comme une barre de fer. Karim la libère et lui laisse l’initiative. Elle le masturbe, relâche le gros gland, de la langue le lèche sur toute sa longueur, du frein jusqu’à ses bourses pleines de foutre, fixant le regard de son amant. D’un petit sourire, elle repart à l’assaut de ce pieu et l’aspire Dikmen travestileri de nouveau, cette fois en gorge profonde.

Les deux cousins trinquent de nouveau et boivent en l’honneur de la belle. Karim ne pensait pas que le produit verser dans son verre pour la mettre en chaleur n’agirait aussi vite. Nicole libère Karim pour s’occuper de Max. Elle s’approche à quatre pattes en bonne chienne, pose ses deux mains sur les genoux puis glisse le long de ses cuisses. Elle remonte ensuite le long du tissu du short jusqu’à l’élastique tendu sous le ventre. Encore caché sous le tissu, le sexe de Max pulse sous le nez de la femme.

Elle tire sur l’élastique pour déballer son paquet, une touffe de poils pubiens apparaît, d’où part une tige de chair bien dure. Elle passe ses mains fines sous les fesses du Max, fait descendre le short le long de ses cuisses, la tige est maintenant découverte. Prête à exploser, telle un ressort, la bite est complètement tendue sous l’élastique. Elle atteint enfin la base du gland, le morceau de chair apparaît tel une énorme fraise violacée. Comme une catapulte, la longue verge bien dure terminée par cet énorme gland jaillit au visage de Nicole la giflant au passage.

Elle l’empoigne à son tour pour le masturber, lui caresse ses grosses burnes de la main gauche, elle les soulève pour les porter à sa bouche. Elle ouvre la bouche, sort sa langue et lèche ces grosses couilles qui se rétractent à son contact humide.

Elle sent la main de Karim soulever le pan ouvert de sa nuisette pour exposer son joli petit cul. Il glisse ses doigts entre ses cuisses, s’immisce jusqu’à son intimité bien ouverte et dégoulinante de mouille. De sa main gauche, il écarte les lèvres de la moule offerte, se lèche le bout des doigts et les insère profondément dans un bruit de mouille. Il commence à la travailler en profondeur insistant sur le point G de la femme. Il accélère le mouvement, elle commence à aimer ce traitement et halète de son souffle chaud sur les bourses qu’elle lèche à grands coups de langue.

-HUMPH! SLURP! SLURP! HUM! HUM! HUM!!

La bouche pleine de ces grosses boules poilues, elle gémit de bonheur. Elle lâche les couilles de Max pour s’attaquer à sa belle queue. À ce moment-là, Karim insère un troisième doigt dans sa chatte et accélère encore le mouvement de va-et-vient dans la grotte distendue.

-AH! ARRG!!AAAAH OUI ! Continue ! AAAOUUCH!

Un instant distraite par la jouissance naissante, elle parvient tout de même vers le gland et tente de le mettre en bouche. Elle détend sa mâchoire, aspire le bout de la queue, salive abondamment sur la bite pour la lubrifier et en faciliter la masturbation. Karim se lève et se place derrière elle, les doigts plantés au fond de son minou. Il la soulève, les jambes tendues et écartées plantées sur les talons aiguilles, et la croupe bien exposée. Le mouvement de balancier plante le gros sexe de Max dans la bouche pulpeuse et détendue de la Nicole.

-HUMMMMMMPH!

Karim tente d’écarter la fine couche de mousseline couvrant le cul de Nicole. Mais la souplesse du tissu l’énerve, et d’un mouvement brutal arrache la nuisette et la jette derrière lui. Il l’agrippe par les hanches affinées par le corset, lui appuie sur les reins pour lui cambrer la croupe, exposant son petit trou d’où ressort la cordelette du chapelet, sa chatte ouverte. La femme est pliée en deux, le gros gland prisonnier de ses belles lèvres et les seins pendants hors de la guêpière sous sa poitrine.

Il s’agenouille derrière la belle et écarte la cordelette de sa vulve bien ouverte. Il entreprend alors un cunnilingus expert, lui lèche ses belles lèvres trempées, lui titille le bouton, s’aventure vers son petit trou, sa langue experte rend folle la femme, qui pompe le cousin avec encore plus d’envie et d’ardeur.

Après quelques minutes de ce traitement, alors qu’elle ferme les yeux appréciant la grosse langue de son amant et la belle bite qu’elle a en bouche, une douleur aiguë lui perce les tétons. Elle écarquille les yeux de surprise, les larmes montent, alors que les mains de Max lui maintiennent la tête en gorge profonde.

– HUMMMMMMMPH!

Il a bien préparé son coup, pendant que la belle ferme les yeux en proie à la bouche de Karim, il profite du moment, il tire les pinces à seins avec leurs masselottes. Étrangement, la douleur décuple les sens de Nicole qui sent un nouveau type de jouissance naître dans son ventre.

Les petites masses tirent sur les tétons de la Nicole, qui, les sens exacerbés par ces sensations, se saisit de la belle queue au fond de sa gorge, l’enserrant à la base des couilles. L’effet est quasi immédiat, elle sent les veines du mandrin de chair gonfler contre sa langue. Salivant abondamment, elle extrait la belle queue couverte de bave et la masturbe tout en continuant d’en aspirer le gland.

Maintenant, elle désire plus que tout sentir cette bite lui fouiller la chatte. Elle s’écarte à contre cœur de la grosse langue et Travesti dikmen tout en grâce, chevauche le Max vautré sur le canapé. Elle lui fait face, à califourchon, sa longue queue bien gonflée, écarte les cuisses au-dessus de son tortionnaire, elle guide sa bite luisante à l’orée de ses lèvres avides d’une bonne queue.

Ses seins reprennent place en-dehors du corset attiré vers le bas par les petites masselottes pendantes dans le vide. La douleur n’est rien comparé à l’extase qu’elle ressent en se masturbant à l’aide du gros gland turgescent contre son clitoris tout gonflé. Elle couine de plaisir.

-HUN HUN, OUII!!OUUUCHH! AAAARRRGG!

N’y tenant, plus, elle s’empale d’elle-même sur la belle queue, arrachant un gros râle de plaisir à son amant. Lui, en bon mâle, décide qu’il ne fera aucun effort, si elle veut prendre son pied, elle va devoir se débrouiller toute seule. Elle s’appuie alors de ses deux mains sur son ventre et, les pieds en appui sur le rebord du canapé, monte et descend à son rythme.

La douleur à la pointe de ses seins, accentuée par le balancement vertical des masselottes, est permanente. Ses cuisses commencent à la brûler à force de monter et descendre, la seule aide que lui apporte le Max est de lui tenir les chevilles en position, pour qu’elle garde de bons appuis. Il est évident qu’il prend beaucoup plus son pied qu’elle. Pourtant, alors qu’elle a abandonné tout espoir de jouir dans cette position, elle sent soudain une tension écartant sa pastille, avant qu’elle ne puisse réagir, Karim tire d’un coup franc sur le chapelet anal, sortant d’un trait les quatre boules métalliques.

-AAAAAAAAAAAAAAAH!

Elle est terrassée par la jouissance, les jambes flageolantes, elle n’ose plus bouger de sa position. Karim en profite, il soulève une Nicole complètement désarticulée par dessous les cuisses et présente son anus encore ouvert au gros gland de son cousin. Sous son propre poids, elle s’encule d’elle même dans une sorte de lamentation de jouissance.

Il la fait ensuite pivoter sur son axe de chair pour lui faire face, elle tourner le dos au cousin. Il lui écarte les cuisses pour bien exposer son puits d’amour, et y présente sa grosse bite bien dure pulsant de désir pour cette magnifique salope. Il l’embroche d’un seul et puissant coup de reins, arrachant un cri à la Nicole. Ils la besognent alors en double avec vigueur pendant de longues minutes, jusqu’à ce que le tunisien baragouine un langage incompréhensible. Le Max attrape alors les belles cuisses gainées de la Nicole, alors que Karim tire sur les petites chaînes, réveillant ainsi la douleur dans les tétons de Nicole.

-OUUUUUUUUUUUUUUAAAAAH!

Satisfait de la réaction de la Nicole, le bourreau redouble d’ardeur et la baise avec plus de puissance.

-AA AH AARRGGGUU! Oui prends-moi bien, fait moi bien jouir avec ta grosse queue !

Elle, sent ces deux belles queues entrer et sortir de ses orifices, elle est sur le point de jouir. De nouvelles sensations montent dans le creux de ses reins, dans son ventre et à la pointe maltraitée de ses seins. D’un dernier coup violent, Karim bute contre le fond de sa grotte, il arrache un hurlement de jouissance à Nicole lorsqu’il tire d’un coup sec sur les deux pinces à seins comme pour mieux s’arrimer à elle.

Elle s’effondre de plaisir sur Max qui pourtant maintient ses belles cuisses grandes ouvertes. Dans sa demi conscience, elle l’entend encore prononcer des paroles incompréhensibles, puis sent la grosse bite de son Karim sortir de son vagin, mais pour se présenter contre sa petite pastille où est encore logé le Max. – Non! Non?? Qu’est-ce que vous faites? Ils croient quand même pas qu’ils vont rentrer à deux?

Prise de panique, elle tente de se débattre, mais elle ne peut pas lutter contre la poigne de fer du cousin.

Les suppliant du regard, elle se dit qu’elle va dérouiller, car ils n’en feront qu’à leur tête.

-Je veux bien, mais faites doucement, s’il vous plaît !

Karim se redresse, elle se relâche, soulagée de le voir abandonner l’idée de la double anale. Masturbant son gros sexe luisant de mouille, il se redresse et étend un peu ses jambes dont les cuisses brûlent l’à baiser à moitié accroupi.

-T’inquiètes ma pute, je suis sûr qu’à deux dans ton cul de salope ça passe !

Malgré la supplique qui se lit de nouveau dans le regard de Nicole, Karim se repositionne sur le périnée de la femme, la bite raide comme une barre d’acier dans la main. Il pousse pour essayer de faire entrer son gros gland dans l’orifice déjà plein de la sodomisée. Il a beau s’abaisser au mieux afin d’aligner sa queue, le cul de Nicole est bien plein et n’offre aucune brèche.

Sentir ce gros gland forcer son orifice excite maintenant la femme dont la peur s’est évaporée pour faire place à un nouvel élan de perversité. Titillée par la possibilité d’une double anale, elle veut sentir ces deux belles queues lui ramoner le cul. Elle prend alors ses fesses à pleines mains et les écarte pensant lui faciliter le passage.

Son amant redouble alors d’efforts pour satisfaire cette pute qui en redemande. De sa main gauche, il tente d’écarter les muqueuses entre son pouce et son index, pendant que la droite pousse sur le gland pour perforer la petite pastille distendue.

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Ağustos 20, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

Juge Kimmy Ch. 01

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Asian

Traduction d’un texte de Doctor_devon.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Je n’oublierai jamais le jour où ce colis est arrivé par la poste, une petite boite qui allait changer ma vie pour toujours. Tout d’abord, laissez moi vous parler de moi. Je m’appelle Kimberly. Je suis une femme blanche âgée de 38 ans qui, bien que travaillant énormément, s’applique à garder un corps ferme et tonique. Je fais du droit depuis 17 ans et je n’ai jamais pris le temps de penser à fonder une famille. De puis longtemps maintenant, j’ai un petit ami qui s’appelle Éric et qui s’est résigné au fait que nous ne nous installerions jamais pour élever des enfants.

Diplômée en droit avec mention, je suis devenue la plus jeune femme à être nommée juge à la Cour Suprême de l’Etat. Je mentionne cela, car c’est la cause pour laquelle je me retrouve dans la situation où je suis maintenant.

L’année dernière, dans mon tribunal, un homme a été reconnu coupable de cinq viols. Le jury a rendu son verdict. Et j’ai condamné l’homme à la peine maximale, la prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Lenny WILSON ne verrait plus jamais la liberté. Je me souviens du regard qu’il me lança quand il sortit de la salle d’audience. Même si j’étais satisfaite du résultat, son regard me donna des frissons dans le dos.

Il y a quelques mois, je participai à une grosse réunion avec des avocats, des juges, et des universitaires en droit de haute réputation. C’était sensé être un congrès sur des questions qui concernent notre communauté. Mais comme d’habitude, ça a fini par un repas où les gens se rencontrent et boivent un peu plus que raison. Bien que je sois sobre, il est agréable de temps en temps de boire un peu pour oublier les conneries que je traite dans mon tribunal tous les jours. C’était un vendredi et je pouvais souffler un peu durant trois jours avant de reprendre le travail lundi.

Alors que ce type d’évènements se terminent toujours de la même façon, celui-ci se termina différemment. Comment pourrais-je l’expliquer autrement? Je me suis réveillée dans une chambre de motel, nue, avec des signes évidents que j’avais fait l’amour. Avec quelqu’un… mais qui? Je me souviens avoir pensé à mon réveil que j’avais été trop loin avec les boissons cette fois-ci.

Comme je n’avais jamais expérimenté les pertes de mémoire, je m’inquiétais comme on peut s’en douter : Mon copain allait-il l’apprendre? Etait-ce quelqu’un de mon bureau? Je ne craignais par d’être enceinte car je prenais la pilule depuis toujours. Et je ne risquai pas de maladies vénériennes car les gens qui assistaient au congrès n’étaient pas du genre à en avoir.

Les semaines passèrent, et même si cette histoire me traversait parfois l’esprit, j’essayai d’oublier ce souvenir. La seule chose que j’avais retenu était de moins boire à ces occasions.

Puis vient ce vendredi où le colis est déposé devant ma porte et je le trouve en arrivant à la maison. Je l’emmène à l’intérieur puis je me déshabille, enfile un peignoir en soir, me verse un verre de vin. Enfin j’ouvre le paquet. A l’intérieur se trouvent une cassette vidéo et une enveloppe. Sur celle-ci est écrit « Regarder la vidéo d’abord ». Eh bien, ce n’est pas la première fois que je reçois du courrier à la maison concernant les affaires traitées dans mon tribunal. Je mets la cassette dans le magnétoscope et j’appuie sur « play ».

Je me fige. Sur le grand écran du téléviseur, je me vois, nue, en train de baiser avec deux blacks. Mais ce n’est pas le pire, mon sang se refroidit quand je reconnais l’un des garçons sur la vidéo. Il s’agit de Devon WILSON, le jeune frère de Lenny WILSON. Je me souviens de lui dans ma salle d’audience. Oh mon Dieu! Il a 18 ans. Mes yeux sont fixés sur la scène à l’écran. Ces deux garçons m’utilisent comme une pute et on dirait que j’apprécie. Comment ça se fait? Puis je reconnais la pièce. C’est la chambre du motel dans laquelle je me rappelle m’être réveillée. Je suis étourdie, mon cerveau est embrumé, mon cœur bat à cent à l’heure. Je n’arrête pas de me poser des questions. Comment…? Alors je déchire l’enveloppe et y trouve une lettre. C’est court, Kızılay travesti écrit par la main de Lenny WILSON. Elle dit :

« A présent tu te rends compte de ton erreur salope! Les deux garçons dans cette vidéo ont 18 ans et l’un d’entre eux est mon frère. Tu sais ce qui peut t’arriver d’avoir une relation avec un membre de la famille d’un condamné dans ton tribunal. Mon frère est prêt à dire que vous avez offert d’alléger ma peine s’il avait des relations sexuelles avec vous. Donc voilà ce que je te propose : Cette cassette deviendra publique à moins que tu ne fasses tout ce que je te dis à partir de maintenant. Et je veux bien dire TOUT. Tu retourneras à cette chambre de motel ce soir à 20 heures. Quelqu’un t’attendra et tu feras tous ce qu’il te dit, comme si ça sortait de ma propre bouche. Si demain on me rapporte que tu ne t’es pas montrée, alors tu feras les gros titres des journaux demain soir.

Je me suis assise, complétement abasourdie, incapable de détourner les yeux de l’écran de télévision. Je regarde les deux garçons se relayer pour glisser leur bite dans ma bouche. Ils rigolent et me demandent de me masturber. Je le fais sans poser de questions.

Soudain, je suis choquée. Je réalise que ma main est entre mes jambes et distraitement je caresse ma chatte à travers la culotte. Mon Dieu, je mouille un peu aussi. L’humiliation me submerge et je cours vers le magnétoscope pour l’éteindre. En appuyant sur le bouton « arrêt », je remarque qu’un des garçons a éjaculé sur mon visage. Ma tête commence à tourner et la dernière chose dont je me souviens avant de m’évanouir est que mes jambes sont faibles.

Quand je me réveille, le téléphone sonne. Je panique car je n’ai aucune idée de l’heure. Je regarde l’horloge tout en attrapant le téléphone. Il est presque 19 heures. Et c’est mon copain Éric qui appelle.

– Hé Kimmy, es-tu prête? Demande-t-il.

J’ai complétement oublié que nous avions rendez-vous. Je bégaie :

– Euhhh… Éric… J’ai un contretemps, je vais devoir reporter notre rendez-vous.

Je sens qu’il est déçu et ça me brise le cœur. Mais je ne peux pas lui dire ce qu’il se passe. Comment le pourrais-je? Même si nous nous aimons, il n’est pas question que quelqu’un voit cette bande. Et il n’est pas question qu’elle soit rendue publique.

Dans ma tête, je sais que j’ai été violée, qu’un produit a dû être versé dans mon verre lors du congrès mais plus rien ne compte, je n’ai pas le temps d’examiner toutes les options qui peuvent se présenter.

Rapidement je me douche et je m’habille. J’enfile un costume de travail. Pourquoi? je ne peux pas l’expliquer. Peut-être est-ce parce que je m’habille ainsi sous ma robe de juge. Cela me donne un sentiment de pouvoir. Il est bientôt 19 heures 30 et je monte dans ma voiture pour aller au motel.

J’y arrive à 20 heures presque. Je ne perds pas de temps pour me diriger vers la chambre au rez-de-chaussée à l’arrière du bâtiment. Je vois que les rideaux sont ouverts et il y a une lumière dans la pièce. Ma montre fait un bip pour m’indiquer qu’il est 20 heures. Je frappe à la porte.

Je suis mortifiée lorsque c’est Devon WILSON qui ouvre la porte. Je regarde à l’intérieur et je ne vois personne d’autre.

– Entre chienne! Dit-il simplement.

J’entre dans la chambre, la colère commençant à surmonter la peur que j’éprouve. Je lui dis :

– Ecoutez jeune homme, vous êtes en train de vous impliquer dans un crime. Voulez-vous vraiment finir comme votre frère?

Je ne le vois même pas bouger mais je sens une main me frapper durement le visage. Je tombe en arrière sur le lit. Il me dit méchamment :

– Tu vois salope, mon frère était toujours là pour moi jusqu’au moment où tu l’as envoyé en taule pour toujours. Maintenant tu vas payer avec ta chatte.

Je commence à dire quelque chose quand une autre gifle tombe, plus fort cette fois-ci. Je tombe par terre à côté du lit. Devon met en route un film sur le magnétoscope dans la chambre. Avec horreur et honte, je suis confrontée de nouveau aux images de moi avec les deux garçons. L’effet est immédiat, je reste figée devant la télé.

Pendant que je regarde Devon m’explique que Lenny « possède » des gens dans la police, l’administration pénitentiaire et même dans le système judiciaire. Cependant, il n’avait Kızılay travestileri pu m’influencer à l’époque de son jugement. Maintenant il utilise ses contacts pour mettre en place ce chantage et je n’ai pas de chance de m’en sortir. Je regarde la télé. Je ne dis rien, mais je sais qu’il a raison. Je suis impuissante. Alors je commence à pleurer.

– S’il vous plaît Devon, j’ai de l’argent, je paierai pour la cassette.

Il attrape mes cheveux et tire ma tête vers lui, m’empêchant de regarder la télé.

– Je ne veux pas de ton argent salope! Je vais faire de ta vie un enfer pour nous avoir gâché notre vie à Lenny et moi.

La peur revient dix fois plus forte.

– Maintenant chienne, mets-toi en culotte!

Sans vraiment en être consciente, je commence à enlever mes vêtements, en pleurant encore plus fort. Quand j’en suis à la culotte, il prend le reste de mes vêtements et quitte la chambre en me disant de ne pas bouger. Je deviens consciente des rideaux ouverts et j’ai encore plus peur. Je me dis que quelqu’un pourrait passer et me voir ainsi exposée, un juge respecté, un huissier de justice.

Mais mon attention est attirée par la télévision. La scène qui passe est celle après que le jeune gars m’ait giclé sur le visage. Devon m’a courbé et me baise en levrette. Bien que n’étant pas une personne ayant des préjugés, je n’avais jamais envisagé de coucher avec un homme noir. Pourtant sur la bande ils sont deux. Je ressens de l’excitation. Non! Ce n’est pas possible! J’ai été violée par deux garçons noirs et je suis devenue le pion d’un autre violeur que j’ai mis en prison pour la vie. Pourquoi suis-je excitée alors? Mes pensées augmentent mon humiliation ce qui semble affecter mon excitation, la rendant plus intense. Mon Dieu!

Mes pensées sont interrompues par Devon qui revient de l’extérieur.

– J’ai mis tes vêtements et tes clés dans le coffre de ma voiture petite garce! Tu ne peux pas partir d’ici à moins que tu ne veuilles sortir nue.

Puis sans d’autres paroles, il glisse un doigt dans ma culotte jusqu’à ma chatte.

Comme je le craignait, je mouille un peu. Il rit.

– Putain de salope, tu apprécies ce traitement.

Je commence à protester, et pour une raison stupide à nier, quand il me gifle à nouveau.

– J’ai dit que tu appréciais ça. N’est-ce pas salope?

Les larmes recommencent à couler et je dis simplement :

– Oui.

Une autre gifle tombe sur ma joue.

– Quoi salope? je ne t’entends pas!

– Oui Monsieur. Dis-je plus fort.

Je ressens une nouvelle forme d’humiliation. Je suis ici, maltraitée par quelqu’un vingt ans plus jeune que moi. La pensée traverse mon cerveau et je sais que je mouille encore plus.

– Joue avec ta chatte petite chienne! Montre-moi comment tu sais t’occuper de toi!

Ma main descend dans ma culotte, je suis trempée. Alors que je caresse mon clitoris, je pense aux rideaux ouverts, à la porte déverrouillée, à la télé qui me montre subir les assauts sexuels de deux hommes noirs. Je suis complétement excitée. Je fais tout ce que je peux pour rester debout. J’ai chaud, ma tête tourne, mon visage rougit, l’humiliation me submerge.

Puis je jouis. Oh mon Dieu! Je ne me rappelle pas avoir eu un orgasme aussi intense de ma vie. C’est alors que je remarque le caméscope dans la main de Devon. Merde, il enregistre ça aussi! il aura maintenant deux enregistrements sur moi.

Alors que bizarrement, j’ai eu un orgasme, je n’arrête pas pour autant de frotter ma chatte. Je remarque même que je frotte plus fort. Jamais dans ma vie, je n’avais été multi-orgasmique, mais là, dans cette pièce avec ce garçon qui me domine, je jouis de nouveau. L’orgasme est surement plus intense que le premier car je tombe à genoux.

Quelques secondes plus tard, mes pensées s’éclaircissent et je remarque que même avec ce qui vient de se passer, je continue à me masturber. Je le fais si violemment que ça me fait mal, surtout que ma chatte est encore plus sensible après les deux orgasmes. Pourquoi fais-je cela? Pourquoi je n’arrête pas? Je me rends compte alors, pour la première fois de ma vie, que j’ai peut-être besoin d’être abusée d’une manière ou d’une autre. Depuis toujours, j’ai été une femme prude et convenable, contrôlant tous les aspects de ma vie. Maintenant Travesti kızılay je suis impuissante et quelque chose à l’intérieur de moi s’est cassé. Je sens qu’un autre orgasme est sur le point de me traverser. Mais Devon dit :

– Arrête!

Je pleure presque en retirant ma main. Mais cette fois parce que je n’ai pas le droit de continuer. Le garçon me demande de monter sur le lit. Je le fais sans poser de questions. Il jette un sac de marin à côté de moi et me dit de l’ouvrir. A l’intérieur je vois plusieurs godes de différentes tailles et d’autres objets dont, bien que je ne sois pas naïve, je n’ai aucune idée de leur utilisation. Devon filme toujours. Il m’ordonne de dire à quiconque regarderait la cassette ce que je suis. Je reste muette un moment… Puis les mots jaillissent de ma bouche :

– Je suis une salope, une salope pour bites noires.

Je ne me suis pas touchée depuis que le jeune homme m’a dit d’arrêter, mais mes mots m’ont presque fait jouir. Je sais que n’importe qui pourra voir ça et entendre ce que je viens de dire, sans être forcée par Devon. J’ai juste admis que je suis une salope. Que penseraient mes collègues? Mon Dieu, et Éric… mes parents…?

Le jeune noir me demande d’enlever ma culotte. J’obéis et je remarque que le tissu est bien mouillé par mon jus. Devon dit ensuite :

– Mets la dans ta bouche!

Mon cerveau hésite, mais ma main a tout simplement fourré la culotte dans ma bouche. Je peux ainsi goûter mes secrétions. Je réalise que ma respiration devient plus courte. Mon excitation augmente encore.

– Baise-toi salope! Ordonne Devon.

J’attrape le plus gros gode que je peux voir et je le pousse dans ma chatte. J’ai un peu mal car il est assez gros et épais. La douleur atteint mon cerveau et l’idée d’être maltraitée revient aussi. L’orgasme qui m’a été refusé plus tôt éclate. MON DIEU! Cela fait à peine quelques secondes que je me baise. Je pousse le gode aussi profondément que je peux puis je le retire. Ma respiration par le nez est laborieuse. La douleur de ce gode qui m’a fait jouir continue. Je peux sentir mon jus couler vers mon trou du cul.

Alors que je me remets de mon orgasme, je remarque Devon debout à côté du lit, son jeune sexe complétement érigé. Je remarque que même s’il est jeune, il est plus grand que celui d’Éric. Le jeune noir se penche et pousse brutalement un gode de forme bizarre dans mon cul, mon jus agissant comme lubrifiant. Je réalise que sa forme bizarre l’empêche de ressortir. Sous la douleur et l’humiliation du viol de mon trou du cul, j’ai de nouveau un orgasme.

Il enlève la culotte de ma bouche et il la remplace par sa queue d’ébène. Ce n’est pas une fellation car il me baise le visage. Chaque poussée de sa bite menace de m’étouffer ou de me faire vomir. Il met la culotte sur mon nez et ma respiration est encore plus difficile. Je fais mon possible pour aspirer un peu d’air. Je réalise aussi que j’ai recommencé de pilonner ma chatte avec le gode. Je le sens qui bute contre mon plug anal. Avec ma main libre, je titille mon clitoris. Puis après quelques instants, je le gifle.

Soudainement et sans avertissement, Devon retire sa bite de ma bouche et éjacule sur mon visage. J’avais vu la même scène dans la vidéo mais sinon on ne m’avait jamais fait subir ce traitement. Cette humiliation supplémentaire m’excite encore plus et je m’évanouis sous un autre orgasme.

Je me réveille quand Devon retire violemment le plug de mon trou du cul. Je suis trempée de sueur, de sperme et de mon propre jus. Je remarque que le caméscope est maintenant éteint et que mes vêtements sont sur la chaise. La télé est éteinte, mais les rideaux sont toujours ouverts et la porte toujours déverrouillée. Devon dit simplement :

– Nous restons en contact salope!

Et il me laisse la, dans le silence. Tout ce qui vient de se passer me traverse l’esprit. Je suis toujours terrifiée en sachant que je ne peux rien faire d’autre que de suivre leurs ordres. Les images repassent dans ma tête et je me retrouve à me masturber à nouveau. J’ai eu cinq ou six orgasmes alors que d’habitude je n’en ai qu’un seul, et seule dans cette chambre, après avoir été violée et abusée, je recommence à me masturber. Je pense aux rideaux ouverts et à la porte déverrouillée et je me dis que maintenant que Devon est parti, n’importe qui peut entrer et continuer à m’utiliser. Une partie de moi espère que quelqu’un vienne. Puis je pense à Éric… Saura-t-il jamais de quelle salope il est amoureux? Cette pensée est suffisante pour que je me masturbe plus brutalement et que je me doigte. J’ai un nouvel orgasme.

A suivre…

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