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Top 10 Sex Hikayeleri

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Ağustos 29, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

L’Education Sentimentale

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Ass

IL me revient des souvenirs de plus en plus précis, de plus en plus pressants, d’une période de mon existence tellement lointaine maintenant, que je me demande, parfois, si j’ai réellement vécu ces moments particuliers, ou si je les ai rêvés.

Je devais avoir, à cette époque, entre douze et quatorze ans et je vivais, comme il se doit, avec mes parents qui formaient un couple uni et sans histoire .

Comme tous les garçon de cet âge, je m’éveillais progressivement à la vie et je dois avouer que ma sexualité progressait à grands pas.

Depuis mon plus jeune âge, en effet, j’avais toujours été très curieux de ce que les adultes, à l’époque dont je vous parle, traitaient avec beaucoup d’hypocrisie et de mystère : le sexe et tout ce qui l’entoure.

Vers mes dix ans, déjà, j’échangeais des attouchements fort précis avec des garçons de mon âge, curieux, comme moi, et tout était prétexte à retraite dans des endroits discrets, pour nous adonner à ces plaisirs, somme toute naturels.

C’était, en vérité, très innocent. Nous nous contentions de nous pincer la quéquette, parfois même, au travers du tissus de notre short.

Au fur et à mesure que le temps passait, ces jeux de mains se précisaient cependant .

A la piscine, dans un grenier ou dans les bois, nous nous isolions, deux par deux, pour nous toucher mutuellement. Nous bandions très dur , mais nous ne connaissions pas encore la jouissance.

Je fréquentais, à l’école, un ami avec qui j’étais un peu plus lié, et avec qui, les échanges de confidences se développaient de plus en plus.

Gérard était assez grand, comme moi, d’ailleurs, et il était d’environ une année mon aîné.

C’est lui qui m’expliqua que, le soir, dans mon petit lit douillet, si je m’y prenais bien, je pouvais, en caressant suffisamment longtemps ma queue, et en tendant bien les jambes, « éclater tout à coup » comme il disait.

Lui-même y était arrivé et, me racontait-il, il avait même vu, après quelque succès de ce genre, gicler par le petit trou de sa bite, un liquide blanc et chaud.

Nous en avions, immédiatement conclu, qu’il s’agissait bien là, du liquide qu’il faut introduire dans le ventre de la femme pour la féconder.

Peut importait, à vrai dire, mais que c’était agréable, me disait Gérard.

Dès ce moment, tous les soirs, et parfois le matin, je tirais comme un enragé sur ma bite qui durcissait telle une épée entre mes jambes soudées et tendues à se rompre. Et un beau soir, arriva ce qui devait arriver.

Comme j’en avais pris l’habitude, j’atteignis ce qui, comme je l’ai su plus tard, s’appelle un orgasme.

Lorsque je détachai ma main de mon sexe brûlant, je la sentis inondée d’un liquide chaud et gluant que je pris, sur le coup pour du sang.

Bien vite toutefois, je réalisai que j’avais craché le liquide dont Gérard m’avait parlé.

Nos jeux se précisèrent, à l’époque.
Nous n’avions plus qu’un but, nous faire jouir le plus souvent possible.

Un de nos jeux favoris était de nous caresser dans la cabine de déshabillage à la piscine.

Après le bain, nous partagions le mains lieu clos aux regards indiscrets et, après avoir enlevé, au plus vite nos maillots, nous nous offrions réciproquement nos deux bites, glabres mais toujours au garde à vous.

Nous nous manipulions le sexe en de savantes caresses, de plus en plus rapides, imposant à l’autre le rythme que nous souhaitions pour nous même, jusqu’à ce que, souvent au même moment, nous nous mettions à cracher, par saccades notre sperme juvénile, sur nos cuisses, notre ventre voire sur le mur carrelé du local.

C’est, aussi, à cette époque, que tous deux, nous nous étions rendus compte que les bibliothèque de nos pères respectifs, recelaient des trésors intéressants.

Mon père possédait de nombreux livres dont le contenu était très instructif me semblait-il.

Ce n’était pas seulement des ouvrages de texte, mais aussi, plus souvent des magazines illustrés de photographies de femmes nues dans des poses aussi suggestives que la censure de l’époque le puisse tolérer.

De toutes façons, à cet âges j’étais encore fasciné par la partie du corps de la femme que je considérait comme le sommet de l’intimité et de l’érotisme : la poitrine, et je me repaissais donc, de ces photos, ne m’inquiétant que fort peu de ce qu’elles cachaient.
Poussant peti à petit, mes investigations, j’avais trouvé dans l’armoire de lit de mes parents, toute une mine de livres qui combinaient textes et photos et qui constituaient, à eux seuls, mieux qu’un cours d’éducation sexuelle très avancé.

Il y avait, en outre, dans cette caverne d’Ali Baba du sexe, divers accessoires qui m’étonnèrent, au début, mais dont, très vite, grâce à la documentation que j’avais entre les mains, je pus imaginer l’usage que mon père pouvait en faire sur ma mère ou que ma mère pouvait se faire lorsqu’elle était seule, comme les filles des photos.

Je découvris, aussi des lettre que mes parents s’étaient échangées, avant leur mariage ou lors des rappels militaires de mon père.

On n’est guère scrupuleux, bycasino à cet âge et le désir d’apprendre l’emporta sur les hésitations.

Petit à petit, car je n’osais m’aventurer trop longtemps dans la chambre de mes parents, de peur de me faire surprendre , je me suis mis à dévorer ces lettres, en plus des livres que je connaissais maintenant par cœur.

Ce que je découvris me choqua au début. C’était normal, à cet âge, j’estimais que mon père avait été un beau salaud d’écrire des mots aussi crus à ma mère et de lui promettre de lui faire des choses aussi sales.

Très vite, toutefois, et surtout, dès que je me mis à lire les réponses que ma mère rédigeait, je compris que les intentions, partagées, du reste , n’avaient rien de méchant et que le but, après tout, n’était que de partager du plaisir, ce qui ne peut être mauvais, en soi.

Je découvris, dès ce moment, ces missives amoureuses comme de simples histoires pornographiques, à la différence, cependant, que les acteurs avaient un visage et un corps que je connaissais.

J’appris beaucoup de choses à ces lectures, à vrai dire, tout ce qu’un jeune garçon doit savoir ; en théorie en tout cas.

Je devais approcher de mes quatorze ans et mes jeux avec Gérard ne me satisfaisaient plus comme avant.

Pourtant nous avions franchi des étapes dans notre quête du plaisir : nous nous sucions maintenant la queue avec une délectation et un savoir croissants.

J’aimais, lorsque nous étions à la piscine, nu dans une cabine, lui prendre la bite en bouche et je me souviens, encore aujourd’hui, de ce sexe très dur au goût si caractéristique, dont le gland se décalottait de lui-même, tellement il se tendait. Je revois cette couronne duveteuse que j’avais devant les yeux et que je frôlais de mes lèvres et de mon nez lorsque j’enfonçais sa bite dans le fond de ma bouche.

Nous n’allions pas jusqu’à éjaculer dans notre gorge à cette époque, car cela nous dégoûtait, enfin, nous n’osions pas nous avouer que nous souhaitions parfois le contraire, et lorsque notre plaisir était suffisant, nous nous achevions « à la main », comme nous disions.

Je l’ai dit, cela ne nous suffisait plus!.

Dès que je le pouvais, je me glissais dans la chambre parentale et je me caressais pendant de longues minutes enlisant, soit des lettres que je ne connaissais pas encore, soit des nouvelles revues que mon père achetait chaque mois, et qui venaient réapprovisionner le stock.

La plupart du temps, je ne tardais pas à cracher des flots de sperme dans ma main que j’essuyais prestement dans mon mouchoir ou que je léchais avec gourmandise.

Depuis un certain temps, et surtout depuis que j’avais lu ces lettres, je ne regardais plus mes parents avec les mêmes yeux.

Plus particulièrement ma mère, d’ailleurs ; je l’admirais évidemment comme tout adolescent admire sa mère et je la considérais comme le centre du monde l’âtre qui m’était le plus cher, mais, je m’en rend compte, maintenant, mon regard s’était fait plus pénétrant, plus incisif, plus fouineur peut-être aussi.

Je la trouvais très jolie, très belle ; elle l’était d’ailleurs, à en juger par la manière dont les hommes la dévisageaient, en rue.

Je possédais suffisamment de références, de par mes lectures spécialisées , pour savoir que ma mère était « bien faite » comme l’on dit.

Très brune, elle était mince, mais pas trop, se jambes étaient très lisses et superbement galbées, et j’imaginais qu’elle devait être assez poilue, car j’avais remarqué, dans la salle de bain, tout un équipement spécialement conçu pour le rasage des femmes et j’en avais tiré les conclusions avec l’aplomb et les certitudes qui caractérisent un jeune homme de mon âge.

C’était surtout ses seins qui m’impressionnaient. Non qu’ils étaient démesurément gros, mais, plutôt parce qu’ils représentaient la partie de la femme que j’avais pu le mieux découvrir dans mes expéditions livresques et avec laquelle je pouvais, par conséquent, établir les mieux des comparaisons.

Les seins de ma mère étaient volumineux, certes, mais ils étaient surtout très pointus et, grâce aux soutiens-gorge de l’époque, elle les portait très droits et très hauts.

A vrai dire , ma mère avait, à peine plus de trente ans, à cette époque. Elle s’était mariée jeune et j’était venu très trop.

Ma mère occupait, donc, de plus en plus mes pensées, et, lorsque je me caressais, le soir, je me faisais un cinéma très compliqué dans lequel ma mère tenait le premier rôle ; un rôle de femme obsédée par son corps et le sexe, de femme qui se caresse sans cesse, qui couche avec des amies et, petit à petit, qui m’inclut dans ses jeux.

J’avais remarqué, lorsque j’étais seul avec elle, à la maison, qu’elle s’enfermait, parfois, de longues minutes dans les toilettes et, comme la porte qui fermait celles-ci avait subi, diverses modifications, elle possédait un trou, probablement l’ancien logement d’une clenche qui n’existait plus, à environ cinquante centimètres du sol.

Sa position très basse laissait à penser qu’il ne constituait bycasino deneme bonusu pas un danger pour les regards indiscrets et c’est la raison pour laquelle, mon père n’avait pas jugé utile de le reboucher.

Quelle erreur! C’était sans compter sur ma perspicacité et ma débrouillardise ni, surtout, sur ma curiosité et mon voyeurisme naissant.

En effet, j’avais mûrement repéré les lieux pour constater que, par cet orifice, je pouvais découvrir le qui se passait à l’intérieur du local, tout au moins jusqu’à une certaine hauteur et que, de plus, étant moi-même plus bas que le champ de vision de l’occupant des lieux, je ne pouvais être remarqué par celui-ci.

C’est ainsi que je me mis à épier les habitudes de ma mère et je remarquai, ainsi, que parfois, elle restait dans les toilettes un temps infiniment plus long que la normale.

Cela m’intriguait, mais j’avais bien mon idée là-dessus et, un jour, ce qui devait arriver, arriva.

C’était un après-midi de vacance et j’étais seul, à la maison, avec ma mère.

Ma décision était prise : si elle se rendait au « petit coin », comme elle disait, j’irais l’observer.

Tout à coup, alors qu’elle venait juste d’achever la vaisselle du repas de midi, je la vis se diriger vers l’endroit convoité et, tandis que dans ma poitrine je sentais battre mon cœur à tout rompre, j’entendis le verrou se refermer derrière elle.

J’étais, à la fois, très excité, poussé par l’envie et la curiosité, et terrorisé par la portée du geste que j’allais accomplir.

L’attrait du défendu l’emporta, toutefois, sur la culpabilité que suscitait la décision, et, à pas de loup, je me rendis à mon poste d’observation.

Un tableau magnifique m’attendais. Dans ma courte existence, il ne m’avait encore jamais été donné de voir « en chair et en os » et de si près, un corps de femme et même si je ne pouvais voir la totalité de celui-ci, je n’en ressentais pas moins un immense bonheur.

La pièce était assez profonde et la cuvette du WC posée au fond, ce qui me permettait d’avoir un champ de vision allant du sol jusqu’au cou de ma mère qui était assise.

Sa robe de vichy rose était retroussée jusqu’au ventre et j’avais, en gros plan devant les yeux, ses deux genoux joints et ses jambes.

Je pouvais distinguer clairement la maille brillante des bas nylons brun clair et, en remontant le long de la cuisse gauche, mon regard heurta l’attache du porte jarretelles blanc qui tranchait sur la face externe de la cuisse laiteuse et allait se perdre sous le tissu rose de la jupe.

Au centre des deux cuisses barrées par la bande plus sombre des bas, deux jarretelles blanches courraient, également, jusqu’au ventre et encadraient un triangle de poils noirs et courts.

Les cuisses étaient magnifiques, très lisses et je ne pouvais m’empêcher de les comparer avec celles que j’avais vues dans les livres de mon père ; et elles soutenaient facilement la comparaison!

Plus bas, des genoux biens serrés descendaient deux jambes au galbe irréprochable vers des pieds mignons et fins qui semblaient enchâssés comme deux diamants dans des escarpins blancs, aux talons très hauts et très fins, à la mode de l’époque.

Elle ne bougeait pas ; je ne voyais pas son visage mais par le mouvement de ses bras, je me doutais qu’elle feuilletait un magazine.

Instinctivement, j’avais porté la main à mon sexe que je malaxait au travers de la toile fine de mon short.

Je jouis très vite et j’inondai mon vêtement de sperme brûlant m’obligeant ainsi à m’enfouir dans ma chambre pour me nettoyer et effacer toutes traces .

Mais ma jeune pine ne pouvait être satisfaite de ce plaisir rapide et, dès que je me suis mis à frotter mon gland pour le débarrasser des dernières traces, l’envie me repris et mon sexe durcit aussitôt. Je me mis à le caresser avec plus de douceur et d’application que la première fois et, tout en revivant les moments délicieux et les images savoureuses dont je venais de me repaître, je me fis jouir à nouveau, en crachant bien loin, cette fois, ma semence juvénile.

Le plis était pris et chaque fois que j’étais seul avec elle et que ma mère se rendait aux toilettes, je me mis à l’épier et ainsi, au fil de mes observations, mes découvertes se firent de plus en plus intéressantes, et agréables.

Parfois, ma mère enlevait complètement le slip qu’en d’autres temps elle gardait en travers des mollets ou des chevilles. Alors elle écartait insensiblement les jambes tandis que, d’une main elle fourrageait délicatement dans les poils de sa chatte.

C’est de cette manière qu’un jour, enfin, je pu détailler, à loisir, ce sexe de femme dont j’étais issu.

C’était un sexe magnifique, c’était le premier que je voyais, mais, j’en étais sûr, c’était le plus beau du monde. Il était recouvert de poils très noirs, comme je l’ai dit, mais assez courts. Mon expérience acquise à la vue des phots de professionnelles me permis de conclure d’emblée, qu’il avait été retaillé au rasoir et au ciseau, car il formait un triangle parfait et l’entrejambe bycasino güncel giris quant à lui était quasi glabre.

Plus tard et au fur et à mesure de mes observations, je découvris, d’ailleurs, que tantôt ma mère avait la chatte parfaitement épilée, comme celle d’une petite fille, tantôt elle laissait repousser son buisson de jais.

Mais revenons-en à mes premières découvertes et, à ce moment, ma mère était poilue. Les cinq doigts jouaient donc, doucement dans cette toison mais, petit à petit, je vis le majeur de faire plus insistant et plus pénétrant , s’insinuant progressivement entre les lèvres du sexe.

Tandis que le doigt fureteur entreprenait un long et lent va et vient dans la fente, je voyais les deux jambes, maintenant très écartées, se tendre de plus en plus jusqu’à ce qu’elles soient raides et bandées comme deux pieux de chair.

Je distinguais les muscles des cuisses tendus qui tressaillaient et les deux pieds que je ne pouvais plus voir, s’appuyaient probablement au bas de la porte qui me servait de rempart.

Je ne voyais pas la deuxième main mais je l’imaginais sous la robe, pétrissant un sein, un de ces énormes seins qui me faisaient tant envie et que je ne pouvais encore, voir.

Le majeur glissait de plus en plus loin et je le voyais pénétrer profondément, à chaque passage, dans ce sexe béant que le pouce et le petit doigt tenaient grand ouvert.

Dans cette fente écarlate, une protubérance énorme, un bouton turgescent comme une petite bite, dardait, qui me donnait envie de le sucer comme je l’aurais fait de celle de Gérard.

Qu’à cela ne tienne, j’avais sorti ma queue et je l’agitais comme un forcené.

Petit à petit le doigt actif de ma mère circonscrit son travail autour du bouton seulement. Il le titillait, le contournait, l’abandonnait parfois, pour permettre aux deux autres, l’ pouce et le petit, de la prendre en étau et de le traire comme je le faisais de ma quéquette.
Soudain, j’entendis distinctement ma mère gémir de plus en plus fort et piusser des soupirs énamourés.

-Jouis, salope! se disait-elle à voix haute, éclate-toi, sale putain! crache le ton jus…

Et elle se remettait à gémir tandis que son doigt appuyait de plus en plus frénétiquement sur le haut de son clitoris.

Elle se cabra d’un coup en serrant les cuisses sur sa main et elle étouffa un dernier cri, au moment précis où, de l’autre côté de la porte, j’eus juste le temps d’extirper de ma poche un mouchoir pour y cracher des flots de spermes qui, si je ne les avais pas contenus dans ce linge, auraient maculé le rempart opaque qui nous séparait.

Cette dernière découverte m’encouragea, s’il le fallait encore, à poursuivre mon observation indiscrète.
Chaque fois que je le pouvais, j’allais me repaître de ce spectacle magnifique.

Souvent, toutefois, j’étais déçu car ma mère ne se caressait pas, mais je me satisfaisais alors, de la vue de ses belles jambes et de son ventre.

Une fois, par contre, j’eus l’agréable surprise de la trouver debout.

Elle se tenait de profil, le bas du corp entièrement dénudé. Elle avait ôté sa jupe et sa culotte et, comme c’était l’été, elle ne portait pas de bas.

Je voyais ses jambes légèrement fléchies car elle semblait pousser son ventre vers l’avant pour présenter sa chatte au dessus de la cuvette, comme l’aurait fait un homme pour uriner.

De ses deux mains, elle écartait complètement les lèvres de son sexe et, tout-à-coup, des gouttelettes dorées s’échappèrent de la source et se perdirent en un chapelet dégoulinant dans le pot du WC. Aussitôt, ce fut la cataracte, l’abondance. Un long jet de pisse brillante frappa dru l’émail froide et rebondit dans l’eau de la cuvette en un bruit caractéristique.
J’entendais ma mère murmurer des mots crus, comme à son habitude :

-Oh oui! Pisse bien tout ton jus! Crache le, ton sperme de salope.

Oh comme je voudrais être un homme et avoir entre les jambes une grande bite qui cracherait tant de sperme!

Que c’est bon de pisser ainsi! Que c’est bon! Que çà me plaît!

En prononçant ces mots, elle agitait son sexe comme pour faire couler davantage de pisse et extraire les dernières gouttes .

Lorsque la source fut tarie, elle resta immobile un long moment. Ensuite, elle leva la jambe gauche et la posa sur le rebord de la cuvette.

D’où j’étais, je voyais son pied à peine caché par les brides éparses des sandales à hauts talons. Les orteils semblaient jaillir de ce chaussures légères et les ongles parfaitement vernis brillaient comme autant de miroirs.

L’autre jambe, par contre était restée bien tendue.

Que ses jambes pouvaient être belles! Musclées, mais pas trop, toujours parfaitement entretenues et lisses, souvent bronzées, bien fuselées et, surtout, pas trop maigres.

Dans cette position, je la vis qui commençait à se caresser. Tandis que sa main gauche courait de la hanche à la cuisse tendue, la droite s’agitait dans le sexe trempé. Trempé à la fois de pisse et d’envie car j’entendais le clapotis que le mouvement de plus en plus rapide des doigts provoquait.

Le plaisir fut prompt. Très vite, je vis la cuisse qui se trouvait si près de moi que j’aurais pu la toucher, se bander et les muscles se durcir. La main s’activa au rythme des gémissements. Le cri de la délivrance ne tarda pas, signal du plaisir de ma mère mais aussi du mien.

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Secret de Voisin Ch. 01

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Blonde

Elle savait qu’il la regardait comme il l’avait fait tous les jours depuis qu’elle était arrivée dans cette ville. Dès le premier soir où il s’était posté à sa fenêtre pour laisser ses instincts de voyeurs se libérer, elle l’avait vu et pour tout dire c’était un peu un jeu qu’elle jouait avec son jeune voisin.

À vrai dire, il n’était pas si jeune que ça; à peu près de son âge, il prenait le même autobus qu’elle. À chaque matins il la regardait intensément lorsqu’elle montait à bord. Il la déshabillait carrément du regard pour tout dire et ça aussi elle le savait et elle aimait ça.

Tous les soirs depuis huit mois c’était la même chose. Au début elle ne lui prêtait pas grande attention, croyant qu’il perdrait vite goût à ce passe-temps et ignorant elle-même tous les plaisirs que cela lui apportait, elle ne faisait rien pour l’encourager, se déshabillant simplement comme à l’ordinaire. Puis, à mesure que le temps passait, elle avait commencé à se placer à sa fenêtre de façon à ce qu’il la voie un peu pour finir par se mettre carrément et délibérément à la vue de son jeune voisin.

Si tout cela n’était au début qu’une affaire d’effeuillage, Véronique y avait vite trouvé un plaisir certain. Elle avait découvert les vertus de la fraîche brise du soir sur ses seins blancs, en effet, elle allait tous les soirs se poster à sa fenêtre après avoir terminé son petit numéro pour (selon elle) prendre une bonne bouffée d’air frais, mais en faits elle ne l’avouerait pas mais ce bain d’air pur n’était que la finale parfaite à son numéro quotidien.

À tout cela s’était ensuite ajouté une petite chose. Véronique, non contente du spectacle de bycasino valeur qu’elle donnait à chaque soir, s’allongeait ensuite sur son lit pour offrir au jeune voisin une vue sur ses plaisirs intimes. Tous les soirs elle glissait doucement ses doigts le long de sa fente lustré par son jus. Elle caressait doucement son clitoris et l’ensemble de son sexe et, pour intensifier l’effet sur le voyeur, il lui arrivait parfois de glisser son index à l’intérieur. Elle terminait le tout par une petite visite à la fenêtre pour montrer au jeune voisin qu’elle savait très bien qu’il était là.

Et tous les jours ils se voyaient mais une sorte d’entente muette les liait, ils faisaient mine de ne pas se connaître et il en était ainsi car, à l’exception de ces soirées, ils ne s’étaient jamais adressé la parole. Jusqu’au jour où…

Véronique était revenue de l’école depuis 15 minutes quand elle entendit sa mère l’appeler. -Véronique ma chérie, nous recevons à souper. Dimanche soir, il nous a apparut de bon ton d’inviter les voisins. Ce sont des gens adorables tu vas voir! Je compte sur toi pour être des nôtres.

La jeune fille passa par toutes les émotions : comment allait-elle faire, qu’allait-il se passer? Il n’y eut pas d’effeuillage ce soir là et pour la première fois le voyeur de son côté n’était pas au poste car il avait appris la nouvelle également.

Le fameux dimanche soir arriva donc, Véronique avait porté un soin spécial à son apparence. Elle portait ses longs cheveux bruns remontés dans un simple chignon d’où dépassaient quelques mèches qui venaient caresser sa nuque. Elle avait mis une jupe noire qui lui tombait bycasino deneme bonusu sur le genou et un gilet sans manche noir également. Ses talons lui donnaient une jambe vertigineuse qui dépassait sensuellement de la fente de sa jupe à l’avant.

Lorsque la sonnette de la porte retenti elle alla ouvrir aux invités et salua poliment les deux adultes en leur indiquant le salon. Elle se retrouva donc seule avec leur jeune fils. Véronique humecta ses lèvres en tentant de trouver le courage de dire un mot, il la devança : -Alors pourquoi ne pas rejoindre nos parents au salon?

Toute la soirée se passa comme sur un fil d’où Véronique croyait à tous moment tomber. Le jeune homme avait un je-ne-sais-quoi dans la voix qui lui chatouillait au creux des reins. Elle le lui rendait bien en laissant doucement ses doigts glisser le long de sa coupe de vin ou bien en effleurant sa fourchette des lèvres en mangeant. La tension était vive et tout ce manège dura jusqu’à l’apéritif où les deux jeunes se retrouvèrent à l’étage pendant que leurs aînés discutaient bruyamment au salon.

Sans même discuter, le jeune voisin prit Véronique dans ses bras pour l’embrasser vigoureusement. – Et maintenant, laisse-moi te déshabiller moi-même pour une fois! Sur ce, il glissa son chandail par dessus la tête de Véronique et fit tomber sa jupe sur le sol. Les souliers allèrent voler autre part et la jeune fille se retrouva toute nue dans les bras du jeune homme encore tout habillé. Elle sentait qu’elle était à sa merci, et elle aimait cela. De plus il avait tout son consentement.

Elle se pencha alors pour prendre son sexe bycasino güncel giris dans sa bouche. Tenant le membre d’une main, elle prit son gland entre ses lèvres en appliquant une légère succion sur ce dernier. En caressant de plus en plus intensément son sexe d’une main elle le prit de nouveau dans sa bouche, mais cette fois en le regardant droit dans les yeux. Elle retira sa main et le prit cette fois-ci entièrement.

Il lui retira son sexe pour déboutonner sa chemise et retirer sa ceinture. Il plaqua Véronique sur le lit et plongea son visage dans son decolleté. Son soutient-gorge était en dentelle noire et remontait les seins de manière à les rapprocher dans un décolleté plongeant. Véronique ouvrit tout grand ses jambes au garçon et lui fit signe de la prendre sur le moment. Il retira ses pantalons et attira la jeune fille vers lui. -Comment tu veux que je te prenne? -As you wish sir! Il la fit mettre sur les genoux dos à lui et serra sa taille d’une main en se servant de l’autre pour tenir ses seins. C’est ainsi qu’il la pris, par l’arrière en sentant à chaque coups de reins ces fesses rondes à elle qui le lovaient contre son corps. Il la pénétrait encore et encore, elle tomba alors vers l’avant pour lui offrir une fantastique vue sur ses fesses. Il prit ses reins à deux mains pour intensifier et accélérer le mouvement de va et vient. Tout se faisait de plus en plus rapidement et tous les deux perdaient le sens de l’orientation et c’est dans un éclat des cris étouffés de leurs orgasmes conjugués que s’acheva la pénétration.

Juste à ce moment un cri retenti du rez-de-chaussée, le jeune voisin s’habilla dans un éclair et descendit presque instantanément retrouver ses parents. Tous se dirent au revoir et promirent de répéter l’expérience de ce charmant dîner.

Ce soir-là le jeune voisin se dépêcha de monter à sa fenêtre, c’est qu’il ne voulait pas manquer sa voisine qui ce soir était déjà nue, étendue sur son lit défait.

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La femme du révérend 02

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Anal

Coulybaca/ Stevecom

La femme du pasteur est contrainte de reprendre ses activités de pute.

Cela fait maintenant deux mois que suis rentré de ma tournée des églises, j’ai vraiment apprécié de rentrer à la maison retrouver mon mari et mes 3 filles chéries.

Je reprends quelques informations pour ceux d’entre vous qui n’auriez pas lu la première partie de mes mésaventures :

Je suis l’assistante de mon mari et je donne des sermons chaque dimanche en alternance avec mon mari.

Je m’appelle Caroline James, J’ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans.

Je suis assez célèbre en tant qu’écrivain, mon dernier livre, “Eglise et communication”est déjà un “best seller”.

J’ai effectué, il y a deux mois une tournée de communication pour tenir de nombreuses conférences et promouvoir mon livre.

Au cours de ce périple, j’ai rencontré un jeune aide serveur noir de 18 ans, Tyrone qui est doté de la plus grosse bite que j’ai jamais vue.

Il m’a baisé à couilles rabattues puis m’a livré à ses copains contre monnaie sonnante et trébuchante.

Je me suis prostituée pour lui chaque nuit de mon séjour dans cette petite ville, soit pendant environ une semaine.

J’avais vraiment honte de moi, je n’avais fait l’amour qu’avec mon mari auparavant, alors que pendant ces quelques nuits j’ai appartenu à une quinzaine de jeunes noirs qui m’ont baisée, enculée et que j’ai sucé à leur gré.

Je suis le révérend Mike Marshall, mon épouse Caroline est non seulement une merveilleuse mère pour nos trois filles Carol, et Sue, nos jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans, lais aussi une ravissante femme.

Assez grande, 1, 75 m de somptueuses jambes, de longs cheveux blonds, un adorable visage, des hanches bien marquées et une poitrine bien ferme et bien ronde malgré la naissance de nos trois filles.

Nos trois filles ressemblent comme des sœurs à leur mère.

Depuis son voyage promotionnel Caroline a bien changé, bien qu’elle soit un pilier de notre église et qu’elle nous aime profondément mes filles et moi, j’ai constaté avec surprise que ses tenues ont changé, alors qu’auparavant elle s’habillait de façon fort conservatrice et tout à fait conventionnelle, voilà qu’elle s’exhibe maintenant dans des tenus très sexy.

Elle porte des mini-robes, et des mini-jupes, ses corsages révèlent tout de sa poitrine, exposant aux yeux de tous ses seins, elle semble toujours très élégante mais porte des tenues extrêmement provocantes.

Nos filles adorent la nouvelle apparence de leur mère et s’habillent aussi de façon fort sexy maintenant.

Ma femme ignore que j’ai tout entendu alors que dans sa chambre elle se faisait baiser par cet aide-serveur noir qui l’a subjuguée. Intrigué par certains bruits, je n’avais pas raccroché le téléphone et j’ai ainsi profité de l’intégralité de leur séance de baise.

Je n’en ai rien dit parce que je l’aime profondément et je me figurai que Caroline s’était oubliée accidentellement, je supposais que Dieu lui avait pardonné, je faisais de même.

L’entendre baiser avec ce jeune noir m’avait follement excité j’en étais honteux et culpabilisé.

Depuis que je suis revenue, je m’habille beaucoup plus sexy, Tyrone avait raison, j’adore sentir les regards des hommes et des femmes se poser sur moi admirant mes charmes.

J’aimais spécialement sentir le regard des hommes noirs qui s’appesantissaient sur mes appas.

De toute façon je n’avais pas fait l’amour avec mon mari depuis mon retour, ce n’était si surprenant, après avoir été possédée par des noirs avec de gros chibres, faire l’amour avec mon mari et sa petite bite ne m’intéressait plus du tout.

J’appréciais autant les grosses mentules des noires, que leur façon des noirs de s’adresser aux femmes, plus c’était vulgaire, plus cela m’excitait.

Je pensais que Dieu m’avait pardonné mes écarts et mes sensations aussi avais-je repris de plus belle la promotion de mon livre et la prise en charge de ma merveilleuse petite famille.

Je me tenais au coté de mon mari à la porte d’entrée de l’église, saluant convivialement les paroissiens qui sortaient de l’église après notre service de 11 heures.

Nous avions environ 250 paroissiens, par moitié blanc et l’autre moitié noir et latinos.

Mon mari était aimé de tous, il serrait de nombreuses mains, je me tenais à coté de lui saluant les membres de notre congrégation et signant des exemplaires de mon bouquin.

Je portais une robe jaune translucide qui s’arrêtait à mi-cuisses, elle mettait en valeur mes formes attrayantes.

Je sentais les hommes jeter des coups d’œil salaces sur mes appas et les femmes des regards envieux.

Il ne restait plus que quelques paroissiens dans l’église lorsque je repé-rais Tyrone le jeune aide serveur noir de 18 ans qui m’avait subornée lors de mon périple promotionnel.

– Hey Caroline tu me sembles bien sexy… Regarde un peu qui j’ai amené… Clama Tyrone en s’approchant de nous.

– Ataşehir travesti Bonjour Caroline… Linda la jolie serveuse blanche âgée de 18 ans en compagnie de qui je m’étais prostituée l’accompagnait.

– Bonjour… Répliquais-je paniquée.

Je les éloignais de mon mari et des derniers paroissiens qui quittaient l’église.

– Que faites-vous ici? … Que me voulez-vous? … oh, oh… Mon mari nous regarde… Il s’approche de nous…

– Chéri, je veux te présenter Tyrone et Linda que j’ai rencontrés lors de mon dernier voyage promotionnel… Bredouilla Caroline affolée.

– Enchanté de vous rencontrer Tyrone et Linda… Rétorqua mon mari serrant virilement la main de Tyrone.

Tyrone reprit en gloussant :

– Hey révérend ta femme est vraiment chaude, une bonne salope, regarde-moi ses tétons, ils ne demandent qu’à être dégustés! …

– Ohhhhhh Tyrone… Ne dis pas cela… Nous nous trouvons dans une église! …

De façon fort surprenante mon mari se taisait, il se détourna et s’en alla sans un mot.

– Qu’êtes-vous venu faire ici, pourquoi êtes vous ici! … Les interro-gea Caroline en jetant un coup d’œil craintif autour d’elle.

Ils constatèrent tous trois que l’église était maintenant vide. Tyrone s’es-claffa :

– Je suis venue voir ma petite pute, ma salope… Dis-moi que t’es ma pute! … J’ai envie de me faire ta savoureuse petite chatte blonde… Par ailleurs j’ai besoin de me faire un peu de fric! … J’ai trouvé du travail pour toi et Linda ce soir, et maintenant dis-moi que t’as en-vie de ma grosse bite noire salope! …

Caroline soupira :

– Je suis ta pute… Oh oui chérie je suis ta pute! …

Tyrone poursuivit alors :

– Je t’ai présentée comme une pute expérimentée, ainsi que Linda d’ailleurs, c’est ce que j’ai constaté d’ailleurs, j’adore ça, je peux vous livrer aussi bien à des hommes qu’à des femmes… C’est ex-cellent…

Caroline rougit, elle se remémorait sa dernière nuit passée en compa-gnie de Linda.

– Maman… Maman Lui criaient ses filles en courant vers elle

– Papa nous attend… Laura agrippa mon bras

– Allez viens maman…

Caroline jeta un oeil éperdu sur Tyrone et Linda

– Je dois y aller… Je suis désolée… Leur dit-elle angoissée.

Tyrone lui tendit une feuille de papier où était noté un numéro de télé-phone

– Appelle-moi avant 19 heures… Je te donnerai l’adresse où te ren-dre… Rétorqua Tyrone impavide.

– Je dois à parler à ta mère pendant une minute ma chérie, puis elle ira te rejoindre… Dit-il à Laura.

Il regarda alors Caroline droit dans les yeux.

– Ecoute-moi bien ma petite chérie… La nuit où je t’ai baisée à couil-les rabattues dans ta chambre, te rappelles-tu m’avoir entendu dis-cuter avec quelqu’un au téléphone pendant que tu prenais une douche? …

– Oui…

– Je discutais avec ton mari, il a entendu tout ce qui s’est passé dans la chambre… Il était à l’écoute… Lui révéla Tyrone moqueuse-ment.

– Oh mon Dieu… Doux Jésus… Il ne m’en a pas dit un mot… Rien… Haleta Caroline abasourdie.

– Il m’a dit qu’il avait joui à, trois reprises, il pleurait comme un petit bébé, il m’a même entendu t’ordonner de te prostituer pour moi! … Ajouta Tyrone hilare.

Tyrone et Linda se dirigèrent vers la sortie, soudain Tyrone se tourna vers elle :

– Hey, ta fille qui est venue t’appeler est ravissante, quel âge a-t-elle? …

– Elle a 19 ans… Répondit Caroline légèrement inquiète.

– Elle a de beaux nichons, tout comme sa mère… Je veux la bai-ser… Je veux baiser tes 3 filles… lorsque je les aurai bien baisées, elles t’imiteront et travailleront pour moi…

S’approchant alors de Caroline, il releva sa robe et tâta la petite culotte qui enserrait sa chagatte, elle bavait déjà d’excitation, sa fentine était trempée, il plongea un doigt dans sa foufoune.

– Dis-moi, cela t’excite tant de savoir que je veux me faire tes filles! … Réponds-moi! …

Caroline était envahie par la honte, effectivement cette idée la liquéfiait littéralement, mon Dieu qu’allait-il leur arriver? …

– Oh oui cela m’excite… Mon Dieu je ne parviens pas à croire pour-quoi cela m’excite tant! … Répondit Caroline affolée.

Tyrone extirpa son doigt de sa cramouille et le lécha ironiquement.

– A ce soir… s’esclaffa-t-il railleusement.

Pendant le repas les filles discutèrent entre elles, en riant à gorge dé-ployée. Mon mari mangeait calmement, évitant mon regard.

– J’ai rencontré Tyrone et Linda lors de mon voyage promotionnel… Avançais-je tentant d’initier une conversation avec mon mari.

Il finit enfin par me regarder.

– Je suis très heureux que tu fréquentes des jeunes gens, qu’ils te regardent avec envie, je suis fière de toi! …

– Allez vous changer les filles, allez-donc jouer à la vidéothèque…

– Oh merci maman… Sur ces mots, elles nous quittèrent toute joyeuse.

Je jetais un oeil sur mon mari, je vis que des larmes se formaient sous ses paupières. Ataşehir travestileri Il savait déjà ce que j’allais lui dire.

– Tu m’as entendu baiser avec Tyrone, n’est ce pas? … Pour quoi ne m’as-tu rien dit lorsque je suis rentrée? … Tu gardes cela pour toi depuis tout ce temps! … Cela aurait pu te tuer… Pourquoi? … Pourquoi? …

– Je t’aime ma chérie… Je ne voulais pas te traumatiser… Si tu avais su que j’étais au courant… Je suis désolé… Répliqua le révé-rend d’une voix sourde.

Caroline regardait fixement son époux.

– Il y a quelque chose d’autre… Quelque chose d’autre…

Son mari la regarda sombrement.

– Dis-moi quoi… Je t’en prie… Nous devons être honnêtes l’un en-vers l’autre… Je t’en prie dis-moi quoi… Le suppliait Caroline d’une voix douce.

Son mari la regardait toujours il se tint muet une paire de minutes.

– Caroline… Je t’aime Caroline… Je t’aime tant… Mais… Mais… Jamais je n’ai été aussi excité qu’en t’entendant baiser avec ce jeune noir… J’ai joui à 3 reprises sans même me toucher… Oh mon Dieu, que j’ai honte… Oublie ça je t’en prie! …

– C’est d’accord mon chéri… C’est d’accord… Je t’aime moi aussi… Nous avons une merveilleuse petite famille… une bonne paroisse… Tant de chose dont nous devons être reconnaissants à Dieu…

Soupira Caroline en posant sa main sur sa cuisse.

– Je dois te dire quelque chose mon chéri… Tyrone veut que je le rejoigne et que je baise avec lui ce soir… Je sais, il est très jeune… Mais sa bite est si grosse, si épaisse… Oh mon Dieu… Je ne peux pas m’en passer… Non je ne le peux pas… Laisse moi y aller… Je t’en prie…

Son mari lui répondit calmement :

– Il y a quelque chose d’autre encore…

Caroline bougea lentement sa main, elle haleta :

– Chéri, mon chéri… Tu bandes… Ton pénis est tout raide… Cela m’excite follement… C’est de savoir que je me fais baiser par une jeune bite noire? …

Elle empoigna la bite de son mari.

– Oui il y a quelque chose d’autre mon chéri… Je devrai probable-ment baiser avec d’autres hommes, Tyrone a besoin de fric… C’est pourquoi il veut nous prostituer Linda et moi! …

Son époux, les yeux clos, le corps tétanisé grogna soudain :

– oh mon Dieu…

Caroline comprit qu’il venait d’éjaculer dans son caleçon.

– Oh chérie… Mon chéri… Tu as éjaculé dans ton pantalon… Oh chéri… C’est bon… Prend cette serviette et nettoie ton pantalon… Oh mon pauvre chéri… Lui dit-elle apitoyée.

Quelques minutes plus tard ils se regardaient yeux dans les yeux, visi-blement calmés.

– Mon chéri… Ce soir quand nous serons au lit… Voudras-tu que je te raconte ce que j’ai fait? … Combien d’hommes m’auront possédée… Et comment ils m’auront prises… Aimeras-tu? … Lui susurra-t-elle à l’oreille.

Son mari la regarda fixement sans rien dire. Caroline sentit son pénis reprendre de l’ampleur…

– Eh bien mon chéri… Tu bandes à nouveau! … Mon pauvre chéri… Je sais bien… T’en fais pas pour ça…

Le soir même Caroline frappait à la porte de l’adresse indiquée.

– Entres… Répondit Tyrone de l’intérieur.

Caroline pénétra dans la pièce, il s’approcha d’elle et lui roula une pelle fiévreuse.

Elle entendit des grommellements, des grognements émanant d’une des chambres.

– Oh ma chérie… Ma douce salope… Laisse moi jeter un oeil sur toi… s’esclaffa Tyrone.

Elle portait une baby doll bleu pâle et une paire de sandales hauts-talons, un mini-string bleu, ses nibards nus pointaient au travers du fin tissu de son baby-doll, on distinguait clairement leur forme et leur ferme-té.

– Wow ma chérie… T’es habillée comme une vraie pute! … Siffla Ty-rone épata.

Il enlaça Caroline et il l’emmena vers les chambres, dès la porte ouverte, caroline vit Linda nue entreprise par 3 athlétiques gaillards noirs…

– Baise-moi sale pute… Baise-moi avec plus d’énergie… mets-y plus de cœur… Lui dit un des marauds lui claquant les fesses tout en coulissant âprement dans sa chatoune gonflée.

– Oh oui… Ouiiiiiiiiiiiiii… Hurlait un autre- Wow… Sa chatte est vraiment succulente, suce moi salope…

Le troisième titillait de la pointe langue ses mamelons… Quelle déli-cieuse petite pute blanche que cette Linda…

Une bite noire en bouche, une autre dans la chagatte grognait continuel-lement.

– Regardez-moi cette jeune chienne… Elle jouit de toutes ses fi-bres… Elle adore les mentules noires… Elle a vraiment de délicieux tétons… Une étroite petite chatte… Allez baise de tout ton cœur chienne blanche… Quelle belle pute blanche! …

On frappa à la porte, Tyrone s’en approcha et l’ouvrit, 4 noirs entrèrent, le premier avait 18/20 ans, les 3 autres 50/60 ans. 2 des plus vieux étaient gros et laids, le troisième était grand, les bras tatoués, un vérita-ble athlète.

Caroline jeta un coup d’œil implorant vers Tyrone.

– Je pensais que nous devions passer un bout Travesti ataşehir de temps ensemble, tous les deux…

Tyrone la coupa brusquement.

– Je te rappelle ma petite chérie que t’es ma pute… Le boulot passe d’abord… C’est d’accord ma chérie… J’ai besoin que tu prennes bien soin de tes clients… C’est d’accord ma chérie? …

Le grand gaillard s’approcha d’eux :

– Hey Tyrone, mon frère… T’as raison… C’est vraiment une ravis-sante salope… et posant le bras sur les épaules de Caroline il ajou-ta :

– Viens ici salope…

Caroline avait honte, déjà sa chagatte s’inondait de cyprine à l’idée de ce qui allait suivre.

Tyrone les avisa :

– Ce sera 150 $ pour tous 4… Pour ce prix, vous pouvez la baiser, l’enculer, elle adore sucer les grosses bites noires… C’est une femme mariée… Cependant elle adore se faire baiser par de grosses mentules noires! …

Jake l’athlète noir qui tenait Caroline intervint :

– Tiens voilà 200 $ mon frère… Mes potes et moi venons de sortir de prison… Cela fait 5 ans que je n’ai pas baisé, Junior et Bobby n’ont pas sauté de femmes depuis 10 ans, ils étaient en prison pour avoir violenté des femmes, quant à Lee il s’est tapé 3 ans de geôle pour viol, nous allons baiser ta pute pendant un sacre moment, reviens donc dans 3 heures Tyrone! …

Jake saisit le bras de Caroline, et suivi de ses comparses il l’entraîna dans la chambre libre. Il se pencha sur Caroline et lui roula une pelle ba-veuse, il était affamé de chair blanche, Caroline noua ses bras autour de son cou alors qu’il glissait sa langue épaisse entre ses lèvres.

Il lui enleva tout de go sa robe, elle enjamba son string, que Jake des-cendait en bas de ses chevilles.

– Regardez-moi cette chienne, toute ma vie je me suis branlé en pensant à ces salopes blanches, bordel ce que j’ai envie de me faire son cul! … Que le corps de cette chienne est soyeux! …

Caroline sentait des mains palper ses nichons, pincer ses tétons, tripoter ses fesses, on lui écarta soudain les globes fessiers, un doigt inquisiteur força son trou du cul, un autre plongea dans sa chatoune, elle était trempée de cyprine.

– Sa chatte bave comme un escargot… Elle est trempée… Tu n’es qu’une salope… Tu n’es qu’une pute bonne à baiser…

Caroline les entendait se déshabiller, alors que Jake cessait ses baisers. Une autre bouche remplaça la sienne une autre langue pénétra sa bou-che.

– Laissez-moi goûter à son trou du cul! … Je veux tester le cul de cette femme blanche mariée! …

Une langue épaisse testait maintenant son oeillet resserré, elle savait déjà que son trou du cul allait être profondément sondé.

– Je sens que je vais adorer l’enculer, tu aimeras ça toi aussi ma pe-tite pute! … Sur ces mots un de ses clients lui claqua gentiment les fesses.

– Ooooooohhhh… Aaaaaaaaaahhhhhhh…, Carole détourna son vi-sage.

– Aahhhhhh… Ooooohhhhh mon Dieuuuuuu… Cette pute va jouir… Salope… Tu es une vraie salope! …

Une heure s’était écoulée, Tyrone se dirigea vers la chambre où officiait Linda, 2 noirs assez âgés éjaculaient sur son visage, tandis qu’un autre la baisait en chatte.

Les jambes de Linda étaient bouclées autour du torse de son troisième client alors qu’il la baisait en profondeur, elle grognait :

– Aaaaaaaahhhhhhh… Ooooooooohhhhh, bordel… Tyrone…

– Les gars, quand vous en aurez fini, vous vous barrerez! … En sor-tant de la chambre il entendait encore les grognements de plaisir de Linda qui jouissait.

Dans l’autre chambre, Caroline suçait à pleine bouche la bite du plus jeune tout en branlant deux des plus âgés, ils manipulaient tous les deux ses nichons bien ronds, bien fermes, Jake lui broutait le gazon.

– Allez salope… Suce ma bite… suce-moi de tout ton cœur…

– Cette pute à de succulents nibards! … On va te baiser à couilles rabattues… Tu vas adorer ça chienne! …

Tyrone entendit un son familier : Caroline grognait et gémissait submer-gée par un nouvel orgasme.

Tyrone partit pour dîner, il était reconnaissant aux filles de lui avoir ra-mené une bonne somme.

De retour il ouvrit la porte, la pièce était enfumée. Il se dirigea vers la chambre ou se tenait Linda, elle somnolait, nue, allongée sur le lit des filets de foutre s’écoulaient de son con et de son trou du cul.

Cependant il n’était pas préparé à l’apparence de Caroline.

Jake était assis vêtu d’un smoking, il fumait un joint, les deux violeurs de femme se rhabillaient, le plus jeune se faisait sucer par Caroline, extir-pant sa bite de son gosier il finit de se vider les couilles en giclant sur son visage déjà couvert de foutre.

Ses cheveux, son, visage étaient couverts d’une épaisse couche de fou-tre, de son trou du cul et sa fentine suintaient des rigoles de foutre qui s’étalaient sur les draps.

– C’est alors que le jeune noir ordonna à Caroline d’ouvrir la bouche en grand et lui souffla une forte dose de dope qu’il venait d’inhaler.

Ils sortirent de la chambre, arrivant à la porte, Jake se tourna vers Ty-rone

– C’est vraiment une chaude salope mon frère… Elle a gagné cha-que penny qu’on a payé… Merci… Lorsque tu partiras, pour quoi ne m’en donnerais-tu pas la gestion? … Je la mettrais sur le trottoir, elle nous rapporterait un max de fric! … Penses-y! …

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Ağustos 21, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

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Masturbation

Laurence scannait les articles à sa caisse, tel un robot, lorsqu’elle vit l’arrivée d’une cliente particulièrement belle et qui ne passait pas inaperçue, ce qui la fit sortir de son quotidien. Cette cliente se prénommait Tania. Elle était d’origine brésilienne, belle métisse à la peau caramel clair, grande, avec un corps élancé et des courbes qui rendaient jalouses les autres femmes autour d’elle.

Tania venait depuis quelque temps faire ses courses, aux alentours de midi.

Laurence était une jeune femme de 28 ans qui venait de se mettre en ménage avec son compagnon, qui était second dans un restaurant chic. Ils ne se voyaient que rarement le jour et très peu le soir.

Laurence venait d’obtenir son CDI deux semaines avant l’arrivée de Tania. Au fur et à mesure, Laurence croisait Tania chaque midi à sa caisse. Le temps passait et les deux commencèrent à symphatiser entre elles.

Laurence était un peu complexée par son corps en voyant Tania. En discutant longuement, elle apprit quel était son métier et demanda des conseils en beauté et autres.

Laurence n’était pas laide, bien au contraire, mais elle ne savait tout simplement pas se mettre en valeur ; blonde au corps plus au moins proportionné en huit, sa poitrine volumineuse était souvent cachée sous son tablier de travail.

Laurence, n’ayant que très peu d’amis, se confiait à Tania, entre une salade et un pot de yaourt scanné.

Tania n’était pas différente non plus dans ses échanges avec Laurence, et cela malgré le fait qu’elle savait que Laurence était en couple avec un homme.

Les mois passaient, Laurence voulait un bébé pour consolider son couple et pour combler le manque à la maison lorsqu’elle était seule. Tania, de passage au magasin, prenait des nouvelles de Laurence et remarquait le changement physique de celle-ci, mois après mois. Elles décidèrent également de franchir une étape supplémentaire, au-delà de la relation cliente-employée.

Elles se voyaient à l’extérieur en toute amitié, du moins c’était ce qui était prévu. Au début, elles allaient boire un verre au café du coin, puis Laurence l’invitait chez elle quand l’occasion se présentait. Mais jamais à l’inverse.

Laurence, au contact de Tania, changeait ; elle apprenait à s’habiller autrement et à se mettre enfin en valeur. Prenant le temps de se maquiller et de se coiffer, etc. Même ses tenues devenaient plus attirantes. Tania la transforma un peu à son image. Le compagnon de Laurence, lui aussi, voyait le changement, mais n’y faisait pas plus attention.

Au 7ème mois de grossesse, le physique de Laurence changeait complètement. Son ventre était devenu énorme, ainsi que sa poitrine. Son tablier devenait trop petit, elle devait l’ouvrir et montrer son décolleté plongeant à tout le monde. Ce jour-là, de passage au magasin, Tania lui fit la réflexion à sa caisse : “Mon Dieu, Laurence, tes seins vont exploser! J’en suis jalouse. Même avec tous les exercices que je pratique, je n’arrive jamais au même résultat.” Plaisantant, Tania en lui lança un clin d’œil.

Le mois suivant, Laurence, de plus en plus fatiguée, dut s’arrêter de travailler. Les contractions devenant douloureuses, elle fut mise à l’arrêt pour sa santé et celle du bébé, un futur petit garçon. Laurence accoucha peu de temps après ; le bébé et Laurence se portaient bien. Le père était également présent, mais distant, ne montrant pas une joie plus marquante pour un tel événement. Il croisa aussi Tiana pour la première fois à la maternité.

Tiana était plus heureuse de l’arrivée de l’enfant que son propre père. Lors de la mise au sein du bébé par Laurence, c’était un moment d’hypnose pour Tiana, qui ne ratait pas une miette. Elle voyait cette paire de seins nervurés de veines, dû au trop-plein de lait. Elle observait du coin de l’œil l’enfant téter les seins de sa mère. Peu de temps après, Tiana décida de laisser un peu le couple respirer et de les laisser seuls, espérant aider Laurence à renouer les liens avec son homme.

Le temps passait, et Laurence et Tiana se voyaient moins souvent qu’avant. Elles se donnaient des nouvelles uniquement par texto ou par vidéo. Tiana apprit que la situation ne s’améliorait pas entre Laurence et son compagnon, ce dernier étant encore plus distant et renfermé qu’auparavant. Elle le soupçonnait d’avoir une maîtresse.

Tiana essayait de la rassurer, tout en espérant le contraire.

Après environ trois mois de congé de maternité, Laurence dut reprendre le travail.

Laurence avait décidé de continuer à allaiter son bébé même après avoir repris le travail. Une fois de retour sur son lieu de travail, Laurence avait obtenu l’accord pour tirer son lait deux fois par jour. Un local lui était dédié lorsqu’elle en avait besoin. Lorsque Laurence ressentait une montée importante de lait, elle s’enfermait dans le local médical. Elle déboutonna son tablier, et sous son débardeur, ses deux seins débordaient de son soutien-gorge d’allaitement.

Elle enlevait les bonnets de son soutien-gorge, les seins à l’air. Elle mit les deux tire-laits sur ses larges mamelles et actionna la pompe, qui commença à aspirer. Après seulement une vingtaine de secondes, Ataşehir travesti les deux récipients se remplissaient à une vitesse phénoménale. Laurence avait la capacité d’avoir beaucoup de lait dans les seins, tant qu’elle donnait le sein à son fils à la demande. Laurence se sentait soulagée et complètement délivrée de la pression contenue dans ses seins.

Laurence gémissait à chaque aspiration de son tire-lait. Après avoir rempli les deux récipients, Laurence les stockait ensuite dans un frigo, pour nourrir son fils le soir ou les mettre au congélateur. Voilà le quotidien de Laurence depuis son retour au travail.

Lors d’une de ses journées de travail en caisse, Laurence croisa Tiana, qui remarqua que la jeune femme était fatiguée et pas en forme. Elle lui proposa de la coacher pour qu’elle retrouve sa silhouette et son ventre d’avant la naissance.

Laurence se laissa tenter et se fit influencer par les belles paroles et promesses de Tiana, qui lui promettait un corps parfait après des séances avec elle. Elle lui dit aussi que cela allait la détendre et lui changer les idées. Laurence et Tiana trouvèrent finalement une date pour leur première séance de fitness. Elles décidèrent que la première séance se ferait chez Tiana, qui avait le matériel adéquat. Quelques semaines plus tard. Laurence était toute excitée à l’idée de pouvoir prendre une journée pour elle et penser à autre chose que son bébé, son copain absent et le boulot.

Elle s’acheta pour l’occasion une petite tenue de fitness, composée d’un débardeur rose, allant du haut du nombril et se terminant par des bretelles qui retenaient sa lourde poitrine. Le bas se composait d’un short noir moulant qui descendait juste au milieu des cuisses. Cependant, le débardeur étant très serré, compressait ses seins et la gênait dans ses mouvements.

Laurence, déterminée à renforcer les liens père-fils, laissa son bébé entre les mains de son compagnon, ne lui laissant pas vraiment le choix. Elle voulait qu’il passe du temps avec leur enfant et qu’il prenne pleinement ses responsabilités parentales.

Aux alentours de 10 heures, Laurence se dirigea vers le domicile de Tiana, le cœur léger et le sourire aux lèvres, fière de l’initiative qu’elle avait prise. Arrivée devant chez Tiana, elle se tenait prête à profiter d’une belle journée entre amies.

Tiana, qui habitait un spacieux loft au style industriel, ouvrit la porte. Le lieu était impressionnant, avec de larges baies vitrées qui laissa entrer toute la lumière du soleil.

« Coucou ma belle, waouh! Cette tenue est vraiment sexy sur toi et tes formes, on te mangerait, lui disait Tiana en riant avec son accent brésilien. » Tiana savait comment flatter Laurence et la mettre en confiance. « Nous allons commencer dans 10-15 minutes, ma chérie. Tu veux boire quelque chose? » « Merci Tiana, juste un verre d’eau s’il te plaît. Et aussi, j’ai laissé bébé à son père ce matin. Je n’ai pas eu le temps de lui donner le sein avant de partir. Il a des biberons avec mon lait. »

“Je devrais juste tirer mon lait tout à l’heure, si ça ne te dérange pas, s’il te plaît. “

“Ne t’inquiète pas, dis-moi quand il faut s’arrêter, je pourrais même t’aider et goûter aussi.” Disait Tiana sur un ton plaisant.

Laurence devenait toute rouge, tel une petite fille, en entendant Tiana lui lancer cette phrase. Tiana proposa alors à Laurence de commencer à s’échauffer. Les deux firent des étirements et des assouplissements pendant un moment. Lorsque l’on sonna à la porte, les deux femmes s’arrêtèrent.

Tiana alla ouvrir la porte et accueillit un couple d’amis. Tiana demanda à Laurence si cela ne la dérangeait pas que le couple participe aussi au cours, pour faire des cours collectifs. Laurence, sur le coup, était un peu déçue de ne pas se retrouver seule avec Tiana, mais elle dit que non pour ne pas vexer le couple. Tiana fit les présentations : le couple avait tous deux la bonne quarantaine et occupait des postes assez importants dans la vie. La femme se nommait Cathy et son mari, Henri.

Une fois les présentations faites, l’homme entama la distribution avec Laurence, tandis que la femme parlait avec Tiana. Laurence entendit la femme dire d’une voix basse : « Merci, tu avais raison, elle est vraiment bien, de très belles formes, on va bien s’amuser avec elle. » Laurence ne savait pas si elle avait bien entendu ce qui venait d’être dit, ou si c’était une erreur de sa part. Tiana proposa de commencer la séance, chacun étant face à Tiana, qui avait lancé une musique d’ambiance.

Tiana commença les premiers gestes. Le but était de plier les jambes, d’allonger les bras et de tenir la position pendant plus de 5 minutes. Nos trois participants reproduisaient ce que Tiana leur montrait. Le couple n’avait pas de mal à suivre, tandis que Laurence avait plus de difficultés. Elle était légèrement déséquilibrée. Tiana montra le deuxième exercice, qui consistait à sauter sur place en écartant les jambes et les bras. Le couple exécuta sans difficulté, tandis que Laurence sautait et que sa poitrine se balançait.

Tiana commença les premiers gestes. Le but était de plier les jambes, Ataşehir travestileri d’allonger ses bras devant soi et de tenir la position pendant plus de 5 minutes. Nos trois participants reproduisaient ce que Tiana leur montrait. Le couple n’avait pas de mal à suivre, tandis que Laurence éprouvait plus de difficultés. Elle était légèrement déséquilibrée, en raison de sa poitrine trop lourde. Tiana montra le deuxième exercice, qui consistait à sauter sur place en écartant les jambes et les bras, puis à les rejoindre par la suite.

À chacun de ses sauts, Laurence faisait remuer sa poitrine plantureuse dans tous les sens. Tiana, ainsi que le couple, se délectaient de la scène. Après quelques minutes de sauts intenses, la fatigue se faisait déjà sentir sur le visage de Laurence. Tiana sortit les cordes à sauter, et chacun devait essayer de réaliser 5 séries de 10 sauts à l’aide de la corde à sauter. Ce fut le même scénario que le précédent : des fesses et de la poitrine rebondissant. Même si Laurence se mêlait un peu les pieds.

Soudain, Laurence était un peu essoufflée, car elle n’avait pas l’habitude de ce type d’effort et elle ressentait une douleur soudaine au niveau de la poitrine. Tiana enchaîna alors avec des exercices au sol ; chacun des participants avait un tapis de mousse sous les pieds. Nos quatre sportifs du jour devaient mettre leurs jambes en extension et se tenir sur les avant-bras. Le couple arrivait facilement à exécuter l’exercice, tandis que Laurence avait du mal à tenir sur ses bras.

Tiana se tenait au-dessus d’elle pour la retenir au cas où. Laurence tentait de tenir le rythme, mais le poids de ses seins, combiné à la douleur à la poitrine, la gênait. Elle céda et s’écroula, mais Tiana la rattrapa de justesse par les bras. Laurence poussa alors un gémissement, ses seins étaient en train de s’engorger. Laurence s’excusa d’avoir crié et s’expliqua : “Désolée, mais je dois aller tirer mon lait, mes seins vont exploser si je ne le fais pas maintenant. “

Et là, Tiana et le couple échangèrent un regard complice. Tiana dit à Laurence qu’ils allaient l’aider et qu’elle n’avait encore jamais vu comment on faisait, soi-disant par curiosité. Le couple ajouta une couche : “Oui, allez, nous sommes aussi curieux de voir ça, nous n’avons pas encore eu l’occasion de jouer avec une femme en lactation “, disaient-ils en riant.

Laurence avait un regard gêné et demanda : “Vous plaisantez, n’est-ce pas? Je vais aller m’isoler pour ça, merci. ” Tiana, dis quelque chose. Tiana lui répondit : “Désolée, ma belle, ce n’est pas personnel, ce sont les affaires. ” Laurence ne comprenait pas de quoi elle voulait parler. Tiana attrapa alors Laurence par derrière et la serra avec ses bras. Elle souleva ensuite le débardeur de Laurence, découvrant sa poitrine, encore cachée sous son soutien-gorge d’allaitement, du lait commençant à transpercer le tissu. Tiana comprima sa poitrine sous ses bras. Laurence avait les yeux fermés et ne pouvait pas bouger.

C’est alors qu’Henri s’approcha de Laurence avec une corde à sauter et lui dit : ” Ne t’inquiète pas, ma chérie, tu vas passer un moment avec nous.” Il embrassa Laurence de force. Laurence essayait de tourner la tête, mais Cathy lui prit la tête et l’embrassa à son tour, lui laissant des traces de salive dans la bouche. Ensuite, Cathy et Henri commencèrent à enlever un à un les vêtements de Laurence. Laurence était tétanisée par la peur. Elle se retrouva totalement nue.

Henri commença à attacher Laurence à l’aide de la corde à sauter. Elle avait les mains liées derrière le dos, et le reste de la corde enlacait le contour de ses deux gros seins, qui débordaient à travers le cordage. Il coucha Laurence sur un tapis de mousse tandis que Tiana la maintenait au sol, le temps que Cathy et Henri se déshabillent à leur tour. Le couple se retrouvait finalement complètement nu. Henri demanda à Tiana : “Tiana, tu veux jouer aussi?” Tu auras un petit bonus pour nous avoir fourni une si belle proie.”

” Après vous, Monsieur Henri, répondit Tiana. Je vous laisse à Madame Cathy et vous, le plaisir de commencer ; je la finirai après. Merci.” Henri dit à sa femme :” Vas-y, Cathy, commence, chauffe-la bien et fais-moi bander, mon amour.” Cathy, avec un sourire sadique, se mettant au-dessus de Laurence, dit : “On ne va pas s’ennuyer avec toi.” En observant tout le corps de Laurence. “Laisse-toi faire, ma petite, profite et prends ton pied avec nous. “

Henri s’agenouilla face aux trois autres femmes. Cathy, se préparant à jouer et à stimuler les seins de Laurence, les prit en mains, puis les tapota de gauche à droite, les faisant trembler tels deux flans. Ensuite, elle les malaxa avec tellement de vigueur que du lait en sortit, tel une fontaine, éclaboussant son visage et une partie de son corps.

Laurence sentit la pression dans ses seins descendre d’un cran, son visage reflétant une certaine satisfaction.

Cathy dit alors à Henri : “Regarde mon amour, notre joujou, commence à aimer.”

“Continue, ma chérie, ça m’excite.” Lui rétorqua Henri. Cathy continua : elle passa ses doigts sur l’extrémité des tétons, les pinça, Travesti ataşehir le lait continuant à s’en écouler. Ensuite, Cathy se rapprocha lentement des tétons avec sa bouche avant de les prendre pour les mordiller.

Puis, elle les mit en bouche et commença à les lécher lentement, les coups de langue sur ses tétons sensibles ayant un effet sur Laurence, qui ne tenait plus sous les caresses. Ensuite Laurence suppliait Cathy de lui sucer les seins, car elle avait mal aux seins. Tiana aussi commençait à être excitée par la scène, elle qui maintenait Laurence par les épaules. A l’aide d’une main, elle tira sur la tirette de son maillot qui s’ouvrait par devant, sous son maillot Tiana portait un soutien gorge de sport noir, qu’elle souleva, dévoilant deux seins au couleur caramel, ils étaient légèrement allongés, mais bien garnis. Tiana se baissa pour lécher le visage et la bouche de Laurence qui était recouvert de lait. Ensuite elle lui déposa ses seins sur le visage. Laurence commença à les sucer avec plaisir.

Cathy continuait à pomper les seins, tel un tir lait humain, elle mouillait en avalant le lait, elle partagea également quelques gorgées dans la bouche de Tiana, qui savourait le nectar blanc. Laurence gémissait de plus en plus. Après avoir stimulé autant les seins de la pauvre jeune maman. Cathy s’attaqua à son entrejambe, elle l’écarta délicatement les cuisses de Laurence.

Elle observa la légère toison blonde qui recouvrait son vagin. Elle écarta les deux lèvres rosées, retourna pour téter un sein afin d’en aspirer un peu de lait, qu’elle déposa sur le vagin. Le lait coulait lentement le long de sa vulve. Par la suite, Cathy approcha un doigt qu’elle venait d’humidifier dans sa bouche, puis elle introduisit ce doigt qui glissa lentement dans la fente, toute chaude et humide. Après que le premier doigt eut fait son aller-retour, Cathy rajouta un deuxième doigt. Qui accompagna le deuxième doigt dans sa danse dans le vagin, qui remuait de plaisir. Laurence bougeait le bassin en rythme, ses seins se balançaient, toujours maintenus par les liens de la corde à sauter.

Cathy approcha son visage de la toison blonde et lécha le vagin qui était déjà bien humide. Elle frotta du bout de sa langue le clitoris, faisant vibrer Laurence, sur le point de jouir. Henri, qui était en excitation devant sa femme faisant l’amour à une autre, commença enfin à avoir une érection. Henry n’arrivait plus à avoir d’érections correctes, sauf en voyant sa femme avec d’autres que lui, et ce, depuis quelques années. Après avoir préparé le terrain pour son mari, Cathy lui dit : ‘Voilà, elle est prête, tu peux y aller. Régale-toi et défonce-la.’ Henri s’approcha de Laurence, Cathy l’aidant à maintenir les cuisses de Laurence ouvertes. Il se positionna devant l’entrée mouillée de Laurence. Son sexe dur s’introduisit, Henri poussa un cri et bougea ses hanches, allant et revenant.

Pendant ce temps, Cathy et Tiana tetaient chacune les seins de Laurence. Celle-ci ne savait plus quoi penser ; sa tête lui disait de crier et de se débattre, mais tout son corps lui disait le contraire, son vagin et son bassin accompagnant les coups de reins d’Henri. Au-dessus d’elle, Tiana et Cathy jonglaient entre les seins de Laurence et leurs poitrines respectives. Les quatre corps se mêlaient dans la sueur, les sécrétions de l’une et de l’autre.

Henri, dans la dernière série de va-et-vient de son sexe dans le vagin, faisait claquer ses bourses contre la paroi intime gonflée de Laurence. Il ressortit et éjacula sur le buste de la jeune femme, qui avait atteint un orgasme juste avant. Cathy attendait qu’Henri finisse ses affaires pour s’arrêter. Le couple se releva, se rhabilla et donna une enveloppe à Tiana. Ils partirent en saluant Laurence et Tiana.”‘Merci pour ce moment, Tiana, tu nous en trouves d’autres comme d’habitude.”

“Alors, ma petite, tu as apprécié la surprise de la compagnie.” Demanda Tiana à Laurence. “Pourquoi m’as-tu fait ça?” “Comme je te l’ai dit, ce sont les affaires. « On me paye pour apporter de jolies filles comme toi, et des couples riches donnent des fortunes pour s’amuser un peu. » Voilà l’explication que donna Tiana à la pauvre Laurence. « Que vas-tu faire de moi maintenant? » demanda-t-elle.

« On va s’amuser encore un peu et je te dirai bye bye. »

Tiana alla chercher dans son sac un objet, tandis que Laurence essayait de voir ce qui se passait. Tiana revint avec un gode-ceinture autour de la taille. “Ils t’ont bien lustré la vagin, je vais pouvoir te pénétrer facilement ma belle.” S’exclama Tiana, qui ne perdit pas de temps et pénétra Laurence avec facilité, la chatte continuant à être humide d’excitation. Pendant qu’elle la pénétrait, elle avait les seins de Laurence en mains. “Tu as vraiment de jolis gros seins ma chérie.” Le lait continuant a couler sous les caresses des mains de Tiana, qui se jeta sur les seins pour les aspirer puis les sucer, rejetant du lait dans la bouche de Laurence et sur son buste. Le corps de Laurence se cambra, son bassin se releva vers le haut de plaisir. Elle n’arrivait plus à contrôler son corps, qui était en transe. Elle avait ses jambes autour de la taille de Tiana. Tiana suçait de plus en plus intensément les seins de Laurence, qui n’avaient jamais été autant stimulés en si peu de temps. Tiana continuait de se mouvoir en cadence avec son gode ceinture rose. Laurence connut à nouveau un orgasme puissant, avant de sombrer dans le sommeil par épuisement.

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Le Casting

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Amateur

—Chéri, tu es vraiment sûr de vouloir le faire?

— Oui pourquoi, pas toi? Ça sera de l’argent facile et ça sera marrant non? Ma petite princesse dans un film!

— Oui un film de cul super…

— Mon cœur tu fais déjà de la photo pour payer un peu le loyer, là c’est presque pareil et tu vas gagner plus! Et tu sais que nous en avons besoin!

— Oui… tu as raison, vas-y, envoie le mail alors!

Mon copain appuie sur entrée pour envoyer le mail de participation à un tournage amateur porno.

Nous sommes Sophie et David, un couple de 19 et 23 ans. Je suis étudiante en Histoire et mon copain travaille depuis peu à la SNCF, mais la vie parisienne n’est pas donnée pour des jeunes comme nous. Nos fins de mois sont très difficiles.

Alors, je fais de la photographie en tant que modèle pour de la lingerie, mais pas plus avec des petites entreprises qui ne rémunèrent pas beaucoup, mais c’est toujours mieux que de perdre un temps monstre à Macdo ou Quick.

Un jour, JC, le photographe avec qui je travaille, me parle d’un ami à lui qui fait des tournages coquins et il cherche de nouvelles têtes. Il m’explique que les actrices sont bien payées pour un tournage et que si je suis intéressée, je dois envoyer un mail à une adresse qu’il note sur un bout de papier.

Le soir même, j’en parle à mon compagnon qui est plutôt ouvert à l’idée, lui qui est un gros consommateur de porno.

Le lendemain, David trouve le site et remplit le formulaire où il y a plusieurs questions sur mon physique, mon âge, mon expérience ainsi que trois photos de moi à fournir.

Après l’envoi du mail, la vie continue pendant une semaine sans que nous recevions de réponse. Mais le vendredi soir, alors que je rentre de la fac, David m’attend dans le salon avec son pc.

— Mon cœur, ils ont répondu! Regarde!!

Sur l’écran, un mail confirmait la bonne réception de la demande. Il disait aussi que mon profil était très intéressant, et que la production souhaitait me rencontrer lundi à 14h00.

— Quoi? Lundi? Mais c’est pas possible, je suis à la fac lundi!

— Tu ne peux pas sauter les cours lundi?

— Non impossible, il y a un exposé sur la guerre de cent ans et c’est super important!

—Écoute Sophie tu peux louper juste un après-midi! Tu demandes à une de tes copines de te faire rattraper ce que tu as manqué et comme ça pas de soucis.

Je réfléchis un petit moment quand David reprend la parole :

— Chérie c’est important pour nous, car financièrement je ne pourrais pas continuer comme ça longtemps.

Son argument me fait accepter le deal avec une certaine appréhension. Une petite voix dans ma tête me dit que je ne devrais pas, il y a une différence entre poser pour de la lingerie et tourner un porno. Toutefois, j’aime passionnément David, alors je réponds :

— D’accord! Faisons ça lundi alors!

— Super il y a un numéro de téléphone que tu dois appeler pour confirmer le rendez-vous.

Je prends mon portable et compose le numéro. Une grosse voix sort du téléphone :

— Allo?

— Oui bon… Bonjour. Je suis Sophie, je vous ai envoyé un mail pour un casting et vous m’avez répondu pour un rendez-vous lundi.

— Aah oui, la petite jeune, merci de votre appel, alors c’est bon pour vous lundi?

— Je… euuh oui c’est bon pour moi.

— Super! Alors rendez-vous à 14H00 au bâtiment 14 rue du Bourgeon.

— Je peux venir accompagnée?

— Votre conjoint j’imagine? Pas de soucis pour nous. A lundi Sophie!

Il raccroche avant même que je puisse dire au revoir.

— Bon le rendez-vous est pris pour lundi et tu peux venir, dis-je en regardant mon copain.

Le week-end passe dans la routine et lundi matin, le réveil retentit dans la chambre. 6H00, c’est toujours un moment douloureux. Les deux pieds au sol, direction la cuisine pour un café, ensuite la salle de bain pour une douche et direction le dressing. Un string rejoint mon corps ainsi qu’un soutif le tout couvert d’une robe à bretelles et un collant.

Un bisou à mon chéri qui est encore dans le lit et direction les transports en commun. Putain c’est encore bondé sérieux… Putain, mais nous sommes lundi!! J’ai complètement zappé le casting. Quelle conne! Bon tant pis.

La matinée passe, j’ai l’esprit ailleurs avec le casting qui approche. Je préviens ma copine que je ne serai pas là cet après-midi, que j’ai un rendez-vous important.

David arrive à 13H00 devant la fac pour me conduire. Sur le chemin, personne ne parle. Arrivés devant le bâtiment, j’ai un doute, mais mon copain me pousse pour entrer. Nous pénétrons dans le bâtiment. Une hôtesse d’accueil est derrière son comptoir, il y a pas mal de monde avec plein de plaques de médecins et spécialistes. Je m’approche d’elle.

— Bonjour je… Euh j’ai un rendez-vous et on m’a donné cette adresse, mais j’ai l’impression que c’est pas la bonne…

— Vous avez rendez-vous avec quel médecin, madame?

Le rouge me monte un peu au visage.

— Euh non, ce n’est pas un médecin c’est…

— Ah OK je vois le genre, vous n’avez Bostancı travesti pas le style habituel… C’est au fond du bâtiment, porte 201. Bonne chance! dit-elle en me coupant la parole.

Nous arrivons devant une porte blanche avec une simple feuille de papier scotchée et un numéro de salle inscrit dessus. Je toque timidement et la porte s’ouvre d’un coup sur un homme d’une cinquantaine d’années au physique obèse.

— Bonjour, tu es Sophie j’imagine?

Je n’ai pas le temps de répondre qu’il enchaîne :

— Ecoute, nous allons nous tutoyer OK? Bon viens, je vais te présenter l’équipe… Ah au fait pardon tu es le copain c’est ça?

David répond un oui désorienté.

— OK super! Alors là, tu as Lucas c’est l’acteur OK?! Là tu as Olivier qui est l’ingénieur son ainsi que le webmaster. Moi je suis le responsable de la production et le cameraman le plus souvent.

Il parle à une vitesse incroyable, impossible d’en placer une, tout va très vite dans les présentations. La pièce est très grande avec un canapé, et plus loin, un lit, au fond, plusieurs bureaux avec des pc et au milieu de tout ça des caméras et des éclairages.

— OK Sophie, installe-toi ici! dit-il en me désignant le canapé de la main.

— Et… Merde c’est quoi ton prénom?

ajoute-t-il en regardant mon copain.

— David!

— Ouais cool, tu peux t’asseoir à côté d’elle.

L’homme s’installe sur un fauteuil, son gros ventre tend sa chemise.

— OK OK, bon nous allons commencer, je suis José le producteur et réalisateur, nous sommes une petite production donc nous avons plusieurs casquettes. Olivier va te donner un document à signer, c’est juste pour le droit à l’image, te fais pas chier à lire.

Olivier me tend un document de plusieurs feuilles, je regarde très rapidement et signe en bas de page.

— OK alors commençons, je vais te poser plusieurs questions en te filmant, je te demande de répondre le plus honnêtement possible, OK pour toi?

— Euh oui pas de soucis!

J’ai une certaine appréhension et je commence à sentir le stress augmenter.

— Bonjour à tous, aujourd’hui nous accueillons une petite nouvelle accompagnée de son copain, une belle petite brune que nous allons découvrir immédiatement. Alors pour commencer, présente-toi!

— Bonjour, je suis Sophie j’ai 19 ans.

— Que fais-tu dans la vie Sophie?

— Je suis en fac d’histoire.

— Oh une petite étudiante, super ça! Dis-moi Sophie, tu es en couple depuis combien de temps?

— Depuis 5 ans avec David!

— 5 ans? Ah oui c’est du sérieux! Et c’est ton premier chéri?

— Oui!

— Très bien, aimes-tu sucer Sophie?

La question tombe comme un coup de tonnerre, ça y est nous rentrons dans le vif du sujet.

— Je… euuh… oui j’aime plutôt bien.

— Une bonne suceuse? dit-il en regardant mon copain.

— Euh oui elle le fait bien! répond David, surpris d’être intégré à la conversation.

— Très bien nous verrons ça! Peux-tu te décrire physiquement Sophie?

— Je fais 1m72 pour 63 kilos, 85C et en pantalon je fais du 38.

— Dis donc la nature t’a bien gâtée!! Tu fais du sport?

— Oui, je vais à la salle de sport et je suis dans une association de natation.

— D’accord, alors continuons, pour la première fois, à quel âge l’as-tu fait?

— En terminale avec David!

— Ooh c’est très beau, tu n’as donc eu que ton amoureux?

— C’est exact!

— Je trouve ça très beau. Pourquoi nous avoir contactés?

—Nous cherchions un peu de nouveauté et pour être franche une rémunération.

— Ah oui surtout ça! Ah ah, sachez chers spectateurs que nous donnons un pourcentage à nos collaborateurs, car nous sommes pour le respect du travail des femmes, ah ah ah!

Les deux autres hommes présents dans la pièce éclatent de rire également.

— Bon bon un peu de sérieux… Pourrais-tu relever cette belle robe pour montrer un peu ton cul?

—Comment… Là maintenant?

— Oui pourquoi? Il y a un souci?

— C’est juste que je pensais qu’aujourd’hui c’était simplement un entretien… et pas plus. Je ne suis pas… disons… apprêtée pour ça…

— Allons allons, ceci n’est pas grave, nous avons tous envie de voir les merveilles cachées sous cette robe.

J’ai un coup de chaud et je regarde mon copain qui me répond par un petit mouvement de tête en approbation. Alors, assez intimidée, je me lève du canapé, me place légèrement de profil et soulève ma robe pour dévoiler mon postérieur couvert d’un collant laissant apparaître mon string.

— Oh ça me semble mignon tout ça, mais tourne-toi bien pour que l’on puisse mieux voir.

En rougissant, je pivote légèrement et me retrouve dos à lui.

— Voilà c’est pas mal… Penche-toi en avant, pose tes mains sur le canapé en gardant tes jambes tendues.

Je m’exécute, mais je me sens terriblement « cruche »comme ça.

— Bon, vous en pensez quoi les gars?

— Ça manque de visibilité je trouve! répondit Olivier.

— Oui à fond, je vais arranger ça! rétorque Bostancı travestileri Lucas en s’approchant de moi. Je sens sa main toucher mon cul tendu, ce qui me fait sursauter, et d’un seul coup j’entends un gros craquement. Il vient d’arracher mon collant et il dévoile mes fesses blanches ainsi que la ficelle de mon string.

Je veux me relever, mais Lucas pose une main au niveau de mon dos pour me retenir. Il me dit :

— Reste en position Sophie, ne t’inquiète pas, c’est beaucoup mieux ainsi!

Il commence des caresses sur mon cul à même ma peau tout en commentant la douceur de mes fesses. Après quelques secondes, il me lâche et je peux me relever. Je suis rouge de honte d’avoir dû garder cette position humiliante. José le producteur reprend :

—Tu as un très beau cul Sophie, félicitations, peux-tu maintenant retirer ta robe pour en montrer un peu plus?

Je m’exécute sans rien dire en pensant dans mon for intérieur que de toute façon il faut bien y passer. Je fais tomber les bretelles et je laisse glisser ma robe le long de mon corps. Me voilà debout devant trois inconnus en soutien-gorge et en string avec un collant déchiré.

— Waoouuuh, dis donc ma petite, tes seins semblent étouffés dans ton soutif, tu peux le retirer s’il te plaît!

Gênée par la situation je réplique :

— Euh… je ne préfère pas, je ne suis pas à l’aise avec mes seins et…

— Non non, pas de ça avec moi ma belle! me coupe José.

— Lucas, aide donc la p’tiote à libérer ses miches, ajoute-t-il à son ami.

Je suis un peu paniquée par la situation et quand Lucas arrive à ma hauteur, effrayée, je fais un pas en arrière. Mais ses bras m’attrapent et d’un geste habile il dégrafe mon soutien-gorge et le retire brutalement. Instinctivement et par pudeur, je glisse mes bras sur ma poitrine très rapidement. Lucas les attrape et les tire vers le bas laissant mes seins en totale liberté.

— Bordel de merde! s’exclame Lucas. Vous avez vu ses nichons?

— Oh que oui Lucas, je vois très bien, rétorque le producteur.

— Sophie, tu m’avais caché cette poitrine des plus surprenantes, c’est pas tous les jours que nous voyons cela.

Je suis rouge pivoine, mes seins sont mon plus gros complexe à cause de leur forme. Ils sont plutôt gros pour mon gabarit et en forme de poire avec des aréoles gonflées.

— Je… je suis complexée avec ça.

— Bordel Sophie tu ne devrais pas, des mamelles comme ça c’est magnifique, je suis sûr que beaucoup fantasment de les voir. Tourne sur toi-même ma belle!

Je tourne lentement sur moi-même. Mon regard croise celui de David que je sens excité par la situation. José commente en même temps, mais je ne fais pas attention. Quand je reviens devant eux, Lucas a son sexe sorti et il se touche en me regardant. J’ai un petit sursaut devant la taille de l’engin et José le remarque :

— Ah ah! Tu as vu la bête de notre Lucas, pas mal hein!

Je rougis, mais ne bouge pas.

— OK place toi à quatre pattes ma petite, allez!

Sans trop réfléchir, je retourne sur le canapé et me place dans cette position. Une main se pose sur mon cul. Je tourne la tête et remarque que c’est encore Lucas, il caresse mon cul doucement et attrape mon string. Il commence à tirer dessus pour le faire glisser. Dans un éclair de lucidité, je veux protester, mais je me rappelle le traitement que j’ai eu avec mon collant alors je ne bouge pas.

Je sens la ficelle glisser entre mes fesses et le tissu quitter mes lèvres vaginales. Deux mains attrapent mes fesses et les écartent en exposant mon petit trou ainsi que mon vagin non rasé. Devant le spectacle, le producteur rigole :

— Bah alors ma belle, tu te négliges là! C’est quoi ses petits poils autour de ton trou du cul et sur tes lèvres?

— Je… Je vous avais dit que je n’étais pas présentable…

— Ah bah oui je confirme, mais tu es super bien gaulée en tout cas!

— Putain oui, sacrée chatte! complète Lucas.

Toujours exposée en levrette, je sens quelque chose frotter mon vagin sans savoir vraiment de quoi il s’agit. Mon cœur bat plus vite.

— Vas-y Lucas, commence à la travailler dit José.

— Oui t’inquiète pas, je commence!

Je comprends alors que c’est le doigt de Lucas que je sens. Il frotte mes lèvres et joue avec mon clito. Je commence à ressentir une chaleur dans mon bas-ventre. Puis très vite, je commence à me tortiller et mon vagin s’humidifie sous les attouchements de Lucas.

— Regarde José, elle commence à mouiller…

José s’approche avec la caméra derrière moi et filme en gros plan.

— Ah ah la petite salope aime ça hein!? Allez vas-y, passe à la vitesse supérieure.

Lucas s’exécute et introduit un deuxième doigt en moi ce qui me fait pousser un petit soupir. Les mouvements sont de plus en plus appuyés et la vitesse des va-et-vient augmente drastiquement. Je commence à perdre pied et à haleter de plus en plus. Un bruit de clapotis commence à résonner dans la pièce, c’est ma cyprine qui englue les doigts de Lucas. Il va Travesti bostancı de plus en plus vite, je commence à pousser des petits cris.

— Putain je crois qu’elle est chaude la petite! dit José. Vas-y, prends lâ!

Je sens les doigts de Lucas sortir de mon vagin. J’ai à peine le temps de tourner la tête vers mon copain que je ressens un truc plus gros entrer en moi. Je comprends immédiatement que Lucas me pénètre. Il commence les va-et-vient. Je suis toujours en levrette sur le canapé et mes seins ballottent d’avant en arrière.

— Aah putain tu es serrée ma belle râle Lucas.

Il continue de me prendre avec de plus en plus de fougue. Je vois José tourner autour du canapé avec la caméra.

— Fais lui rougir un peu son cul blanc là, vas-y!

Lucas obéit immédiatement et une claque s’abat sur ma fesse droite, puis une deuxième et une troisième. Je sens la chaleur se répandre sur ma fesse.

— Oui vas-y, défonce-la, je veux l’entendre couiner, vas-y!

Une pluie de claques tombe sur mon cul en alternant fesse gauche et fesse droite. Je pousse des cris de douleur mélangés à l’excitation. Sans que je m’en rende compte, José s’approche de moi le sexe sorti du pantalon. Je me retrouve face à un membre plutôt court, mais gros avec des poils partout à l’image du reste du corps.

— Prends moi en bouche petite pute!

Je tourne la tête en signe de refus, mais José ne l’entend pas comme ça. Il attrape un de mes seins et pince fortement mon téton.

— Suce et je lâche!

Sous la douleur, j’ouvre la bouche et il y rentre sa bite. Elle me déforme la mâchoire et il commence des va-et-vient dans ma bouche. Me voilà prise telle une dinde par 2 hommes.

José tend la caméra à Olivier qui était resté en retrait depuis le début. Celui-ci l’attrape pour filmer la scène dans sa totalité, mais un truc le dérange et du coin de l’œil je le vois faire des signes sans comprendre vraiment dans quel but.

— Le copain! Barre toi du canapé bordel!

Je comprends immédiatement que David était encore assis. Je l’avais complètement oublié. Je suis toujours en levrette et de la salive sort de ma bouche pour tomber sur le tissu du canapé quand d’un coup, José sort de ma bouche sans raison et part reprendre la caméra.

— OK ma belle, maintenant lèche le canapé en même temps pour le nettoyer de ta salive!

Je le regarde avec des grands yeux et prononce un petit ” non” presque inaudible à cause de Lucas qui est toujours en train de me prendre.

— Non??? répond le Producteur OK Lucas fais-la obéir!

Lucas arrête alors de me besogner. Je le sens bouger derrière moi et tout d’un coup, un truc lourd appuie sur ma tête et m’écrase le visage sur le canapé couvert de ma bave. La bite de Lucas rentre à nouveau en moi et il reprend ses mouvements avec son pied sur ma figure.

José s’approche et filme en gros plan. La position dure quelques minutes avant que Lucas ne retire son pied de ma tête. Il me relève en me tirant par les cheveux et me force à me mettre au sol sur le dos. Il écarte mes jambes et les rapproche de mes seins avant de replacer son sexe à l’entrée de mon vagin.

José, dans le même temps, s’approche, caméra toujours en main, et vient se positionner à genoux devant ma tête, ses couilles au-dessus de mon front.

— Lèche mes balloches!

Et avant même que je réponde, il me met une claque sur la joue.

— Lèche, dépêche-toi!

Je sors ma langue et commence à lécher les testicules au-dessus de moi. Le traitement que je subis depuis plusieurs minutes commence à porter ses fruits. Je perds de plus en plus le contrôle de mon corps. Les couilles de José en bouche, je sens un orgasme arriver. Je gémis de plus en plus malgré ma bouche obstruée, mais Lucas sort de moi d’un seul coup coupant mon élan en direction de la jouissance.

Il me claque un sein et me demande de me mettre à quatre pattes. Mais je suis bloquée par José. Alors Lucas me balance une nouvelle claque sur le sein, ce qui me fait pousser un cri.

Le producteur rigole :

— Elle ne t’écoute pas, Lucas!

Alors celui-ci redonne plusieurs claques et mes seins blancs rougissent. Je crie de douleur. José se retire et me laisse alors me retourner et me positionner.

Lucas se place derrière moi et me prend sauvagement en levrette. Mes seins me font très mal à cause des claques, mais surtout à cause de leur mouvement dans tous les sens. Il est accroché fermement à mes hanches. Je sens mon orgasme revenir à la charge, mais au dernier moment il ressort une fois de plus et se positionne devant moi. Une longue giclée de sperme arrive sur mon visage immortalisé par la caméra.

Je suis à bout. Mon orgasme vient d’être loupé à deux reprises. Je dois jouir alors je commence à me toucher, ce qui fait rire l’assemblée.

— Dis donc petite chienne, tu en veux encore? dit José. Je te propose un truc, tu me lèches le cul et si tu me fais cracher je te fais jouir.

Je le regarde et fais oui de la tête. José se positionne sur le canapé et écarte les jambes en l’air en exposant un cul poilu. Je m’approche et sens une odeur de transpiration. Un petit moment de doute me prend, mais le besoin de jouir est plus fort, alors je sors ma langue et du bout je commence à lécher l’anus présenté devant moi. Lucas rigole et José jubile.

— Oh oui c’est bon, continue ma p’tiote!

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Prise Dans Un Cercle Viceux 10

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Bdsm

Nicole embrasse sa nouvelle vie avec gourmandise, elle se fait belle pour son amant. Une fois de plus, Jacques est en déplacement pour la semaine. Elle est dans la chambre que son amant a loué pour être plus de discrétion avec son entourage, elle se pomponne à sa demande pour une soirée festive avec ses amis. Pour commencer, elle se nettoie et lubrifie son petit trou. Après une bonne douche, elle enduit son corps de lait parfumé. Puis, afin de ne pas trop abîmer ses cheveux, elle les coiffe pour qu’ils lui retombent sur les épaules. Elle applique un fond de teint mat et du flush pour faire ressortir ses pommettes, puis, dessine le contour de ses lèvres avec un crayon violet et les recouvre d’un rouge à lèvres assorti mat.

Sa bouche paraît encore plus grande et plus pulpeuse. Une invitation à la fellation! Nicole s’admire, un sourire coquin sur les lèvres. Elle se farde ensuite les paupières supérieures de nuances plus claires sur les contours pour un regard plus profond. Pour finir, elle trace sur le contour de ses yeux un épais trait d’eye-liner et charge ses cils de mascara noir. Elle souhaite charmer son amant d’un regard de biche.

Elle retourne dans la chambre, entièrement nue, contourne le chien qui s’y trouve, il est à un ami de Karim. Elle sort la tenue qu’il a prévue pour l’occasion. Elle rentre au chausse pied dans le corset qui la sert bien à la taille, ses seins rentrent tout juste dans les bonnets bien échancrés et sans bretelles. Elle passe ensuite un string de fines dentelles noir ouvert à l’entrejambe, laissant ainsi libre accès à son intimité. Avec beaucoup de précautions pour le ne pas les filer, elle passe ses bas résilles à la jarretelle, elle aussi, faite de fine dentelle et auto fixant. Bien qu’inutile, elle fixe ensuite les six portes jarretelles pendantes de son corset.

Pour cette soirée, son amant a exigé qu’elle soit épilée, manucurée, qu’elle se me fasse un lavement anal, … Elle a beaucoup aimé l’épilation, en tout cas. Depuis, elle va très souvent au centre d’esthétique, et il lui arrive de plus en plus souvent de pratiquer le lavement, ce qui l’amène inévitablement à se caresser le sexe et à se mettre un ou voir deux doigts dans l’anus…

Nicole sent que sexuellement, elle va devoir être patiente ; Jacques ne la touche plus, il lui tourne carrément le dos pour dormir.

Plusieurs pensées perverses lui traversent l’esprit. Nicole repense à ces queues qu’elle a dû sucer, à la façon dont elle a été prise, comment elle a fini la soirée sodomisée par son mari… Elle a eu plusieurs orgasmes, ce soir-là. Je n’avais connu ça qu’à très peu de reprises avec Karim.

Elle avait joui plus de fois en quelques heures, avec les trois hommes pendant toute la durée de la soirée… Les sentiments et les sensations contradictoires lui harassent le cerveau…

Malgré elle, elle a espéré ça, elle a aimé être traitée comme une pute, comme une chienne. Nicole a aimé leur sucer leurs queues, lécher leurs couilles… Elle a adoré qu’ils crachent dans sa bouche, qu’ils éjaculent sur sa langue, elle a aimé avaler. Elle affectionne le goût du sperme. Elle a adoré cette sensation, cette sensation que c’était elle qui les faisait jouir. Elle a apprécié se faire mordiller le clitoris, sentir leurs langues sur son anus, et dedans aussi. Elle a adoré les doigts dans son cul. Elle a aimé que ces trois amants la baise tous en même temps… Surtout, elle a apprécié se faire partouzer, elle aime ça, elle l’avoue.

Nicole n’a pas voulu tromper Jacques. Enfin, elle a choisi de calmer son corps, dans un premier temps, parce que plus le temps passait justement, plus je sentais Jacques s’éloigner. Non seulement il ne la touchait presque plus ; il avait repris des heures en plus à son boulot et elle commençait à croire qu’il l’évitait. Nicole ne voulait pas le quitter, elle l’adore. Alors que faire? Plus elle réfléchissait, plus une pensée se dessinait dans sa tête : il fallait qu’elle jouisse.

Mais comment? Avec qui? Nicole ne savait plus quoi faire. La réponse à toutes ses questions allait arriver d’une manière dont elle ne se serait jamais doutée… Karim est arrivé comme ça… Il l’a excitée sexuellement, elle en avait besoin.

Nicole est surprise d’entendre les invités dans l’escalier, le cœur battant, elle passe un déshabillé de mousseline transparent, à manches courtes, au décolleté plongeant, la drapant jusqu’à la pointe des talons, échancré sur toute la longueur de sa jambe gauche. Alors que les grosses voix s’approchent elle s’admire une dernière fois dans le miroir du placard.

Le chien aussi a entendu son maître approcher, dressé sur ses quatre pattes, remue sa queue de gauche à droite tout excité de le retrouver. Nicole a juste le temps de se présenter derrière la porte de la chambre pour ouvrir aux invités. Son cœur bat la chamade, elle a des bouffées de chaleur d’anticipation et d’excitation sur ce que va lui faire subir Karim avec ses amis. Affichant son plus beau sourire, le regard gourmand, c’est avec Dikmen travesti une certaine appréhension qu’elle leur ouvre la porte et accueille, Karim et Max, dans la chambre, plus sexy que jamais.

-Putain, mais ce que tu es bandante!

Ils la complimentent à leur manière. Karim l’attire à lui et colle sa bouche sur ses lèvres charnues.

Le cousin, pas en reste, se colle derrière la belle, son ventre appuyé dans le creux de ses reins. Il passe sa main gauche sous l’échancrure de la nuisette et lui fouille la vulve. Elle est déjà bien ouverte et humide d’excitation. De sa main droite, il lui attrape le poignet et la force à se cambrer d’une clé de bras. Karim lui attrape les seins à pleines mains et d’un mouvement brusque, il écarte les deux pans de la nuisette, il les extrait du soutien éphémère de son corset.

La bouche ouverte et dégoulinante de bave, Nicole sent la langue de son tortionnaire en elle. Il la fouille, s’amuse avec sa langue, leurs fluides se mélangent. Le doigt du cousin, lui masse le clitoris avec force et vigueur, rien à voir avec la douceur préventive de Karim, qui, de son côté, pince et torture ses tétons gonflés.

Max relâche la pression sur le clitoris tout gonflé et s’écarte de la femme. Quant a Karim, il relâche les tétons durcis de la belle pour attraper et écarter ses lobes fessiers. Toujours en bouche avec son amant les yeux fermés, elle ne voit rien de ce qui se trame autour d’elle.

Elle est surprise lorsque le cousin, à genoux derrière elle, se met à lui lécher la pastille. Le Max crache un gros mollard, puis s’en sert de lubrifiant pour commencer à lui fouiller le boyau de son gros doigt. Il la travaille quelques instants avant d’en insérer un deuxième.

-HUM HUM HUM !

La bouche engluée, la femme lâche des petits cris étouffés en cadence avec le pistonnage de son petit trou. Les mains libérées, elle écarte d’elle-même ses lobes fessiers pensant inviter Max à lui enfiler un troisième doigt. Quelle n’est pas la surprise de Nicole lorsque ce dernier se retire. Son contact chaud et brutal est vite remplacé par le contact froid d’une grosse boule métallique.

Le Max est en train de lui enfoncer la première boule d’un chapelet anal. Malgré sa préparation, le trou bien ouvert elle reçoit avec un peu de difficultés les quatre centimètre de la première boule d’acier. Le Max force un peu et hop, elle disparaît soudain dans le cul de Nicole qui, la bouche enfin libérée, lâche son premier râle de plaisir.

-AAAAAAAAAAAAAAAH

Le Max lui enfourne les trois dernières boules, laissant pendre la petite cordelette et son anneau entre les cuisses de la belle. Les deux hommes relâchent ensemble la pression sur la Nicole. Elle, le souffle court, les jambes tremblantes, les regarde sortir de la pièce, suivis par le chien.

-Allez ma belle, on a soif nous!

Nicole, un peu décontenancée par le désintérêt soudain des deux hommes à son égard, rassemble ses idées, réajuste sa nuisette et les suit dans le salon. Elle a tenu toute la journée pour se faire fourrer par ces amants, et ils la laissent là? La chatte ouverte, quatre boules dans le cul. Elle veut leurs bites, elle est bien décidée à être la meilleure des hôtesses.

Ils sont déjà assis dans le canapé du salon lorsque Nicole, d’une démarche très féline, les rejoint, les seins sans soutien bringuebalent de haut en bas sous le tissu transparent de la nuisette. Karim a déjà dégainé sa grosse queue à moitié bandée et se branle en douceur voyant sa belle approcher. Elle s’arrête, appuyée sur le chambranle de la porte, les jambes croisées, l’index entre ses lèvres avec de la gourmandise dans le regard, elle observe le gros gland apparaître et disparaître de la grosse peau sombre du prépuce.

Elle s’approche de la table basse, se penche, les seins pendants, pour servir ses invités. Elle leur tend un verre chacun et trinque avec eux sans avoir vu ce que Karim a versé dans son verre. Karim toujours la queue en main. Elle ne tient plus, elle s’approche de Karim et s’agenouille entre ses cuisses. Prenant le relais, elle le branle dans le cliquetis de ses bracelets. De ses lèvres maquillées, elle aspire le gland dans un bruit de succion, lentement, avec désir et dextérité. La grosse queue durcit entre ses doigts manucurés, elle accélère le mouvement et la gobe de ses lèvres maquillées.

– AH! Ouais, c’est ça ma pute, pompe-moi la queue.

– SLURP!! SLURP!! SLURP!!

Elle le pompe avec avidité, le rythme toujours imposé par son amant, elle lui caresse les boules qui se rétractent à son contact. Elle a enfin retrouvé cette belle bite, sa chatte frétille à l’idée de se faire labourer par ce beau morceau de chair dur comme une barre de fer. Karim la libère et lui laisse l’initiative. Elle le masturbe, relâche le gros gland, de la langue le lèche sur toute sa longueur, du frein jusqu’à ses bourses pleines de foutre, fixant le regard de son amant. D’un petit sourire, elle repart à l’assaut de ce pieu et l’aspire Dikmen travestileri de nouveau, cette fois en gorge profonde.

Les deux cousins trinquent de nouveau et boivent en l’honneur de la belle. Karim ne pensait pas que le produit verser dans son verre pour la mettre en chaleur n’agirait aussi vite. Nicole libère Karim pour s’occuper de Max. Elle s’approche à quatre pattes en bonne chienne, pose ses deux mains sur les genoux puis glisse le long de ses cuisses. Elle remonte ensuite le long du tissu du short jusqu’à l’élastique tendu sous le ventre. Encore caché sous le tissu, le sexe de Max pulse sous le nez de la femme.

Elle tire sur l’élastique pour déballer son paquet, une touffe de poils pubiens apparaît, d’où part une tige de chair bien dure. Elle passe ses mains fines sous les fesses du Max, fait descendre le short le long de ses cuisses, la tige est maintenant découverte. Prête à exploser, telle un ressort, la bite est complètement tendue sous l’élastique. Elle atteint enfin la base du gland, le morceau de chair apparaît tel une énorme fraise violacée. Comme une catapulte, la longue verge bien dure terminée par cet énorme gland jaillit au visage de Nicole la giflant au passage.

Elle l’empoigne à son tour pour le masturber, lui caresse ses grosses burnes de la main gauche, elle les soulève pour les porter à sa bouche. Elle ouvre la bouche, sort sa langue et lèche ces grosses couilles qui se rétractent à son contact humide.

Elle sent la main de Karim soulever le pan ouvert de sa nuisette pour exposer son joli petit cul. Il glisse ses doigts entre ses cuisses, s’immisce jusqu’à son intimité bien ouverte et dégoulinante de mouille. De sa main gauche, il écarte les lèvres de la moule offerte, se lèche le bout des doigts et les insère profondément dans un bruit de mouille. Il commence à la travailler en profondeur insistant sur le point G de la femme. Il accélère le mouvement, elle commence à aimer ce traitement et halète de son souffle chaud sur les bourses qu’elle lèche à grands coups de langue.

-HUMPH! SLURP! SLURP! HUM! HUM! HUM!!

La bouche pleine de ces grosses boules poilues, elle gémit de bonheur. Elle lâche les couilles de Max pour s’attaquer à sa belle queue. À ce moment-là, Karim insère un troisième doigt dans sa chatte et accélère encore le mouvement de va-et-vient dans la grotte distendue.

-AH! ARRG!!AAAAH OUI ! Continue ! AAAOUUCH!

Un instant distraite par la jouissance naissante, elle parvient tout de même vers le gland et tente de le mettre en bouche. Elle détend sa mâchoire, aspire le bout de la queue, salive abondamment sur la bite pour la lubrifier et en faciliter la masturbation. Karim se lève et se place derrière elle, les doigts plantés au fond de son minou. Il la soulève, les jambes tendues et écartées plantées sur les talons aiguilles, et la croupe bien exposée. Le mouvement de balancier plante le gros sexe de Max dans la bouche pulpeuse et détendue de la Nicole.

-HUMMMMMMPH!

Karim tente d’écarter la fine couche de mousseline couvrant le cul de Nicole. Mais la souplesse du tissu l’énerve, et d’un mouvement brutal arrache la nuisette et la jette derrière lui. Il l’agrippe par les hanches affinées par le corset, lui appuie sur les reins pour lui cambrer la croupe, exposant son petit trou d’où ressort la cordelette du chapelet, sa chatte ouverte. La femme est pliée en deux, le gros gland prisonnier de ses belles lèvres et les seins pendants hors de la guêpière sous sa poitrine.

Il s’agenouille derrière la belle et écarte la cordelette de sa vulve bien ouverte. Il entreprend alors un cunnilingus expert, lui lèche ses belles lèvres trempées, lui titille le bouton, s’aventure vers son petit trou, sa langue experte rend folle la femme, qui pompe le cousin avec encore plus d’envie et d’ardeur.

Après quelques minutes de ce traitement, alors qu’elle ferme les yeux appréciant la grosse langue de son amant et la belle bite qu’elle a en bouche, une douleur aiguë lui perce les tétons. Elle écarquille les yeux de surprise, les larmes montent, alors que les mains de Max lui maintiennent la tête en gorge profonde.

– HUMMMMMMMPH!

Il a bien préparé son coup, pendant que la belle ferme les yeux en proie à la bouche de Karim, il profite du moment, il tire les pinces à seins avec leurs masselottes. Étrangement, la douleur décuple les sens de Nicole qui sent un nouveau type de jouissance naître dans son ventre.

Les petites masses tirent sur les tétons de la Nicole, qui, les sens exacerbés par ces sensations, se saisit de la belle queue au fond de sa gorge, l’enserrant à la base des couilles. L’effet est quasi immédiat, elle sent les veines du mandrin de chair gonfler contre sa langue. Salivant abondamment, elle extrait la belle queue couverte de bave et la masturbe tout en continuant d’en aspirer le gland.

Maintenant, elle désire plus que tout sentir cette bite lui fouiller la chatte. Elle s’écarte à contre cœur de la grosse langue et Travesti dikmen tout en grâce, chevauche le Max vautré sur le canapé. Elle lui fait face, à califourchon, sa longue queue bien gonflée, écarte les cuisses au-dessus de son tortionnaire, elle guide sa bite luisante à l’orée de ses lèvres avides d’une bonne queue.

Ses seins reprennent place en-dehors du corset attiré vers le bas par les petites masselottes pendantes dans le vide. La douleur n’est rien comparé à l’extase qu’elle ressent en se masturbant à l’aide du gros gland turgescent contre son clitoris tout gonflé. Elle couine de plaisir.

-HUN HUN, OUII!!OUUUCHH! AAAARRRGG!

N’y tenant, plus, elle s’empale d’elle-même sur la belle queue, arrachant un gros râle de plaisir à son amant. Lui, en bon mâle, décide qu’il ne fera aucun effort, si elle veut prendre son pied, elle va devoir se débrouiller toute seule. Elle s’appuie alors de ses deux mains sur son ventre et, les pieds en appui sur le rebord du canapé, monte et descend à son rythme.

La douleur à la pointe de ses seins, accentuée par le balancement vertical des masselottes, est permanente. Ses cuisses commencent à la brûler à force de monter et descendre, la seule aide que lui apporte le Max est de lui tenir les chevilles en position, pour qu’elle garde de bons appuis. Il est évident qu’il prend beaucoup plus son pied qu’elle. Pourtant, alors qu’elle a abandonné tout espoir de jouir dans cette position, elle sent soudain une tension écartant sa pastille, avant qu’elle ne puisse réagir, Karim tire d’un coup franc sur le chapelet anal, sortant d’un trait les quatre boules métalliques.

-AAAAAAAAAAAAAAAH!

Elle est terrassée par la jouissance, les jambes flageolantes, elle n’ose plus bouger de sa position. Karim en profite, il soulève une Nicole complètement désarticulée par dessous les cuisses et présente son anus encore ouvert au gros gland de son cousin. Sous son propre poids, elle s’encule d’elle même dans une sorte de lamentation de jouissance.

Il la fait ensuite pivoter sur son axe de chair pour lui faire face, elle tourner le dos au cousin. Il lui écarte les cuisses pour bien exposer son puits d’amour, et y présente sa grosse bite bien dure pulsant de désir pour cette magnifique salope. Il l’embroche d’un seul et puissant coup de reins, arrachant un cri à la Nicole. Ils la besognent alors en double avec vigueur pendant de longues minutes, jusqu’à ce que le tunisien baragouine un langage incompréhensible. Le Max attrape alors les belles cuisses gainées de la Nicole, alors que Karim tire sur les petites chaînes, réveillant ainsi la douleur dans les tétons de Nicole.

-OUUUUUUUUUUUUUUAAAAAH!

Satisfait de la réaction de la Nicole, le bourreau redouble d’ardeur et la baise avec plus de puissance.

-AA AH AARRGGGUU! Oui prends-moi bien, fait moi bien jouir avec ta grosse queue !

Elle, sent ces deux belles queues entrer et sortir de ses orifices, elle est sur le point de jouir. De nouvelles sensations montent dans le creux de ses reins, dans son ventre et à la pointe maltraitée de ses seins. D’un dernier coup violent, Karim bute contre le fond de sa grotte, il arrache un hurlement de jouissance à Nicole lorsqu’il tire d’un coup sec sur les deux pinces à seins comme pour mieux s’arrimer à elle.

Elle s’effondre de plaisir sur Max qui pourtant maintient ses belles cuisses grandes ouvertes. Dans sa demi conscience, elle l’entend encore prononcer des paroles incompréhensibles, puis sent la grosse bite de son Karim sortir de son vagin, mais pour se présenter contre sa petite pastille où est encore logé le Max. – Non! Non?? Qu’est-ce que vous faites? Ils croient quand même pas qu’ils vont rentrer à deux?

Prise de panique, elle tente de se débattre, mais elle ne peut pas lutter contre la poigne de fer du cousin.

Les suppliant du regard, elle se dit qu’elle va dérouiller, car ils n’en feront qu’à leur tête.

-Je veux bien, mais faites doucement, s’il vous plaît !

Karim se redresse, elle se relâche, soulagée de le voir abandonner l’idée de la double anale. Masturbant son gros sexe luisant de mouille, il se redresse et étend un peu ses jambes dont les cuisses brûlent l’à baiser à moitié accroupi.

-T’inquiètes ma pute, je suis sûr qu’à deux dans ton cul de salope ça passe !

Malgré la supplique qui se lit de nouveau dans le regard de Nicole, Karim se repositionne sur le périnée de la femme, la bite raide comme une barre d’acier dans la main. Il pousse pour essayer de faire entrer son gros gland dans l’orifice déjà plein de la sodomisée. Il a beau s’abaisser au mieux afin d’aligner sa queue, le cul de Nicole est bien plein et n’offre aucune brèche.

Sentir ce gros gland forcer son orifice excite maintenant la femme dont la peur s’est évaporée pour faire place à un nouvel élan de perversité. Titillée par la possibilité d’une double anale, elle veut sentir ces deux belles queues lui ramoner le cul. Elle prend alors ses fesses à pleines mains et les écarte pensant lui faciliter le passage.

Son amant redouble alors d’efforts pour satisfaire cette pute qui en redemande. De sa main gauche, il tente d’écarter les muqueuses entre son pouce et son index, pendant que la droite pousse sur le gland pour perforer la petite pastille distendue.

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Ağustos 20, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

Juge Kimmy Ch. 01

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Asian

Traduction d’un texte de Doctor_devon.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Je n’oublierai jamais le jour où ce colis est arrivé par la poste, une petite boite qui allait changer ma vie pour toujours. Tout d’abord, laissez moi vous parler de moi. Je m’appelle Kimberly. Je suis une femme blanche âgée de 38 ans qui, bien que travaillant énormément, s’applique à garder un corps ferme et tonique. Je fais du droit depuis 17 ans et je n’ai jamais pris le temps de penser à fonder une famille. De puis longtemps maintenant, j’ai un petit ami qui s’appelle Éric et qui s’est résigné au fait que nous ne nous installerions jamais pour élever des enfants.

Diplômée en droit avec mention, je suis devenue la plus jeune femme à être nommée juge à la Cour Suprême de l’Etat. Je mentionne cela, car c’est la cause pour laquelle je me retrouve dans la situation où je suis maintenant.

L’année dernière, dans mon tribunal, un homme a été reconnu coupable de cinq viols. Le jury a rendu son verdict. Et j’ai condamné l’homme à la peine maximale, la prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Lenny WILSON ne verrait plus jamais la liberté. Je me souviens du regard qu’il me lança quand il sortit de la salle d’audience. Même si j’étais satisfaite du résultat, son regard me donna des frissons dans le dos.

Il y a quelques mois, je participai à une grosse réunion avec des avocats, des juges, et des universitaires en droit de haute réputation. C’était sensé être un congrès sur des questions qui concernent notre communauté. Mais comme d’habitude, ça a fini par un repas où les gens se rencontrent et boivent un peu plus que raison. Bien que je sois sobre, il est agréable de temps en temps de boire un peu pour oublier les conneries que je traite dans mon tribunal tous les jours. C’était un vendredi et je pouvais souffler un peu durant trois jours avant de reprendre le travail lundi.

Alors que ce type d’évènements se terminent toujours de la même façon, celui-ci se termina différemment. Comment pourrais-je l’expliquer autrement? Je me suis réveillée dans une chambre de motel, nue, avec des signes évidents que j’avais fait l’amour. Avec quelqu’un… mais qui? Je me souviens avoir pensé à mon réveil que j’avais été trop loin avec les boissons cette fois-ci.

Comme je n’avais jamais expérimenté les pertes de mémoire, je m’inquiétais comme on peut s’en douter : Mon copain allait-il l’apprendre? Etait-ce quelqu’un de mon bureau? Je ne craignais par d’être enceinte car je prenais la pilule depuis toujours. Et je ne risquai pas de maladies vénériennes car les gens qui assistaient au congrès n’étaient pas du genre à en avoir.

Les semaines passèrent, et même si cette histoire me traversait parfois l’esprit, j’essayai d’oublier ce souvenir. La seule chose que j’avais retenu était de moins boire à ces occasions.

Puis vient ce vendredi où le colis est déposé devant ma porte et je le trouve en arrivant à la maison. Je l’emmène à l’intérieur puis je me déshabille, enfile un peignoir en soir, me verse un verre de vin. Enfin j’ouvre le paquet. A l’intérieur se trouvent une cassette vidéo et une enveloppe. Sur celle-ci est écrit « Regarder la vidéo d’abord ». Eh bien, ce n’est pas la première fois que je reçois du courrier à la maison concernant les affaires traitées dans mon tribunal. Je mets la cassette dans le magnétoscope et j’appuie sur « play ».

Je me fige. Sur le grand écran du téléviseur, je me vois, nue, en train de baiser avec deux blacks. Mais ce n’est pas le pire, mon sang se refroidit quand je reconnais l’un des garçons sur la vidéo. Il s’agit de Devon WILSON, le jeune frère de Lenny WILSON. Je me souviens de lui dans ma salle d’audience. Oh mon Dieu! Il a 18 ans. Mes yeux sont fixés sur la scène à l’écran. Ces deux garçons m’utilisent comme une pute et on dirait que j’apprécie. Comment ça se fait? Puis je reconnais la pièce. C’est la chambre du motel dans laquelle je me rappelle m’être réveillée. Je suis étourdie, mon cerveau est embrumé, mon cœur bat à cent à l’heure. Je n’arrête pas de me poser des questions. Comment…? Alors je déchire l’enveloppe et y trouve une lettre. C’est court, Kızılay travesti écrit par la main de Lenny WILSON. Elle dit :

« A présent tu te rends compte de ton erreur salope! Les deux garçons dans cette vidéo ont 18 ans et l’un d’entre eux est mon frère. Tu sais ce qui peut t’arriver d’avoir une relation avec un membre de la famille d’un condamné dans ton tribunal. Mon frère est prêt à dire que vous avez offert d’alléger ma peine s’il avait des relations sexuelles avec vous. Donc voilà ce que je te propose : Cette cassette deviendra publique à moins que tu ne fasses tout ce que je te dis à partir de maintenant. Et je veux bien dire TOUT. Tu retourneras à cette chambre de motel ce soir à 20 heures. Quelqu’un t’attendra et tu feras tous ce qu’il te dit, comme si ça sortait de ma propre bouche. Si demain on me rapporte que tu ne t’es pas montrée, alors tu feras les gros titres des journaux demain soir.

Je me suis assise, complétement abasourdie, incapable de détourner les yeux de l’écran de télévision. Je regarde les deux garçons se relayer pour glisser leur bite dans ma bouche. Ils rigolent et me demandent de me masturber. Je le fais sans poser de questions.

Soudain, je suis choquée. Je réalise que ma main est entre mes jambes et distraitement je caresse ma chatte à travers la culotte. Mon Dieu, je mouille un peu aussi. L’humiliation me submerge et je cours vers le magnétoscope pour l’éteindre. En appuyant sur le bouton « arrêt », je remarque qu’un des garçons a éjaculé sur mon visage. Ma tête commence à tourner et la dernière chose dont je me souviens avant de m’évanouir est que mes jambes sont faibles.

Quand je me réveille, le téléphone sonne. Je panique car je n’ai aucune idée de l’heure. Je regarde l’horloge tout en attrapant le téléphone. Il est presque 19 heures. Et c’est mon copain Éric qui appelle.

– Hé Kimmy, es-tu prête? Demande-t-il.

J’ai complétement oublié que nous avions rendez-vous. Je bégaie :

– Euhhh… Éric… J’ai un contretemps, je vais devoir reporter notre rendez-vous.

Je sens qu’il est déçu et ça me brise le cœur. Mais je ne peux pas lui dire ce qu’il se passe. Comment le pourrais-je? Même si nous nous aimons, il n’est pas question que quelqu’un voit cette bande. Et il n’est pas question qu’elle soit rendue publique.

Dans ma tête, je sais que j’ai été violée, qu’un produit a dû être versé dans mon verre lors du congrès mais plus rien ne compte, je n’ai pas le temps d’examiner toutes les options qui peuvent se présenter.

Rapidement je me douche et je m’habille. J’enfile un costume de travail. Pourquoi? je ne peux pas l’expliquer. Peut-être est-ce parce que je m’habille ainsi sous ma robe de juge. Cela me donne un sentiment de pouvoir. Il est bientôt 19 heures 30 et je monte dans ma voiture pour aller au motel.

J’y arrive à 20 heures presque. Je ne perds pas de temps pour me diriger vers la chambre au rez-de-chaussée à l’arrière du bâtiment. Je vois que les rideaux sont ouverts et il y a une lumière dans la pièce. Ma montre fait un bip pour m’indiquer qu’il est 20 heures. Je frappe à la porte.

Je suis mortifiée lorsque c’est Devon WILSON qui ouvre la porte. Je regarde à l’intérieur et je ne vois personne d’autre.

– Entre chienne! Dit-il simplement.

J’entre dans la chambre, la colère commençant à surmonter la peur que j’éprouve. Je lui dis :

– Ecoutez jeune homme, vous êtes en train de vous impliquer dans un crime. Voulez-vous vraiment finir comme votre frère?

Je ne le vois même pas bouger mais je sens une main me frapper durement le visage. Je tombe en arrière sur le lit. Il me dit méchamment :

– Tu vois salope, mon frère était toujours là pour moi jusqu’au moment où tu l’as envoyé en taule pour toujours. Maintenant tu vas payer avec ta chatte.

Je commence à dire quelque chose quand une autre gifle tombe, plus fort cette fois-ci. Je tombe par terre à côté du lit. Devon met en route un film sur le magnétoscope dans la chambre. Avec horreur et honte, je suis confrontée de nouveau aux images de moi avec les deux garçons. L’effet est immédiat, je reste figée devant la télé.

Pendant que je regarde Devon m’explique que Lenny « possède » des gens dans la police, l’administration pénitentiaire et même dans le système judiciaire. Cependant, il n’avait Kızılay travestileri pu m’influencer à l’époque de son jugement. Maintenant il utilise ses contacts pour mettre en place ce chantage et je n’ai pas de chance de m’en sortir. Je regarde la télé. Je ne dis rien, mais je sais qu’il a raison. Je suis impuissante. Alors je commence à pleurer.

– S’il vous plaît Devon, j’ai de l’argent, je paierai pour la cassette.

Il attrape mes cheveux et tire ma tête vers lui, m’empêchant de regarder la télé.

– Je ne veux pas de ton argent salope! Je vais faire de ta vie un enfer pour nous avoir gâché notre vie à Lenny et moi.

La peur revient dix fois plus forte.

– Maintenant chienne, mets-toi en culotte!

Sans vraiment en être consciente, je commence à enlever mes vêtements, en pleurant encore plus fort. Quand j’en suis à la culotte, il prend le reste de mes vêtements et quitte la chambre en me disant de ne pas bouger. Je deviens consciente des rideaux ouverts et j’ai encore plus peur. Je me dis que quelqu’un pourrait passer et me voir ainsi exposée, un juge respecté, un huissier de justice.

Mais mon attention est attirée par la télévision. La scène qui passe est celle après que le jeune gars m’ait giclé sur le visage. Devon m’a courbé et me baise en levrette. Bien que n’étant pas une personne ayant des préjugés, je n’avais jamais envisagé de coucher avec un homme noir. Pourtant sur la bande ils sont deux. Je ressens de l’excitation. Non! Ce n’est pas possible! J’ai été violée par deux garçons noirs et je suis devenue le pion d’un autre violeur que j’ai mis en prison pour la vie. Pourquoi suis-je excitée alors? Mes pensées augmentent mon humiliation ce qui semble affecter mon excitation, la rendant plus intense. Mon Dieu!

Mes pensées sont interrompues par Devon qui revient de l’extérieur.

– J’ai mis tes vêtements et tes clés dans le coffre de ma voiture petite garce! Tu ne peux pas partir d’ici à moins que tu ne veuilles sortir nue.

Puis sans d’autres paroles, il glisse un doigt dans ma culotte jusqu’à ma chatte.

Comme je le craignait, je mouille un peu. Il rit.

– Putain de salope, tu apprécies ce traitement.

Je commence à protester, et pour une raison stupide à nier, quand il me gifle à nouveau.

– J’ai dit que tu appréciais ça. N’est-ce pas salope?

Les larmes recommencent à couler et je dis simplement :

– Oui.

Une autre gifle tombe sur ma joue.

– Quoi salope? je ne t’entends pas!

– Oui Monsieur. Dis-je plus fort.

Je ressens une nouvelle forme d’humiliation. Je suis ici, maltraitée par quelqu’un vingt ans plus jeune que moi. La pensée traverse mon cerveau et je sais que je mouille encore plus.

– Joue avec ta chatte petite chienne! Montre-moi comment tu sais t’occuper de toi!

Ma main descend dans ma culotte, je suis trempée. Alors que je caresse mon clitoris, je pense aux rideaux ouverts, à la porte déverrouillée, à la télé qui me montre subir les assauts sexuels de deux hommes noirs. Je suis complétement excitée. Je fais tout ce que je peux pour rester debout. J’ai chaud, ma tête tourne, mon visage rougit, l’humiliation me submerge.

Puis je jouis. Oh mon Dieu! Je ne me rappelle pas avoir eu un orgasme aussi intense de ma vie. C’est alors que je remarque le caméscope dans la main de Devon. Merde, il enregistre ça aussi! il aura maintenant deux enregistrements sur moi.

Alors que bizarrement, j’ai eu un orgasme, je n’arrête pas pour autant de frotter ma chatte. Je remarque même que je frotte plus fort. Jamais dans ma vie, je n’avais été multi-orgasmique, mais là, dans cette pièce avec ce garçon qui me domine, je jouis de nouveau. L’orgasme est surement plus intense que le premier car je tombe à genoux.

Quelques secondes plus tard, mes pensées s’éclaircissent et je remarque que même avec ce qui vient de se passer, je continue à me masturber. Je le fais si violemment que ça me fait mal, surtout que ma chatte est encore plus sensible après les deux orgasmes. Pourquoi fais-je cela? Pourquoi je n’arrête pas? Je me rends compte alors, pour la première fois de ma vie, que j’ai peut-être besoin d’être abusée d’une manière ou d’une autre. Depuis toujours, j’ai été une femme prude et convenable, contrôlant tous les aspects de ma vie. Maintenant Travesti kızılay je suis impuissante et quelque chose à l’intérieur de moi s’est cassé. Je sens qu’un autre orgasme est sur le point de me traverser. Mais Devon dit :

– Arrête!

Je pleure presque en retirant ma main. Mais cette fois parce que je n’ai pas le droit de continuer. Le garçon me demande de monter sur le lit. Je le fais sans poser de questions. Il jette un sac de marin à côté de moi et me dit de l’ouvrir. A l’intérieur je vois plusieurs godes de différentes tailles et d’autres objets dont, bien que je ne sois pas naïve, je n’ai aucune idée de leur utilisation. Devon filme toujours. Il m’ordonne de dire à quiconque regarderait la cassette ce que je suis. Je reste muette un moment… Puis les mots jaillissent de ma bouche :

– Je suis une salope, une salope pour bites noires.

Je ne me suis pas touchée depuis que le jeune homme m’a dit d’arrêter, mais mes mots m’ont presque fait jouir. Je sais que n’importe qui pourra voir ça et entendre ce que je viens de dire, sans être forcée par Devon. J’ai juste admis que je suis une salope. Que penseraient mes collègues? Mon Dieu, et Éric… mes parents…?

Le jeune noir me demande d’enlever ma culotte. J’obéis et je remarque que le tissu est bien mouillé par mon jus. Devon dit ensuite :

– Mets la dans ta bouche!

Mon cerveau hésite, mais ma main a tout simplement fourré la culotte dans ma bouche. Je peux ainsi goûter mes secrétions. Je réalise que ma respiration devient plus courte. Mon excitation augmente encore.

– Baise-toi salope! Ordonne Devon.

J’attrape le plus gros gode que je peux voir et je le pousse dans ma chatte. J’ai un peu mal car il est assez gros et épais. La douleur atteint mon cerveau et l’idée d’être maltraitée revient aussi. L’orgasme qui m’a été refusé plus tôt éclate. MON DIEU! Cela fait à peine quelques secondes que je me baise. Je pousse le gode aussi profondément que je peux puis je le retire. Ma respiration par le nez est laborieuse. La douleur de ce gode qui m’a fait jouir continue. Je peux sentir mon jus couler vers mon trou du cul.

Alors que je me remets de mon orgasme, je remarque Devon debout à côté du lit, son jeune sexe complétement érigé. Je remarque que même s’il est jeune, il est plus grand que celui d’Éric. Le jeune noir se penche et pousse brutalement un gode de forme bizarre dans mon cul, mon jus agissant comme lubrifiant. Je réalise que sa forme bizarre l’empêche de ressortir. Sous la douleur et l’humiliation du viol de mon trou du cul, j’ai de nouveau un orgasme.

Il enlève la culotte de ma bouche et il la remplace par sa queue d’ébène. Ce n’est pas une fellation car il me baise le visage. Chaque poussée de sa bite menace de m’étouffer ou de me faire vomir. Il met la culotte sur mon nez et ma respiration est encore plus difficile. Je fais mon possible pour aspirer un peu d’air. Je réalise aussi que j’ai recommencé de pilonner ma chatte avec le gode. Je le sens qui bute contre mon plug anal. Avec ma main libre, je titille mon clitoris. Puis après quelques instants, je le gifle.

Soudainement et sans avertissement, Devon retire sa bite de ma bouche et éjacule sur mon visage. J’avais vu la même scène dans la vidéo mais sinon on ne m’avait jamais fait subir ce traitement. Cette humiliation supplémentaire m’excite encore plus et je m’évanouis sous un autre orgasme.

Je me réveille quand Devon retire violemment le plug de mon trou du cul. Je suis trempée de sueur, de sperme et de mon propre jus. Je remarque que le caméscope est maintenant éteint et que mes vêtements sont sur la chaise. La télé est éteinte, mais les rideaux sont toujours ouverts et la porte toujours déverrouillée. Devon dit simplement :

– Nous restons en contact salope!

Et il me laisse la, dans le silence. Tout ce qui vient de se passer me traverse l’esprit. Je suis toujours terrifiée en sachant que je ne peux rien faire d’autre que de suivre leurs ordres. Les images repassent dans ma tête et je me retrouve à me masturber à nouveau. J’ai eu cinq ou six orgasmes alors que d’habitude je n’en ai qu’un seul, et seule dans cette chambre, après avoir été violée et abusée, je recommence à me masturber. Je pense aux rideaux ouverts et à la porte déverrouillée et je me dis que maintenant que Devon est parti, n’importe qui peut entrer et continuer à m’utiliser. Une partie de moi espère que quelqu’un vienne. Puis je pense à Éric… Saura-t-il jamais de quelle salope il est amoureux? Cette pensée est suffisante pour que je me masturbe plus brutalement et que je me doigte. J’ai un nouvel orgasme.

A suivre…

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La déchéance de ma mère 04

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Anal

Le lendemain, Momo et Farida débarquèrent donc chez ma mère dès le matin. Mon père venait juste de partir au travail ; José avait du le signaler a ses nouveaux amis. Sylviane n’est pas encore habillée quand elle ouvre la porte. Elle porte un déshabillé de soie sur une nuisette rose légèrement transparente.

– T’es pas encore prête, espèce de chienne! lui lance Momo.

– On va t’emmener au sex shop, t’as des achats à faire.

Farida s’approche de maman et lui ouvre l’élégant déshabillé lorgnant ses seins opulents. Elle les malaxe sans vergogne à travers la soie. Momo s’approche et, soulevant la nuisette, il écarte le string. Maman rougit de honte mais se laisse faire, totalement soumise à ces jeunes maitres-chanteurs qui pourraient être ses enfants. Momo caresse sa vulve, introduit ses doigts dans sa fente pendant que Farida lui mordille les tétons. Sylviane ne tarde pas à gémir sous l’habilité des caresses des deux pervers. Elle sent la cyprine qui s’écoule de sa fente. Les doigts de Momo s’agitent…

– Allez! Ca suffit! Sinon, elle va jouir cette salope, s’exclame Farida en donnant une claque sur les fesses de maman.

Sylviane pousse une plainte de frustration. Elle est au bord de l’orgasme.

On lui demande ou est sa chambre et tous le monde monte à l’étage. Dans la chambre à coucher, Farida ouvre la penderie et regarde la garde-robe de maman. Beaucoup de vêtements de grands couturiers. Elle hésite et demande comme on habille « la salope » pour aller au sex-shop.

– On aurait du ramener des fringues de putes, regrette Momo.

– Oh non, pitié, ne me demandez pas ca ; balbutie Sylviane.

– Tu crois que t’as le choix, pétasse!

– Tiens, tu vas mettre ca. La pute se sera une prochaine fois…Et puis saper en bourgeoise, c’est plus excitant.

Farida lui tends son élégant tailleur noir Yves Saint Laurent. Elle doit leur faire un strip-tease, enlevant son déshabillé et sa nuisette. Elle enlève son string à la demande de Momo.

– T’as pas besoin de sous-vêtements…

– Sauf ca…

Farida lui tends un porte-jarretelles noir que maman enfile. Elle y accroche des bas noirs à couture. Elle met la jupe du tailleur et la veste a même la peau. Farida lui tends les escarpins les plus sexy qu’elle trouve. Une paire de talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge et aux talons très fins et très hauts. Le parfait déguisement Konyaaltı travesti de la bourgeoise salope…

Puis, Momo donne le signal du départ….

La Mercedes est conduite par Momo. A l’arrière, Sylviane subit les attouchements de Farida. Elle lui triture les nichons par l’échancrure de la veste et elle a remonté la jupe titillant son clitoris laissant ma mère dans un état de nerfs indescriptible. A un feu rouge, un chauffeur routier ayant une vue plongeante sur la Mercedes grâce à la hauteur de son camion, lança un furieux coup de klaxon, complètement excité.

Morte de rire, Farida obligea ma mère à lui sourire et à s’exhiber lui montrant ses seins et sa chatte….

Ils arrivèrent très vite au sex-shop qui se trouvait dans la banlieue voisine de la ville bourgeoise ou nous habitons ou, bien sur, la Municipalité n’aurait jamais permis l’installation d’un tel magasin dans la ville. Momo gara la Mercedes et Farida poussa Sylviane hors de la voiture. Ils remontèrent la rue « chaude » de la ville ou se trouvait sex-shop, peep-show et autres lieu de vice. Plusieurs clients parurent étonnés en croisant ma mère qui, avec son allure tellement bourgeoise, détonnait un peu dans cette rue réputée du sexe. Un peu plus loin, il y avait des putes qui attendaient les clients….

Ils entrèrent dans un sex-shop écartant l’épais rideau de velours bleu qui camouflait l’entrée. A l’intérieur, 6 clients observaient les DVD et les magasines. Il y en avait pour tous les gouts : partouze, gang-bang, SM, Bondage…Momo se dirigea sans hésiter vers un type à la caisse. Le patron du sex-shop qui visiblement le connaissait.

– Salut Momo!

– Salut Robert…

Le dénommé Robert devait avoir la cinquantaine, il était petit et avait un regard bien vicelard. Il détailla aussitôt Sylviane qui rougit sous son maquillage.

Devant son regard interrogateur, Momo lui expliqua que Sylviane était une bourgeoise salope qui venait s’encanailler et qu’elle allait lui prendre quelques produits…

– Te gêne pas….

– Tu nous feras une ristourne?

– Faut voir…murmura Robert.

En disant cela, il mata les jambes de ma mère sans aucune gêne.

Momo poussa ma mère dans l’allée du sex-shop et commença à lui dire ce qu’elle fallait qu’elle choisisse. Maman, qui n’avait jamais mis les pieds dans un sex-shop regardait Konyaaltıi travestileri autour d’elle, les yeux ronds. Momo commença par lui sélectionner trois déguisements sexys. Un de soubrette, un d’infirmière et l’autre d’écolière…Puis Farida ramena une sélection de godes de plusieurs tailles dont certaines étaient impressionnantes et cela effraya maman qui protesta.

– Mais…Mais, je ne pourrais jamais supporter de….

– T’inquiète, ricana Farida, on va s’occuper de ta formation, ton cul sera tellement dilaté que tu pourras tous accepter….

Maman blêmit….

Les clients et le patron n’en perdait pas une miette bien sur…

Momo ramena un plug, un collier avec des clous, un fouet, des menottes, trois cagoules en cuir dissimulant le visage avec une fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il choisit également toutes sortes de bâillons. Des boules, des anneaux, permettant de laisser la bouche ouverte, des « mors » comme pour les chevaux. Et surtout, un bâillon harnais avec un gode fixé dessus….Il ramena un corset en cuir avec un collier-minerve relié au corset par une sangle. On pouvait attacher les poignets au corset grâce à des anneaux. Maman ne disait pas un mot mais elle était effondrée en pensant à ce que ces jeunes tourmenteurs comptaient lui faire subir avec tous ses produits….Pour finir, elle dut choisir elle-même des mini-jupes en cuir, en vinyles et une robe en latex…

Farida s’approcha de maman avec un sourire pervers.

– Faudrait les essayer pour être sur de la taille…

Maman crut défaillir….

– Non…Non, balbutia t’elle, je vous en prie pas ca…

Mais elle fut entraînée sans pitié vers une cabine d’essayage. La, elle fut contrainte d”enlever son tailleur et d’enfiler la robe en latex. Elle garde ses bas et ses talons aiguilles. Elle ressort, morte de honte, tous les clients l’attendent et le patron ricane. Elle doit se tourner et supporter les commentaires salaces…

– Ca lui moule bien le cul et les seins…

– Elle est trop courte…

Elle est en effet trop courte et on aperçoit l’attache du porte-jarretelles…

– Venez voir de plus près, qu’est ce que vous attendez, lança Momo

Les six clients se précipitèrent, trop content de l’aubaine…Des mains avides caressent la robe en latex…Malaxant les seins au passage….

Momo Travesti konyaaltı agrippa ma mère par les cheveux et l’obligea à se mettre à quatre pattes au milieu du sex-shop.

– Allez, c’est pas le tous, mais maintenant faut que tu paies tout ce que t’as pris….

Il lança les prix pour une passe à la cantonade…

– On peut lui faire tout ce qu’on veut?

– Tout ….

Maman voulut protester mais Farida la bâillonna avec l’anneau….Sa bouche est ouverte au maximum déformant son visage…

Le patron lança le signal de la curée. Il paya et se précipita enfonçant son membre dans la bouche de maman qui voulut le recracher… Elle reçut une claque…

– Bouffe ma bite, salope…Suce la!

Maman obéit, pompant la bite…Derrière elle, on lui introduit toutes sortes de godes… la limant avec…Maman grogne derrière son bâillon. Le patron donne des coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible étouffant ma pauvre maman. Il se retira voulant « défoncer cette chienne » et il fut aussitôt remplacer par un autre. Robert fit le tour s’enfonçant dans la fente de ma mère. La tenant solidement aux hanches, il la défonce comme une brute, son ventre venant claquer contres les fesses de Sylviane… Elle salive sur la bite qu’elle suce… Robert fit encore quelques allers-retours dans son ventre et il se retira. Il pointa le gland sur l’ouverture des reins et s’enfonça dans le trou du cul de maman qui eut un hurlement étouffé. Il la pilonna un temps et se retira, son sexe luisant de sécrétions. Un client se précipita et força le trou de cul de Sylviane.

– Vous allez la prendre en double! lança Farida…

Un des clients s’allongea à terre, la bite fièrement dressée et on obligea maman, à grand renfort de claques sur le cul, à s’empaler dessus ce qu’elle fit avec une grimace….Robert l’encula et le troisième type engouffra sa bite dans sa bouche….Et ils alternèrent leurs coups de reins…déchirant ma mère par tous les trous…Son corps, recouvert de sueur, tressautaient sous leurs coups de bites. Ses seins ballottaient dans tous les sens….Robert poussa un cri et éjacula sur le dos de maman pendant que celui qu’elle suçait se vida sur son visage. Le dernier lui envoya de longues giclées de sperme sur ses seins…Elle dut encore sucer deux autres clients qui n’avaient pas osé participer mais qui voulaient quand même se vider les couilles.

L’argent récolté servi a payé Robert qui dit à Momo qu’il ne fallait surtout pas hésiter à revenir….

Maman a gardé sa robe en latex et Farida la contrainte à ne pas se nettoyer…C’est recouvert de foutre qu’elle dut regagner sa Mercedes sous les regards surpris et moqueurs des passants…

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Bondage Institute – Epilogue

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Bdsm

Les yeux de Jane s’ouvrirent lentement. Ils étaient embués, et un mal de tête terrible l’assaillait. Peu à peu, sa vision s’éclaircit, et elle vit devant elle, avec horreur, Anya, Esther et Alana enfermées dans les cages connectées. Aussitôt elle comprit. Elle tenta de bouger mais elle était attachée de partout, et il lui était impossible de bouger un muscle.

En face d’elle, les jeunes femmes étaient elles aussi réveillées, et leurs yeux étaient également pleins d’effroi. Sara avait visiblement repris le contrôle, et si c’était le cas, c’était définitivement terminé pour elles. Elle était capable des pires horreurs les concernant, encore plus après lui avoir fait vivre l’enfer.

Jane n’avait aucun souvenir de comme elle avait été placée là, et par quels moyens Sara était parvenue à ses fins.

Puis, de longues minutes après, Sara, Emma et Kristen pénétrèrent dans le sous-sol, pleines d’assurance. Elles arboraient toutes trois un sourire éclatant. Sara prit la parole, en s’avançant doucement vers les quatre femmes qui étaient désormais ses prisonnières :

– Vous voilà pris à votre propre piège, dit-elle en caressant les barreaux des cages. Ces cages sont absolument fantastiques, tu avais raison Jane. Grâce à cette application, je peux vraiment décider de votre vie ou de votre mort. Une simple pression sur ce bouton et la machine arrête de vous faire respirer. Regardez.

Elle appuya sur le bouton en question, et l’oxygène arrêta d’être envoyé vers les prisonnières.

– Mmmmmmmhhh!!! firent elles toutes les quatre, épouvantées.

Elle remit l’oxygène en route.

– Une simple pression sur celui ci, et vous êtes enfermées là dedans pendant 6 mois. Prodigieux.

Et elle éclata de rire et s’assit sur la cage d’Esther.

– A deux doigts de me ruiner… Je le reconnais Jane et Anya, vous avez bien failli m’avoir. Mais heureusement ma soeur Emma est toute aussi forte et ingénieuse que moi. C’est grâce à elle que vous êtes là. Quand à vous, Esther et Alana, j’avoue que je suis déçue. A la première occasion, vous m’avez tourné le dos. Vous paierez cher cette trahison.

Ses anciennes lieutenantes baissèrent la tête. Elles avaient tenté de se retourner contre leur ancienne amie et Maitresse et avaient échoué tellement près du but…

– Alors voilà comment les choses vont se passer désormais. Nous allons reprendre le contrôle de cet endroit et je vais y créer une succursale du Bondage Asylum, comme prévu. Ma soeur Emma a commencé à prendre goût au travail de dominatrice, voyez vous, et a également entrevu les profits qu’elle pourrait engendrer… Elle dirigera donc cet endroit désormais. Emma, je te laisse terminer.

– Merci Sara. Comme ma soeur vient de vous le dire, cet endroit sera désormais sous mon contrôle. Je l’appellerai le “Bondage Institute”. Comme en Californie, je proposerai des séances de bondage intensives et j’en profiterai pour vider les comptes en banque de mes clients et séquestrer ces derniers. Kristen a accepté de m’assister dans cette tâche. Quand à toutes les quatre… Je vais laisser un peu de suspens quand au sort qui vous sera réservé…

Elle sortit son smartphone, et ordonna le verrouillage des cages pour une semaine supplémentaire.

– A bientôt, les filles…

Sara, Emma et Kristen remontèrent à l’étage, les talons claquant sur le sol, laissant seules leurs prisonnières dans leurs cages, désormais en proie aux pires prédictions concernant leur avenir. Il n’y avait plus une seule Adler pour les tourmenter, mais deux désormais, et Emma semblait toute aussi cruelle que sa soeur Sara, ce qui ne présageait rien de bon…

Les jours qui suivirent, Jane, Anya, Esther et Alana assistèrent, impuissantes à la transformation du domaine.

Tout d’abord, Emma entreprit l’acquisition de 100 nouvelles cages connectées. Elles étaient identiques aux précédentes, à la différence d’une plaque de béton qui recouvrait un des côtés des cages. Des travaux furent entrepris afin de transformer le sous-sol en une prison. Désormais, c’était un long couloir aux murs de béton qui se faisaient face. Le sadisme d’Emma était sans limite : les nouvelles cages étaient incrustées dans les murs. C’est simplement en activant l’application sur son smartphone qu’Emma pouvait extraire la cage du mur, comme un tiroir que l’on ouvrirait d’un meuble. Dans le cas contraire, les prisonniers se retrouvaient dans les murs de l’asile, dans l’obscurité la plus totale, et le couloir ressemblait à un simple couloir, sans que l’on puisse imaginer un seul instant qu’une centaine de cages étaient présentes.

C’était pire que ce que Jane imaginait. Emma avait prévu de faire un élevage d’esclaves, et surtout, elle ne comptait pas s’en occuper directement, comme au Bondage Asylum. Les cages connectées allaient remplir le rôle de faire respirer et de nourrir les prisonniers, et Emma n’aurait qu’à gérer tout ce petit monde avec son smartphone. C’était terrifiant d’ingéniosité et de cruauté.

Quand les travaux furent terminés, Cebeci travesti Sara et Emma placèrent leurs esclaves dans les nouvelles cages. Ces dernières se débattaient pendant le transfert de cages, refusant de se retrouver dans les murs du Bondage Institute et de vivre cet enfer. Bien sûr, leurs efforts furent vains, et elles finirent par s’y retrouver tant bien que mal, bâillonnées, attachées, reliées à la machine centrale qui s’occuperait de les nourrir et de les faire respirer, même à travers les murs. Elles attendirent.

Sara, Emma, Kristen, suivit des autres proches de Sara se tenaient au milieu du couloir, savourant le moment. Puis Emma prit doucement son téléphone, ouvrit l’application “Bondage Institute” et releva la tête. Elle croisa le regard de Jane, qui la suppliait des yeux, la bave aux lèvres. Celle ci regarda ensuite Anya, sa douce et tendre et compagne et comprit qu’elle ne la verrait quasiment plus, ou du moins quand Emma le déciderait. Emma comprit ces échanges de regard et sourit alors. Puis elle appuya sur “Rangement des cages”. Alors, les cages coulissèrent doucement, jusqu’à totalement s’incruster aux murs. Elle appuya ensuite sur “Système respiratoire” afin de l’activer.

Emma, Sara et ses proches quittèrent alors les lieux, et les prisonnières ne purent entendre que les talons claquer au sol avant que le silence ne se fasse totalement.

4 ANS PLUS TARD

Jane ne sentait plus son corps, engourdie dans cette cage trop petite pour elle. Elle n’avait aucune idée du jour ou de l’heure qu’il était. Elle était dans cette obscurité depuis tellement longtemps. Après les événements d’il y a 4 ans, Sara était rentrée à Los Angeles, et Emma s’occupait désormais du Bondage Institute, en compagnie de Kristen, la meilleure amie de Sara. Esther, Alana, Anya et elle étaient enfermées dans les cages connectées, elles mêmes enfermées dans les murs du luxueux domaine. Et il semblait que ce supplice allait durer toutes leurs vies.

Les deux premières années, les quatre prisonnières sortaient environ une fois par mois, pour prendre une douche, marcher un peu, et étaient placées à nouveau dans les murs. Parfois elles étaient libérées des cages le temps d’une soirée pour servir les invités d’Emma Adler. Leurs vies n’étaient qu’ennui et souffrance. Elles n’avaient tout simplement plus l’impression d’exister. Pour renforcer ce sentiment de perte d’existence et donc d’identité, Emma les avait affublé à chacune d’une combinaison en latex qui recouvrait corps et tête. Elles n’étaient plus rien.

Quand elles étaient dans les murs, Esther, Alana, Anya et Jane ne pouvaient entendre à chaque passage qu’une seule chose, les talons d’Emma ou Kristen claquer au sol. C’était la seule chose du monde qui parvenait jusqu’à elles. Pour le reste, elles se contentaient de manger cette nourriture insipide et de déféquer ensuite.

Elles n’attendaient qu’une chose : la sortie mensuelle. A chaque fois que cela se produisait, elles tentaient de négocier pour sortir de la cage, mais avec le bâillon, aucune parole intelligible ne sortait. Au fur et à mesure que le temps avançait, elles perdaient leurs ardeurs dans leurs vaines tentatives.

Emma s’amusait évidemment encore avec ses « jouets ». Esther et Alana avaient vendu sa famille à Jane, et Emma ne leur avait pas pardonné, bien sûr. Pour se venger, elle avait réussi à retrouver et à soumettre la sœur d’Alana, Mary, et la mère d’Esther, Dakota. Lors d’une des « sorties mensuelles », elle libéra Alana et Esther de leurs cages et ordonna à Mary et Dakota de les baiser.

Évidemment, ne reconnaissant pas Alana et Esther sous leurs combinaisons, elles n’eurent donc aucun mal à exécuter l’ordre de Emma.

– Mettez y plus d’ardeur, les filles ! Tapez jusqu’au fond et insultez les, elles le méritent ! ordonna Emma.

– T’aimes ça, salope, hein ? dit Mary à sa sœur, qu’elle ne reconnaissait toujours pas.

– Ouvre grand la bouche, petite pute, et suce bien ! s’exclama Dakota en regardant Esther.

Alana et Esther pleurèrent sous les coups de butoir, rageant contre le sadisme et la cruauté de Emma. L’humiliation fut totale quand celle ci ordonna aux deux jeunes femmes de chier dans la bouche des deux autres.

Alana fut plaquée au sol et attachée. Elle vit alors sa soeur Mary baisser son string et placer son cul au dessus de son visage. Alana commença alors :

– Non, s’il te plait, c’est moi Ala…

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, les excréments lui arrivant déjà dans la bouche. Une fois le travail fait, Mary, sous les ordres d’Emma, prit le rouleau de ruban adhésif et scotcha la bouche d’Alana de telle sorte à ce qu’elle ne puisse rien recracher. Dakota fit la même chose à Esther.

Une fois les hostilités terminées, Alana et Esther furent remises dans leurs cages respectives, après avoir pu admirer Mary et Dakota massant les pieds d’Emma, impérieuse sur son trône.

En deux ans, Emma Adler avait bien pris les choses en mains. Cebeci travesti Elle semblait avoir le même talent et le même degré de cruauté que sa soeur Sara. Les cages connectées s’étaient remplies peu à peu, et l’établissement affichait aujourd’hui complet. Jane en était sûre, comme au Bondage Asylum, ces esclaves étaient là contre leur gré. Aussi, au vu des nouvelles robes et chaussures qu’arboraient désormais ses deux tortionnaires, Jane était certaine qu’Emma et Kristen avaient dépouillé leurs victimes, pour s’enrichir sans vergogne.

Jane aimait les sorties mensuelles, non pas pour subir les tourments et moqueries d’Emma et Kristen, mais parce qu’elles étaient le seul moment où Jane pouvait voir sa compagne Anya. Même si celle-ci était dans sa combinaison de latex, elle arrivait à la reconnaitre et cela lui faisait un bien fou. Le retour dans les murs était à chaque fois terriblement déchirant.

Ces moments de bonheur fugaces prirent fin un an plus tard, au grand désarroi de Jane.

En effet, Sara était passé voir sa soeur en France et avait décidé d’emmener Anya à Los Angeles avec elle. Jane avait hurlé à travers son baillon tout ce qu’elle avait pu, mais Sara l’avait superbement ignoré en retour. Elle n’avait eu aucune pitié de séparer le couple.

Cela faisait désormais quatre ans que les filles étaient prisonnières d’Emma et Kristen. Un jour, une sortie mensuelle dura plus longtemps que d’ordinaire, à la grande surprise des trois prisonnières. Leurs cages avaient à nouveau été sorties des murs et avaient été emmenées au sein de la grande bibliothèque du Bondage Institute. Un grand écran leur faisait face. Emma et Kristen étaient installées dans de confortables fauteuils, et sourirent à l’arrivée de leurs esclaves. Immobilisées dans leurs cages, Jane, Esther et Alana ne pouvaient rien faire d’autre que d’admirer leurs riches tortionnaires, elles et leurs longues jambes croisées, leurs tailleurs élégants, leurs lèvres pulpeuses, leurs luxueux escarpins.

– Vous n’allez pas être déçue les filles, dit Kristen.

– Surtout toi, Jane, tu vas te régaler, ajouta Emma en lui adressant un clin d’oeil malicieux.

– Profitez bien de ce petit divertissement, vous n’en aurez pas beaucoup d’autres.

Des pubs défilaient sur l’écran, cela semblait être une chaîne d’info… Il y eut un petit journal télé qui permit aux jeunes femmes d’apprendre notamment la date du jour et quelques nouvelles sur le monde. Elles se rendirent compte à quel point elles étaient déconnectées de la réalité désormais. Les pubs se terminèrent et une émission commença. C’était le débat présidentiel américain. On était le 14 octobre, deux semaines avant les élections. James Raddington était le candidat démocrate et présentait bien. Face à lui, une figure bien connue d’Esther, Alana et Jane lui faisait face… Une grande brune, le regard froid… Sara Adler avait réussi le coup magistral de se présenter aux élections. Esther et Alana, qui la connaissait bien, la savait puissante, mais à ce point…

Durant les 4 dernières années, elle s’était mis tout le monde dans la poche et le chantage qu’elle exerçait sur des personnes hauts placés avait donné visiblement des résultats stupéfiants.

Le débat commença, et même si les trois esclaves en cage étaient révoltées par ce qu’elles voyaient, le fait de sortir à l’air libre et de se voir offrir cette séance télé constituait en soi un cadeau très divertissant, qu’elles suivirent alors finalement avec ardeur.

Sara se débrouillait très bien, elle avait toujours été une femme convaincante et ce trait de sa personnalité la servait bien aujourd’hui. Elle avait un léger décolleté. Rien de vulgaire ou provoquant, mais juste ce qu’il fallait pour perturber le candidat démocrate, qui jetait parfois un œil dedans. Sûrement que des téléspectateurs devaient s’en rendre compte, car même si cela était furtif, il y revenait souvent.

Quand arriva le sujet de la morale et de l’exemplarité des politiques, James Reddington se lança dans une tirade très convaincante. Il renvoya Sara dans les cordes quand il rappela qu’elle avait menti sur son patrimoine financier, qu’elle avait sous-estimé sa fortune, et qu’un responsable politique se doit d’être parfaitement transparent pour être respecté.

Un silence eut lieu. Jane pensa alors que Sara accusait le coup, et ne voyait pas trop comment elle allait se sortir de ce bourbier. Puis sa bouche s’étira en un sourire :

– Vous avez tout à fait raison, Mr. Reddington. Les Américains doivent savoir qui est leur président.

Elle sortit alors une tablette et montra à la caméra une vidéo. C’était une vidéo du démocrate entièrement nu, qui se faisait fouetter le cul par une dominatrice, que l’on voyait de dos. Elle parlait en russe, ce qui aggravait grandement le cas du candidat. Jane eut soudain un choc. Elle avait reconnu la voix et elle reconnut alors le physique de la dominatrice. Même vue de dos, elle n’eut aucun doute sur l’identité de celle-ci, Cebeci travesti elle ne la connaissait que trop bien.

Jane fut sous le choc, comme si Anya était passé du côté obscur. Sara avait elle réussi à la séduire et à la mettre de son côté? C’était impossible, elles se détestaient… Mais il fallait se rendre à l’évidence, c’était bien elle. Anya avait des origines russes, cela collait parfaitement avec la vidéo. Sur le plan suivant, le candidat se mettait un drapeau américain dans les fesses, en chantant à tue-tête l’hymne russe, sous ses ordres.

– Vous pensez mériter du respect, Mr. Reddington? Je suis certaine que nos concitoyennes et concitoyens seront ravis d’apprendre que leur président aime obéir aux Russes, surtout pour honorer le drapeau américain de cette façon…

Bref, il en fut rapidement terminé du débat. Sara fut la présidente la mieux élue des Etats Unis. Elle passait la moitié de son temps à la Maison Blanche et l’autre au Bondage Asylum, pour continuer à faire prospérer ses affaires. Sara ouvrit également deux autres succursales, à Singapour et à Moscou. Les rentrées d’argent étaient faramineuses, et Sara était plus riche que jamais. Elle dépassa les 200 milliards de dollars. Plus rien ne pouvait l’atteindre désormais.

EPILOGUE

Quelques mois après l’élection, au Bondage Institute, Emma sortit les cages d’Esther, Alana et Jane des murs du sous-sol, et leur annonça une bonne nouvelle.

– Je vous emmène prendre l’air aujourd’hui, les filles.

Les sorties au grand air étant particulièrement rares, les prisonnières se réjouirent. Leurs vies étaient devenues tellement mornes que même 5 minutes à l’extérieur constituaient un don du ciel.

A la grande surprise de Jane, elles arrivèrent dans un jardin du Bondage Institute totalement méconnaissable. Jane se demandait ce qui se tramait. Elle regarda autour d’elle. Un buffet et des soubrettes servaient des verres de champagne à côté d’elle. Des tables aux nappes blanches étaient disposées un peu partout sur la pelouse. Enfin, une arche était disposée en face d’elle et quelques personnes attendaient sur des bancs. Ils était bien habillés, et Jane songea alors qu’elle allait probablement assister à un mariage. Elle se détendit alors. Elle pensait subir de nouveaux sévices, mais il n’en était rien, il s’agissait simplement d’un mariage. Juste un mariage.

Elle profita alors d’être dehors, à l’air libre, elle qui vivait sous terre, dans des murs, depuis des années. L’endroit était paradisiaque et le soleil couchant était magnifique. Tout le monde s’assit face à l’arche et le silence se fit peu à peu dans l’assemblée. Personne ne semblait se soucier que trois femme étaient prisonnières dans des cages au beau milieu de ce décor.

Sara Adler, resplendissante dans sa robe blanche, fit alors son entrée. A travers ses barreaux, Jane vit le sourire narquois de Sara, ce qui la fit trembler. Puis le coeur de Jane rata quelques battements.

Anya, son ex-copine, s’avançait dans l’allée centrale. Jane resta interloquée, ne croyant pas ce qu’elle voyait.

La cérémonie commença, et peu à peu Jane comprit la présence de Sara et Anya ici. Tout d’abord, le mariage était célébré ici car le mariage lesbien était autorisé en France. D’autre part, Sara voulait mettre Jane face à cette réalité : elle lui avait tout pris. Sa maison dans le sud de la France, sa copine.

Jane bouillonnait de rage à l’intérieur. Au milieu de la cérémonie, Sara la sortit de sa cage, et la tira en laisse jusqu’à l’arche, face à Anya. Elle enleva ensuite sa combinaison et son baillon, et Anya, put enfin voir son ex-copine se tenir à quatre pattes face à elle.

– Bonjour Jane, dit Anya, sans manifester aucune surprise dans la voix.

– Anya, mon amour… Tu savais qu’elle me maintenait enfermée au Bondage Asylum et tu n’as rien fait? Qu’est tu devenue?

– La nouvelle amante de Sara. Et j’en suis très heureuse. Elle m’apporte tout ce que je veux.

– Non! Anya! Qu’as tu fait? Tu ne peux pas me faire ça! Elle te force à t’épouser, je le sais, mais rien ne t’y oblige Anya!

Le silence se fit.

– Jane… Tu sais que j’aime le pouvoir et l’argent. Il y a quatre ans, tu pouvais m’offrir tout ça. Aujourd’hui, regarde toi… Tu es au bout d’une laisse, habillée comme une pute. Tu penses que c’est ce que je veux pour finir mes jours? Une dévergondée désargentée? Sara est belle, riche et puissante, c’est ce qui me plait. Je mérite de vivre dans le luxe, et toi… Tu ne peux pas m’offrir ça. Sara, elle, est présidente des Etats-Unis.

– Tu sais que c’est une manipulatrice, Anya…

Mais Anya ne l’écoutait pas.

– Sara, elle, m’a promis cette propriété comme cadeau de mariage, tu te rends compte?

Jane tremblait de rage. Ses yeux lançaient des éclairs à Sara. Cette garce lui avait volé sa maison et maintenant elle achetait son ex-copine avec.

– Vous n’avez pas le droit! C’est chez moi ici! Anya, c’était ma propriété, pas la sienne, elle m’a simplement ruiné! Tu ne peux pas cautionner les actes de cette voleuse, de cette garce!

Sara laissait faire, contemplant le spectacle qui se déroulait sous ses yeux.

– Alors, c’est que tu es trop stupide pour te faire dépouiller, et je ne veux pas d’une femme stupide.

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Ağustos 20, 2024 tarihinde yayınlandı tarafından admin — Yorum yapın

Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 05

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Anal

Pasteur et maquereau 5

Pimped by Her Own Pastor – V

Coulybaca / Black Demon

***********************

Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau », « Le Pasteur victime d’un chantage »,

Et « Pasteur et maquereau 1, 2, 3 & 4»

(Victim’s Violated Vacation & Pastor’s a Pimp 1 & 2,

Pimped by her own pastor 1, 2, 3 & 4)

***********************

Depuis que son fiancé lui avait glissé sa bague de fiançailles au doigt à Noël, Kelly Garrison, attendait fiévreusement l’instant cet instant ou elle deviendrait madame Bill Hendricks.

Et depuis ce moment jusqu’à son retour aux vacances de printemps elle bâtissait des châteaux en Espagne au sujet de sa noce en juin.

Mais les choses avaient dramatiquement basculé après son retour à la fac de psychologie à la fin des vacances, et maintenant Kelly n’était plus qu’une boule de nerfs, elle se sentait indigne de Bill car elle n’était l’inno-cente jeune fille qu’il croyait épouser.

– Comment?

– Pourquoi?

Se demandait-elle au fond d’elle-même sans trouver de raisons objecti-ves.

Elle se rappelait s’être rendue dans le bureau du professeur Thompson, son professeur de psychologie pour discuter de son dernier devoir… Mais elle ignorait totalement ce qui s’était passé dans la période de six heures une fois ses cours terminés.

Elle se rappelait seulement s’être brusquement retrouvée nue dans les bras du professeur Thompson qui la chevauchait âprement.

– Violée… Il l’avait violée… Cet horrible bâtard l’avait violentée… Tremblait-elle les yeux pleins de larmes.

Elle ne comprenait toujours pas ce qui avait pu la conduire à lui rendre visite à son domicile pour terminer nue dans ce lit où cet ignoble pervers avait cueilli son précieux pucelage.

Elle abandonna bientôt ses menaces de tout rapporter à la police lors-qu’il lui fit visionner une cassette où on la voyait clairement lui proposer de se donner à lui en échange d’une bonne note de fin d’année un “A”, une chose qu’elle ne se rappelait avoir dite à aucun moment.

Comme elle avait toujours été en tête de sa classe et qu’elle savait que son travail valait un “A” il n’y avait aucune raison de lui proposer un tel marché, alors que cette saloperie de cassette prouverait à tout le monde que c’était bien le cas!

Kelly avait paniqué en se réveillant bien plus tard couverte de sueur et la chatte engorgée de foutre et de cyprine.

Son cauchemar lui revint à l’esprit lui rappelant qu’elle se trouvait allon-gée entièrement nue contre le corps du professeur Thompson qui frottait son épaisse mentule dans sa fentine.

Lorsqu’il avait insinué qu’elle avait proposé de coucher avec lui en échange d’une bonne note elle l’avait désespérément supplié :

– S’il vous plait… Non… Non… Ce n’est pas vrai… Jamais je ne suis venue pour vous proposer un marché aussi ignominieux… Je vous en prie… Non, c’est un viol! Arrêtez!

– Aaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! hurla-t-elle alors qu’il saccageait son précieux hymen.

Son cri de douleur avait empli la pièce mais elle ne réalisait que ses pleurs et ses ris semblaient une douce musique aux oreilles du professeur Thompson alors qu’il s’engouffrait en elle.

Alors qu’il fourrait brutalement sa monstruosité dans sa caverne inviolée Kelly criait de plus belle :

– Owwwwwwwwwwwwwwwwwwwww… Arrrêtez! Arrêtez! J’ai mall-llllllllllllll! Oh mon Dieuuuuuuuuuu… Aidez-mooooooooooi!

Les pensées de Kelly s’orientaient maintenant trois semaines en arrière, le jour de la remise des diplôme alors que sa famille et son fiancé la féli-citaient chaleureusement le professeur Thompson s’approchait d’eux.

Alors que son vil professeur s’approchait d’eux leur souhaitant le bonjour et la congratulant en public, ce sale bâtard lui avait susurré à l’oreille :

– Réserve la suite nuptiale la veille de votre nuit de noce! Prétexte que ce sera plus facile pour toi d’y enfiler ta robe pour te prendre à l’église… On baisera une fois encore… La nuit précédent ta nuit de noce! Tu porteras ta robe de mariée ave le voile et tout le tralala!

Et ce soir dans la suite nuptiale, Kelly vêtue de sa tenue de mariage, se regardait dans le miroir en pied, retenant difficilement ses larmes, elle frémissait à l’idée que ce sale pervers allait de nouveau profiter de ses charmes.

Depuis l’âge de 5 ans elle rêvait de se voir toute vêtue de blanc avant d’épouser son prince charmant et voilà que son rêve s’était écroulé, elle se comportait en pute… Une sale pute de bas étage!

A une journée de ses noces, ce jour dont elle avait rêvé depuis sa plus petite enfance, Kelly se préparait à l’impensable, un autre homme que son futur mari allait abuser de son corps dans la suite nuptiale alors qu’elle serait vêtue de sa robe de mariée.

Elle savait pertinemment qu’elle trompait honteusement son futur époux Üçyol travesti de la façon la plus méprisable, mais elle l’aimait tant qu’elle ne pouvait supporter l’idée même de le perdre, même si cela impliquait que pour le garder, elle devait se soumettre aux actes dégradants que son maître-chanteur lui imposait.

Kelly priait pour que ce soit la dernière fois, espérant que la distance en-tre son lieu de vie à venir et la ville universitaire où évoluait son maître chanteur le dissuaderait de poursuivre ses assiduités, bien qu’elle sus-pecta que son chantage s’aggraverait encore dans le futur.

Le professeur Amos Thompson venait de pénétrer dans le complexe hôtelier de “Pinewood” où son ex-étudiante et son futur marié devaient célébrer leur mariage le lendemain.

Une fois installé dans l’ascenseur il pressa le bouton pour accéder au dernier étage où se situait la suite nuptiale.

Il jeta alors un oeil sur sa montre, il arrivait juste à l’heure prévue, 17 heures 30, la future épouse devait l’attendre vêtue de sa tenue de ma-riée.

Il sourit alors que l’ascenseur montait se demandant à quoi elle ressem-blait vêtue de sa robe blanche.

Tremblante comme une feuille alors qu’elle regardait le cadran de sa montre, Kelly sentit un long frisson froid lui courir le long de la colonne vertébrale.

– Mon Dieu je vais encore devoir subir cet infâme dépravé! J’en suis malade! Pensait Kelly en ouvrant nerveusement la porte de la suite nuptiale pour y admettre son ignoble prof de fac.

Il se tenait face à elle, souriant ironiquement de toutes ses dents, il re-ferma la porte dans son dos et planta son épaisse langue dans sa bouche pour lui rouler un patin baveux, elle en frissonna de répulsion.

Le professeur Thompson ne tarda pas à frissonner de plaisir en sentant son ex-étudiante lui embrasser le gland de la façon qu’il lui avait apprise alors qu’il avait glissé les mains sous son voile blanc pour lui tenir la tête.

C’était exactement le genre de cajolerie qui faisait si bien vibrer sa bite, les lèvres refermées sur sa hampe turgescente, elle titillait de la pointe de la langue son sensible méat.

– Ah oui… Ohhh, tu te rappelles à quel point j’aime ces caresses! Ouiiiii, lèche-moi! Promène ta langue sur toute la longueur de ma mentule! Ahhhhhhhhhhhhh… Et maintenant prends la en bouche! Oh oui comme ça… Ouiiii… Oh ouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii!

Cette épreuve était terrible pour Kelly, elle avait refermé sa petite main gantée de blanc sur l’épaisse hampe de son ex-professeur alors que l’autre main plongeait dans son caleçon pour lui mignoter ses grosses burnes noires.

Il lui tenait la nuque au-dessus de son voile blanc tout en s’arquant sur les talons pour approfondir la pénétration de sa bite dans sa bouche as-servie.

– Oh oui ma petite salope… Où se trouve ton futur époux? Il enterre sa vie de garçon? Ce stupide petit blanc ne se doute sûrement pas de ce que fait sa petite chérie cette nuit! S’il pouvait seulement voir ce qui se passe dans la suite nuptiale à cet instant même? Allez suce ma grosse bite noire! Oh oui… Ouiiiiiiiiiiiiiii… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… psalmodiait le pervers bâtard tout en se vidant les couilles dans sa bouche soumise.

Quelques instants plus tard, elle se sentait si dégoûtée d’avoir été utili-sée comme un simple réceptacle à foutre par le pervers prof de fac…

Son estomac se contractait alors que son foutre s’épandait dans son ventre, allongée sur le dos sur son futur lit de noce, c’est alors qu’elle en-fonça ses talons dans le matelas pour s’arc-bouter

– Aggggggggggg… Ahhhhhhhhhhhhhhhh… Ohhhhhhhhhhhhhhh… Couinait Kelly alors que le professeur Thompson s’écroulait sur elle.

Il lui avait enlevé sa petite culotte et parcourait de la pointe de la langue sa fentine embrasée la rendant folle!

Pendant les trois mois qui avaient suivi la fin mars, Kelly avait baisé tous les soirs à plusieurs reprises avec son infâme maître chanteur pour, de-puis trois semaines ne plus avoir aucun rapport sexuel, le corps de Kelly répondait maintenant à toutes les sollicitations de son ignoble suborneur, elle était toute secouée par un orgasme qui la ravagea longuement sous les caresses expertes de la langue de son ex-professeur de fac.

Forcée d’être son esclave sexuelle lors de ces derniers mois, dévastée par de nombreux et incontrôlables orgasmes toutes les nuits de cette longue période, ce bâtard l’avait transformée en une salope lubrique né-cessitent de nombreux rapports sexuels.

– Oh mon Dieu… Mon Dieu… Je… Je Jouisssssssssss! Cria Kelly alors qu’il emplissait sa chatte de son épaisse semence crèmeuse. Bras en croix sur le lit, ses mains gantées empoignant fermement le couvre-lit, son jus intime coulait à flot sur la langue qui la migno-tait si délicieusement.

Se débarrassant de sa veste Amos déboutonna fébrilement sa chemise et s’en dépouilla lestement avant de déboucler sa ceinture, quelques secondes plus tard, pantalon, chaussures et chaussettes enlevées, Üçyol travestileri il empoignait la robe de mariée de sa proie pour la tirebouchonner autour de sa taille. Laissant courir ses mains sur ses jambes gainées de nylon, il la positionna selon ses vœux, et planta son épaisse bite dans sa chatte frémissante.

A sa grande surprise le premier coup de boutoir ne fut pas décisif, il écla-ta de rire :

– Bordel je ne pensais qu’elle se resserrerait tant en trois semaines!

S’enfonçant de plus belle en elle sa bite la pénétrant à cœur il ajouta :

– On va s’arranger pour faciliter les choses pour ton cornard de petit mari!

Les yeux baissés sur la jolie future mariée portant la tenue qu’elle arbo-rerait le lendemain pour la cérémonie de mariage, Amos se réjouissait de voir ses yeux se remplir de larmes alors qu’elle sanglotait désespé-rée.

La bite bourrée au fin fond de sa caverne brûlante, à sentir ses sphinc-ters vaginaux se crisper sur son épaisse mentule, Amos savait qu’il comblait de félicité les sens de cette petite salope, il s’esclaffa :

– Ah oui ma petite chérie… Comme ça… Bien à fond… Je t’ai man-qué! Je vais bien te ré-élargir la chatte, que vas penser ton futur quand il engloutira sa bite dans ton trou à bite? Il ne voudra ja-mais croire qu’il dépucelle une jeune chatte vierge, c’est sur! Tu feras bien de le faire mariner quand il ira au lit avec toi!

Chevauchant fougueusement la jolie future, Amos lui dispensa une mémorable séance de baise alors qu’elle verrouillait ses jambes autour de son torse

– Mon Dieu ce que j’aimerai que son fiancé voie sa précieuse à cet instant même, qu’il se rende compte quelle petite pute était sa fu-ture épouse!

– Penses-tu qu’il saura te satisfaire! Qu’il te baisera à point! Que cela te suffira hein salope! Ironisait Amos se moquant de sa mal-heureuse proie.

Il la martelait maintenant au rythme d’un marteau piqueur, elle se mit à trembler de tous ses membres alors qu’elle s’arc-boutait en couinant :

– Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!

Un orgasme incongru la terrassait brutalement alors qu’il projetait un long jet de foutre au fin fond de sa caverne engorgée, puis il se retira projetant les dernières giclées de foutre sur la face interne de sa robe de mariée.

Une demi-heure plus tard, Amos traversa en rampant le lit puis tendit les mains pour empoigner les chevilles de la future mariée, la tirant au pied du lit, il la fit ensuite se retourner pour la disposer à quatre pattes.

Il retroussa le dos de sa robe de mariée sur ses reins dénudant sa croupe charnue, il caressa la douce chair blanche alors qu’il se disposait à sa convenance.

D’un coup de rein brutal il engouffra sa bite dans son tendre anus savou-rant le cri aigu qu’elle poussa :

– Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!

L’attirant en arrière, il l’empala jusqu’à la racine sur sa mentule bandée, ses couilles velues frappant ses fesses alors qu’il gloussait :

– Tu cries à chaque fois que je t’encule ma douce chérie!

Une fois rhabillé, Amos jeta un oeil sur la jeune femme sanglotante alors qu’elle demeurait à quatre pattes, sa robe de mariée tirebouchonnée au-tour de sa taille son beau cul blanc dressé en l’air.

Amos gloussa à la vue du flot de foutre épais qui s’écoulait de sa cha-toune et de son trou du cul.

Tendant la main pour caresser la douce chair soyeuse de sa croupe il l’informa :

– Très bien, je suppose que je ferai mieux de te laisser te reposer pour que tu te prépares à l’épuisante journée qui t’attend demain! Garde-moi une danse demain soir… Ce sera la première fois… Que je danserai avec une ravissante épouse que j’aurai sauté la veille de sa nuit de noce! Et si ton cornard de petit blanc ne par-vient pas à satisfaire tes appétits sexuels, passe un coup de fil à ton vieux professeur il résoudra tous tes problèmes!

Le soleil brillait le lendemain après-midi la cérémonie de mariage, ani-mée par le pasteur Knowlton, devait se tenir dans l’arrière cour du com-plexe hôtelier.

Le pasteur Richard Knowlton ne pouvait s’empêcher de rire à l’idée de présider à cette cérémonie d’autant plus qu’il avait ruiné l’innocence de la jeune future.

En fait, alors qu’elle se trouvait sous l’emprise hypnotique du pasteur Mollway courant mars, il avait eu l’occasion de jouer avec ses miches, de sucer ses mamelons dardés.

Et pour couronner le tout il avait eu l’honneur d’être le premier homme à sentir ses pulpeuses lèvres se refermer sur son chibre tendu, tout comme il avait été le premier à lui faire goûter son foutre épais.

Plus tard, lors de la lecture des cartes indiquant les places de chacun autour des grandes tables Amos s’était retrouvé entre deux délicieuses jeunes femmes, à sa gauche l’adorable femme du pasteur Knowlton qu’il commença immédiatement à peloter sous la table, et à sa droite la ravissante madame Kristin Goodman, l’ex mademoiselle Kristin Corbett, qui s’était mariée un an plus tôt, il savait qu’il se taperait Travesti üçyol cette succulente jeune femme deux jours plus tard.

Déjà la charmante Kristin avait reçu l’infâme coup de fil lui enjoignant de disposer de ce jour précis où elle devrait dispenser les plus savoureux plaisirs sexuels qu’elle pouvait offrir à un client qui louait ses services, sinon son aventure précédant son mariage deviendrait de notoriété pu-blique.

Les présentations faites Kristin Goodman se trouvait assise entre le prof de fac de la mariée et son délicieux amoureux.

Cherchant à profiter au mieux de cette joyeuse liesse Kristin faisait son possible pour calmer sa nervosité à l’idée du rendez-vous qui l’attendait avec un inconnu qui selon son interlocuteur avait loué ses services sexuels.

Son interlocuteur l’avait prévenue que si elle ne donnait pas toute satis-faction à son client, il montrerait à son mari si confiant des photos et une vidéo d’elle baisant avec ce colosse noir qui lui avait ravi sa virginité.

Kristin repensait à cette journée passée avec son suborneur noir dans une chambre d’hôtel de l’aéroport, c’était ce même homme qui l’avait rejointe dans la suite nuptiale le jour de ses noces alors que son jeune mari était parti faire une partie de golf avec ses témoins et qui l’avait baisée à couilles rabattues dans son grand lit nuptial lui dispensant les seules jouissances qu’elle ait éprouvées pendant sa lune de miel.

Cela s’était passé pendant un voyage programmé de son calendrier pro-fessionnel, un rendez-vous qu’elle ne se rappelait pas avoir consigné sur son agenda.

Elle était arrivée dans sa tenue de travail bleue marine, guindée et élégante, elle avait regardé un homme noir qui lui semblait familier s’approcher d’elle l’avisant :

– Je m’appelle Julius Simpson… L’homme qui doit te faire femme aujourd’hui même! Suis-moi!

Son voisin, le professeur Thompson lui semblait être un parfait gentle-man, affable et sympathique.

Comme tous les invités parlaient entre eux, Kristin se tourna vers lui pour lui demander :

– Avez-vous prévu de séjourner quelques jours dans notre petite ville professeur?

– Oh oui, je pense rester à Presswood quelques jours, cette petite ville me semble bien plaisante! Pourriez-vous me suggérer quel-ques loisirs agréables? Je n’ai qu’une seule de programmée en vérité! Lui répondit l’aimable professeur tout sourire.

– Quel genre de loisir vous intéresse vraiment professeur? Et qu’avez vous noté pour l’instant sur votre agenda? Poursuivit Kristin.

Portant la main à son menton, se ménageant une pause comme s’il ré-fléchissait, alors que le bruit de la salle les environnait, Amos se pencha sur l’adorable brunette et lui susurra :

– J’ai un rendez-vous fort excitant de programmé lundi! Laissez moi vous conter ce que j’ai en tête… Vous ne me croirez pas mais… Une adorable brunette doit me rejoindre dans ma chambre d’hôtel à 8 heures et je vais disposer de ses charmes toute la journée! Son mari pense qu’elle sera à son travail alors qu’elle se livrera à moi, parce que je détiens certaines photos extrêmement compro-mettantes d’elle baisant avec un autre que son mari… Baisant dans une chambre d’hôtel avant qu’ils se marient!

Kristin écarquilla les yeux d’horreur en réalisant que le professeur Thompson décrivait sa situation exacte et les arguments déployés par son maître chanteur pour la contraindre à se prostituer.

Discrètement il lui montra une photo renfermée dans la paume de sa main, une photo d’elle entièrement nue tirée le jour où elle avait perdu sa virginité.

Et voilà que maintenant ce pervers posait sa grosse main calleuse sur son genou dénudé.

Elle comprit alors que le professeur Thompson savait depuis un bon moment qu’elle était sa proie désignée.

Sa main grimpait lentement sous le revers de sa jupe lui caressant sans pitié la face interne des cuisses, elle ne pouvait que se figer alors qu’il lui murmurait à l’oreille :

– Je sens que ça va être un vrai plaisir de te baiser ma petite salope chérie! J’espère pour toi que tu prends la pilule parce que moi je ne mets pas de capote et je ne saute pas du train en marche! Oh oui je sens que je vais prendre mon pied!

Plus tard dans la soirée, alors que les invités dansaient au son d’une musique lascive, l’estomac de Kristin se souleva lorsque le professeur Thompson demanda à son mari la permission de la faire danser.

Naturellement son mari, inconscient de ce qui se tramait approuva convivialement.

– Bien sur mon ami!

Elle chancelait sur ses jambes en plaçant sa petite main dans la large main noire de son suborneur, Kristin savait très bien que ce salaud de bâtard qui lui souriait de toutes ses dents voudrait plus que lui tenir la main lorsqu’ils seraient sur la piste de danse.

Tremblante de peur elle se mit à transpirer d’angoisse en suivant le professeur Thompson qui la guidait sur la piste de danse l’entraînant dans un coin obscur à l’autre bout de la salle.

A la fin du slow Amos lui sourit railleusement en commentant :

– Nom d’un chien, ma chère madame Goodman vous dégoulinez de sueur, prenez donc mon mouchoir…

En fait la malheureuse jeune femme avait besoin d’un mouchoir pour es-suyer, non pas sa transpiration mais le foutre poissant ses doigts.

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