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Masturbation

Il est bien entendu que cette histoire n’est qu’un fantasme, que je condamne toute sorte de violence dans la réalité, que je ne cautionne aucunement toute forme d’agression envers les femmes, que tous les personnages ont plus de 18 ans.

Ca y était, Isabelle avait enfin raconté son histoire, l’histoire de sa vie, son viol en Asie devant son mari et deux couples d’Américains.

Cela aurait dû la soulager, lui enlever un poids de son cœur. Il n’en était rien. La façon dont elle se sentait à ce moment de son histoire, qui n’était pas terminée, au lieu de la libérer, l’engourdissait mollement, électrisait le bout de ses seins qu’elle sentait inhabituellement gros. Sa vulve qu’elle tripotait mollement en prenant un plaisir avilissant à le faire devant ses amies semblait guider son comportement. Elle voulut poursuivre et terminer de raconter ce calvaire qu’elle avait vécu 10 ans plus tôt à l’aube de sa cinquantaine.

Je devrais peut-être terminer de raconter mon histoire dit-elle en regardant Annie Catherine et Nelly.

Nelly qui était allongée sur le parquet du salon uniquement vêtue d’une drôle de culotte et d’un drôle de soutien-gorge rouges criard fait de mailles de différentes dimensions, élargies à ses fesses, plus nombreuses devant son pubis et son sexe ainsi que sur les pointes de ses seins. Mais ceci n’empêchait pas Annie Catherine et Isabelle de voir ces pointes de seins de Nelly tenter vainement de passer au travers des mailles du soutien-gorge écrasées qu’elles étaient par le chanvre rugueux, cordé dont était fait son soutien-gorge. Et il en était de même pour sa culotte, le clitoris saillant avait réussi à percer, même s’il était étranglé à sa base, avait réussi à percer une maille et il dressait sa tête violette et brillante comme s’il cherchait de l’air. À ce stade, Nelly avait les yeux vitreux, elle tenait ses cuisses très écartées, elle jouissait des regards d’Isabelle de Catherine et d’Annie fixés sur ses parties intimes obscènes. Le chanvre mouillé s’était rétréci, Nelly avait mal aux seins et au sexe tant ils étaient comprimés. C’est normal se dit-elle, je suis faite pour être tenue comme ça.

« Oui continue lui répondit Nelly dans un souffle, continue à nous raconter ce que tu as vécu dans ce jardin public en Asie…

trabzon escort attends, intervint Catherine, dis-nous Isabelle, donc, quand l’homme édenté, l’asiatique, était en toi, il ne bougeait pas c’est bien ça?

— Oui c’est ça répondit Isabelle, je crois qu’il s’était mis un baume sur le sexe, comme un aphrodisiaque je suppose, quand il m’a pénétré, ça a du faire son effet… Il n’avait pas besoin de bouger, comme je vous l’ai raconté…

— c’est-à-dire, poursuivit Catherine, c’est toi qui le massais avec ta vulve pour le faire juter? Et ceci sans qu’il bougeait lui-même?

— Oui, répondit Isabelle dans un souffle, le regard fuyant, le visage rouge betterave…

— raconte encore ce passage renchérit Nelly à voix basse,

— je ne sais pas… je ne sais pas quoi dire de plus… son gros sexe m’avait totalement pénétré, il ne bougeait plus, il touchait au plus profond de moi et, oui…, oui…, c’est ça, oui c’est ça, je sentais ma vulve, ma chatte se contractait toute seule, comme si elle voulait le traire, je ne voulais pas, j’avais terriblement peur de tomber enceinte, mais je ne pouvais pas m’empêcher de le traire, de réclamer son sperme, qu’il se déverse tout au fond de moi…

le salon était presque bruyant de soupirs aigus, comme exaspérés ; les quatre femelles d’à peine 60 ans se reconnaissaient toutes entre elles désormais…

— et quand tes deux amies américaines, renchérit Catherine, ont crié à ton mari et à leurs maris que, ça y était, tu étais pleine. Ça t’a fait quel effet d’entendre parler de toi comme ça, attachée sur un banc public dans un jardin sombre, la culotte arrachée, pleine de sperme, enceinte?

— Je crois, je crois… Isabelle hésitait à répondre, elle tordait exagérément son mamelon, et son autre main tirait sur l’une des lèvres de sa vulve, elle montrait à ses amies son intérieur… je crois que j’ai considéré que c’était normal de m’avoir mis en cloque, je crois que j’ai compris que j’étais faite pour ça, faire sortir le sperme des sexes masculins, des sexes d’hommes…

— termine ton histoire lui réclama Nelly

— oui, j’y viens, son père qui voulait m’éjaculer dessus est arrivé et il s’est mis à cheval sur mes hanches. Il était nu, complètement tunceli escort nu. J’étais toujours attachée sur le banc en ciment rugueux qui m’écorchait les fesses et le dos ; ma tête était toujours tenue par mes amies américaines, ma tête reposait sur l’une de leurs cuisses. Le corps de cet homme était comme un cep de vigne, très nerveux, avec de nombreux muscles sans un soupçon de graisse. Il était complètement nu et son sexe n’était pas très long mais il était gros et il bougeait tout seul de bas en haut comme au rythme de son cœur. Le regard de l’homme était comme celui d’un dégénéré, il rigolait en silence.

Il a réclamé et obtenu qu’une de mes amies américaines lui tienne la queue sans bouger devant mon buste, laquelle américaine a tendu la main et tenu le sexe avec deux doigts enroulés à la base de sa queue, elle était subjuguée, dégoûtée. Cet homme, comme son fils, voulait jouir immobile. Il voulait que ça sorte tout seul… L’autre américaine qui me tenait affectueusement la tête sur sa cuisse s’est penchée à mon oreille : je vais te dépoitrailler le plus possible pour ne pas qu’il tâche ta robe de gala Isabelle d’accord? Oui d’accord répondis-je affolée. Et tandis qu’elle me faisait signe de me soulever légèrement, ce que je fis, elle me dénuda à complètement, j’aidais à ce qu’elle passe mes bras dans les bretelles spaghettis puis reposait à nouveau ma tête sur sa cuisse. Ma robe de soirée n’était plus qu’une ceinture noire rabattue sur mon ventre. Mon autre amie américaine qui tenait le sexe de l’asiatique s’est elle aussi penchée sur moi et me chuchota aussi quelque chose : il n’arrête pas de bouger dans la main, je vais essayer de viser tes mamelles et d’épargner ton visage mais je ne sais pas si je vais y arriver…

je lui fis un battement de cils pour signifier que je l’avais comprise, en même temps je posais doucement mes mains sur celle de l’américaine qui me tenait les cheveux, nous étions comme trois complices du moins l’espérais-je, trois complices devant l’inévitable éjaculation à venir. Mon amie américaine qui était devant moi et qui tenait le sexe de l’asiatique fatiguait, elle changea de main et le tint par en dessous en le décalotant. Peu à peu la queue de l’homme se mit à suinter de plus en uşak escort plus, ça sortait du trou de son gland, coulait sur les doigts de mon amie américaine, sur son poignet et son avant-bras avant de tomber en gouttes grasses et lourdes sur mon ventre. Toutes les trois nous étions fascinées, cet homme semblait exceptionnel, je m’apercevais qu’il avait de très grosses couilles. Ça allait bientôt sortir, nous le sentions. Mais deux amies américaines se regardaient avec une certaine complicité que je ne comprenais plus tout à fait ; étonnamment je me suis sentie un peu exclue. Je regardais leurs seins pointus qui ballottaient sous leurs robes de soirée quand elles bougeaient.

Tout à coup c’est sorti. Directement sur mon ventre et mes gros seins, des jets puissants blancs glaireux. C’est allé très vite. Mon amie américaine qui tenait la verge a relevé le gland et les jets de sperme sont arrivés dans mon cou ; je me suis débattue je tentais de m’échapper en tournant la tête tous les côtés mais l’amie américaine qui me tenait par les cheveux le visage juste devant le gland de l’asiatique a resserré subitement et fermement sa prise. Je n’ai pas cherché à lui retirer les mains. Mes mains étaient toujours posées sur les siennes doucement… mon visage était souillé, j’en avais sur les joues, sur le nez, sur le front et dans les cheveux. Celle qui me tenait les cheveux justement s’est exclamée dégoûtée: ah j’en ai un peu sur le bras ; et disant, elle s’est essuyée sur mon épaule.

— Et tu n’as rien dit demandas Nelly.

— Non je ne crois pas répondit Isabelle.

— Et comment ça s’est terminé demanda Annie.

— Je me souviens que mes deux amies américaines m’ont donné chacune leurs petits mouchoirs avec lesquels je me suis essuyé du mieux que j’ai pu, mais je me souviens aussi que ça ne suffisait pas, il en restait beaucoup sur moi… nos maris sont partis devant nous d’un pas pressé, les asiatiques se sont évaporés dans la nuit et j’ai été tenue par les bras par mes deux amies américaines qui m’ont amené avec elles jusqu’à la soirée de gala. Nous sommes arrivées en retard, beaucoup de regards convergeaient sur moi, je voulais m’enfuir, me cacher, mais je n’étais pas assez forte. Je savais que j’avais encore des traces de sperme dans les cheveux et sûrement aussi sur ma robe de soirée ; je savais que mes seins proéminents, torturés, gonflés tremblaient comme de la gelée sous ma robe tachée. J’étais pleine de sperme à l’intérieur, je m’étais fait engrossée devant tout le monde et j’en avais sur moi aussi….

à suivre….

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