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Prise Sauvagement Par Surprise

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Blowjob

Voici une histoire qui narre des événements qui me sont arrivés, évidemment légèrement modifiés pour exalter votre plaisir… Et le mien.

C’était une soirée d’automne. Je me rappelle être particulièrement allègre ce jour là car mes études dans le monde du livre se terminaient sous de belles augures, mes notes étaient bonnes et surtout j’aimais ce que je faisais.

Je ne sort pas souvent mais ce soir, Elisa, l’une de mes amies étudiantes m’a persuadée de l’accompagner boire un verre dans un petit bar pour fêter la fin des partiels.

Pour une fois, sans doute grâce à mon humeur du moment j’acceptai sans hésiter.

Le bar était plutôt exiguë, lumière tamisée, peu d’ambiance mais les prix étaient particulièrement attractifs à cette heure (fin de soirée).

Ma tenue était habituelle, je m’habille souvent de la même façon en automne. Je portai des petites ballerines noires et bien sûr des collants noirs translucides à élastiques sans motifs car cela met en valeur mes jambes, fines et longues malgré ma taille moyenne d’un mètre soixante-trois.

Une jupe noire terminée par un volant en dentelle m’arrivait au dessus des genoux. J’avais un top bleu foncé moulant qui j’imagine me va plutôt bien sans doute grâce à la séance de fitness que je fait une fois par semaine depuis quelques année. Cela me permet d’exhiber une taille bien dessinée, un ventre bien plat en accord avec ma petite carrure, du moins je l’espère… De plus cela dévoile juste suffisamment ma poitrine (90 C), sans trop en montrer!

Au dessus de mon top je porte une légère veste grise compte tenu du climat doux. Mes cheveux sont raides et noirs. J’ai les yeux bleus et un petit nez aquilain.

Nous pérorons au comptoir avec Elisa, tout en buvant une peinte de bière. Je n’ai pas l’habitude de l’alcool et cette quantité suffit à m’égailler ce qui ne veut pas dire que je sois ivre!

A ce moment un jeune homme arrive. Brun à lunette, le type un peu geek et s’assied à côté d’Elisa. Je suis soulagée car je n’aime pas être abordée.

Il nous salue simplement en faisait un léger sourie qu’Elisa lui renvoie. Son portable sonne. Elisa doit s’en aller, elle me fait la bise et quitte le bar rapidement, me laissant pantoise.

J’attrape également ma veste, prête à partir.

“Attendez, je vous ai commandé un cocktail.

— Comment ça?

— Et bien à cette heure là pour un cocktail acheté le deuxième est offert, vous kuşadası escort n’allez pas me laisser me soûler quand même?”

En temps normal je serais certainement déjà partie mais ce type de garçon m’attire. Pas vraiment sûr de lui, il essaye maladroitement de cacher sa légère timidité.

Je décide de rester et l’aider à boire son deuxième cocktail. Je suis séduite, je crois. Nous sortons et faisons quelques pas dans la rue.

Je ne sais pas trop comment mais je décide de l’inviter chez moi, prendre un café. J’ai peu d’expérience avec les hommes car moi aussi je suis assez timide et la plus part des garçons ne m’attirent avec leurs techniques de drague bien rodées et expérimentées sur des dizaines de proies.

Nous prenons l’ascenseur. Nous nous regardons en échangeant des sourires. Séduisant, c’est le mot. Il s’approche de moi et m’embrase à pleine bouche.

Je lui rend son baisé. Mais que m’arrive-t-il? Je ne me reconnaît plus. Peu importe, c’est agréable. Il me glisse sa main derrière mes fesses et commence à les caresser puis passe sa main sous ma jupe et se montre plus entreprenant quand les portes s’ouvrent.

Nous nous séparons pour rejoindre mon studio, j’ouvre la porte qui donne sur la pièce principale, qui fait office de chambre et de bureau.

Elle est composée d’un lit mezzanine, d’un bureau et immédiatement quand on rentre d’une petite table ronde en bois contre le mur.

J’entre en première, enlève ma veste et la dépose sur le porte-manteau à ma gauche, je fais un pas et entend la prote claquer. Sans mot dire, le garçon me pousse sur la petite table ronde. Je lâche mon sac à main et me retrouve à plat ventre dessus. Qu’est-ce qu’il lui prend? Moi qui le prenait pour le type galant… Je suis plutôt surprise mais amusée.

A peine ai-je le temps de réaliser ce qu’il se passe que je sens ma jupe se soulever et entend le bruit métallique d’une ceinture qu’on enlève.

Une voix roque que je ne lui connaissait pas grogne : “J’ai vraiment trop envie ma belle, impossible d’attendre”. Aplatie sur ma table, je suis toujours gaie. Je crois que le cocktail y est pour quelque chose mais diable, pourquoi pas, pour une fois, se laisser tenter?

J’essaye de me retourner pour l’embrasser et lui signifier que moi aussi, j’ai “envie”. Il faut dire que ça fait 3 ans que je n’ai pas fait l’amour, ayant tout donné pour mes études.

Cependant, kocaeli escort impossible de se retourner. Le garçon exerce une pression sur mes reins avec ces mains ce qui me maintiens sur la table. Pas très confortable…

Il essaye d’enlever mon top et n’y parvient pas, commence à tirer dessus.

“Tu vas l’étirer! Laisse moi t’aider!” Et laborieusement, mon top est retiré et jeté contre la fenêtre face à la table, s’écroule au sol et gît comme un tas de chiffons.

Il passe une main sous le bonnet gauche de mon soutien gorge noir uni et palpe mon sein. Cela ne dure qu’une seconde et laissant un sein en dehors du soutiens gorge, l’autre au dedans, sans chercher même à me débarrasser de mon soutien gorge, il s’attaque à mon shorty bleu marine. Il le tire avec force, je l’entend craquer puis il le baisse et je le laisse tomber à mes pieds. Je crois qu’il est bon à jeter.

Sans avoir le temps d’y réfléchir ou même de pouvoir lui demander d’être doux étant donné son hardeur, je sens mes lèvres s’écarter brutalement et immédiatement après mon vagin est rempli de son sexe.

“Haaaa!!” Un cri m’échappe et j’essaye de le ravaler immédiatement, connaissant le voisin, un vieil abruti cinquantenaire, qui me reluque lorsque je le croise et me sort des sotises auxquelles je me force à rire.

Il me pénètre sauvagement, brutalement même, avec un rythme soutenu, trop rapide, sans doute.

Mes hanches sont empoignées par ce garçon décidément pas si doux qu’il en a l’air, ses coups de butoir me propulsent en avant et arrière cognant mes hanches contre le bord de la table au grés de ses fantaisies.

Mon vagin est clairement humide et de la cyprine commence à dégouliner sur la moquette. Mince ma moquette! Il va falloir tout laver…

Je rassemble mes forces pour parvenir à articuler quelques mots tout en essayant de ne pas pousser trop de gémissements.

“Doucement… S’il-te-plait… Le voisin est là…”

Pour seule réponse j’ai des râles, des grognements. Ne jamais se fier aux apparences! Moi qui l’imaginais fleur bleue… Finalement, mon plaisir est immense et je me rend compte à quel point j’aime sa façon de me prendre. Pourtant je rassemble mes pensées…

“As-tu mis un préservatif?!

— Ne t’inquiète pas, je te prends dans les règle de l’art.” Et les grognements reprennent. On va prendre ça pour un oui…

“Ralenti, t’es possédé ou quoi?

konya escort Ta gueule, c’est toi que je possède, petite chienne”. On ne m’a jamais traité ainsi, malgré le plaisir, si notre relation dure, ce que j’espère, il faudra qu’il apprenne à se calmer le garçon!

Je crois que la moquette est inondée, mes hanches rougies, mes seins aplatis contre cette foutue table, je n’arrive plus à retenir mes gémissements, cet énergumène ne ralenti toujours pas, m’enfourche jusqu’à la garde en m’écrasant contre la table, et pourtant je n’ai jamais rien vécu d’aussi bon, je crois qu’un orgasme est en passe de me foudroyer.

Tout à coup, une douleur aiguë l’envahie, me force à empoigner la table et à pousser un cri. Que se passe-t’il? Les coups de butoirs ont cessés.

Soudain je comprends, mon dieu! Il m’a pénétrée par le mauvais trou!

“Haaaaaaa! Mon dieu, mauvais trou! Dégage!” Je crie, sans penser au voisin.

Mais il ne se retire pas. J’essaye de me redresser mais il pose sa main sur ma tête et me force à rester à plat ventre, sans ménagement.

“Désolé, mais c’est de ta faute, tu es une fontaine.” Et sur ce, il retire son sexe de mon anus de quelques centimètres, et le pénètre à nouveau. Les larmes me viennent. La douleur est

trop forte.

“Arrête! Arrête! Retire toi!” Rien n’y fait, il continue sa pénétration et l’accélère même.

“Connard! Salop!” J’ai beau l’insulter de tout les noms, il continue. Mais la douleur s’atténue au fur et à mesure des allers-venues, heureusement.

Je me sens possédée, compressée contre cette table, sodomisée par surprise, chose que je n’avais bien sûr jamais expérimentée. Je ne suis même pas encore déshabillée. J’ai toujours mes collants, ma jupe et mon soutien-gorge. Mes seins sortis de son bonnet balotte au rythme donné par mon brutal partenaire. Et je crois que j’apprécie toujours autant ce qui est en train de se passer.

Je ne lutte plus. Je vois des étoiles, non pas à cause de la douleur cette fois, mais grâce au plaisir. L’orgasme promis tout à l’heure vient enfin. La moquette est trempée, le voisin à tout entendu, tant pis!

Les râles du garçon se font de plus en plus insistant. C’est une vraie bête. Et il se retire de mon petit trou, souillé. Il a terminé, visiblement.

“Mon dieu c’était vraiment…” Avant que je puisse terminer ma phrase j’entends la porte s’ouvrir et se fermer. Parti! Ce salopard se tire comme ça, et me laisse gisant sur la table, haletante de plaisir, les lèvres dégoulinantes de cyprine et soudain je le réalise, l’anus dégoulinant de sperme!

Ma vie sexuelle sera bouleversée par cet événement et je n’aurai qu’une hâte : retrouver le plaisir d’être prise aussi sauvagement.

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Les malheurs de Florence 06

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Big Dick

A peine arrivé dans l’enceinte du lycée le lundi matin, David fut interpellé par Asma qui l’emmena dans les toilettes des filles.

Blandine et Clémence, les filles chéries de la directrice étaient toutes les deux à quatre pattes en train de se faire baiser par des élèves du lycée.

– Je gagne un max de fric, elles sont bien dressées. Lance Asma.

David a du mal à cacher son érection.

Les cris et les gémissements des esclaves d’Asma résonnent dans les toilettes.

La jeune fille tire David par le bras.

– Vient, j’ai autre chose a te montrer.

Ils se dirigèrent vers le bureau de la conseillère principale d’éducation, madame Dumas.

Celle ci était accroupi devant trois élèves suçant leurs bites,sa jupe en cuir remonté sur ses cuisses devoilent les bas auto-fixants. Ses seins sont malaxés par des mains avides.

A coté d’elle debout sur des talons aiguilles, la directrice du lycée, madame Gautier, la jupe tirebouchonnée autour de la taille se fait ramoner par la queue d’un black pendant qu’elle en suce un autre.

David reste interloqué. Il n’aurait jamais imaginé que madame Gautier se transformerait aussi vite en pute.

Comme si Asma lisait dans ces pensées, elle lui fourni une explication.

– On a été chercher la CPE chez elle et on a débarqué à quinze chez la dirlo. La CPE n’est pas mariée et la dirlo est divorcée. On a été tranquille tout le week-end pour un dressage express, tiens regarde.

Comme a son habitude ,Asma a fait une vidéo.

On y voit madame Gautier et ses filles baisées comme des chiennes dans toutes les pièces de la maison ou elles habitent par une horde de jeunes les faisant hurler de plaisirs aussi bien la mère que ses filles.

La scène ou Madame Gautier dut lécher la chatte de ses filles et vice et versa excita au plus haut point David.

Madame Dumas elle est filmer en gros plan en train de se faire défoncer par Fatou avec son gode-ceinture pendant qu’elle suce des bites à la chaine.

– A la fin , elles en redemandaient. Ricana Asma.

La sonnerie retentit alors que les jeunes se vidaient sur le visage de leur directrice et de leur CPE.

A la pause de midi, Asma vint de nouveau chercher David et le conduisit dans le bureau de la directrice cette fois.

Madame Gautier léchait la fente de Fatou qui lui appuyait sur la tête en la traitant de sale pute. Madame Dumas, elle, s’enfonçait un gode dans sa chatte en gémissant et en regardant la directrice se faire humilier.

Asma sortit le sexe bien dur de son prof.

– Allez chien, tu sais ce qu’il faut que tu fasses.

Humilié, David se masturbe en regardant la directrice et la CPE en train de se brouter le minou.

Fatou enfonce son index et son majeur dans la fente de madame Gautier, allongée par terre pendant qu’elle doit lécher sa subordonnée accroupie sur kahramanmaraş escort elle.

Les deux femmes ne tardèrent pas à jouir en poussant des hurlements.

David éjacula en criant sur la moquette du bureau de la directrice.

Le soir venu, David se rendit chez sa mère.

Florence l’acceuillit vetu de sa robe en latex achetée dans le sex-shop. avec des talons aiguilles rouges. Les seins a l’air sont déjà rouge d’avoir été trituré par Rachid et Moktar. Qui reprenne leur manège devant le fils.

Faisant vite gémir Florence.

Cécile arriva dans le salon. Vétue d’une minijupe en cuir avec un zip sur le devant. Ses jambes sont gainées de bas résilles avec des talons aiguilles au talons en acier.

Ils se dirigent tous vers la Mercedes. David au volant, Florence et Cécile a l’arrière tripotées et doigtées par Brahim et Rachid.

La Mercedes démarre sans que quiconque ne réalise que monsieur Duval-Cochet arrivait à ce moment, son séjour a l’étranger ayant été annulé.

Interloqué, il regarde son épouse habillée comme une pute accompagnée de son fils et sa copine monter dans leur Mercedes avec des inconnus et partir avec eux.

Intrigué, il décide de les suivres…..

la Mercedes se gara devant une barre d’immeuble de la cité.

Florence et Cécile en sortirent aussitôt entourés par des jeunes du quartier.

Les seins de Florence étant accéssibles a tous, ils sont vites malaxés.

– C’est ca les salopes que tu nous avais promis? Demande l’un deux en farfouillant sous la jupe de Cécile.

– Oui, les autres sont la?

– Ouai, elles sont déjà au travail.

Ils se dirigent tous vers les caves de l’immeuble.

Des cris et des gémissments entrecoupés de supplications acceuillent Florence et Cécile.

David découvre la directrice madame Gautier habillée d’une combinaison en résille ouverte au niveau de la chatte se débattre avec Fatou et Asma. Les joues rouges, décoiffée, elle halete en gémissant. Fatou fait coulisser un gode dans sa chatte.

Plus loin, ses filles, Blandine et Clémence, en équilibre sur des talons aiguilles, une jupe ultra courte ne dissimulant rien du tout, pompent des bites à la chaine.

Madame Dumas, seins à l’air, se fait mettre des claques puissantes sur les fesses par Aya, la mère de Fatou et Asma.

Florence est contrainte de doigter Cécile pendant que celle-ci fait de même avec sa belle-mère. Les deux femmes gémissent sans retenue pendant que, de son autre main, Florence doit masturber son propre fils.

Rachid filme toute la scène.

Philippe Duval-Cochet descendit silencieusement les escaliers qui menaient à la cave. Il entend des cris de femmes, des gémissements et des rires et des insultes.

Il s’approche encore et découvre l’horreur.

Pleines de perversions, Fatou kastamonu escort et Asma ont eut un idée.

Gautier et Dumas sont assises sur un canapé en très mauvais état et avec des taches plus que suspectes qui trône au milieu de la cave.

Les jambes bien relevées, elles gémissent sous les coup de langues de leurs filles respectivent qui leur mordillent le clitoris.

David se fait pomper par sa mère et sa copine qui se disputent le droit de le suçer. Florence lui lèche le gland salivant dessus pendant que Cécile lui léche les couilles.

Rachid et Brahim se positionnent derrière Clémence et Blandine occupées a bouffer la chattes de leurs mamans et les pénétrent les faisant vite gémir.

Leurs mères ne tardent pas à jouir comme des folles en hurlant.

David éjacula un torrent de sperme sur le visage de sa mère.

Rachid et Brahim défoncèrent encore Blandine et Clémence les pilonnant violemment et ils jouirent sur leurs culs.

Philippe assistant a cette scène d’une perversité sans nom se caresse la bite a travers son pantalon attendant la suite….

Florence se retrouve accroupie devant plusieurs jeunes.

Elle suçe une bite pendant qu’elle en branlent deux autres de ses mains manucurées. Les commentaires salaces pleuvent.

– Quelle salope!!

– Elle suce comme une pute….

Madame Duval-Cochet devant son fils, mais aussi devant son mari toujours caché, continue de pomper le jeune qui enfonce sa bite jusqu’au fond de sa gorge la faisant hoqueter.

Cécile se fait pelotter les seins et branler par Fatou, Asma et Aya. Elle halete violemment pendant que les doigts s’agittent dans sa chatte et sur son clitoris.

Les jeunes éjaculent sur le visage de Florence la remaquillant de foutre.

Youssouf et Moktar déchainés font crier la directrice et la CPE à quatre pattes, échevelées, haletantes pendant que leurs filles se font prendre en double.

Les deux jeunes filles sont empalées sur les bites de deux noirs pendant que deux arabes les pilonnent sans ménagements.

Madame Gautier et madame Dumas se font goder par leurs propres filles. Blandine et Clémence font coulisser un gode que leur a donné Fatou.

Les deux femmes allongées sur le sol de la cave bafouille des mots sans suite en ondulant du bassin. Jouissant sans retenue.

Cécile et Florence sont au prise avec Asma et Aya.

Toutes deux ont enfilé un gode-ceinture et elles pilonnent leurs deux victimes les faisant hurler. Debouts sur leurs talons aiguilles, les deux bourgeoises, les seins ballotants dans tous les sens, halétent et gémissent.

Issa, le père de Fatou et Asma débarqua soudain avec des potes à lui , les pères des jeunes qui étaient déja dans la cave.

Ils se ruèrent sur Florence au grand désespoir de David.

Sa maman se retrouve kayseri escort à genoux pompant trois bites en même temps. L’épaisseur des bites lui deformes la machoire.

Cécile poussée dans le canapé se fait défoncer par Youssouf.

Madame Gautier et madame Dumas debouts, hurlent sous les coups de pines de deux blacks qui les encules. Blandine et Clémence se font bouffer la chatte par Asma et Fatou tout en suçant des bites.

Plusieurs jeunes crachèrent leurs foutres sur le visage de Florence pendant que celle ci se faisait enculer par Moktar.

David dut s’approcher de sa mère haletante sous les nombreux orgasmes qu’elle a eu. A grands renforts de claques sur le cul pour qu’il obéisse, il pointe son gland sur l’ouverture des reins de sa maman qui frémit et tourne la tête en voulant protester. David encula sa mère la faisant hurler.

Il la prend aux hanches et se met à la pilonner comme un fou. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Florence ouvre la bouche, elle halète, gémit en se pinçant les seins.

Brahim tout en filmant lui pinça le clitoris et madame Duval-Cochet hurla sa jouissance.

Témoin de toute cette déchéance, Philippe se branle de la main droite en poussant de petits gémissements.

Il éjacula par terre quand il vit son fils enculer sa femme.

Il partit précipitemment ne voulant pas en voir plus.

L’orgie se termina rapidement.

Tous ces jeunes aux couilles pleines éjaculèrent leurs foutres sur les visages de Florence, Cécile, Blandine, Clémence et leurs mères.

Méconnaissables, recouverts de spermes, extenuées, elles cuvent leurs orgasmes sur le sol de la cave…..

Evidemment, tout cela ne pouvait rester sans conséquence.

Philippe demanda le divorce. La rumeur de vidéos circulant sous le manteau dans l’enceinte du lycée remonta jusqu’à l’inspection d’acadmie.

David, madame Gautier et madame Dumas furent renvoyés de l’Education nationale.

Sans travail, sans logement, le pavillon appartenait à son père et celui ci ne voulait plus le voir, David et sa mère se voyait déjà mendier dans les rues de Nantes.

Ce furent Brahim et Fatou qui trouvèrent la solution…..

Fatou grogna et se retourna dans son lit. Pestant contre le bruit qui venait du salon. Folle de rage, elle se leva et ouvrit la porte de sa chambre.

– Oh je dors moi!!

Mais les cris continus.

Elle avança dans le salon.

Florence, à quatre pattes, hurle sous les coups de pines d’Issa. A coté d’elle, Cécile est empalée sur le gode-ceinture d’Aya. Elle monte et descend faisant bouger ses seins.

David est devant eux,voyeur comme d’habitude, branlé par Asma.

Il est résigné maintenant. Lui, sa mère et sa copine sont devenus les esclaves sexuelles de toute la famille de Fatou.

Madame Gautier et madame Dumas sont les putes de Brahim et sa famille. Il n’est pas rare qu’ils se retrouvent tous dans les caves pour ramener un peu de frics à la maison.

Blandine et Clémence sont les pute de Youssouf et Moktar et leurs familles. Elles sont souvent emmenées dans d’autes cités pour être louer à d’auttres jeunes. Parfois leurs mères les rejoignent….

FIN

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La nouvelle vie de Christine Ch. 20

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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

Je reçus un nouvel appel de Nelson GOBERT le mercredi après-midi. Il semblait très excité :

– Le directeur a vu la vidéo. Il appelle Christine pour la convoquer ce soir à l’école. Bien sûr, je lui ai parlé de vous et de la situation.

– Et les autres enseignants? demandai-je.

– J’ai d’abord montré le film au directeur qui souhaitait un peu de temps seul avec elle. Je donnerai le film aux autres quand nous terminerons ce soir et peut-être seront-ils convaincus demain.

– D’accord. Dis-je en raccrochant.

Durant la journée, je ne vis pas Christine prendre d’appels téléphoniques. Mais à 16h55, elle m’appela pour me dire que le directeur de l’école voulait la voir ce soir à 19 heures. Inquiète, elle me demanda :

– Pensez-vous qu’il veuille parler de ce qui s’est passé vendredi soir.?

– Non ne t’inquiète pas salope. Répondis-je en raccrochant et attendant qu’elle descende de son bureau.

Sur le chemin du retour, je lui demandai pourquoi le directeur voulait la voir et elle me dit que c’était pour sa fille Alice. Je savais très bien que Nelson en était la cause et que nous avions convenu qu’Alice serait l’excuse

Alors que nous arrivâmes à la maison, ma belle-mère dit :

– Je n’ai pas envie d’aller à cette réunion ce soir.

Tout en entrant dans la maison, je rétorquai :

– Tu es obligée d’y aller. Toi ou ta fille pourriez avoir des ennuis si tu ne réponds pas à une convocation.

– Oui je sais. Dit-elle à contrecœur.

Christine se vêtit d’un pantalon et d’un chemisier strict sur un soutien-gorge classique. Le directeur ne lui avait rien demandé au sujet de ses habits. Il ne voulait pas l’alerter sur les principales motivations de la convocation.

Nous nous arrêtâmes sur le parking visiteur de l’école et entrâmes à l’intérieur. Nous restâmes quelques minutes à la réception puis nous entendîmes une porte s’ouvrir dans le couloir qui mène à la salle des profs et le bureau du directeur. Un homme assez grand arriva et se dirigea vers nous avec un grand sourire sur le visage. Il me tendit la main et me fit un clin d’œil :

– Bonjour, je suis Claude RINCLOT, directeur de cette école. Et vous êtes?

– Je suis le gendre de Christine. Je suis ici pour la soutenir moralement. Dis-je en souriant.

Il regarda de bas en haut ma belle-mère puis dit :

– Christine, nous nous sommes déjà souvent rencontrés n’est-ce pas?

Je sentis ma soumise mal à l’aise. Le directeur continua :

– Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau.

Il tourna les talons et partit dans le couloir, suivi de Christine puis de moi. Nous le suivîmes dans son bureau qui était assez petit. Il avait disposé de chaque côté de son fauteuil en cuir deux sièges. Dans le coin, était disposée une table avec un téléviseur et un lecteur DVD. Il nous fit signe de nous asseoir. Il dit :

– Maintenant, je ne vais pas tourner autour du pot ou je le ferai un peu plus tard. Je vais donc passer à autre chose.

Il prit la télécommande du téléviseur sur son bureau et appuya sur un bouton en la braquant sur l’écran. La pièce fut bientôt emplie par des gémissements. A la télé, nous pûmes voir la scène de baise entre Nelson et Christine.

Le visage de celle-ci se décomposa quand elle comprit pourquoi elle était là encore ce soir. Elle se tourna vers le directeur qui avait les yeux rivés sur elle et qui dit :

– Maintenant Christine, je pense que vous serez d’accord avec moi. Ce genre de comportement est totalement inacceptable avec l’un des professeurs de votre fille. N’est-ce pas?

– Oui, je suis d’accord, mais….

Elle commença à se justifier devant le directeur mais celui-ci l’arrêta en levant la main :

– Il n’y a pas de Mais Christine. En tant que directeur de cette école, je ne peux pas tolérer un tel comportement dégradant des parents envers mon personnel… sauf si j’en profite aussi.

Un grand sourire se répandit sur son visage tandis qu’il continua :

– Comprenez-vous ce que je veux dire Christine? Vous n’êtes pas assez stupide pour ne pas comprendre que vous faites du bon travail. Dit-il en la regardant fixement alors que les sons de son orgasme sur la bite de Nelson remplissaient le bureau.

Bien sûr, à l’école, il était connu que Christine avait une bonne position dans son entreprise et qu’elle gagnait beaucoup d’argent. C’est ce que les gens pensaient, ne connaissant pas sa nouvelle promotion.

– Je suis ce que vous pensez Monsieur RINCLOT. Dit Christine en le regardant puis en se tournant vers moi sachant très bien que j’autoriserai le directeur à la baiser.

– Ça ne sert à rien de regarder ton ami. D’après ce que Nelson m’a dit, ton gendre est devenu ton maître Non?

Il profita de pouvoir poser des questions embarrassantes à ma belle-mère qui répondit :

eskişehir escort Oui c’est vrai.

– Et que dit Alain? Je suppose qu’il ne sait pas.

– Non, il ne sait pas. Confirma-t-elle.

De mon côté j’ajoutai :

– Pas encore non….

Ils se tournèrent tous les deux vers moi. Christine était nerveuse et le directeur se réjouissait du contrôle que j’avais sur ma belle-mère et de l’embarras de celle-ci à remettre en question ma menace de dire à son mari ce qu’elle était devenue.

Le directeur reprit :

– Donc Christine, si vous savez ce que vous êtes et si vous comprenez pourquoi vous êtes là, je vous suggère d’enlever vos vêtements un par un et de les empiler sur mon bureau.

Ma belle-mère était maintenant bien dressée. Elle avait été si souvent dans cette situation qu’elle comprit qu’elle n’y échapperait pas. Elle se leva en poussant sa chaise et avança au milieu du bureau. Je bougeai légèrement ma chaise afin de mieux voir son strip-tease humiliant.

Elle commença par son chemisier strict qu’elle déboutonna et enleva. Quand elle apparut en soutien-gorge, Claude lui dit qu’elle avait des seins fantastiques puis il lui demanda de continuer. Elle défit le bouton de son pantalon et descendit la fermeture éclair de la braguette laissant apparaître un peu de dentelle de la culotte. Elle se pencha pour déboucler ses chaussures. Ensuite elle laissa son pantalon tomber sur ses chevilles. Elle se pencha de nouveau pour le récupérer sur le sol et elle le plaça sur le bureau avec son chemisier. Sa petite culotte était en dentelle noire avec des petits nœuds rouges sur les bords.

– Tournez-vous. Demanda Claude.

Elle obéit, montrant son beau petit cul recouvert de dentelle noire.

– Remettez vos talons. Ordonna de nouveau le directeur.

Elle remit ses chaussures, et se mit en attente dos au bureau. Claude prit un moment à l’admirer puis il dit en souriant :

– Magnifique. Enlevez votre soutien-gorge.

Les yeux baissés, elle mit les mains dans le dos pour faire sauter le fermoir. Son soutien-gorge tomba légèrement avant qu’elle le saisisse. Elle se retourna et le déposa délicatement sur le bureau du directeur. Celui-ci put regarder ses gros seins avec les grandes auréoles autour de ses mamelons pointus. Il attrapa le soutien-gorge, le frotta entre ses doigts et trouva l’étiquette qu’il lut :

– 95 D!!!

Il cria presque en regardant ma belle-mère et en lui lançant un sourire lubrique. Il reposa le soutien-gorge et demanda :

– Maintenant voici le final, Enlevez le bas!

Christine attrapa l’élastique de sa culotte et commença à la baisser quand Claude l’arrêta :

– Demi-tour et penchez-vous!

Elle se retourna et recommença à baisser sa culotte tout en se baissant. On put voir tout d’abord son petit trou du cul, puis les plis de sa chatte bien rasée. Elle descendit le sous-vêtement jusqu’aux chevilles.

– Ne bougez plus! Demanda le directeur en regardant le cul et le sexe déjà humide de ma belle-mère.

Puis après quelques secondes, il ordonna :

– Apportez-moi votre culotte Christine.

Elle dégagea sa culotte de ses chevilles et se dirigea vers le directeur, la tête baissée et les yeux rivés sur sa mince bande de poils pubiens. Elle arriva près le bureau. Claude tourna sa chaise sur le côté pour lui montrer qu’elle devait lui amener au plus près. Elle fit le tour pour se placer juste devant lui puis elle lui tendit sa culotte. Il la prit et la posa sur son nez pour humer l’odeur de ma belle-mère. Il sourit et mit la culotte dans un tiroir de son bureau.

– Vous sentez bon Christine.

Il lui dit d’ouvrir les jambes puis lui fit signe avec son doigt d’avancer tout près de lui. Une fois qu’elle fut positionnée, il tendit sa main droite pour la gifler à l’intérieur de la cuisse droite juste en dessous de sa chatte. Instantanément, elle écarta les jambes. La main droite du directeur se posa sur son sexe et il glissa deux doigts en elle.

– Hummmmm. Gémit-elle, incapable de se contrôler.

– Soumise et mouillée, c’est comme ça que j’aime mes putes. Dit-il en la regardant.

Il commença à faire coulisser lentement ses doigts dans son vagin, savourant chaque instant et s’assurant qu’elle sente bien toute la longueur de ses doigts potelés. Il les retira puis les remit à l’intérieur en les poussant au maximum.

Christine avait fermé ses yeux. Soit parce qu’elle ne voulait plus voir le regard vicieux du directeur, soit elle ne voulait pas voir son visage alors qu’elle profitait de ses doigts et qu’elle poussait sa chatte sur sa main, demandant encore plus.

Même si ma belle-mère avait fermé les yeux pour ne pas montrer à Claude qu’elle appréciait ses doigts, celui-ci avait certainement vu le mouvement du bassin. Il lui demanda :

– Vous aimez mes doigts dans votre chatte, n’est-ce pas?

– Hummmmm…ummmm. Gémit-elle tout en avançant de nouveau le bassin sur sa main, signalant ainsi son approbation.

Elle poussa un petit cri quand le pouce du directeur gaziantep escort écarta les lèvres de sa chatte pour localiser son clitoris. Il n’avait pas besoin de réponse, le comportement de la femme l’avait fait.

– Ohhhh! Votre clito est brulant. Dit-il en le frottant.

Il accéléra son mouvement, excitant de plus en plus le clitoris si bien que ma belle-mère jouit violemment en s’abandonnant. Ses jambes se dérobèrent sous elle et le directeur la tint par l’épaule tout en pompant sa chatte et caressant son clitoris, le temps que l’orgasme se termine.

Une fois qu’elle eut repris son calme, il enleva sa main de sa chatte et il lui demanda :

– Tournez-vous, penchez-vous, gardez les jambes écartées et attrapez vos chevilles avec vos mains.

Bien sûr, elle fit ce qu’il dit et une minute plus tard elle était en position. Elle ne résista pas quand le directeur prit de la mouille de sa chatte pour en badigeonner son anus serré. Il recommença une fois puis se pencha pour cracher directement sur son petit trou. Ensuite il trempa son index dans sa chatte pour le lubrifier une fois de plus puis il l’enfonça lentement dans son trou du cul.

– ARGHHHHH.

Christine gémit quand elle sentit qu’il violait avec son doigt son intimité anale. Suivit un gémissement plus profond ainsi qu’un gémissement d’acceptation quand le doigt entra entièrement.

Claude pilonna le passage avec un seul doigt pendant trois ou quatre minutes et je pus voir qu’il coulissait en elle avec une grande facilité. On aurait pu croire qu’il avait lu dans mon esprit car il ajouta un deuxième doigt à côté de l’index. Les deux coulissèrent aussi facilement sans que Christine de fasse de commentaires à l’intrusion supplémentaire. Donc après deux minutes encore, Claude rajoutait un troisième doigt à l’intérieur de son cul.

– Putain! Oh! Merde! Ahhhh!

Ma belle-mère se tortillait sur la main, ses fesses rebondissant alors que le passage s’étirait pour accueillir trois doigts.

Au même moment, le téléphone sonna sur le bureau. Le directeur répondit de sa main gauche inoccupée, trois doigts de l’autre main fermement coincés dans le cul de Christine.

– Ha oui. Je vais venir Nelson. Je suis juste en train d’apprendre à connaitre Christine un peu plus intimement après toutes ces années. Elle se familiarisera avec ma bite lorsque nous vous rejoindrons. A bientôt. Dit-il au téléphone avant de raccrocher.

Je n’ai rien demandé et le directeur n’a pas donné d’autres informations. Il a simplement demandé à Christine de se relever. Puis il se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte en nous demandant de le suivre Ma belle-mère alla récupérer ses vêtements mais quand Claude la vit, il lui dit de les laisser car elle n’en aurait pas besoin.

Après avoir hésité, elle le suivit dans le couloir, complétement nue à part ses hauts talons qui cliquèrent sur le plancher. Je leur emboitai le pas.

Claude nous conduit vers la salle des professeurs. En nous approchant, nous pouvions voir qu’il y avait de la lumière à l’intérieur. Claude ouvrit la porte et nous laissa entrer, d’abord Christine puis moi et il referma la porte. Ma belle-mère se figea sur place et je faillis la bousculer. Je compris lorsque je vis Nelson ainsi que deux autres hommes assis dans des canapés.

Claude se tourna vers Christine et lui dit :

– Ne soyez pas timide Christine, venez voir Daniel et Georges, deux autres enseignants qui voudraient goûter à votre chatte.

Ils se mirent tous à rire. Ma belle-mère se tourna vers moi et me prit la main en me suppliant :

– S’il vous plaît, tous ces hommes enseignent à ma fille Alice.

Sur l’instant, je pensai que j’allais peut-être trop loin dans la soumission et l’humiliation à laquelle je la soumettais. Elle me serait peut-être reconnaissante si je la ramenais à la maison. Je réfléchis un moment, puis je retirai sa main de la mienne et je la retournai en face des quatre hommes qui attendaient. Lentement, elle avança vers les hommes assis.

– Stop! Dit Claude lorsque qu’elle fut au milieu des canapés, deux hommes de chaque côté.

Sur sa droite, étaient Claude et Nelson qui l’avaient déjà doigtée et baisée. A sa gauche se tenaient les deux autres hommes dont je ne connaissais que le prénom et qu’ils étaient enseignants. Je m’installai dans un fauteuil afin d’assister au prochain spectacle.

Les deux hommes étaient beaucoup plus jeunes que Claude ou Nelson. Ils devaient avoir la trentaine, étaient en forme et bien musclés. Je pensai qu’ils étaient en mesure de baiser ma belle-mère rudement.

– Christine, ne soyez pas impolie, dites bonjour à Daniel et Georges. Dit Claude.

Il pointa d’abord son doigt sur l’homme aux cheveux bruns puis sur l’autre au crâne rasé qui devait être Georges.

Christine se tourna vers ces deux hommes tout en essayant de cacher ses seins ainsi que les lèvres de sa chatte. Elle salua les deux enseignants avec un simple bonjour, avant de se détourner complétement gênée et humiliée.

Claude giresun escort lui demanda :

– Allez Christine, vous pouvez faire mieux que ça. Je sais que vous ne les avez pas souvent rencontrés auparavant. Mais vous serez bientôt très familière avec eux, alors ne soyez pas timide et montrez-leur vos superbes seins et votre chatte.

Ma belle-mère rougit et baissa la tête, honteuse d’être ainsi dégradée et humiliée. Puis elle se tourna de nouveau vers Daniel et Georges, les bras ballant sur les côtés et les pieds légèrement écartés afin qu’ils puissent la voir complétement. Et elle dit :

– Je suis désolée d’avoir été grossière. Bonjour, je suis Christine, la mère d’Alice. Je suis heureuse de vous rencontrer.

– Nous sommes heureux de vous rencontrer aussi. Dit Daniel tout en lui faisant un clin d’œil.

Claude reprit :

– Voilà qui est mieux Christine. Maintenant pourquoi ne pas leur demander ce qu’ils pensent de votre corps.

Ce fut une humiliation de plus que de lui faire demander à ces étrangers ce qu’ils pensaient de sa plastique. Mais elle obéit :

– Que pensez-vous de mon corps Messieurs? Est-il bien pour vous?

Elle me jeta un coup d’œil, le visage encore rouge de honte et d’embarras.

– Pour être honnête, il semble bien pour une femme de votre âge. Mais j’ai besoin de voir de plus près avant de l’affirmer. Déclara Georges en se décalant sur un bord du canapé et en tapotant la place qu’il vient de laisser entre lui et Daniel.

Christine savait ce qu’ils attendaient. Elle se tourna vers Claude et Nelson ricanant et s’assit entre les deux enseignants. Immédiatement les mains de ceux-ci trouvèrent les seins et les mamelons. Ils furent malmenés par ces hommes qu’elle venait juste de rencontrer. Elle ferma les yeux, comme s’il cela suffisait à l’emmener loin de cette situation. Mais Claude lui ôta cette illusion :

– Gardez les yeux ouverts Christine.

Elle les rouvrit lentement puis fixa le directeur et l’homme qui avaient déjà abusé d’elle.

Les mains de Daniel caressèrent sa cuisse droite et montèrent toujours plus haut jusqu’à ce que ses doigts frôlent la région la plus intime de son anatomie. Il n’était plus qu’une question de secondes avant que de nouveaux doigts étrangers se posent sur son sexe.

– Ouvrez vos jambes. Lui dit-il à son oreille.

Christine leva la jambe droite et la posa sur sa jambe à lui. Sa chatte trempée par son orgasme sur les doigts de Claude était maintenant ouverte et accessibles aux deux jeunes enseignants. Leurs mains descendirent sur son sexe en même temps.

Les doigts de Georges trouvèrent en premier son trou. Il y entra facilement trois doigts tandis que Daniel écarta ses lèvres pour découvrir son clitoris encore sensible du jeu du pouce à Claude. Quand Daniel le pinça, elle eut un petit cri. Il le roula entre ses doigts pendant quelques secondes. Puis quand Georges retira se doigts, il en introduit trois des siens pour la baiser avec.

– Elle a mon approbation. Dit Georges en regardant Nelson et en s’amusant avec le clitoris de ma belle-mère.

– Qu’en pensez-vous Daniel? demanda Nelson.

– C’est très bien pour moi. Répondit-il en souriant.

Claude s’installa confortablement dans le canapé, les pieds posés sur le sol, ses genoux bien écartés. Je sus de suite ce qu’il allait arriver.

– Que diriez-vous de me rejoindre Christine et de vous familiariser avec ma bite? Dit Claude tout en montrant sa bosse dans son pantalon.

Ma belle-mère se leva, et après que son cul soit claqué par Daniel et Georges, elle se dirigea vers le directeur pour se mettre à genoux entre ses jambes. Elle défit son pantalon et alla pêcher sa bite à l’intérieur. Elle en sortit une grosse queue raide de 18 centimètres environ assez épaisse. Christine commença à le masturber.

Nelson prit l’initiative lui-même de sortir son membre et baisser son pantalon sur ses chevilles :

– Venez Christine. Je vous ai déjà vu vous débrouillez avec deux bites à la fois. Attrapez donc la mienne. Dit-il en secouant sa verge.

Claude déplaça ses jambes de façon qu’elle soit maintenant à genoux entre les deux, sa main droite sur la tige de Claude et sa main gauche attrapant celle de Nelson.

Du liquide pré-éjaculatoire sortait du gland de Claude si bien que chaque fois qu’elle glissait sa main sur le membre et le gland, elle étalait ce jus et lubrifiait la bite.

– Sortez vos bites messieurs, elle va vous rejoindre dans une minute. Déclara Claude.

Il attendit qu’ils aient libéré leurs membres puis il dit à ma belle-mère d’aller leur faire la même chose qu’à eux.

Elle se tourna et se dirigea vers les deux hommes plus jeunes. Elle se mit à genoux entre eux, tendit les mains et saisit les deux bites. Elle replia leurs prépuces et commença à les masturber en rythme. Daniel avait la plus longue queue des quatre, pas loin de 22 centimètres Tandis que Georges avait la plus petite aussi bien en longueur qu’en épaisseur, mais étant plus jeune elle paraissait solide.

Après cinq minutes, Claude dit à ma belle-mère de revenir vers lui et de se remettre à genoux dans la même position que précédemment. Mais pendant qu’elle masturberait Nelson elle devrait sucer sa bite. Donc, Christine tendit une main et saisit la bite de Nelson puis elle se pencha, ouvrit la bouche et engouffra la queue du directeur.

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Le Club – Partie 28

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Amateur

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret hatay escort pour abuser d’elles à chaque fois qu’il le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, Marine Ospins, assistante sociale, 24 ans, et Savannah Elliott, 26 ans, Médecin urgentiste, trois jeunes filles qui ont subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Martina stoppa la voiture devant l’entrée principale de la gare ferroviaire de Fortlud où Sophie attendait sagement suivant les instructions de Ryan. Ce dernier descendit et ouvrit la portière arrière pour lui indiquer de monter. Toujours aussi docile, la jeune fille grimpa sans un mot et l’ancien maître de la « cour des miracles » lui emboita le pas.

La voiture redémarra immédiatement dans un silence qui aurait semblé accablant pour toute autre personne que Ryan mais pour lui il marquait son triomphe. Sophie enleva la veste, dévoilant sa ceinture d’explosifs et la retira après l’avoir désamorcée. Elle la tendit à son maître qui la rangea dans la compartiment sécurisé prévu à cet effet qui accueillait déjà celui de Martina avant de se réinstaller confortablement dans les coussins en cuir de sa voiture.

En animal parfaitement dressé, Sophie se pencha alors vers son entrejambe et défit uns à uns les boutons de la braguette de son pantalon avant de libérer son pénis. Elle commença à le masser doucement avec sa main avant de le prendre en bouche pour entamer une fellation dont elle était désormais une experte.

Ryan s’adossa encore plus dans les coussin afin de profiter du plaisir que lui procurait celle qui était à la fois la fille de son meilleur ami et la nièce de son pire ennemi en se souvenant qu’il lui avait fallu énormément de temps pour obtenir d’elle une telle obéissance.

CHAPITRE 2

Il avait été vraiment difficile de dresser Sophie Olivier en dépit de l’habitude qu’il avait acquise de l’époque où il était le bras droit de son père dans l’organisation du loup.

Quand il l’avait enfermée dans la cave de la « campagnarde », la jeune fille avait tout de suite compris qu’elle avait été piégée et s’était jetée sur la porte en hurlant et jurant. Ryan s’était éloigné sans prêter attention à ce déploiement de colère qu’il savait totalement vain : bien d’autres avaient tenté d’impressionner les geôliers qui œuvraient naguère en ce lieu sans obtenir le moindre résultat.

Il grimpa le grand escalier qui menait à l’étage pour se diriger vers la droite et entrer dans une petite salle munie d’un grand moniteur de contrôle. Il l’alluma et l’image de Sophie s’acharnant sur la porte de la cave apparut alors. Quand il avait inspecté la « campagnarde » lors de son retour à Fortlud, il avait eu la surprise de découvrir que l’ensemble du système installé par le docteur Shu était en parfait état contrastant avec la vétusté du reste de la maison. Ryan retrouvait là la rigueur du vieux médecin asiatique. Celui qui depuis peu avait adopté le sobriquet de l’homme au masque s’assit devant la console de commande et alluma l’immense système. Il sourit cruellement en songeant aux mauvaises surprises qu’il réservait à son « invitée » et appuya sur un bouton.

L’univers de Sophie se transforma alors en un véritable enfer lumineux. Un grand projecteur installé dans le plafond se mit à projeter ses lumières stroboscopiques que les murs blancs réverbéraient avec plus d’intensité encore. Au stress visuel vint s’ajouter un son strident qui obligea la jeune fille à abandonner ses tentatives d’ouvertures de la porte blindée pour se couvrir les oreilles pour une protection bien illusoire. La plaisir de Ryan s’accentua encore en voyant sa victime tituber avant de se blottir dans un coin en position fœtale. Il fit perdurer cette torture pendant presque une heure et elle fut tellement pénible pour Sophie qu’elle finit par pleurer.

Satisfait, Ryan coupa son et lumière. Il laissa quelques secondes à sa victime pour reprendre ses esprits puis quand il vit enfin la tête de la jeune fille émerger de ses genoux, il lui expliqua les nouvelles règles.

Dans la cave de nouveau envahie par l’obscurité, un rai de lumière révéla la présence d’une ığdır escort table d’entrave en bois contre le mur Est. Il fallut quelques instants au regard embué de larmes de Sophie pour comprendre la nature de cet objet si peu banal pour elle.

– Déshabille-toi! Ordonna Ryan dans le micro qui se trouvait devant lui.

Son ordre retentit au travers d’un haut parleur placé lui aussi dans le plafond.

– Déshabille-toi! Répéta-t-il devant l’apathie de Sophie. Et installe-toi sur cette table!

La jeune fille balaya un regard perdu dans toute la pièce pour trouver l’origine de cette voix qui lui lançait des ordres aussi ridicules. Ryan ne fut pas surpris, il savait qu’elle n’était pas encore prête : il ne s’agissait que d’un préliminaire.

– Tu n’auras plus la paix, tant que tu n’auras pas obéi, ajouta-t-il alors avant de la replonger dans un univers de tourment.

Sophie qui avait retrouvé un peu ses esprits se mit à hurler en comprenant que son calvaire reprenait.

Ryan fut cependant surpris par la résistance de Sophie. La jeune étudiante résista à la torture visuelle et auditive pendant plus de trois jours, une performance qui surpassait les plus résistantes des victimes qui l’avait précédée en ce lieu. Il ne put s’empêcher de retrouver dans cette volonté de ne pas céder, la force de son père. Cependant, il savait pertinemment qu’en dépit de son caractère fort, elle menait une bataille perdue d’avance, surtout que désormais, elle devait lutter contre un nouvel ennemi : la faim. Elle n’avait toujours pas mangé depuis le jour où elle s’était retrouvée enfermée dans cette cave et elle avait dut se contenter du minimum vital en eau et ces carences alimentaires commençaient à affaiblir autant son physique que son mental.

Ryan, patient comme le lion guettant une antilope, ne cessait de surveiller le comportement de sa proie qui restait l’essentiel du temps blottie dans un coin les mains posées sur ses oreilles. A temps réguliers, il coupait le son pour faire repasser son message afin de le graver dans son esprit. Finalement, au début du quatrième jour, elle craqua.

Ryan la vit se lever en reniflant, retirer sa robe pour dévoiler sa poitrine nue et un simple string en tulle et dentelle noire. Elle s’approcha doucement de la table de torture et voulut s’y asseoir dessus.

– Non! Tonna Ryan dans le haut-parleur. Pas sur le dos! Sur le ventre!

Elle sursauta devant cette nouvelle intrusion inquisitrice et il la vit de nouveau rechercher l’origine de cette voix qui osait lui lancer des ordres. Puis, sa faiblesse reprenant le dessus, elle finit par se retourner et se pencher sur la table. Presque naturellement, elle glissa ses bras dans les cavités prévues à cet effet. Quand ses mains arrivèrent au bout, deux « clics » significatifs indiquèrent que ses poignets se retrouvaient désormais emprisonnés. Ryan sourit et quitta sa place : sa proie était désormais sans défense, il était temps pour lui d’entrer en jeu.

Il descendit dans une cave désormais plongée dans un environnement bien plus agréable et s’approcha de Sophie qui, dans sa position, ne pouvait pas se retourner pour le voir s’approcher. Elle tenta de bouger cependant mais ses liens résistèrent et elle abandonna après quelques instants de lutte. Il attendit la fin de ce nouveau sursaut d’indépendance et se colla à elle. Il la sentit frissonner de dégoût et de peur quand il posa sa main sur son dos. Il se sentait fabuleusement excité : cela faisait tellement de temps qu’il n’avait plus goûté aux charmes d’une aussi jeune femme. Depuis qu’il avait guéri de ses blessures, il avait souvent eu des relations avec des femmes mais à cause de ses nouvelles difformités, les seules qui avaient daignés partager son lit étaient des professionnelles qui lui avaient coûté des fortunes pour des services limités par rapport à ses exigences.

Il fit descendre sa main jusqu’au niveau de ses reins et la promena sur ses fesses joliment sculptées. Il abandonna un instant son petit jeu de caresses pour la forcer à placer ses jambes dans les jambières placées en dessous d’elle. Deux nouveaux « clics » indiquèrent qu’elle était désormais définitivement prisonnière comme il aimait savoir ses partenaires. Il recula d’un pas pour l’admirer un peu mieux. Il la trouva superbe, presque aussi séduisante que Martina qui hantait chacune de ses pensées. Son excitation atteignait le plafond et il n’en pouvait plus. Il défit la fermeture éclair de son pantalon et délivra un pénis que tenait une érection comme il n’en avait plus connu depuis très longtemps. Il s’approcha alors de sa victime et se plaça entre ses jambes. Il glissa sa main entre ses cuisses et commença à flatter son antre d’amour avec toute la science dont il était capable. Il la vit se dandiner son l’effet de la chaleur qui montait en elle et cette sensation devait lui procurer un horrible sentiment d’horreur dont il se délectait. Il continua à l’exciter pendant plusieurs minutes et quand ısparta escort il jugea qu’elle était prête, il approcha l’extrémité de son gland de sa fente bien chaude. Il la pénétra alors doucement en prenant tout son temps afin de pleinement profiter du bruit de ses sanglots qui montait au rythme de la pénétration. A ce petit jeu pervers, il la perfora totalement provoquant chez elle une réaction de crispation. Ryan se déchaina alors et se mit à la pistonner avec la même énergie qu’il déployait naguère pour « briser » les jeunes femmes destinées à devenir les esclaves sexuelles dans les lieux de plaisir de l’organisation du loup. En dessous de lui et en dépit de ses entraves, Sophie se dandinait toujours dans l’espoir d’échapper au violeur auquel elle s’était elle-même livrée pour échapper au calvaire qu’il lui faisait subir. Ryan posa ses mains sur ses hanches pour lui imposer l’immobilité : il tenait à lui faire comprendre qu’il était le maître et qu’elle n’avait plus aucun pouvoir. Il continua son mouvement de va et vient avec toute la force dont il se sentait capable. Il savait que désormais il ne pourrait plus se passer de ce plaisir de domination totale qu’il venait de retrouver et que les prostituées ne pouvaient que simuler. Finalement son plaisir atteignit son paroxysme et il jouit dans l’utérus de la jeune fille qui poussa un hurlement de rage en sentant l’écoulement du liquide séminal en elle. Ryan mêla alors un cri d’extase à ce hurlement puis se pencha vers elle.

– C’était ta première leçon, lui susurra-t-il à l’oreille. Passons à la seconde.

Il s’écarta alors d’elle, la laissant toujours emprisonnée sur la table pour se diriger vers la porte. En route, il sortit une télécommande et réenclencha tous le système et fut comblé en entendant sa victime se remettre à hurler quand elle comprit que sa torture reprenait.

Cependant, ce qu’elle ne savait pas c’était que désormais le message visuel avait fondamentalement changé. Il ne s’agissait plus simplement de spots lumineux destinés à l’empêcher de se reposer mais elle contenait des signaux subliminaux auxquels elle ne pouvait plus échapper dans la position dans laquelle elle se trouvait. Par cette manière, il commençait à transformer cette jeune fille indépendante en l’esclave totalement soumise qu’elle était désormais.

CHAPITRE 3

Ryan rouvrit les yeux pour poser la main sur la nuque de Sophie qui continuait son travail de fellatrice avec le talent d’une professionnelle accomplie. Il lui caressa le dos et il la sentit se courber pour accompagner son geste comme le ferait un petit animal bien obéissant. Ryan sentit se sentit alors sur le point de jouir. Il éclata au fond de la gorge de Sophie qui avala sans rechigner la totalité de son liquide séminal et poussa le zèle jusqu’à lécher le pénis de son maître afin de le nettoyer de toutes les souillures qu’elle avait pu y laisser. Totalement comblé, Ryan ferma les yeux en pensant qu’en ce moment même un autre de ses petits pièges était en train de se refermer.

CHAPITRE 4

Yvon Parini retournait vers sa chambre l’esprit obnubilé par les dernières nouvelles. Il avait un moment espéré que la rencontre qu’il avait organisé entre l’homme au masque et le « frère » ne dégénère en règlement de compte sanglant qui dans le meilleur des cas le débarrasserait de ces deux épines qui s’étaient plantées dans son pied. Au lieu de ça, ces deux idiots avaient seulement discuté avant de se séparer comme de vieux amis. Yvon ne pouvait s’empêcher de se sentir frustré devant un tel dénouement mais heureusement pour lui, il savait comment faire pour retrouver sa sérénité. La fabuleusement bandante Sylvia, désormais toute soumise à sa volonté, l’attendait, prête à lui faire oublier toutes ses déceptions. Le sourire aux lèvres, Yvon poussa la porte de sa chambre pour se retrouver en face d’une énorme surprise.

Sylvia était allongée par terre sur le ventre, visiblement inconsciente et surtout une autre personne l’attendait tranquillement assise sur le lit. Yvon mit quelques secondes pour reconnaître Mathilde. Il fallait dire qu’elle exhalait une sensualité qu’il ne lui connaissait pas à l’époque où elle était à son service. Elle portait une robe de soirée en satin noir qui s’arrêtait au dessus de ses genoux et affichait un décolleté qui mettait en évidence sa belle poitrine. Yvon fut surpris aussi par l’expression avenante qu’elle affichait. Certes, elle s’était maquillée d’une façon plus que suggestive mais ce n’était pas la seule explication : Mathilde, la petite oie blanche qui ne cessait de geindre à chaque fois qu’un client s’allongeait sur elle semblait s’être transformée en une authentique poupée de plaisir. En voyant l’ancienne étudiante ainsi métamorphosée, Yvon ne put retenir une érection et fut pris par une irrépressible envie de se jeter sur elle pour lui déchirer cette robe si sexy afin de la violer sur ce lit comme il le faisait d’antan.

Pourtant au dernier moment, sa tête reprit le dessus sur sa libido et il se rendit compte qu’il ne se posait pas les bonnes questions. La première étant tout simplement de savoir comment Mathilde avait bien pu réussir à entrer dans la forteresse sans alerter aucun garde. Il voulut le lui demander quand la réponse s’imposa d’elle-même : les tunnels.

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L’enseignante Pt. 03

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Bdsm

La jeune institutrice arriva plus d’une heure en avance, se garant, elle resta assise sur le siége, les mains crispées sur le volant, fixant l’entrée de l’école. Catherine De Monfort savait que si elle y allait, elle ne pourrait plus reculer, qu’ils la tiendraient en leurs pouvoirs, assouvissant leurs fantasmes les plus pervers et lubriques sur elle.

La jeune femme inspira un grand coup et sortit. Le plaisir nouveau pour le jeune rousse l’empêchait d’être lucide, mais si

Traversant les couloirs déserts, passant devant les classes encore vides, le silence pesant uniquement troublé par le bruit de ses talons claquant

– « Euh….. Bonjour Madame De Montfort …. Vous avez une tenue bien légère aujourd’hui… Cela vous va bien! …. En avance aujourd’hui…. étonnant!…. »

– «Bonjour monsieur le Directeur, je… euh…. oui…. j’avais laisse des copies a corriger ici….. je dois y aller bonne journée…. »

La jeune femme le dépassa, sans le regarder et continua son chemin. Le directeur qui s’était arrêté, se retourna et la regarda s’éloigner, fixant avec concupiscence les fesses plantureuses moulées dans la jupe courte.

Il repensa avec excitation à la peau laiteuse de sa poitrine généreuse, largement découverte par son décolleté. Puis, un peu amer et intrigué par la présence de la jeune femme de si bonne heure, il se promit de la surveiller afin de profiter de ses charmes si l’occasion se présentait, et de prendre sa revanche sur cette altière jeune rousse qu’il considérait comme une bourgeoise bien trop fière.

Catherine sentait son regard dans son dos, essayant d’évaluer ses formes, la jeune rousse en frissonna de dégoût. Elle arriva devant la classe dont la porte était fermée. D’une main tremblante, Catherine l’ouvrit et entra en fermant les yeux.

Les ouvrant la jeune femme découvrit que la salle était vide, elle poussa un soupir de soulagement tout en éprouvant un sentiment de frustration. C’est à ce moment qu’elle s’aperçut d’un message grossièrement écrit sur le tableau.

– « …..Pieds nus, juste la jupe et le chemisier……salle 114…..S».

Elle sentit son ventre se nouer et son cœur s’affoler. Elle se déchaussa, jambes flageolantes et posa sa veste sur le bureau. Puis elle effaça le message, paniquée à l’idée que le directeur avait peut être lu le message…

La jeune rousse resta là, immobile, ne sachant que faire, nerveuse et agitée. Puis comme envoûtée, elle sortit et se dirigea vers la salle 114, sentant le carrelage froid sous ses pieds. Elle avançait dans les couloirs déserts et pour la première fois la jeune femme se rendait compte qu’ils étaient mal éclairés et parfois assez sombres.

La salle 114 se situait à l’autre bout de l’établissement, dans une aile où peu de cours se déroulaient. Le sol était beaucoup plus froid et Catherine se mit à frissonner en avançant dans les couloirs. A chaque tournant, la jeune femme se penchait pour regarder si elle ne risquait pas de croiser quelqu’un.

De plus en plus inquiète Catherine accélérait le rythme mais après

– «Approche…!» ordonna-t il sans faire un geste.

Là, la jeune femme commença à paniquer et elle ne parvint à couvrir les derniers mètres la séparant de l’ignoble sourire qu’affichait le jeune qu’au prix d’un violent effort

– « Eh…. bien….. ma jolie…. Il t’en a fallu du temps… enfin tu sais pourquoi t’es là

– « Euh… je.. .. oui…… enfin », bafouilla-t-elle affolée, les joues empourprées.

Avec assurance Il posa une main sur la hanche de la jeune rousse et de l’autre, il saisit

– « Alors…vas-y ma belle…. branle moi…. et ouvre ton chemisier… montre les, tes gros nibards….. on sait tous que tu tortilles du cul comme une femelle en chaleur dès qu’on les touche. »

La respiration oppressée, le sang affluant aux tempes, la jeune professeur défit un à un les boutons de son chemisier, qui s’ouvrit largement livrant ses trésors au regard de son élève. Catherine n’avait pas mis de soutien-gorge, elle ne put qu’étouffer un frisson de elazığ escort honte en voyant son chemisier bâiller, dévoilant ses appâts mammaires.

– « Whaou..!! Quelle paire de loches… ben dis donc ma cochonne … t’as vraiment le feu au cul pour te promener les nichons à l’air… hein?!.… ah!…..ah! …. Rougis pas comme ça, salope!… Allez.. Cambre toi bien… tends moi tes nichons. »

Les larmes aux yeux, la jeune rousse s’exécuta, se cambrant un peu, elle sentait le tissu de sa jupe se tendre sur ses fesses et remonter un peu devant sur les cuisses. Le chemisier ouvert sur ses charmes, elle attendait immobile, les tétons durcis par le froid et l’excitation. Le sexe de son élève se déployait contre sa main au travers de l’épais tissu de jean.

Il la regardait sans rien dire, le silence devenait oppressant. Un peu honteuse Catherine De Montfort leva les yeux et croisa son regard rivé sur ses mamelons érigés, et il se mit à ricaner. Cela lui fit l’effet d’une douche froide et sa tête lui tourna sous l’effet de l’humiliation.

• « Oui…. C’est bien comme ça…. Allez ouvre ta bouche et sors moi ta langue que je te roule une pelle… ».

• « Nonn… non…. pas ça… je ne veux pas…. Pas de baiser….. Faites ce que… ce que vous voulez mais pas ça….. C’est trop intime.. »

Il repoussa brutalement la jeune femme, la toisant des pieds à la tête.

– « Ben alors…. Y’a que les putes qui refusent d’embrasser..!! Serais-tu une pute?!!.. trop intime tu veux rire..!! Montrer son cul et ses gros nibards à tout la monde, c’est pas intime ça?!!…. ET se faire baiser comme une chienne dans les dortoirs!!… Tu rougis?!! …..Eh oui!!… Je suis au courant…. et si tu veux pas que d’autres le sachent t’aurais intérêt à te montrer plus docile!!….»

Au fur et à mesure qu’il parlait la jeune rousse se sentait de plus en plus mal à l’aise, honteuse, puis franchement inquiète devant la menace à peine voilée. Catherine aurait voulu ne jamais être venue et si elle avait accepté c’était sous l’empire des sentiments troubles qu’elle avait éprouvé la veille sous l’abominable chantage de Mahoui et Joussouf.

Mais cette fois Sidi lui faisait réelement peur en l’obligeant à réaliser ce qu’elle faisait, et ce n’était plus de fantasmes honteux qu’il s’agissait. Il continua à l’insulter. Serrant les poings la jeune femme sentait des larmes couler sur ses joues cuisantes de honte tandis qu’il la brocardait.

• « Qu’est ce que tu croyais pauvre conne!!…. Qu’on allait jouer à touche-touche?!!…. Tu rêves ma jolie!!…. Maintenant c’est moi qui commande!!…. Tu n’as pas d’autre choix que de m’obéir alors….. Demi-tour et en avant!!… tortilles ton cul en marchant, et arrête de chialer!!!…. »

Paniquée Catherine recula brusquement comme s’il venait de la gifler. La jeune institutrice porta ses mains à son visage, elle ne parvenait pas à croire ce qu’elle venait d’entendre. Sans douceur il la poussa et avec une écœurante docilité Catherine se tourna, le regardant par dessus son épaule, implorante.

• « Allez avance..! et te retourne plus… »

• « Mais…… pas dans cette tenue!…. si on croise quelqu’un… je ne peux pas….. non!!….. nonnnnnnnn!…. j’ai trop honte»

Il la poussa dans le dos et ajouta en ricanant :

– «C’est sûr que ça peut être gênant de marcher le chemisier ouvert.….. surtout que si on te voit te promener sans soutien-gorge, on pourrait se faire des idées…. De toute façon je sais que ça te plaît d’avoir honte et si tu continues à te plaindre ce sera cul nu.!! Alors t’avance…. oui…..c’est ça… tortille du cul!… c’est bon….»

Catherine refaisait le trajet en sens inverse mais le trajet s’avérait beaucoup plus pénible dans cet accoutrement, les courants d’air hérissaient sa peau dardaient ses mamelons. Sidi restait juste derrière elle, une main contre ses reins, la poussant lorsqu’elle ralentissait. Parfois la jeune femme sentait la main du jeune descendre le long de la jupe et se poser sur ses fesses qu’il pinçait ou giflait un petit claquement erzincan escort de langue, riant.

Et chaque fois elle sursautait, se mordant les lèvres pour ne pas gémir et continuait à avancer le ventre noué. Le premier virage approchait, Catherine avait l’impression que cela durait depuis une éternité. La jeune femme ralentit, croyant déceler un bruit de pas qui approchait, mais ce n’était que le fruit de son imagination.

Le cœur battant à tout rompre, elle prit le virage, fermant les yeux, s’attendant à croiser quelqu’un mais il était bien trop tôt et le collège était encore désert. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, le couloir était vide, la jeune femme poussa un petit soupir de soulagement. Toutefois c’était le couloir principal et n’importe qui pouvait surgir au détour d’un couloir adjacent voire même sortir d’une salle de classe. Sidi perçut son soupir et l’arrêtant il commenta :

– « Et bien tu vois… il n’y a personne.. C’est bien dommage… je suis sûr que tu aurais aimée qu’on te voit dans cet équipage! ….»

Alors que la jeune institutrice repartait, pressée de quitter ce couloir, l’élève la retint par le bras et, passant devant elle, poursuivit :

– « Mhmm… j’ai une idée…. » dit-il avec un sourire narquois… «je suis sûr que tu marcherais mieux sans cette jupe un peu trop serrée, non?… Enlève la..!! »

Défaite, la jeune femme le regardait sans oser y croire :

– « Mais je…non…. écoute je ne peux pas…. je t’en prie… »

– « Suffit les conneries!… Plus vite tu feras ce que je te dis, plus vite on quittera cet endroit….. si tu continues à gémir, je te fous complètement à poil au milieu de la cour… et dernière chose…. je t’interdis de me tutoyer petite pute….. Allez magne toi l’cul….. »

Eperdue, les larmes aux yeux, croyant avoir touché le fond, Catherine commença à défaire les boutons de sa jupe, les mains tremblantes. Elle tomba dans un bruissement d’étoffe à ses chevilles. Humiliée la jeune femme baissa la tête. Sidi qui s’était un peu écarté poussa un sifflement d’admiration et tourna autour d’elle en détaillant ses charmes.

Il faut dire que c’était la première fois que la jeune rousse mettait cette « culotte », que des amies lui avaient acheté pour plaisanter quelques mois auparavant. Très échancrée, elle remontait très haut sur ses hanches. En dentelle quasi transparente, elle se resserrait pour ne cacher qu’une mince partie de son épaisse toison. Les poils roux débordaient de chaque coté et le tissu transparent moulait sa vulve. Par derrière on aurait dit un string, et le « V » plongeait entre ses fesses où la fine bande restait cachée. Elle semblait ouvrir les fesses de la jeune institutrice, les séparer, et rendait sa croupe encore plus provocante et excitante par le contraste entre le tissu noir et les fesses très blanches et satinées.

Jamais personne n’aurait pu croire que sous des airs hautains et assez réservés, Catherine portait de tels dessous.

• « Eh bien dis donc!!.. je comprends maintenant pourquoi tu ne voulais pas enlever ta jupe….. t’as pas honte de te promener avec ces dessous de salope? » lui demanda-t il en s’accroupissant devant son ventre dénudé.

Il se releva, visiblement très excité, passant derrière la jeune rousse, il remonta le chemisier dans son dos. Puis, d’une main il lui caressa les reins et descendit doucement vers ses fesses qu’il effleura légèrement, s’attardant sur l’arrondi d’une fesse. Inconsciemment alors qu’elle sentait la main ramper sur sa croupe, la jeune femme se cambra un peu, jambes tendues pour faciliter ses caresses.

Le contact de la main chaude sur sa peau la troublait au delà de toute expression, et elle sentait sa chagatte s’humidifier. En la découvrant en petite culotte, Sidi avait perdu son air autoritaire et pisse-froid, il était redevenu un jeune homme intimidé par la très belle épouse qu’il avait devant les yeux.

Elle se prit à espérer qu’en raison de son inexpérience, sa pose le rendrait nerveux et qu’elle pourrait erzurum escort reprendre un ascendant sur lui. Mais Catherine se trompait, Sidi n’était pas aussi inexpérimenté qu’elle le croyait.

– « Ouui… ma cochonne…. tu aimes montrer ton cul… hein?… tu as raison… j’ai jamais encore jamais baisé un cul pareil…. mais ça ne va plus tarder… Ah…. ah…. ah!! …»

A ces mots Catherine se redressa soudain, honteuse, serrant les poings d’avoir eu un fol espoir et surtout de s’être montrée ainsi à ce gamin. Elle était folle de rage et de honte, la jeune femme aurait voulu le griffer, crier mais elle n’en avait plus le courage, ni la force.

– «Allez on avance….. dis donc… tu tortilles drôlement bien ton popotin salope… tu veux en prendre plein la chatte, t’inquiète pas je bande comme un âne… oh, mais j’y pense c’est peut être ailleurs que tu veux que je te colle ma grosse queue… hein?…. » ajouta-il en la gratifiant d’une claque bruyante sur la croupe qu’elle balançait devant lui.

Catherine continuait à marcher, le long du couloir, elle voyait trouble, à cause des larmes qui lui emplissaient les yeux. Pendant ce temps il continuait à commenter. La jeune rousse n’osait rien dire et elle priait pour que ce cauchemar se termine.

– « On m’a dit…. mais cela demande vérification, que t’es très poilue… et que les poils roux qui tapissent ta raie sont très excitants…. peut-être même obscène, non?.… allez courage petite pute, on arrive bientôt, c’est la 3eme salle sur ta droite…. remonte ton chemisier dans ton dos…. comme ça….. oui c’est bien….. putain ce cul qu’tu t’payes!!!! … allez, on est arrivé!…..»

Elle entra dans la salle de classe déserte, un peu inquiète mais soulagée de ne plus se trouver dans ce couloir. Sidi ferma la porte derrière elle puis il se dirigea vers un sac que la jeune femme n’avait pas remarqué en entrant.

– « Monte sur le bureau…. à quatre pattes, jambes écartées, cul tendu face à la porte….. allez… Plus vite! ….»

Les jambes flageolantes elle s’exécuta, rouge de honte en se cambrant. La jeune professeur sentit ses fesses s’écarter et la raie de son cul couverte par la ficelle qui formait le fond de sa culotte se dévoiler. Les coudes appuyés sur le bois de la table, le cul relevé, plus haut que la tête, Catherine De Montfort attendait dans une posture vraiment obscène, elle pouvait difficilement avoir plus honte, du moins le pensait- elle. La jeune femme essayait de découvrir ce que Sidi faisait dans son dos.

Il revint avec le sac et le posant à ses chevilles, il ordonna à la jeune femme de regarder droit devant elle. Il fit le tour, écarta les pans de son chemisier pour laisser nus ses seins, puis remonta le chemisier haut sur son dos, pour bien découvrir son cul, commenta-il égrillard.

Puis lui ordonna de ne plus bouger il prit dans chaque main l’élastique de sa culotte et commença à la baisser. Catherine voulut protester mais il la fit taire d’une claque retentissante qui l’humilia fortement.

La jeune femme serrait les poings sentant sa culotte descendre très doucement pour s’arrêter à mi-cuisses. Elle sentait l’air frais rafraîchir son ventre moite, et poussa un hoquet de honte en sentant Sidi écarter ses fesses et du bout de l’ongle frôler la bague fripée de son anus palpitant. Il se posta devant la jeune rousse, et posa une feuille dactylographiée entre ses bras. Il caressa au passage ses seins qu’il soupesa, pinçant les pointes dures. Puis, elle le vit ouvrit sa braguette et sortir un sexe déjà en demi érection.

Il posa ses poings sur ses hanches et avançant le ventre il se plaça devant elle. Le pubis à une vingtaine de cm de son visage.

– «Tu vois cette feuille petite salope….. il s’agit d’un questionnaire!… écoute bien les consignes… tu vas bien lire les questions à voix haute. Tu sais comme tu sais si bien le faire en cours… Et si tu mens… tu auras un gage…. Si tu dis vrai tu auras le droit d’ouvrir grand la bouche pour une friandise… Allez… vas-y…. première question madame De Montfort!!! »

Au seul énoncé de son nom de famille, l’enseignante tressaillit. Il l’avait fait exprès pour bien la rappeler à la réalité. Dans la même position la jeune femme baissa la tête et commença à parcourir silencieusement le document puis elle bafouilla.

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De Mari à Esclave Ch. 24

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Babes

Robert est amené le soir suivant par les trois filles de la veille dans un donjon immense un club public. Il se retrouve attaché en coulisses, jambes très écarté par une barre, ligoté et bâillonné en string en velours. On lui place une électrode sur le gland et une autre à la base du sexe et on remet le tout dans son string.

Le micro annonce cet esclave va être punie pour faute commise il est a vous tous amusez vous.

Soudain il entend le public bruyant qui l’attend. Il se débat, il ne veut plus mais il ne peut plus rien arrêter.

Il a très peur du public qui l’attend. Il voudrait stopper tout…trop tard!

La poulie le lève et il se retrouve au-dessus du public, trop haut pour qu’il le touche. Il découvre un large public enthousiaste, sadique et pro-actif. Surtout des filles. Il est exhibé en string au-dessus du monde.

Il descend lentement vers les mains tendues armées de fouets, de martinets, de cravaches. Les filles hurlent pendant la descente. Il veut se libérer, crier stop mais impossible.

Dès que ses jambes très écartées sont à portée, les martinets claquent surtout entre ses cuisses et à ras du string. Tous les instruments y passent: coups de cravaches très violents et très douloureux. Il a beau se contorsionner, Il reste à la merci de ces filles en folie. C’est insupportable et très humiliant.

Puis on le retourne: suspendu par les jambes, très écartées, mains ligotées dans le dos, la tête trois pieds au-dessus du sol. Il a beau essayer de se libérer, le public s’en donne à cœur joie: fouet très violent dans l’entrejambe présenté à tous. Pendant quinze minutes. Son string, ne protège que petit peu le sexe des coups.

Mais, à ras du string, c’est entrecuisses sont écarlates, striées et très sensibles…

Ensuite, on met en route le stimulateur au niveau cinq: la vibration ondulatoire tout au long du sexe est déjà très gênante. Cinq secondes de décharges électrique et cinq secondes de repos. C’est le public qui décide les montées de niveau.

De six à huit, les vibrations semblent arracher le sexe.

Plus Robert gesticule, plus les filles s’amusent et redoublent le fouet pendant les cinq secondes de repos.

À partir de dix, la douleur est très forte. La cadence est toujours de cinq secondes de décharge électrique et cinq secondes de repos pendant lequel le public peut caresser ou fouetter les jambes.

Onze, il voudrait hurler stop, puis douze, la douleur est très violente. Il essaie par toutes sortes de contorsions de se libérer. Le micro annonce que le niveau treize passe un cap et double quasi la puissance. Le public réclame le niveau treize et l’obtient.

La douleur aigüe qui cogne le gland en longues vibrations est quasi insupportable mais solidement ligoté et bâillonné, il ne peut rien faire pour stopper tout. Le public rit de ses contorsions de douleur en tous sens. C’est femmes sont frustré sadique un peut malade.

L’érection est énorme et le sexe sort alors spontanément du string à la grande joie du public. Les fouets et cravaches redoublent alors sur le sexe et les testicules. Il hurle toujours, du moins Il essaye.

Il ne sait plus ce qui est le plus douloureux: les cinq secondes de décharges électrique van escort à treize ou les violents coups sur son sexe dilaté, énorme, rouge de coups et très sensible.

Au niveau quatorze, les cinq secondes de douleur provoquent une réaction de tout le corps. La cravache qui frappe toujours exactement au même endroit, très haut entre les cuisses, provoquent une douleur aigüe.

Enfin, le dessert, après au moins trente minutes de niveau quatorze en cinq, deux et une secondes, entrecoupés de coups de fouets et de cravache de plus en plus forts, le public, en hurlant d’excitation, veut lancer le niveau quinze!

Non! Un peu de repos cris Robert s v p! Non!

C’est fait!

La douleur est extraordinaire, insupportable, les vibrations profondes secouent violemment son sexe compressé dans une énorme érection réflexe… Il gesticule dans tous les sens, mais bâillonné et ligoté, rien ne peut arrêter le public! Les décharges à quinze donnent en plus des sensations très piquantes, comme si on perforait son sexe!

Les filles réclament de se faire pénétrer par lui, de force.

On le détache et il est de nouveau attaché sur un banc très large, mains et bras attachés au sol, très écartés, le sexe pointant exposé à tous. Une fille verse du vinaigre sur toutes ses rougeurs et ses stries une douleur fulgurante le fait hurler des muffff sorte du bâillon.

Le micro propose alors une nouveauté (pas prévue!) pour corser la suite en autorisant le public à planter cinq aiguilles dans le gland et deux dans chaque testicule. On ajoute deux électrodes à chaque testicule.

Les longues aiguilles de deux-a trois pouces de long sont tirées au sort dans le public et distribuées!

Il veut bouger, il cris arrêter cela: ouf c’est horrible de voir ces filles surexcitées, l’aiguille à la main.

La première se dirige vers lui, le sourire aux lèvres. Bien attacher serer il ne peut bouger.

La lente pénétration de la première aiguille est très longue et très douloureuse: pire encore que les plus fortes décharges électriques! Les filles se battent pour être la suivante. La deuxième aiguille dans le gland est encore plus profonde. La troisième ne parvient pas à pénétrer puis traverse très lentement un testicule.

La quatrième troue le prépuce et provoque une nouvelle forme de douleur, très piquante, fulgurante, puis traverse le sexe en diagonale. La cinquième troue de part en part l’autre testicule. La sixième est piquée par en-dessous et remonte jusqu’au gland. Enfin, la dernière, beaucoup plus grosse et plus longue, entre difficilement dans le gland dilaté et traverse toute la verge: Robert ses secousses sont très violentes, on resserre ses liens.

Il pense que tout se termine enfin mais surprise une fille enfile un préservatif au-dessus des aiguilles et les fait pénétrer un peu plus.

Le micro annonce alors que ce n’est pas fini et que la douleur électrique est beaucoup plus «piquante” par la conductivité des aiguilles!

Pour mieux en juger, on retire son bâillon. IL hurle alors toute sa douleur, il implore, il veut tout arrêter, mais la fille sur qui il a éjaculé entre ses fesses la veille dit ta punition loin d’être terminer avec un sourire yalova escort sadique.

On annonce le niveau huit: Robert hurle de douleur, c’est insupportable. Plus il hurle, plus les filles rient.

Il a l’impression qu’on le pique avec des milliers d’aiguilles à chaque décharge. La douleur aux testicules est violente et fait vibrer tout son corps.

Les filles découpent et arrachent son string, montent sur lui et se font pénétrer à la cadence qui leur plait en savourant les violentes secousses de douleur. Ponctuées de ses hurlements.

Elles règlent la cadence à cinq, trois ou une seconde. Chaque fille reste environ quinze minutes.

A chaque changement de fille (et de préservatif), on augmente la puissance d’une unité.

Plus la pénétration est profonde, puis les aiguilles s’enfoncent dans le gland ou dans la verge et plus l’électricité va loin. Ses cris de douleur sont très longs, stop, stop!

Il se tord pour se libérer en hurlant mais ça excite encore plus les filles.

Leur jouissance ne lui laisse aucune chance de répit. Ses hurlements les amusent!

Toutes les filles inactives se régalent de sa douleur et font de nombreuses photos de son sexe, de son visage défiguré par la douleur ou quand il hurle.

Entre deux filles, d’autres le fouettent avec une violence inouïe: plus aucune limite.

Robert n’a jamais eu une aussi grande érection et les filles s’empalent tour à tour sur son sexe truffé d’aiguilles et secoué de décharges électriques qui suivent les aiguilles en brûlant!

Le passage au fameux treize lui a arraché des hurlements ininterrompus pendant que plusieurs filles en profitent. Réglé à une seconde de violente douleur toutes les deux secondes, les filles se régalent des pénétrations répétées. Ses hurlements sont toutes les secondes et bientôt soutenu par un applaudissement à chaque seconde!

Plus il ressent la douleur, plus il hurle, plus elles s’amusent et prennent leur plaisir.

C’est impossible, stop, il hurle, il crie, il gesticule: il reste au moins dix filles insatisfaites!

On monte de puissance jusqu’au quinze!

Outre le sexe qui semble arraché, la douleur des testicules est extraordinaire! Les aiguilles brûlent à chaque décharge, Robert n’en finis pas de hurler. Elles en ont marre et remettent le bâillon.

Tout le public est autour de lui et se délecte. Impossible de hurler ou de se libérer. Il est ligoté, les jambes de plus en plus écartées, l’entrejambe et le haut des cuisses rouges vif, irrités par les centaines de coups de fouet, de martinet et de cravache. Et, quand il pense que tout est fini, le Maître accorde encore trente minutes au public qui a trouvé un scion de canne à pêche: en l’arquant très fort et le lâchant, le scion claque sur le sexe ou les testicules.

Cinq secondes de fouet, puis cinq secondes de violentes décharges électriques.

Non! Non! Non! Il reste trente minutes: le plaisir sadique des filles en contemplation est à son comble! Elles fouettent à présent violemment le sexe et les testicules.

Ensuite, robert est retourné, toujours suspendu, mais sexe vers le bas.

Tout au long de la nuit, de nouvelles filles rentrent dans la çorlu escort salle et viennent le caresser partout, le sodomiser avec un bois, le fouetter à nouveau. Certaines lui offre quinze ou tente minutes d’électricité.

Il restera suspendu toute la nuit, exhibition forcée de tous ses organes aux manipulations de centaines de mains expertes et sadiques: coups de fouets, de cravaches, de lattes, de martinets, suspension aux testicules, pénétrations et bien-sûr décharges électriques.

L’une d’elle a une idée: elle arrache les électrodes du sexe et les remplacent par un long fil à souder, plié en deux, et présentant une extrémité ronde donc.

L’une est entrée dans le gland très profondément (dix pouces) et l’autre est insérée entre ses fesses et remonte loin, loin (douze pouces.) Il n’ose pas comprendre. On retire son bâillon.

Robert proteste, il hurle, il les injurie, il se débat dans tous les sens: personne n’en tient compte.

Avec horreur, Robert vois une fille coller les électrodes aux extrémités des fils insérés si loin.

Elle commence par le niveau cinq à tout hasard: c’est horrible, plus fort que le quinze avec aiguilles, la douleur aigüe traverse le gland, toute la verge, les testicules et remonte au plus profond jusqu’en mes entre ses deux fesses.

Elles lui ordonnent de se taire mais il continu a hurler et elles montent d’un niveau chaque fois.

Comme il est pendu par les bras et jambes, il ne peut bouger, gesticuler, se soulever en hurlant mais ne parviens pas à se libérer.

Chaque nouvel arrivant lui donne droit à une nouvelle séance. Mais ses hurlements n’arrêteront personne jusqu’au petit matin…

Cette nuit mémorable lui a provoqué une jouissance extraordinaire, la plus puissante de toute ma vie, même si parfois la douleur est très violente, insupportable et surtout si on ne peut rien arrêter malgré ses hurlements.

L’humiliation de dizaines d’yeux se délectant est insupportable. Les photos sont humiliantes.

La soirée est imprévisible, à la merci de chaque nouveau participant. (Sous contrôle)

Le stress, l’exhibition forcée, la violente douleur: un cocktail qu’il voudrait bien subir lors d’une prochaine soirée pour le plaisir de la Corporation des Maitresse Mondiales!

Lorsque il se réveille, Robert est allongé dans sa chambre, les poignets attachés avec des menottes de nuit, Maitresse Jennifer le lave au moyen d’un gant puis lui donne à boire directement au goulot d’une bouteille. Elle lui sourit, et lui dit bravo pour les deux soirées quelle bon esclave tu es Robert incroyable ta résistance me fascine, la tu va te reposer quelque jours mes deux esclaves vont prendre soin de toi quelque jours, ensuite quand tu seras remis je voudrais te parler voila bon repos robert, Maitresse Jennifer parti.

Il ferme ses yeux relaxe sont corps endolorie, soudait il sent des Mains le frotter partout même sur sa queue, il ouvre ses yeux il voit Natacha et Lyza les deux esclaves personnelles de Maitresse Jennifer. Elles son nus lui sourie, sans dire un mot elle ajoute sur le corps de robert une crème apaisante, Robert se laisse aller mes il sent les mains de la jolie et sensuelle Natacha qui le masturbe tranquillement, il jouie en douceur sa bouche de Natacha liche tout liche sa queue elle aime le gout du sperme, ensuite lui offre à boire ainsi que deux pilule.

Puis elle lui souhaite bonne nuit et parte doucement en éteignant la lumière Robert ferme les yeux il part dans les rêves.

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Barbie Outragée!

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Bdsm

Chacun d’entre nous a entendu parler du succès colossal du film « Barbie ». Certains l’ont vu, d’autres pas. Pour le récit qui va suivre, se souvenir de la belle actrice jouant le rôle de Barbie. Un film dénonçant le machisme, la phallocratie. Les hommes se retrouvant méprisés et ridiculisés dans ce film. À la fin, Barbie choisi de devenir un être fait de chair et de sang. Une décision, lourde de conséquence comme nous allons le voir…

Barbie vivait désormais San-Francisco et habitait avec une militante de la ligue des droits féminins. Barbie allait vieillir comme n’importe quelle femme, mais pour l’instant, son corps était comme celle d’une poupée, celle d’une blonde aux formes parfaites. Ni grande, ni petite. Des seins ni petits, ni gros. Des cuisses fines, mais justement galbées. Un ventre plat, un fessier rebondi sans extravagance. Un visage toujours souriant. De belles lèvres, charnues comme il le faut. Et cette belle chevelure blonde, brillante. Son amie s’appelait Maude. C’était une vraie activiste des droits féminins, et Maude était devenue la maitresse de Barbie. Celle-ci avait découvert le plaisir lesbien. Un plaisir uniquement clitoridien. Toute pénétration d’un corps étranger ne pouvait être que l’expression de la phallocratie. Ainsi Barbie, avait découvert la jouissance, celle faite de caresses, de baisers, de léchages. Elle qui était imberbe comme toutes les poupées, avait laissé pousser une jolie toison dorée, sur les recommandations de Maude. La toison représentait la toute puissance féminine. Maude et Barbie s’aiment et affichaient leur relation. Barbie, tout innocente, était devenue une égérie sur les réseaux sociaux. Phallocratie ou pas, Barbie posait avec des tenues parfois des plus suggestives et faisaient bander les hommes et mouiller les lesbiennes. Maude en avait fait un bizness et était aussi son guide, car Barbie ne connaissait pas grand-chose de l’humanité…

Mais l’humanité a des aspects sombres. Ce matin-là, Barbie, toute souriante, quittait l’appartement qu’elle partageait avec sa compagne. Elle fit quelques pas sur le trottoir, quand un van noir et teinté s’arrêta à sa hauteur. Deux hommes cagoulés en sortirent et saisirent Barbie. Un troisième la piqua à l’aide d’une seringue contenant un sédatif et l’entrainèrent à l’intérieur du van. Tout avait duré que quelques secondes. Seule une vielle dame avait été témoin de cet enlèvement. Barbie s’évanouissait dans le véhicule. Barbie était désormais aux mains de la terrible et occulte « IAH », « l’ile aux hommes ».

Cette mystérieuse organisation avait été crée il n’y a que quelques années. Elle réunissait des décideurs, des hommes puissants, qui ne supportaient plus de ne pouvoir exercer un droit de cuissage qu’ils estimaient légitime sur les femmes. Depuis « me too », les procès étaient nombreux et la disqualification morale était fréquente. Un petit groupe avait donc eu l’idée de créer un espace qui ne serait consacré qu’au plaisir masculin et à toute sa perversité. Il s’agissait d’une île dans les Caraïbes, qui avait été aménagée pour être un paradis de luxure.

Au départ, des putes avaient été engagées pour travailler sur l’île et accepter d’être urfa escort des esclaves du sexe à mi-temps, mais cela avait produit des effets indésirables, car des fuites avaient eu lieu. C’est pourquoi, depuis deux ans, le cheptel était celui de prisonnières venant du monde entier à qui avait été proposé d’être libéré au bout d’une année d’esclavage. Ces femmes étaient choisies en fonction de leur beauté, de leur âge. A la différence des putes, elles présentaient l’avantage de ne pas être des professionnelles. Leur innocence était plus excitante et les adhérents de l’organisation en étaient des plus satisfaits. Un certain nombre de prisonnières refusaient, mais la plupart dont les peines étaient les plus longues dans des conditions terribles acceptaient. Le contrat était des plus clairs. Au bout d’une année, elles étaient libres, mais durant celle-ci, elles devraient être de parfaites soumises. Elles seraient violées, parfois torturées, seraient considérés comme des choses à plaisir. Leur bouche, anus, et vagin seraient indifféremment utilisés et disponibles. Leur libération, la moindre parole valait un retour en prison ou pire une disparition…

Cette île aurait pu ressembler à un bordel comme les autres, mais dans de prochains récits, je reviendrais plus en détail sur cette île fantastique. Sachez, par exemple, qu’étaient organisés des chasses à la femme. Des hommes en équipes de trois ou quatre devaient être les premiers à attraper une femelle lâchée dans la nature, vêtue simplement d’un mini-string et les seins nus. Si celle-ci parvenait à échapper à ses poursuivants et rejoindre un abri, ce qui était rare, elle évitait un viol collectif en pleine nature et d’une grande sauvagerie. La prise était des plus humiliantes puisque la femelle devait être attrapée avec un filet. D’autres scénarios avaient lieu ainsi que des tortures raffinées.

Une dizaine de gardes était employé sur l’île et commandés par Yasmina et Vascos. Yamina était une ancienne prostituée d’origine marocaine. Quarante ans et encore fort désirable, elle était chargée de former les esclaves, de veiller à leur obéissance, mais aussi de diriger certaines séances de torture. Elle avait perdu toute morale et humanité. Quant à Vascos, c’était un ancien acteur de porno. Il était doté d’un sexe impressionnant. Il veillait, lui aussi, sur l’obéissance des esclaves, mais aussi les instruisait sur l’art de sucer, et de recevoir des queues dans leurs orifices.

Enlever Barbie était d’une grande audace. Tout un programme avait été conçu. Elle ne resterait que 24 heures sur l’île et serait l’unique attraction de… 30 hommes. Ces derniers, dont la plupart étaient des mâles blancs de plus de 50 ans, avaient payé 1 million de dollars pour vivre un moment inoubliable. La sélection avait été des plus rigoureuse. Il s’agissait d’adhérents qui participaient régulièrement aux activités ignobles de l’île. L’idée d’enlever Barbie était venue d’un pari, puis s’était imposé comme un défi. L’originalité devait être de mise et il ne s’agissait pas d’un vulgaire viol collectif. L’organisation avait mis les moyens et fabriquer grandeur nature… une maison Barbie.

Tel sivas escort un studio de cinéma, une maison Barbie avait été reconstitué, jusqu’à l’allée bordant la maison avec une voiture Barbie. La maison était composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage. Les pièces étaient fort grandes et ouvertes sur l’extérieur comme une scène de théâtre ; Les couleurs des murs, des meubles, étaient vives et chatoyantes. Il y avait néanmoins un détail. Toutes les pièces étaient munies de discrètes sangles sur les meubles et d’un crochet en hauteur. Il y avait un grand salon, une cuisine, une salle de bain, une salle de gym, une chambre rose. Un petit ascenseur extérieur allait être utile pour se déplacer confortablement. Chaque pièce avait une caméra mobile de haute définition. Un caméraman supplémentaire serait chargé des plans serrés et rapprochés.

Deux gardes portant Barbie toujours inconsciente arrivèrent devant la maison et la déposèrent sur le lit de la chambre au premier étage, puis partirent, laissant Yasmina et Vascos seuls avec elle. Les deux complices la déshabillèrent complètement. Barbie portait un jean et un adorable petit pull en laine sexy. Ses dessous étaient blancs et des plus sages. Yasmina et Vascos sourirent lorsque Barbie fut nue.

Yasmina : « Ils vont se régaler! »

Yasmina palpa le corps de Barbie ainsi que Vascos.

Vascos : « Il va falloir lui raser la chatte. Le grand Maitre veut qu’elle soit comme une poupée ».

Yasmina écarta les lèvres du minou de Barbie.

Yasmina : « Bien, elle est encore vierge….tu as vu cette souplesse? »

En effet Barbie avait la souplesse d’une poupée. Vascos et Yasmina s’amusèrent a lui écarter les cuisses dans un grand écart. Yasmina passa un coup de langue sur un téton et embrassa les lèvres de la prisonnière.

Vascos : « Comme j’aimerais la baiser, là tout de suite »

Yasmina sourit : « Ce n’est pas pour nous, pas tout de suite…le grand Maitre m’a promis de nous la laisser pour la fin…. Bon, il est temps de la préparer! »

IL était 14 heures pile. 30 hommes viennent prendre place sur de confortables chaises au rez-de-chaussée de la maison. Un écran vidéo géant placé a coté s’allume, ainsi que toutes les pièces de la maison. Ils découvrent alors, Barbie, allongée inconsciente sur le lit. Ses cuisses nues sont relevées et écartées, perpendiculaires à son ventre, maintenues par une corde et un crochet. Ses deux mains sont réunies au-dessus de sa tête et tiré par une corde. Elle porte un mini string rouge et les seins a l’air. Un tonnerre d’applaudissements accompagne cette vision des plus excitantes. Un homme grand et mince, distingué, mais le visage dur, s’assoit au bord du lit. Il fait sentir à Barbie une essence forte qui la réveille. L’homme met un masque de carnaval qui lui recouvre les yeux.

Barbie ouvre les yeux. D’abord surprise, elle essaye de se défaire de ses liens par de vaines ruades.

Barbie : « Mais qu’es ce qui se passe?, ce n’est pas amusant.. »

L’homme « Bien au contraire, chère Barbie! »

Barbie : ‘« Qui êtes-vous? »

Un cameraman filmait les expressions de Barbie, mais aussi la main tekirdağ escort de l’homme qui caressait les cuisses, le ventre, les seins de la petite.

L’homme : « On m’appelle le grand Maitre… Vous êtes notre invitée… Nous sommes 30 ou plutôt 31 avec moi, à qui vous serez offerte. »

Barbie : « Si c’est un jeu… Ce n’est pas drôle… Vous pouvez recouvrir mes seins s’il vous plait monsieur. Je dois me rhabiller. Ou est Maude? »

Le grand Maitre: « Hum, votre amie lesbienne… Celle qui bouffe ce charmant minou… »

L’homme arracha le mini-string. On entendit les murmures de l’assistance.

Barbie : « Nooonn »

Le grand Maitre, après lui avoir peloté la poitrine, vient poser sa main sur la fente rasée.

Le grand Maitre : « On t’a rasée la chatte… Imberbe comme quand tu étais une poupée. Tu es si douce. Tu vas redevenir cette poupée quelques heures, mais ce ne seront pas des petites filles qui joueront avec toi. Tu dois savoir ce que sont les hommes, pas des Ken sans sexe. Tu vas prendre 30 queues et de bien des manières… »

Barbie se rendit alors compte de l’horreur de sa situation. Maude lui avait parlé de ce qu’était un viol et que de toutes les manières, les hommes ne savaient que violer. Une queue était une horreur. Elle devait les fuir.

Barbie : « Je ne veux pas… Laissez-moi!, s’il vous plait’

Le grand Maitre : « Tu devrais nous remercier. Nous avons reconstitué ta maison, avec quelques petits aménagements qui t’intéresseront et pour notre plaisir. »

Yasmina vécu de cuir, et aux formes sensuelles, fit alors son apparition. Elle s’approcha du visage de Barbie. Celle-ci pensant trouver une aide féminine.

Barbie : « S’il vous plait Madame… »

Le grand Maitre : « Yasmina sera comme une coach pour toi et nos…. Elle va te raconter le programme de nos réjouissances »

Yasmina parla à l’oreille de Barbie, dont le visage se décomposa petit à petit avec des larmes glissant sur ses joues. Elle voyait également le Grand Maitre sortir son sexe et se branler tranquillement en regardant son corps et la position dégradante qu’elle subissait.

Yasmina : « Le Grand Maitre va te baiser, d’abord ta jolie chatte qui ne sera bientôt plus vierge, mais il va aussi t’enculer, prendre ton petit cul. Tu devras le sucer avant. Toutes ces choses que tu ne connais pas encore, vont devenir une habitude. Ensuite, les trente invités te baiseront chacun leur tour, comme ils le voudront et ou ils le voudront. Chacun a réservé la pièce de son choix. Puis, tu seras baisée par groupe de trois pour que tu connaisses un viol collectif. Ce sera donc dix séances. Pas mal pour cette journée. Tu pourras te reposer. Et demain, tu subiras quelques séances de torture qui feront à nouveau bander nos invités. Puis, tu seras libérée et ramené chez toi. Tes larmes ou tes cris les exciteront bien davantage. Tu peux te laisser aller…. »

Barbie : « Pourquoi êtes aussi méchante, vous êtes une femme »

Yasmina porta ses lèvres sur celles de Barbie qui les gardait fermées. Elle lui tordit alors une pointe d’un de ses adorables nichons. Barbie poussa un cri. Yasmina engouffra sa langue puis se retira.

Yasmina : « Petite conne…tu vas morfler! »

Yasmina sourit au grand Maitre.

Yasmina : « Elle est à vous! »

La grand Maitre : « Merci chère Yasmina… Que la fête commence.. »

Des applaudissements montèrent jusqu’à la chambre.

A suivre…..

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Masturbation

Il est bien entendu que cette histoire n’est qu’un fantasme, que je condamne toute sorte de violence dans la réalité, que je ne cautionne aucunement toute forme d’agression envers les femmes, que tous les personnages ont plus de 18 ans.

Ca y était, Isabelle avait enfin raconté son histoire, l’histoire de sa vie, son viol en Asie devant son mari et deux couples d’Américains.

Cela aurait dû la soulager, lui enlever un poids de son cœur. Il n’en était rien. La façon dont elle se sentait à ce moment de son histoire, qui n’était pas terminée, au lieu de la libérer, l’engourdissait mollement, électrisait le bout de ses seins qu’elle sentait inhabituellement gros. Sa vulve qu’elle tripotait mollement en prenant un plaisir avilissant à le faire devant ses amies semblait guider son comportement. Elle voulut poursuivre et terminer de raconter ce calvaire qu’elle avait vécu 10 ans plus tôt à l’aube de sa cinquantaine.

Je devrais peut-être terminer de raconter mon histoire dit-elle en regardant Annie Catherine et Nelly.

Nelly qui était allongée sur le parquet du salon uniquement vêtue d’une drôle de culotte et d’un drôle de soutien-gorge rouges criard fait de mailles de différentes dimensions, élargies à ses fesses, plus nombreuses devant son pubis et son sexe ainsi que sur les pointes de ses seins. Mais ceci n’empêchait pas Annie Catherine et Isabelle de voir ces pointes de seins de Nelly tenter vainement de passer au travers des mailles du soutien-gorge écrasées qu’elles étaient par le chanvre rugueux, cordé dont était fait son soutien-gorge. Et il en était de même pour sa culotte, le clitoris saillant avait réussi à percer, même s’il était étranglé à sa base, avait réussi à percer une maille et il dressait sa tête violette et brillante comme s’il cherchait de l’air. À ce stade, Nelly avait les yeux vitreux, elle tenait ses cuisses très écartées, elle jouissait des regards d’Isabelle de Catherine et d’Annie fixés sur ses parties intimes obscènes. Le chanvre mouillé s’était rétréci, Nelly avait mal aux seins et au sexe tant ils étaient comprimés. C’est normal se dit-elle, je suis faite pour être tenue comme ça.

« Oui continue lui répondit Nelly dans un souffle, continue à nous raconter ce que tu as vécu dans ce jardin public en Asie…

trabzon escort attends, intervint Catherine, dis-nous Isabelle, donc, quand l’homme édenté, l’asiatique, était en toi, il ne bougeait pas c’est bien ça?

— Oui c’est ça répondit Isabelle, je crois qu’il s’était mis un baume sur le sexe, comme un aphrodisiaque je suppose, quand il m’a pénétré, ça a du faire son effet… Il n’avait pas besoin de bouger, comme je vous l’ai raconté…

— c’est-à-dire, poursuivit Catherine, c’est toi qui le massais avec ta vulve pour le faire juter? Et ceci sans qu’il bougeait lui-même?

— Oui, répondit Isabelle dans un souffle, le regard fuyant, le visage rouge betterave…

— raconte encore ce passage renchérit Nelly à voix basse,

— je ne sais pas… je ne sais pas quoi dire de plus… son gros sexe m’avait totalement pénétré, il ne bougeait plus, il touchait au plus profond de moi et, oui…, oui…, c’est ça, oui c’est ça, je sentais ma vulve, ma chatte se contractait toute seule, comme si elle voulait le traire, je ne voulais pas, j’avais terriblement peur de tomber enceinte, mais je ne pouvais pas m’empêcher de le traire, de réclamer son sperme, qu’il se déverse tout au fond de moi…

le salon était presque bruyant de soupirs aigus, comme exaspérés ; les quatre femelles d’à peine 60 ans se reconnaissaient toutes entre elles désormais…

— et quand tes deux amies américaines, renchérit Catherine, ont crié à ton mari et à leurs maris que, ça y était, tu étais pleine. Ça t’a fait quel effet d’entendre parler de toi comme ça, attachée sur un banc public dans un jardin sombre, la culotte arrachée, pleine de sperme, enceinte?

— Je crois, je crois… Isabelle hésitait à répondre, elle tordait exagérément son mamelon, et son autre main tirait sur l’une des lèvres de sa vulve, elle montrait à ses amies son intérieur… je crois que j’ai considéré que c’était normal de m’avoir mis en cloque, je crois que j’ai compris que j’étais faite pour ça, faire sortir le sperme des sexes masculins, des sexes d’hommes…

— termine ton histoire lui réclama Nelly

— oui, j’y viens, son père qui voulait m’éjaculer dessus est arrivé et il s’est mis à cheval sur mes hanches. Il était nu, complètement tunceli escort nu. J’étais toujours attachée sur le banc en ciment rugueux qui m’écorchait les fesses et le dos ; ma tête était toujours tenue par mes amies américaines, ma tête reposait sur l’une de leurs cuisses. Le corps de cet homme était comme un cep de vigne, très nerveux, avec de nombreux muscles sans un soupçon de graisse. Il était complètement nu et son sexe n’était pas très long mais il était gros et il bougeait tout seul de bas en haut comme au rythme de son cœur. Le regard de l’homme était comme celui d’un dégénéré, il rigolait en silence.

Il a réclamé et obtenu qu’une de mes amies américaines lui tienne la queue sans bouger devant mon buste, laquelle américaine a tendu la main et tenu le sexe avec deux doigts enroulés à la base de sa queue, elle était subjuguée, dégoûtée. Cet homme, comme son fils, voulait jouir immobile. Il voulait que ça sorte tout seul… L’autre américaine qui me tenait affectueusement la tête sur sa cuisse s’est penchée à mon oreille : je vais te dépoitrailler le plus possible pour ne pas qu’il tâche ta robe de gala Isabelle d’accord? Oui d’accord répondis-je affolée. Et tandis qu’elle me faisait signe de me soulever légèrement, ce que je fis, elle me dénuda à complètement, j’aidais à ce qu’elle passe mes bras dans les bretelles spaghettis puis reposait à nouveau ma tête sur sa cuisse. Ma robe de soirée n’était plus qu’une ceinture noire rabattue sur mon ventre. Mon autre amie américaine qui tenait le sexe de l’asiatique s’est elle aussi penchée sur moi et me chuchota aussi quelque chose : il n’arrête pas de bouger dans la main, je vais essayer de viser tes mamelles et d’épargner ton visage mais je ne sais pas si je vais y arriver…

je lui fis un battement de cils pour signifier que je l’avais comprise, en même temps je posais doucement mes mains sur celle de l’américaine qui me tenait les cheveux, nous étions comme trois complices du moins l’espérais-je, trois complices devant l’inévitable éjaculation à venir. Mon amie américaine qui était devant moi et qui tenait le sexe de l’asiatique fatiguait, elle changea de main et le tint par en dessous en le décalotant. Peu à peu la queue de l’homme se mit à suinter de plus en uşak escort plus, ça sortait du trou de son gland, coulait sur les doigts de mon amie américaine, sur son poignet et son avant-bras avant de tomber en gouttes grasses et lourdes sur mon ventre. Toutes les trois nous étions fascinées, cet homme semblait exceptionnel, je m’apercevais qu’il avait de très grosses couilles. Ça allait bientôt sortir, nous le sentions. Mais deux amies américaines se regardaient avec une certaine complicité que je ne comprenais plus tout à fait ; étonnamment je me suis sentie un peu exclue. Je regardais leurs seins pointus qui ballottaient sous leurs robes de soirée quand elles bougeaient.

Tout à coup c’est sorti. Directement sur mon ventre et mes gros seins, des jets puissants blancs glaireux. C’est allé très vite. Mon amie américaine qui tenait la verge a relevé le gland et les jets de sperme sont arrivés dans mon cou ; je me suis débattue je tentais de m’échapper en tournant la tête tous les côtés mais l’amie américaine qui me tenait par les cheveux le visage juste devant le gland de l’asiatique a resserré subitement et fermement sa prise. Je n’ai pas cherché à lui retirer les mains. Mes mains étaient toujours posées sur les siennes doucement… mon visage était souillé, j’en avais sur les joues, sur le nez, sur le front et dans les cheveux. Celle qui me tenait les cheveux justement s’est exclamée dégoûtée: ah j’en ai un peu sur le bras ; et disant, elle s’est essuyée sur mon épaule.

— Et tu n’as rien dit demandas Nelly.

— Non je ne crois pas répondit Isabelle.

— Et comment ça s’est terminé demanda Annie.

— Je me souviens que mes deux amies américaines m’ont donné chacune leurs petits mouchoirs avec lesquels je me suis essuyé du mieux que j’ai pu, mais je me souviens aussi que ça ne suffisait pas, il en restait beaucoup sur moi… nos maris sont partis devant nous d’un pas pressé, les asiatiques se sont évaporés dans la nuit et j’ai été tenue par les bras par mes deux amies américaines qui m’ont amené avec elles jusqu’à la soirée de gala. Nous sommes arrivées en retard, beaucoup de regards convergeaient sur moi, je voulais m’enfuir, me cacher, mais je n’étais pas assez forte. Je savais que j’avais encore des traces de sperme dans les cheveux et sûrement aussi sur ma robe de soirée ; je savais que mes seins proéminents, torturés, gonflés tremblaient comme de la gelée sous ma robe tachée. J’étais pleine de sperme à l’intérieur, je m’étais fait engrossée devant tout le monde et j’en avais sur moi aussi….

à suivre….

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Dérapages. 04

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Abella Anderson

L’histoire que vous allez lire, à pour sujet principal la domination et le sexe non consenti. Certains passage risque d’être choquant ou trop violent pour certains. Si vous n’aimez pas ce genre de texte, ne lisez pas. Sinon ce serais aussi stupide que d’aller au restaurant, commander un gratin d’aubergine, alors que vous détestez l’aubergine, pour dire ensuite que le cuisinier est mauvais et le plat dégueulasse. Pour tout les autres, bonne lecture, et merci à vous de me lire.

Léo : C’est moi, j’ai quarante-cinq ans. Je suis un ancien soldat des forces spéciales. A l’occasion d’une dispute, j’ai violé ma belle-fille. Pour éviter qu’elle ne porte plainte, j’ai décidé de la briser pour en faire mon esclave sexuelle.

Manon : Dix-huit ans. Ma belle-fille. Blonde aux yeux verts. Elle a un corps de rêve, un visage magnifique. C’est ma victime. Elle était totalement vierge quand je l’ai forcée.

Carla : Trente-neuf ans. Aussi blonde que sa fille. Aussi belle, avec un corps plus pulpeux. C’est donc la mère de Manon. Actuellement elle est partie pour trois mois à Londres, pour superviser le tournage du film qu’elle produit avec ses fonds propre. Je l’aime, mais suis assez frustré au niveau cul avec elle. Ma compagne étant frigide, nous ne faisons vraiment pas souvent l’amour.

Jessica : Jess à vingt ans. C’est ma fille. C’est une magnifique brune. Actuellement elle est en vacances chez sa mère pour trois semaines. Sa mère vit au Brésil avec son nouvel époux.

Paul : Quarante-cinq ans comme moi. On se connaît depuis le CP. C’est mon meilleur ami. Il est truand, mais très porté sur le sexe.

Anne : Dix-neuf ans. Rousse pulpeuse, petit amie de ma fille. Un vrai canon, avec tout ce qu’il faut où il faut. Une bombe capable de faire bander un mort.

Hervé : Trente ans, l’adjoint de Carla. Elle lui fait la vie dur au travail. Pour lui comme pour tout ses employés.

Quand je me retire du corps de Carla, je dis à Manon de descendre du dos de sa mère. Traumatisée, épuisée, choquée, ma compagne ne bouge pas. Elle pleure à gros sanglots, le corps secoué de spasmes de douleurs.

– Viens nettoyez ce que ta mère à salie.

– Maître, pitié…

Je la gifle violemment. Il ne faut pas que cette pute se croit tout permis.

– Ce n’est pas parce que tu m’as aidée à sodomiser ta chienne de mère, que tu peux te croire libre. Tu es et restera ma putain. Alors viens et suce! Tu connais la punition qui t’attends.

Manon terrorisée, m’obéit. Si j’ai drogué ma belle-fille pour accentuer son obéissance, je lui ai également promis de lui enfoncer mon bras jusque au coude dans son cul, si elle ne participait pas. Quatre doigts enfoncé dans son anus, m’ont permis de lui montrer que j’étais sérieux. Manon se met à genoux, et avec l’horreur de sucer pour la première fois ma bite tachée par le sang et la merde d’une autre, elle l’avale pour la nettoyer. Moi, j’ouvre les fesses de Carla qui gémit de douleur. Son anus est encore grand ouvert, il peine à se refermer en palpitant. Je l’ai un peu fissuré, mais rien de grave. Au bout de longues minutes, Manon sort mon pieu de sa bouche, elle le regarde, il est assez propre.

– Maître, c’est propre, je vais au bout?

– Non, viens lécher le cul de ta mère, nettoie-le, jusque à ce que plus rien ne coule!

Manon me regarde horrifiée, elle ne sait pas si elle pourra le faire sans vomir.

– Pitié, Léo, pas ça!

C’est Carla qui me supplie maintenant. Il va falloir que je mette vraiment d’ordre dans cette maison. Je lui enfonce la moitié de ma main dans le cul. Carla cabre, hurlante. Je la l’appuie violemment sur la table, en la poussant avec mon autre main posée contre son dos à la peau si douce.

– Toi tu fermes ta gueule, si tu ne veux pas que j’aille plus loin. Compris?

– Oui, j’ai compris. Sors, pitié, sors.

Je retire ma main. Je soulève la tête parfaite de Clara par les cheveux, je lui murmure à l’oreille.

– Si tu parles sans que je ne te pose une question, je t’enfonce ma main jusque au poignet, compris sale putain?

– Oui.

– Tu obéiras?

– Oui.

– Parfait. Manon, lèche-là de suite.

Une nouvelle fois ma jeune soumise obéit. Elle a des haut-le-cœur, mais entreprend de lécher tout ce qui sort de l’anus de sa mère.

– Si tu vomis, tu lécheras tout avec ta langue.

Mes paroles électrise Manon qui se retient de régurgiter quoique ce soit. J’en profite pour avaler une pilule, je veux durer le plus longtemps possible. Profiter pleinement du corps de ma compagne depuis tant d’années. Une fois l’anus de Carla propre, j’ordonne à ma belle-fille de se redresser. Ce qu’elle fait. Je vais prendre une gélule dans mon pantalon. Je la fais avaler de force à Carla, lui tordant méchamment le téton pour qu’elle ouvre la bouche, enfonçant la gélule directement dans sa gorge. Je lui referme la bouche.

– Avale!

Je lui tords le téton pour lui rappeler que maintenant c’est moi qui commande. Ma compagne avale la gélule. Je libère sa bouche.

– C’est quoi?

– C’est pour augmenter ta fertilité de putain.

Ma compagne se contente de gémir de dégoût. Reposant sa tête sur la table, au comble de l’horreur.

Je relève rize escort violemment ma compagne par les cheveux, je l’envoi au sol. Je fond sur elle, je la gifle plusieurs fois, fort, fendant sa lèvre. Une fine rigole de sang s’en échappe. Je sais qu’avec Carla ce sera plus dur qu’avec Manon. Que je vais devoir faire preuve de beaucoup plus de violence physique ou psychique pour parvenir à mes fins. J’arrache les vêtement de Clara, la mettant nue. Elle pleure, garde les cuisses fermées.

– Écarte les jambes sale putain!

– Tu vas faire quoi?

Je vais te baiser!

– Pitié, Léo, je te l’ai dis je suis en plein dans ma période d’ovulation… En plus tu viens d’augmenter ma fertilité, pas ça, tout mais pas ça! Je ne veux pas tomber enceinte!

– Et alors, ta fille est enceinte de moi, tu peux l’être aussi! Si je te file ce médoc pour que tu tombe plus vite enceinte, c’est pas pour rien!

– Non, pas ça, pas ça!

Je glisse ma main entre ses cuisses serrées, je lui pince le clito, le tourne méchamment, elle hurle.

– Ouvre tes jambes, où je te l’arrache.

La douleur est telle que finalement elle m’obéit. Je m’agenouille entre elle. Je soulève le bassin de ma compagne en la tenant par les jambes. Je pose ma bite sur l’entrée de sa vulve. Une idée marrante me vient.

– Manon agenouille-toi sur ta mère, ta chatte de chiennasse sur sa bouche, elle va te lécher!

– Non! Pas avec ma fille!

Pour tout réponse je m’enfonce le plus violemment possible dans le ventre de Carla, déchirant les lieux, Carla hurle.

– Vas-y Manon, c’est un ordre!

Sous mon emprise totale, ma belle-fille m’obéit. Elle s’assoit sur le visage de sa mère. Je pince de nouveau le clito de ma compagne.

– Toi, un conseil lèche.

Sous la douleur, Carla obéit, je vois sa langue sortir, et léché le sexe de son propre enfant. Je me mets à lui violer la chatte à grands coups de reins. Les hurlements de la mère se perde dans le vagin de la fille. Carla qui n’a jamais eus de relation lesbienne, se révèle douée. Manon ne tarde pas à geindre de plaisir au milieu de ses larmes. Moi je profite du vagin de Carla, il est relativement étroit, mais beaucoup moins que celui de Manon. Néanmoins je le savoure pleinement, l’appréciant énormément. Je la défonce enfin comme je veux, je ne suis plus obligé de lui faire l’amour en missionnaire, comme maman et papa. Cette chienne va payer, je compte bien rattraper avec elle, les quinze ans de baise que j’ai en retard. Manon geint de plus en plus vite, sa mère appuyant ses caresses sur le clito si sensible de sa fille. Ma belle-fille, démontre le plaisir qu’elle éprouve, en poussant de petit jappements de plaisirs. Un orgasme puissant la secoue, lui faisant envoyer un jet abondant de cyprine sur le visage de sa mère. Une fois son orgasme passé, Manon se retire du visage maternel, elle se roule en boule et pleure de ce qu’elle vient de faire.

Moi je continue à défoncer ma compagne. Un viol bestial. Je la force à me regarder dans les yeux, je me mets, moi aussi, à pousser des petits jappements de mon plaisir proche. Carla qui me connaît bien, sait que je ne vais pas tarder à jouir. En pleurant, elle me supplie :

– Pas dedans, pitié, pas dedans.

– Je ne lui répond pas.

– Je t’en supplie, je ne veux pas tomber enceinte, par pitié.

Pour toutes réponses, je crie mon orgasme, me déversant torrentiellement dans le corps de ma meuf. Lui inondant son utérus, la remplissant comme jamais. Je ne me suis pas retiré d’elle. A la place, je me suis couché sur Clara, et j’ai recommencé à la baiser. Dans des clapotis bizarre, dut à mon sperme qui se trouve déjà en elle. Carla semble sortir de sa torpeur, elle se débat, tente de faire cesser mon agression sexuelle.

– Manon, viens tenir les bras de ta putain de mère! Je n’arrive pas à la baiser correctement!

Ma belle-fille sort de la torpeur d’où l’orgasme que sa génitrice lui a donné avec sa langue, l’a plongée. Elle s’agenouille au-dessus de la tête de sa mère. Ses mains remplacent les miennes pour tenir les bras de Clara. Je peux me concentrer sur mes coups de reins. J’immobilise le visage de ma compagne, je la force à me rouler une pelle. Elle me supplie, mais je ne l’écoute pas, je ne suis concentrer que sur une seule chose, la violer.

Je la viole longuement, je mords méchamment son téton droit. Quand je regarde, une fine rigole de sang en coule. Clara hurle comme une folle, la douleur est indescriptible. A presque quarante ans, jamais on ne l’a baisée comme cela. De cette façon abject, contre sa volonté. Je vais la prendre longtemps grâce aux pilules de Radiu, jouissant quatre fois dans son ventre. Quand je me retire son vagin est en sang, son utérus remplit de sperme. Ma compagne n’est plus qu’une morceau de souffrance. Aussi bien physique que psychique. J’en suis arrivé là où je le voulais, le début de sa destruction totale. Je tenais enfin ma vengeance. J’ai décidé de la laisser tranquille pour cette nuit. Demain serait encore plus dur pour elle, j’allais achever de la briser.

J’ai dormis avec Carla, après l’avoir fait monter dans notre chambre. Je lui ai menottée les poignée dans le dos, puis sakarya escort les chevilles entre elles. Ma compagne, choquée, traumatisée s’est laissée faire. Se contentant de pleurer. Elle n’avait plus aucune force, même pas celle de me parler. Pour m’assurer qu’elle ne me casse pas les couilles dans la nuit, je l’ai bâillonner. Je me suis endormi aussitôt, fatigué par ma journée. Manon, horrifiée, par ce que je lui avais forcé à faire et dire à sa mère, eut beaucoup de mal à dormir. En effet, une fois les effets de la drogue dissipé, toute l’horreur de la situation l’avait frappée de plein fouet. Même si, a cause de mon travail sur elle, la jeune fille continuée à croire sa mère en partie responsable de ses tourments.

C’est Manon qui m’a réveillé le lendemain matin. Un réveil en douceur, par la pipe habituelle. Quand j’ai émergé des brumes du sommeil, j’ai fait cesser sa fellation à ma belle-fille.

– Réveil ta mère, explique-lui ce qu’il faudra qu’elle fasse le matin.

– Ce ne sera plus moi qui boirais ta pisse et te sucera le matin?

Une lueur d’espoir brille dans le regard de ma belle-fille. Lueur que je dissipe rapidement.

– Vous allez alterner. Allez, réveille ta mère et explique-lui.

Manon obéit, elle secoue sa maman. Carla ouvre les yeux. Elle est horrifiée quand elle comprend que ce n’est pas un rêve. Son viol et celui de sa fille sont bien réel. Mais son enfant ne la laisse pas trop réfléchir.

– Maman, je vais te montrer ce que l’on doit faire le matin. Un conseil, obéit aux ordres de Léo. Je peux te garantir que la punition est bien pire!

Carla, qui ne peut pas répondre à cause de sa muselière, se contente de tourner la tête vers moi, me lançant un regard emplit de haine.

– D’abord, on fait une pipe à Léo. Il les aiment bien baveuse, mais il ne veut aucune trace de sperme ou de salive sur son pénis, une fois la pipe fini. Il adore aussi les gorges profondes. C’est dur au début, mais à force, on y arrive plus facilement.

A la fin de ses paroles, Manon avale mon chibre pour me sucer.

Comme à mon habitude, je lui caresse les cheveux pendant qu’elle suce. La petite chienne s’avère de plus en plus douée. Bien entendu, je ne la préviens pas avant d’éjaculer. Une fois mon sperme dans la bouche, elle retire sa tête. Elle ouvre grand la bouche devant les yeux de sa mère. Manon referme la bouche et déglutit. Elle ouvre de nouveau la bouche, il n’y a plus rien.

– Un conseil, c’est bien important de tout avaler.

Elle en a un peu sur le coin de la bouche, elle le prend avec son doigt, avant de sucer ce dernier. Sa mère est en pleure en regardant ce que j’ai fait de sa fille.

– Regarde, il reste de la salive sur le sexe de maître Léo. C’est bien important qu’il soit propre.

Manon gobe de nouveau mon sexe, elle enlève toutes traces dessus.

– Voilà, c’est le premier travail du matin. Fais-le bien, sinon tu seras puni. Je peux te jurer que tu n’aimera pas ça. Je le sais, au début, je n’étais pas une bonne putain pour Léo, il à dut me punir souvent.

Je me redresse, Manon s’allonge à ma place. Elle parle de nouveau à sa mère.

– Ce que l’on va te montrer, tu dois normalement le faire de suite après la pipe. Tu resserre au maximum, mais le plus doucement possible tes lèvres autour du sexe de Léo. De façon que ta bouche soit bien hermétique.

Je m’assoit sur le torse de Manon.

– Maintenant regarde ce qu’il ce passe, quand ta bouche est bien fermée autour du pieu du maître. Là, il le fait en dehors pour que tu vois bien.

Manon ouvre la bouche en grand. Alors, devant le regard horrifié de Clara, je commence à uriner.

J’arrête mon jet, Manon, avale mon urine avec une grimace de dégoût.

– En principe, il urine d’un trait. Tu verras, on apprend vite à tout avaler rapidement. Je te l’accorde, c’est dégueulasse et humiliant, mais c’est mieux que la punition.

Je répète l’opération cinq fois, avant que mon urètre soit vidé. Une fois fini, Manon se redresse. Je me pousse un peu, lui laissant finir ses explications.

– A la fin il ne doit plus rester une goutte d’urine sur le pénis de Léo. Aucune goutte ne doit non plus être sortit de ta bouche. Une fois tout fini, tu dois aller te brosser les dents. A ce moment, on ne peut rien faire à Léo, notre bouche de chiennasse est trop dégueulasse pour cela.

Manon sort du lit et va se laver les dents. Clara bâillonnée me regarde terrorisée quand elle voit mon sexe bandé. Ça me fait rire.

– Oui, il bande pour toi. Hoche une fois la tête si tu la veux dans le cul, deux fois si tu la veux dans la chatte.

Se rappelant la souffrance indescriptible de son cul pour sa première sodomie, Clara hoche la tête deux fois.

– Tu es bien comme ta fille. Tu préfère un bébé à un cul cassé.

Je me couche sur elle, Clara écarte les cuisses. Je me glisse entre elle, la pénétrant d’un seul coup. Ses couinements derrière sa muselière, me prouve-bien qu’elle n’aime vraiment pas cela.

– Maman…

Tout en continuant à violer Clara, je tourne la tête. Manon, en larmes, est en train de me regarder forcer le vagin de sa mère.

– Tu mates? Ça te plaît?

samsun escort Non…

Je laboure sauvagement Clara, en regardant Manon droit dans les yeux. Puis je me fige dans ma compagne, me vidant en grognant de plaisir. Je souris à Manon.

– Viens nettoyer ta mère. Je veux aussi que tu la fasse jouir, si tu n’y arrives pas, je te punis!

– Quoi?

– Tu as bien compris.

Quand elle voit Manon s’approcher d’elle, Clara commence à se débattre, une paire de gifle la calme immédiatement. Ma compagne voit avec horreur son enfant s’agenouiller entre ses cuisses, se pencher en avant et commencer à lécher le vagin qui l’a vu naître. Je regarde Manon, en pleure, avaler dans un premier temps, tout le sperme qui souille le vagin fraîchement violé. Clara couine d’horreur derrière son bâillon, le visage barbouillée de larmes. Le spectacle me fait bander. Je me mets derrière Manon. J’hésite à l’enculer, mais je choisit plutôt son vagin, il faut qu’elle se concentre sur ses coups de langues. Je m’enfonce dans son vagin aride, qui ne tarde pas à se mouiller de cyprine pour facilité la copulation et diminuer la douleur. Je tiens Manon aux hanches, je me mets à la défoncer comme une bête, la faisant crier dans le vagin maternel. Malgré l’horreur de la situation, les coups de langues de Manon, sur le clitoris de sa mère, ne tarde pas à faire effet. Je vois qu’il n’y a pas que de la salive qui trempe la vulve de Clara.

Je défonce Manon encore plus fort. Cette petite putain arrive à faire mouiller sa mère plus vite et plus abondamment que moi. Clara serait-elle une lesbienne refoulée? Le spectacle me fait toujours autant d’effet, j’arrose déjà l’intérieur de ma belle-fille. Mais je bande toujours autant. Alors je ne ressort pas après mon éjaculation, reprenant mes coups de reins, plongé dans les organes génitaux de ma victime. Quand je vois le corps de Clara s’arquer, je me rends compte qu’elle vient d’avoir un orgasme. Le plus fort que je ne l’ai jamais vu avoir. Jamais elle n’a arqué son corps avec moi. Pas une fois en plus de quinze ans. Et là, avec sa fille, cette putain vient de jouir comme une malade. Je pars aussitôt, me vidant torrentiellement dans le ventre offert de ma belle-fille. Je me retire, je m’allonge contre le corps de ma compagne, que sa fille lèche toujours.

– Manon, vient nettoyer ma bite que tu as salie!

Ma belle-fille se redresse, les lèvres couverte de la cyprine de sa mère. En plus cette pute à une jouissance abondante. Manon gobe mon pieu, je la laisse aller au bout de sa pipe. Une fois qu’elle a tout avalé et nettoyé, elle s’agenouille devant moi, attendant les ordres.

– Ma puce, tu es aussi douée avec ta langue pour sucer des bites, que pour gouiner une femme.

Manon baisse les yeux de honte. Je regarde Clara, mais détruite par son orgasme incestueux, cette dernière fixe le plafond sans ciller. Je me penche, je prends une pilule dans le tiroir de la table de nuit. J’attends qu’elle fasse effet. Je vais faire visiter mon nouveau sous-sol à Clara. Il est temps que son dressage par la violence et la terreur commence.

Dix minutes plus tard, mon engin s’est redressé.

– Allez Manon, on va au sous-sol.

– Mais je n’ai rien fait!

La pauvrette, elle se souvient de ce que je lui ai fait subir en-bas. Je ne vous l’ai pas raconté, mais je vous laisse imaginer. De toutes les façons, ce que je vais infliger à Clara vous en donnera une bonne idée. Quoique j’ai été beaucoup plus doux avec Manon que ce que je compte l’être avec ma compagne. Question de résistance psychologique. Clara étant plus résistante que sa fille. Je fais lever Clara, toujours traumatisé par ses orgasme obtenu par les coups de langues de sa fille.

– Je viens?

– Oui, Manon, je vais avoir besoin de toi.

Ma belle-fille ne répond rien, se contentant d’acquiescer de la tête. J’enfile quand même mon caleçon et un tee-shirt, tandis que les femelles restent nue. On ne sait jamais, on pourrais sonner à la porte. Quand on arrive enfin en bas, Clara reste stoïque, horrifiée par la vision qui s’offre à elle.

J’ai transformé les lieux en véritable donjon de tortures. Pas pour faire du bdsm bon enfant, où la soumise est dressée avant que cela ne commence, étant donné qu’elle donne son accord. Qu’elle connaît ce qui va lui arriver. Non, un vrai dressage. Un truc sans limite, si ce n’est de ne pas faire de marque visible. Comme pour sa fille, je veux que Clara se pisse pratiquement dessus de peur, juste à l’énoncé d’un risque de punition. Ma compagne tente de fuir en se débattant, mais je la tiens fermement. Un coup de poing dans le ventre, la calme rapidement. Je profite de sa douleur, pour l’agenouiller. Je défais ses menottes. Je les attache à une chaîne situé devant elle. Une paire de menottes en acier termine la chaîne. Clara se retrouve avec les bras attachés à hauteur de son ventre. Je me relève et me dirige vers le mur. J’appuie sur une télécommande, et le treuil fixe au plafond fait son effet. La chaîne remonte, Clara se retrouve avec les bras au dessus de la tête. Puis la force du treuil l’oblige à se lever. Quand seul le bout de ses orteils touche le sol, je relâche le bouton. La position est inconfortable, fatigante. Rapidement, elle deviendra douloureuse. En attendant ce moment, je me fais sucer par ma belle-fille. Quand j’éjacule dans sa gorge, Clara à commencer à geindre de douleur depuis longtemps. Avant de passer à la mère, j’ordonne à la fille de regarder tout ce qui va suivre.

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Manon en Enfer 11

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EXHIBEE PENDANT UN SPECTACLE 2/3

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L’homme déguisé en soldat médiéval ne peut pas avoir un rapport sexuel avec Manon car il est trop gêné dans son armure et sa côte de mailles, il retire uniquement ce qui le gêne pour mettre son pénis à l’air et Manon doit faire avec. Obéissant aux ordres qu’elle reçoit la prostituée se met à genoux et creuse les reins pendant que l’homme qui est en érection se place derrière elle. La queue pénètre dans la chatte et y fait des va et vient, rapidement Manon ressent les tremblements du membre en elle puis le sperme sui coule dans son vagin.

Le mâle se relève et remet de l’ordre dans sa tenue puis tirant sur la corde qui fait office de laisse il oblige la putain à se relever et à le suivre pendant que le sperme sort de son sexe, coule sur ses cuisses et sur le sol.

La croix de Saint Antoine est couchée sur le sol et a été remplacée par un portique fait de gros rondins de bois, une corde est passée sur sa partie transversale puis attachée aux bracelets en cuir qui équipent les poignets de Manon qui décolle du sol quand les deux soldats qui armés de lances la gardent en permanence tirent sur la corde, la laissant pendue par les bras, puis ils attachent l’extrémité de la corde à un piquet planté dans le sol.

Elle sait qu’elle va rester pendue jusqu’à ce qu’un autre soldat gagne une épreuve.

Maintenant pour les soldats à cheval l’exercice consiste à utiliser des lances sur des cibles placées à différentes distances et à cumuler les points gagnés suivant la précision des lancers.

Bien évidemment le vainqueur a gagné le droit de cuissage, Manon est libérée et suit le guerrier jusque dans une tente, quand il a mis son sexe à l’air et s’est allongé elle le caresse car l’érection n’est pas idéale puis elle embrasse et lèche la queue avant de la prendre dans sa bouche et de la sucer. Elle est gênée par l’odeur de sueur, l’homme a trop chaud sous sa carapace.

Quand il le demande elle se met à califourchon sur lui et enfonce la queue dans sa chatte puis fait bouger son corps pour la faire aller et venir dans son ventre qui ne tarde pas à se faire arroser de sperme, elle se retire tout en pinçant les grandes lèvres avec une main pour garder sa chatte fermée et éviter que le semence ne coule.

Ce n’est qu’une fois qu’elle est à l’extérieur qu’elle laisse le liquide s’échapper, tenue en laisse le soldat la ramène sur les lieux et placée sous le portique la corde est nouée aux bracelets de cuir qui équipent ses chevilles puis la corde se tend, elle décolle du sol et se retrouve pendue la tête en bas.

Nouveau défi pour les soldats, tir à l’arc sur un oiseau fixé en haut d’un mât. L’épreuve dure pendant un bon moment avant que la cible ne soit abattue, de nouveau Manon se fait sauter après avoir fait bander correctement le vainqueur en s’aidant de ses mains et de sa bouche puis cette fois c’est en levrette qu’elle est prise.

Ensuite c’est chevilles et poignets attachés ensemble qu’elle se retrouve pendue au portique.

L’exercice suivant est le tir à l’arbalète sur des cibles placées à différentes distances. Le soldat qui a gagné l’épreuve sodomise Manon avant de la ramener sous le portique et choisit de la pendre en l’écartelant, elle se retrouve hors d’atteinte du sol bras et jambes écartées ce qui est très douloureux.

C’est ensuite une bataille à coups d’épées entre les cavaliers, le but est de désarmer l’adversaire ou de le désarçonner, il y a des chocs entre chevaux et certains ont tendance à se cabrer faisant chuter le cavalier. Le bruit des épées qui s’entrechoquent est infernal.

Le gagnant n’emmène pas Manon dans la tente, il la couche dans l’herbe puis après s’être débarrassé de ce qui le gêne de son armure il s’allonge sur elle et la prend dans la position du missionnaire.

Même si d’autres soldats se sont positionnés de façon à cacher la scène aux spectateurs qui ne sont pas proches, certains voient quand même ou devinent ce qui se passe et s’expriment très bruyamment. Certains pensent que l’acte est simulé d’autres sont sur que l’accouplement est réel.

Puis une fois qu’il a arrosé le vagin de mersin escort sperme et a remballé son membre il demande à la putain de se lever puis, pendant que la semence coule sur le sol, aidé par un autre soldat il accroche à son cou, ses poignets et ses chevilles de grosses chaînes qu’elle a du mal à traîner pendant que tirant sur la corde toujours attachée au gros collier qui se trouve autour de son cou il la ramène au milieu du campement.

En écoutant les soldats parler Manon comprend qu’ils avaient fait un pari misant sur le fait qu’aucun d’entre eux ne serait capable de la sauter devant le public.

En fin d’après-midi le speaker qui parlait souvent à la foule pendant les joutes fait deux annonces.

– la personne qui a le ticket d’entrée 1082 est prié de se manifester auprès des organisateurs, il a remporté le lot du jour –

– mesdames et messieurs nous espérons que vous avez passé un bon moment et pour vous remercier nous allons vous offrir un dernier spectacle qui devrait rester dans vos mémoires –

Manon est libérée de ses chaînes par un soldat qui attache une corde à l’énorme collier qu’elle porte autour du cou puis la tenant en laisse il la tire et en selle sur un cheval il se dirige vers les spectateurs.

Il la promène nue passant près des barrières devant l’assistance, certains hommes tendent le bras et réussissent à poser une main sur la prostituée. C’est un brouhaha avec des sifflets, des invitations à se faire baiser, des insultes aussi.

Manon a honte et n’en mène pas large se demandant si ça ne va pas finir mal pour elle malgré qu’elle soit escortée par une dizaine de soldats.

Finalement quand elle arrive au bout de la rangée de spectateurs on la monte dans la charrette qui vient d’arriver et on l’affuble des grosses chaînes puis passant de nouveau devant les spectateurs elle est ramenée devant les tentes.

Descendue du chariot on la libère avant de l’aider à en descendre.

– entre dans la tente bleue, reste nue et installe toi sur la natte. Quelqu’un arrive, tu vas pouvoir te servir de ton cul –

Elle comprend que le lot qu’une personne vient de remporter c’est son corps.

Accompagné un homme au physique quelconque pénètre dans la tente, il ne sait pas quoi dire et reste planté à regarder Manon qui elle avec son passé de prostituée n’est pas impressionnée, elle se lève et s’approche de lui.

Après avoir passé les bras autour de sa taille elle l’embrasse sur les joues et dans le cou, elle se frotte contre lui puis pose les lèvres contre les siennes il réagit en mêlant sa langue à celle de Manon quand elle l’introduit dans sa bouche.

C’est elle qui le déshabille tout en le caressant avant de se coller contre lui tout en l’invitant à s’allonger sur la natte. Placée entre ses jambes elle embrasse et lèche son torse puis son ventre avant d’en faire autant sur les cuisses puis le sexe.

Ses mains s’activent en même temps sur les bourses et la verge qui se dresse fièrement. Se courbant en avant elle lèche et embrasse les testicules et le pénis avant de la prendre dans sa bouche et de lui faire une fellation, elle n’a pas besoin de s’activer bien longtemps car la verge tressaute dans la bouche de la prostituée et le sperme gicle dans sa gorge.

La semence avalée elle continue de sucer un peu avant de s’allonger sur la natte et d’inviter l’homme à se mettre sur elle. Elle l’aide à positionner sa queue à l’entrée de sa grotte puis une fois le membre bien enfoncé en elle et pendant qu’il donne des coups de reins elle fait bouger son bassin en rythme.

Son partenaire ne mets pas bien longtemps avant d’arroser le vagin de sperme, il se retire et s’allonge. Aussitôt Manon se met au travaille, elle caresse partout le corps de l’homme, ses cuisses et son sexe et pour finir elle le masturbe d’abord doucement puis plus vigoureusement.

Il est de nouveau en érection et c’est une nouvelle fellation avant qu’il ne lui demande de se mettre à genoux, ce qu’elle fit en creusant les reins pour bien présenter ses fesses. La queue s’enfonce dans sa chatte et y fait des va et vient pendant un moment avant que Manon ne repousse son assaillant.

Tenant muğla escort la verge dans une main elle la place contre son anus.

– vas y! encules moi! tu as gagné ce droit –

Les mains agrippées aux hanches de la femme il pèse avec le poids de son corps et le membre s’enfonce dans le fondement puis y fait des aller retour de plus en plus rapides et après un moment la verge tremble et le sperme coule dans la cul de la prostituée.

Manon veut le faire jouir une quatrième fois, elle s’active avec ses mains et sa bouche, masturbant, léchant et suçant, avant de finir par faire bander sa proie.

La prostituée se met à califourchon sur sa proie, les jambes de chaque côté de son corps puis la plaçant avec une main contre sa chatte elle introduit la queue puis la fait coulisser à l’intérieur en se baissant. S’aidant des muscles de ses cuisses elle fait aller et venir la verge dans son ventre pendant un bon moment avant de la laisser sortir de son intimité.

C’est dans son cul qu’elle enfonce le pénis puis se sodomise en faisant bouger rapidement son corps, son partenaire ressent du plaisir car ses doigts agrippent les seins ou les hanches de la prostituées et les ongles ont tendance à pénétrer dans la peau de celle-ci.

Elle fait aller et venir pendant un bon moment la queue dans son fondement avant de la sentir tressauter, il éjacule mais sans que beaucoup de sperme ne coule.

Une fois que Manon s’est retirée et allongée sur la natte l’homme se lève, s’essuie avec la serviette de la putain puis se rhabille et la complimente avant de sortir de la tente.

Le lauréat satisfait s’en va, deux soldats saisissent Manon par les bras et la ramènent sous le portique, elle est de nouveau soulevée et pendue par les poignets.

C’est le soir, la nuit tombe, un feu est allumé au centre du campement

Des soldats sont assis sur des rondins de bois autour du feu, débarrassés de leur heaume ou casque ils mangent des morceaux de viande qu’ils font cuire et surtout griller sur les flammes mais leur principal amusement est de boire le vin directement au goulot des bouteilles ou en utilisant des pichets.

Toujours nue et pendue par les poignets Manon qui souffre en silence les regarde s’enivrer et entend leurs conversations, les propos sont de plus en plus graveleux, avec l’effet de la boisson les énergumènes se lâchent.

L’alcool prend le dessus, les hommes perdent leur lucidité aux dépends de Manon qu’ils décrochent et allongent dans l’herbe.

Débarrassés de leurs armures elle se laisse faire et se fait défoncer pendant un bon moment, les queues s’enfoncent et font des aller retour dans sa bouche, sa chatte et son cul.

Ils mettent du temps avant de jouir dans son corps à cause de l’alcool mais peu d’entre eux réussissent à la sauter une deuxième fois.

Elle reste allongée attendant la suite des évènements.

Enchaînée elle est jetée dans une carriole et ramenée dans sa geôle où une soubrette lui donne à manger avant qu’elle ne soit enfermée pour la nuit.

Les hommes ont eu leur compte, allongée sur la paille, elle n’est pas dérangée dans son sommeil.

Le dimanche matin une soubrette accompagnée d’un garde apporte du café et du pain rassis que Manon qui meurt de faim engloutit après que l’on ait retiré son bâillon.

Ensuite le garde la pend par les pieds puis elle reste seule avant d’être dépendue et harnachée de chaînes puis des hommes masqués commencent à défiler dans la geôle. Elle doit faire des pipes, elle est prise dans différentes positions et sa chatte et son cul sont pénétrés.

Le midi on lui sert un repas dans une assiette qu’on pose sur le sol avant de lui enlever provisoirement les chaînes et de lui demander de se laver.

En début d’après-midi une fois délivrée de ses chaînes, de son collier et de ses bracelets de cuir Manon passe dans les mains de deux servantes qui l’habillent, toujours dans le thème du moyen âge elle revêt un robe longue qui descend jusqu’à ses pieds, une coiffe et des escarpins.

Emmenée jusqu’aux écuries elle est hissée sur un cheval qu’elle doit monter en amazone. Cramponnée au pommeau de la selle elle part escortée nevşehir escort de soldats dont un tient la longe qui est accrochée au harnais du cheval de la prostituée.

Arrivés dans la partie où se déroule le spectacle et après avoir été exhibée devant les spectateurs elle s’assoit sur un trône toujours entourée de soldats et ensuite ça se corse ils sont attaqués par d’autres guerriers qui enlèvent Manon, la ficèlent et l’emmène couchée sur le cheval d’un ravisseur qui part au galop.

Pendant ce temps un portique en bois, composé de deux montants et d’une traverse, est dressé. Les ravisseurs se regroupent sur les lieux, un soldat dénude Manon ne lui laissant qu’un jupon qu’il enroule autour de sa taille ne cachant rien de son anatomie.

Les bracelets sont remis autour de ses poignets et ses chevilles puis elle se retrouve accrochée les bras et jambes écartées en croix et ne touchant pas terre sur le portique.

Le spectacle et les épreuves sont sensiblement les mêmes que la veille. Manon en permanence nue sert de vide-couilles aux vainqueurs des épreuves et elle se retrouve attachée ou pendue dans différentes positions pas très agréables à supporter que ce soit sur la croix de Saint André ou sous le portique.

Une nouvelle torture est infligée à la prostituée, elle doit s’allonger sur le ventre puis ses bras et ses jambes sont tirés en arrière et vers le haut, les bracelets en cuirs de ses poignets et ses chevilles sont accrochés à des pitons plantés dans un rondin de bois qui est ensuite soulevé et posé sur des piquets verticaux. Le corps de Manon pend dans le vide.

Quand elle sert de récompense au soldat qui a remporté l’épreuve du tir à l’arc puis celui du tir à l’arbalète plusieurs guerriers soulèvent le rondin de bois et porte Manon, toujours solidaire de celui-ci par ses quatre membres qui y sont accrochés, passant devant les spectateurs elle est transportée jusque dans la tente où elle est libérée, se fait sauter, puis les bracelets de ses chevilles et de ses poignets sont de nouveau accrochés aux pitons plantés sur le rondin de bois.

Décollant du sol, quatre hommes portent le rondin, passant devant la foule elle est ramenée sur les lieux du tournoi et le rondin posé sur les piquets plantés dans le sol. elle reste là le corps arqué et les membres étirés attendant qu’un de ses orifices serve de nouveau.

Après l’avoir sodomisée rapidement dans une tente le vainqueur d’une épreuve décide de la promener. devant les spectateurs.

Dès qu’elle sort de la tente Manon a les mains liées ensemble au bout d’une corde attachée à la selle d’un cheval. Si l’animal marche d’abord au pas, le soldat revêtu d’une armure qui le monte commence ensuite à le faire trotter ne se souciant pas si la prisonnière peut suivre. Elle trébuche plusieurs fois et est rapidement à bout de souffle.

Dés qu’il longe l’endroit où des spectateurs sont amassés il actionne les rênes pour que le cheval trotte encore plus vite. Manon ne peut pas suivre et chute, elle est traînée dans l’herbe jusqu’à ce que l’animal stoppe sur les lieux du spectacle.

Deux soldats en armes la relèvent et l’amènent jusqu’à un poteau qui vient d’être installé, ils l’attachent à l’aide d’une corde qu’ils enroulent de nombreuses fois autour d’elle et du poteau la faisant ressembler à un rôti qui vient d’être ficelé.

Pendant la dernière épreuve les soldats se battent en un contre un avec leurs épées et celui qui est touché ou chute est éliminé.

Le vainqueur met la putain à genoux dans l’herbe près d’une tente, il retire la partie de son armure qui le gêne pour sortir sa queue.

Il ne bande pas elle doit le masturber puis lui faire une pipe avant qu’il ne bande de nouveau et à genoux derrière elle il galère avant d’enfoncer sa queue dans le cul de sa proie, il la sodomise faisant aller et venir sa verge pendant un bon moment avant d’éjaculer dans dans les intestins de la prostituée.

Si cela ne se passe pas directement devant les spectateurs et que plusieurs hommes en armes placés devant le couple tentent de cacher ce qui se passe, certains spectateurs ont quand même vue sur la scène et ne restent pas muets pendant que le speaker pour attirer les regards ailleurs commente le spectacle qui continue un peu plus loin.

Reconnaissant ses attributs Manon s’aperçoit qu’il avait déjà remporté un concours et que c’est la deuxième fois qu’il la saute. La fois précédente c’était en levrette et dans sa chatte qu’il s’était soulagé.

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